Suite à lâannonce de résultats trimestriels légèrement moins performants quâattendu, la plus grande chaîne de magasins grande surface au Canada entend accélérer sa croissance au pays. Cette offensive aurait entre autres pour but de contrer lâarrivée de son concurrent américain Target. Les dirigeants de Walmart ont confirmé la préparation dâun nombre record de 73 projets de magasins au cours du prochain exercice financier.
Cette annonce survient en effet tout juste après un trimestre ou la croissance du bénéfice dâexploitation de la société a ralenti à un taux inférieur à la croissance des ventes totales.
Walmart compte malgré tout ouvrir de nouveaux établissements et prévoit dans la majorité des cas agrandir et rénover ses magasins existant en supercentres. Basés sur le modèle de nos voisins du Sud, ces supercentres offriront une gamme étendue de produits alimentaires, en plus des produits déjà offerts.
De ces 73 projets, le siège social de Walmart a précisé que 39 dâentre eux proviendront des magasins Zellers dont les baux ont été acquis récemment. La compagnie nâa toutefois pas voulu révéler les emplacements autres que ceux déjà connus, ni la répartition entre la quantité de magasins réguliers et de supercentres.
« Nous ne discutons pas de nos projets de magasin avant que les diverses étapes soient franchies avec nos interlocuteurs dans chaque emplacement », a indiqué Susan Shotta, directrice des affaires corporatives chez Walmart Canada.
Rappelons que le rachat de 39 baux de magasins Zellers par Walmart sâest effectué auprès du concurrent Target plutôt cette année. Target a récemment annoncé son désir de sâimplanter au pays dès 2013 avec des dizaines de magasins grande surface.
Cette vente dâactif en surplus par Target, suite à son acquisition auprès du détaillant torontois HBC, se veut stratégique. Lâentreprise se concentre désormais sur les magasins La Baie et Fields dans lâOuest canadien.
De nombreuses entreprises se trouvent dans un processus dâexpansion rapide comme celui de Walmart sans toutefois profiter des liquidités de ce genre de multinationale. Il est important de disposer des liquidités suffisantes, que ce soit lors de période économique plus instable ou lors dâune forte croissance de son chiffre dâaffaires. Pour en apprendre davantage sur ce type de financement, contactez un agent Distnet qui se fera un plaisir de vous conseiller sur les solutions qui sâoffre à vous.
Source: cyberpresse.ca
La chaîne de quincailleries Rona vient tout juste de dévoiler ses résultats pour le troisième trimestre. Le géant canadien peut se vanter dâavoir surpris les analystes en annonçant une légère hausse des profits en dépit dâune baisse de ses ventes en magasin de 5 % lors de la même période.
Lâentreprise de Boucherville a enregistré
un bénéfice net de 50,1 millions $ (36 cents par action) soit une hausse de 4,4 %
comparativement au trimestre correspondant de lâan dernier. Ces résultats sont
au-dessus de ceux envisagés par les experts, sondés par la firme Bloomberg, qui
tablaient sur un bénéfice par action de 33,5 cents.
Pour en arriver à ce résultat,
Rona a dû mettre à pied une cinquantaine dâemployés à Calgary et plus dâune
centaine dans ses bureaux administratifs. Ã cela sâajoutent des demandes de
concessions à certains fournisseurs. Les produits maison ont également été mis
de lâavant puisquâils procurent de meilleures marges bénéficiaires.
Parmi les meilleurs vendeurs, on
compte notamment les produits saisonniers et dâhorticulture. Plusieurs consommateurs
ont en effet finalement réalisé les projets anciennement retardés en raison de
la météo défavorable au Canada dans la dernière année. En contrepartie, les
produits liés à des projets de plus grande envergure, comme les matériaux de
construction, les accessoires de plomberie et les revêtements, ont connu une
forte baisse.
Le grand patron de Rona, Robert Dutton,
sâattend à un nouveau recul des ventes dans ses magasins au quatrième trimestre,
mais compte conserver un bénéfice par action similaire à celui de lâan dernier
grâce au maintient des mesures de réduction des coûts.
« Compte tenu de la fragilité de la confiance des consommateurs
canadiens et de leur prudence face aux projets de rénovation majeurs, nous anticipons
une pression continue sur les ventes comparables au cours des prochains
trimestres, particulièrement dans les grands centres urbains, où la croissance
de l'offre a excédé celle de la demande, causant une concurrence plus vive »,
a-t-il déclaré mercredi.
La compagnie qui exploite plus de 950 magasins et emploie près de 30 000
personnes au Canada entend lancer plusieurs initiatives dès le début 2012,
dont un site web transactionnel amélioré.
« La conjoncture actuelle pose des défis
importants pour lesquels des initiatives en cours et d'autres à venir nous
permettront d'offrir une expérience de magasinage renouvelée pour les
consommateurs canadiens tout en optimisant le rendement sur le capital pour nos
actionnaires », a précisé M. Dutton.
Rona a donc dû faire face à des décisions importantes pour arriver à conserver la confiance de ses actionnaires. La gestion dâune compagnie nâest pas toujours de tout repos. Câest pour cette raison quâil est primordial de sâentourer de fournisseurs de qualité pour affronter les moments plus difficiles. Disnet est un partenaire de choix pour les entreprises en manque de liquidités. Nâhésitez pas à contacter un agent pour connaître toutes les possibilités qui sâoffrent à vous.
Le brasseur canado-américain des bières Carling, Coors Light et Molson Canadian a fait connaître la semaine dernière un bénéfice trimestriel en baisse de 23 %. Ce dernier a glissé à 197,4 millions $ US, ou 1,06 $ par action comparativement à 256,1 millions $ US ou 1,38 $ par action lâan dernier. Cette diminution sâexplique par une hausse des coûts de production, la faiblesse du marché américain et des ventes décevantes au Royaume-Uni.
En faisant exception des éléments non récurrents, le bénéfice se chiffre à 1,14 US par action, soit 0,11 $ US de moins que ce à quoi les analystes sâattendaient. Le contexte économique fait en sorte que les consommateurs sont plus prudents, faisant ainsi baisser la demande. Les niveaux de chômage élevés affectent entres autres la clientèle la plus fidèle du brasseur, celle des jeunes hommes, et contribue à ce recul des ventes.
Lâentreprise dont le siège social est situé à Denver mais, dont les activités canadiennes sont gérées depuis Montréal, ne serait pas la seule dans cette situation, les autres brasseurs de premier plan traverseraient aussi une période économique plus difficile. Parmi les éléments avec lesquels Molson Coors doit composer, notons entre autres la hausse du coût du carburant, des emballages et des matières premières utilisées.
Malgré cette baisse de bénéfice, les revenus de Molson Coors sont tout de même 954,4 millions $ US, une hausse de 9 pour cent comparativement à lâan dernier. Ils ont aussi dépassé les 942,4 millions $ US qui avaient été anticipés par les analystes.
Quant au territoire canadien, là où 44 pour cent des profits du brasseur sont générés, lâentreprise affiche un bénéfice avant impôt en hausse de 0,2 pour cent à 162,3 millions $ US. Lâappréciation de sept pour cent du dollar canadien a contribué à cette hausse à hauteur de 8 millions $ US.
Principalement en raison dâune féroce concurrence au niveau des prix, les ventes au détail de la bière au pays ont reculé de 0,6 pour cent.
Afin de renverser cette tendance canadienne négative, Molson Coors a récemment signé une commandite pour la Ligue nationale de hockey ( LNH). Selon Dave Perkins, président de Molson Coors Canada, « Le hockey est au coeur même de la culture canadienne et aide vraiment les marques Molson Canadian et Coors Light ». La commandite de 375 millions $, faisant de Molson Coors le brasseur officiel de la LNH, serait absorbée par des budgets existants et ne devrait pas devenir un fardeau, a ajouté M. Perkins.
Les brasseurs canadiens ne sont pas les seules entreprises à traverser une période économique plus difficile par les temps qui courent. Les multinationales tout comme les PME sont dépendantes de divers facteurs externes comme celui du climat économique. Si votre entreprise connaît présentement certaines difficultés à ce niveau, Distnet est peut-être le partenaire quâil vous faut. Naviguez sur notre site pour en apprendre davantage sur les services offerts ou contactez un agent Distnet dès maintenant.
Après
cinq trimestres consécutifs de baisse, les ventes de maisons au Québec ont
connu une première hausse de 2 % en moyenne pendant lâété. Cette
statistique encourageante a été publiée lundi dernier par la Fédération des
chambres immobilières.
Selon lâéconomiste principale de Desjardins, Hélène Bégin, ces chiffres démontrent une stabilité globale qui sâinstalle dans le marché québécois. Dâaprès les calculs de Mme.Bégin, le niveau de transaction de la majorité des villes québécoises se situe dans la moyenne des cinq dernières années. Elle a aussi indiqué à La Presse Affaires que « C'est un marché qui revient vraiment à la normale, à l'équilibre. . C'est une bonne nouvelle, surtout quand on regarde les prix qui sont surévalués à Toronto et Vancouver. »
Quant à la valeur de revente moyenne des propriétés du Québec, tous types confondus, elle a augmenté de 1 % entre le deuxième et le troisième trimestre, pour sâétablir à 252 601 $. En combinant cette stabilisation au faible taux directeur de la Banque du Canada, on obtient une amélioration de lâindice dâabordabilité trimestriel sâétablissant à 147,5 , une hausse de 2,6 points par rapport au trimestre précédent. Cette statistique démontre que le revenu disponible des Québécois est supérieur de 47,5 % à la norme exigée par les prêteurs hypothécaires afin de financer lâachat dâune résidence au prix moyen. « Le report des hausses de taux donne une période de grâce au marché immobilier », a souligné Hélène Bégin.
Lâindice dâabordabilité de Desjardins à lâéchelle nationale a lui aussi connu une amélioration au troisième trimestre passant de 122,2 à 126,7 points. Cette meilleure accessibilité est notamment la résultante de la baisse de 1,2 % de la valeur moyenne des propriétés canadiennes (362 015 $).
Quant à la ville la plus dispendieuse au pays, Vancouver, Desjardins souligne un important recul de 3,7 % du prix moyen, à 777 404 $. Selon lâinstitution, « les risques de correction importante demeurent élevés puisque le marché est nettement surévalué depuis un certain temps déjà ».
Plus près de nous, Montréal a enregistré une hausse de 4 % pendant lâété, une première depuis lâété. Certains secteurs comme Saint-Laurent/Ahuntsic ont même enregistré une augmentation du prix moyen des maisons unifamiliales de 18 %.
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En seulement cinq
ans, la compagnie montréalaise Accedian Networks a connu une impressionnante
croissance de 50 136%, lui accordant ainsi la première position du palmarès Fast 50
de Deloitte des entreprises technologiques canadiennes.
Accedian Networks nâest pas lâunique exemple du succès technologique au niveau provincial. Cette année, 10 autres entreprises québécoises se méritent une place dans le top 50 de Deloitte, dont Acquisio (11e rang), SherWeb (16e) et ProSep (22e).
«Pour nous, c'est une surprise totale», a dit Patrick Ostiguy, fondateur et président d'Accedian Networks.
Rappelons que lâentreprise a pris naissance en 2004 dans le sous-sol de M.Ostiguy avec lâaide de trois autres acolytes et fut fondée sur la prédiction que les réseaux de téléphonie mobile seraient un jour ou lâautre surchargés par lâéchange de vidéos, courriels et applications mobiles.
Les quatre amis avaient évidemment vu juste. Au même moment ou la téléphonie mobile se démocratise et fait exploser la demande en bande passante, Accedien Networks commercialise une boîte capable de mesurer la capacité des réseaux mobiles et dâen améliorer la performance
Employant aujourdâhui 140 personnes, lâentreprise distribue ses produits aux exploitants de réseaux mobiles, principalement situés aux Ãtats-Unis mais aussi à lâextérieur de lâAmérique du Nord.
«Pour l'instant, on s'est surtout concentré aux Ãtats-Unis, qui avaient des retards à combler et qui ont commencé à moderniser leurs infrastructures. Mais la vague va maintenant toucher l'Europe, l'Asie, l'Amérique latine. On est en train de se positionner pour en profiter», dit M. Ostiguy.
Lâentreprise ontarienne TRI Cryogenics qui a trouvé une nouvelle façon de recycler les pneus se situe juste derrière Accedian Networks au classement canadien. En troisième place se retrouve Avigilon, compagnie de Vancouver qui fabrique du matériel de surveillance et qui a connu une croissance de 38 796 % sur cinq ans.
Leader du groupe technologie, médias et communication chez Deloitte, François Sauvageau explique que plusieurs des entreprises figurant dans le top 50 2011 nâont pas hésité à maximiser leur croissance en ayant recours aux fusions et aux acquisitions, et que la croissance extrême peut aussi être une arme à deux tranchants.
M.Sauvageau admet
toutefois que « Les dirigeants du top 50 sont des gens qui n'ont pas
peur des risques. Mais si elle est bien gérée, une croissance va générer des
impacts positifs.»
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Source: cyberpresse.com