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Rio Tinto Alcan en pleine crise à Alma

Le retour du temps des fêtes signifie généralement le début d’une nouvelle année tant au niveau personnel qu’entrepreneurial. Pour certains par contre, des conflits de travail qui ont éclaté lors de cette période rendent ce retour plus pénible. C’est actuellement le cas de l’usine Rio Tinto Alcan d’Alma et de ses employés syndiqués qui sont aux prises avec un lock-out qui ne semble pas sur le point de se régler.

En effet, ce dossier défraie la chronique depuis le début de l’année et on apprend aujourd’hui que la Cour supérieure prolonge l'injonction provisoire rendue dans la nuit du 2 au 3 janvier sur les conditions de piquetage des travailleurs. Le juge Gratien Duchesne l'a renouvelé jusqu'au 2 avril dans le but de prévoir un calendrier pour procéder aux différentes Ã©tapes.

Le syndicat des Métallos, qui représente les employés de l’usine, en a principalement contre le recours à la sous-traitance. La direction estime pour sa part que cette méthode permet à Rio Tinto Alcan de demeurer plus concurrentielle et ainsi favoriser le développement d’une expertise chez des fournisseurs de la région. Le syndicat cherche aussi à faire instaurer un plancher d’emploi qui assurerait un nombre minimal de travailleurs syndiqués employés par l’usine

Rio Tinto Alcan croit pour sa part qu’un plancher d’emploi ne tient pas compte de l’évolution des besoins ou du contexte d’affaires d’une entreprise. « Un plancher d’emploi, constitue un frein à la croissance Â», soutient Claudine Gagnon, porte-parole de l’entreprise.

Tous ces événements annoncent bien des complications pour l’usine d’Alma et pourraient entraîner des pertes d’emplois et des dépenses autant aux travailleurs qu’à Rio Tinto Alcan. Votre entreprise vivra-t-elle des moments d’incertitudes elle aussi? Ce n’est pas souhaitable, mais dans ce type de situations, l’essentiel est d’avoir des partenaires de qualité pour traverser la tempête. Consulter un agent de Distnet pour connaître les différentes options qui s’offrent à vous en terme d’affacturage.

Bye bye 2011

La fin de l’année 2011 approche et l’heure est au bilan. Distnet a eu le plaisir de non seulement vous offrir des solutions d’affaires adaptées à vos besoins, mais également de vous informer sur différents sujets de l’actualité en lien avec l’économie et l’affacturage.

Des sujets aussi variés que les finances de géants web comme Twitter, Google ou Facebook, la valeur des Canadiens de Montréal, les investissements de Wallmart, Rona ou Amazon ainsi que les déboires de Research in Motion avec le BlackBerry ou la perte de Steeve Jobs pour Apple nous auront permis de vous démontrer les avantages d’avoir des partenaires de choix dans les bons comme les moins bons moments.

Tous ces événements ont fortement influencé les finances de ces entreprises et de leur secteur d’activité. Certains s’en sont bien tirés et d'autres moins. Personne ne peut prédire ce que 2012 nous réserve, mais une chose est sûre, cette nouvelle année nous offrira encore une fois son lot de bouleversement si on se fit entre autres à ce qui se passe actuellement dans la zone Euro.

Pensez à contacter Distnet dans vos résolutions de fin d’année afin de prendre connaissance de toutes les solutions qui s’offrent à vous en terme d’affacturage.

Joyeuses fêtes de la part de toute l’équipe de Distnet.

Un prince saoudien injecte 300 M$ dans Twitter

Les réseaux sociaux sont de plus en plus populaires auprès de la population mais aussi auprès des entreprises, et ce partout sur la planète. Le réseau social Twitter, qui compte plus de 100 millions d’usagers, vient tout juste d’obtenir un investissement de 300 millions de dollars de la part du prince saoudien Al-Walid bin Talal et de sa société d’investissement Kingdom Holding Company. C’est maintenant un total de près d’un milliard de dollars que le site web américain a réussi à obtenir en investissement depuis sa création.

« Notre investissement dans Twitter réaffirme notre capacité à identifier des opportunités d'investissements dans des sociétés prometteuses, à forte croissance et avec un impact mondial Â», a indiqué le nouvel actionnaire saoudien dans un communiqué.

Créé aux États-Unis en 2006, Twitter est désormais évalué à 8 milliards de dollars, dont 3,75 % serait maintenant détenu par le prince Al-Walid.

Selon Ahmed Halawani, directeur des investissements internationaux pour Kingdom Holding, son groupe est « convaincu que les médias sociaux vont fondamentalement changer le paysage de l’industrie des médias dans les prochaines années Â»

La société saoudienne n’est pas le seul investisseur à s’intéresser aux médias sociaux. Le groupe russe DST Global, déjà actionnaire de Facebook, Zynga et Groupon, a investi il y a quelques mois la somme de 800 millions de dollars dans Twitter.

Outre le réseau social Twitter, le prince Al-Walid détient des intérêts dans plusieurs médias et se prépare à lancer une nouvelle chaîne de télévision d’information en continu du nom de Alarab. Celle-ci entrera donc en compétition directe avec la célèbre Al-Jazira du Qatar et Al-Arabiya de Dubaï.

D’autres grandes compagnies bien connues des consommateurs comme Citigroup, Apple et News Corp  ont profité des investissements de Kingdom Holding dans les dernières années. La société détient aussi des parts dans certaines chaînes hôtelières internationales, dont le groupe Fairmont, propriétaire du Château Frontenac.

Il peut être très bénéfique pour une entreprise d’obtenir du capital venant de grandes compagnies d’investissement. Il est malheureusement assez rare que les investisseurs viennent cogner à notre porte. Plutôt que d’attendre qu’il soit trop tard, mieux vaut compter sur un partenaire financier de confiance comme Distnet. Contactez un agent Distnet dès aujourd’hui pour connaître les solutions d’affacturage, de financement d’inventaire ou de financement d’appoint. 

Les amateurs de fromage en deuil

L’entreprise phare du Saguenay, la Fromagerie Boivin, a été ravagée par les flammes mardi soir vers 16 h. Le feu a détruit une bonne partie de la bâtisse, dont l’accueil et les bureaux administratifs. L’organisation compte 80 employés et est en activité depuis 1939.

Plus d’une soixantaine de pompiers en provenance de cinq casernes ont été dépêchés sur les lieux. Parmi ce nombre, on pouvait également compter des sapeurs de Saint-Honoré et de la base de Bagotville.

Le feu s’est propagé de l’arrière de la bâtisse vers l’avant. « Dès notre arrivée, nous avons remarqué que les flammes se propageaient très rapidement. Comme la partie avant est plus âgée nous nous attendions à ce qu’il y ait un effondrement Â», a expliqué le directeur du service de sécurité incendie, Carol Girard.

En effet, vers 19 h 15, les murs du bâtiment principal se sont effondrés devant plusieurs employés restés sur place. « On ne sait pas quand on va recommencer. On espère que ce ne sera pas trop long, surtout que ça arrive durant le temps des fêtes Â», a déclaré Maurice Martel, un employé.

L’incendie a finalement été maitrisé vers 19 h 45. À ce moment, seuls de petits foyers d’incendie isolés pouvaient être observés. La cause de l’incendie est toujours inconnue, mais les pompiers explorent actuellement la possibilité d’un court circuit. Les dirigeants estiment les dommages à 15 millions de dollars.

Ce sinistre survient quelque temps seulement après la signature d’un contrat de 10 millions de dollars avec Kraft Canada. Ce dernier avait doublé la production et permis l’embauche de 25 personnes. Le directeur des ventes de la Fromagerie, Bruno Blackburn, espère que d’autres fromageries pourront leur venir en aide afin de sauver la situation. « Nous allons vérifier avec la Fromagerie Saint-Fidèle s’il est possible de collaborer. Nous allons faire une réunion pour trouver des solutions le plus rapidement possible Â», a affirmé Luc Boivin, propriétaire de la Fromagerie.

M. Boivin s’attend à ce que l’arrêt de production dure plusieurs mois. Il croit toutefois que le contrat avec Kraft Canada pourra être maintenu.

Le cas de la Fromagerie Boivin n’est pas isolé. Chaque année, plusieurs compagnies québécoises ont à faire face à des moments difficiles mettant en péril leur croissance et parfois même leur survie. Dans cette situation, un partenaire financier de confiance peut vous permettre de traverser la tempête plus facilement. Contactez un agent de chez Distnet pour connaitre toutes les options qui s’offrent à vous en terme d’affacturage.

Google : Le ménage du printemps

Google a annoncé mardi sur son blogue qu’il entreprenait son « ménage du printemps Â», expression utilisée par son PDG et cofondateur Larry Page. En effet, les produits qui n’ont jamais atteint les résultats escomptés seront bientôt retirés de l’offre du géant de l’Internet. Les principaux produits à être laissé de côté sont Google Wave et Knol.

Knol, le Wikipédia de Google, quittera le monde virtuel le 30 avril 2012. En activité depuis 2007, ce dernier n’a jamais réussi à convaincre les internautes. Ceux qui ont rédigé des articles biographiques peuvent aller les télécharger dans les prochains mois s’ils désirent les conserver. De son côté, Wave est toujours resté le grand incompris de la famille Google. Ce service, qui permettait à plusieurs utilisateurs de travailler en même temps à distance en utilisant les mêmes applications Google, tirera sa révérence en avril 2012. Il a plus souvent qu’à son tour été jugé trop compliqué à utiliser.

Parmi les autres projets abandonnés figurent le service de recherche Google Search Timeline, la technologie Google Gear, l’outil de création de blogue Google Friend Connect et le service de partage et de communication Google Bookmarks Lists.

« Pour résumer, nous sommes en train de mettre fin à un certain nombre de projets qui n'ont pas eu l'impact espéré, d'en intégrer d'autres comme des fonctionnalités pour étendre nos produits et d'en fermer plusieurs qui nous ont mis sur une autre voie pour aller de l'avant Â», écrit Google sur son blogue.

Larry Page qui a récemment repris les rênes de la compagnie avait déjà annoncé ses couleurs concernant l’écrémage des produits de Google qu’il juge sans intérêt dans un portrait publié dans le New York Times. Le cofondateur est à réduire les dépenses de la compagnie afin de resserrer ses activités autour du mobile et des réseaux sociaux. Des concurrents comme Facebook et Apple forcent Google à revoir ses stratégies d’affaires.

Il s’agit de la troisième vague de fermeture du genre depuis septembre. Les produits Aardvark, Fast Flip, Code Search et Jaiku avaient alors passé sous le couperet.

Plusieurs entreprises ont à faire face à des changements de direction importants pour s’adapter à leur marché et pour atteindre des objectifs d’affaires importants. Pour que ces périodes se déroulent sans mettre en péril l’avenir d’une compagnie, le fonds de roulement de cette dernière doit pouvoir subvenir aux besoins à court et moyen terme. Pour connaître les différentes options qu’offre Distnet pour augmenter vos liquidités, contacter un agent qui saura vous guider vers les meilleures solutions.