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Nouvelles

2011-10-14

Des millions de BlackBerry en panne

La compagnie canadienne Research in Motion (RIM), à la source du téléphone BlackBerry, vient tout juste de vivre une crise internationale majeure. En effet, de lundi à mercredi de cette semaine, les utilisateurs du téléphone intelligent ne pouvaient plus accéder à leurs courriels et messages en plus de se voir refusé l’accès à Internet.

La panne qui a touché des dizaines de millions d’usagers dans le monde entier constitue une tâche importante sur la feuille de route du géant canadien puisque ce dernier se positionne en fonction de la qualité irréprochable de ses services. « Notre impossibilité à régler le problème a été frustrante, a admis Mike Lazaridis en conférence téléphonique. Nous allons tout faire pour minimiser les risques que cela arrive à nouveau. Â»

Hier Mike Lazaridis, le fondateur et et co-PDG de RIM, a présenté ses excuses aux consommateurs qui ont été importunés par la panne. Cela ne sera peut-être pas suffisant si on en croit la grogne sur les médias sociaux. Les dirigeants auraient trop attendu avant de faire une déclaration publique selon la majorité des observateurs. « Jusqu'ici notre priorité était la remise sur pied du réseau. Maintenant, nous tournons notre attention vers les consommateurs pour regagner leur confiance Â», a précisé l’autre co-PDG, Jim Balsilie.

La question que tout le monde se pose actuellement est : comment allaient réagir les entreprises clientes – socle dur sur lequel RIM a bâti son succès? Selon Ian Lee, professeur adjoint à la Sprott School of Business de l’université Carleton d’Ottawa, les pannes qui viennent de frapper RIM : « sont la pire chose qui pouvait lui arriver dans le monde des affaires, car les hommes d'affaires veulent la fiabilité (...) à 99,9 % avec un système de secours qui se branche s'il y a un problème Â».

Cette crise s’ajoute à une série noire qui touche RIM depuis le début de l’année. La compagnie a vu son titre faire une chute vertigineuse passant de 70 dollars en février à 23 dollars en Bourse. Le BlackBerry perd également du terrain face au iPhone d’Apple et à l’Android de Google ce qui n’aide pas les investisseurs à reprendre confiance en RIM.

Le groupe a toutefois l’avantage qu’une grande partie de ses clients soient des entreprises. Ces dernières ne changeront pas toute leur flotte de cellulaires du jour au lendemain. Le fabricant canadien dispose donc d’un peu de temps pour regagner la confiance de ses clients. Mais pas de tous. « Il y a déjà des entreprises qui envisagent de quitter RIM et s'interrogent sur sa fiabilité Â», assure Carolina Milanesi, analyste chez Gartner.

Ce ne sont pas toutes les compagnies qui rencontrent des problèmes aussi majeurs que ceux de RIM actuellement. Il est toutefois à prévoir que la majorité des entreprises vivront des moments difficiles au fil du temps. Le plus important dans ces situations est de connaître toutes les options qui s’offrent à vous pour faire face à la crise. Distnet est un partenaire de choix si vous manquez de liquidités à court terme. Consultez-le www.distnet.net et donnez-vous les outils pour réagir rapidement aux crises.

2011-10-07

Le début d’une nouvelle ère pour Apple

Ce n’est plus une nouvelle pour personne, Steve Jobs, le charismatique fondateur d’Apple, n’est plus. Son décès a effectivement été annoncé mercredi dernier à l’âge de 56 ans plongeants instantanément dans le deuil des millions d’amateurs de celui qui a mis au monde l’une des plus grandes entreprises de notre histoire.

À la source d’appareils qui font maintenant partie de notre quotidien comme le iPod, le iPhone, le iMac ou plus récemment le iPad, il laisse derrière lui un héritage technologique plus qu’impressionnant. Il est également fondateur du studio d’animation Pixar. La compagnie qui a entre autres créé la série à succès Toy Story avait été achetée à George Lucas, créateur de Stars Wars, pour 10 millions de dollars. En janvier 2006, le groupe Disney rachetait Pixar pour 7,4 milliards de dollars par échange d’actions.

Inutile de dire que peu de dirigeants d’entreprise créeront autant d’émoi à leur décès. Son départ était pourtant imminent pour la majorité des observateurs et Apple a bien pris soin d’assurer sa survie en nommant en août dernier Tim Cook à la tête de la compagnie. Ce dernier tient donc les rênes depuis lors et a présenté son premier produit, le iPhone 4S, mardi dernier à la grande déception des amateurs qui attendaient de iPhone 5.

Plusieurs s’attendaient à ce que le titre d’Apple perdre du galon dans les jours suivants l’annonce du décès, mais la plupart des analystes financiers ont réitéré leur confiance envers le nouveau PDG, Tim Cook et son équipe de direction. « Tim Cook est capable de diriger Apple, mais son humilité et son insatiable motivation font de lui le candidat unique pour poursuivre le travail de Steve Jobs Â», a signalé l'analyste Gene Munster de la firme Piper Jaffray.

À la bourse NASDAQ, le titre d’Apple (APPL) a clôturé la séance à 3,77 $ US, en baisse de 0,88 $ US. La compagnie, qui n’a pas de dette, possède actuellement 75 milliards $ US en argent et sa capitalisation boursière est de 345 milliards $ US.

 La situation semble donc en parfait contrôle pour Apple malgré la perte de son mentor. Ses produits forts et innovateurs, une marqué réputée, une croissance à l’internationale appuyée par de nouveaux magasins en Chine, des consommateurs fidèles et un bilan financier extrêmement solide sont autant de raison de prédire un avenir radieux au géant de l’informatique.

 Il est évident que toutes les entreprises ne possèdent pas un dirigeant comme l’était Steve Jobs ou un compte en banque comme celui d’Apple. Il existe toutefois des solutions si votre entreprise manque de liquidités. N’hésitez pas à communiquer avec un agent Distnet pour connaître toutes les options qui s’offrent à vous.

2011-09-29

Amazon prend d’assaut le marché des tablettes

Si vous consultez l’actualité et plus précisément les nouvelles liées aux affaires ou aux technologies, vous ne pourrez pas passer à côté du sujet de l’heure : le lancement de la Kindle Fire, la nouvelle tablette proposée par Amazon.

Il semble que tous les internautes avides de nouveautés technologiques n’aient d’yeux que pour cette annonce depuis hier matin. Les discussions sont principalement axées sur le prix de la Kindle Fire. Alors que les observateurs les plus optimistes parlaient d’un prix de lancement de 250 $, le géant américain a déjoué tous les pronostiques en proposant un prix de 199 $. Actuellement, le principal joueur de cette industrie, Apple, vend son célèbre iPad 500 $ et possède 75 % des parts de marché.

Amazon pénètre un marché qui pourrait connaître une croissance de 51 % en 2012, selon Forrester Research. L’entreprise spécialisée en médias de toutes sortes et plus important détaillant Internet au monde cherchait à ébranler le marché des tablettes depuis un certain temps. « Nous nous sommes demandé s'il y avait une façon de rassembler dans un seul produit tout ce que nous offrons, a expliqué à New York Jeff Bezos, le patron et fondateur d'Amazon. Depuis 15 ans, nous bâtissons notre entreprise médiatique. Nous avons des offres étoffées dans chaque catégorie. Â»

 Les analystes croient qu’Amazon pourrait vendre jusqu’à 5 millions de tablettes au cours du quatrième trimestre de 2011. « Pour pénétrer le marché des tablettes électroniques, le prix est le seul aspect où vous pouvez vraiment défier la concurrence en ce moment Â», souligne Colin Gillis, analyste chez BGC Partners.

 Le succès anticipé de cette tablette repose sur des choix techniques raisonnés, une marge compressée et quelques astuces bien pensées. Notons du côté technique le format de sept pouces plus économique, la mémoire de 8 Go soit deux fois moins que le iPad ou l’absence du 3G, du GPS, de la caméra et de l’accéléromètre. Ces éléments font évidemment énormément baisser les coûts de production. Aussi, pour percer rapidement un marché déjà très disputé, Amazon aurait choisi de perdre 50 dollars par tablette, selon une première estimation de Gene Munster, analyste chez Piper Jaffray. Une décision qui en surprend plusieurs, mais qui risque fort de porter ses fruits si on en croit un sondage mené par cette même firme qui affirme que 60 % des consommateurs interrogés ont signalé qu’ils préfèreraient le Kindle Fire à l’iPad en raison du prix.

Votre entreprise est-elle aussi à la recherche de nouveaux marchés? Devez-vous prendre des décisions financières risquées pour arriver à vos fins? Distnet peut représenter un partenaire de choix si vous devez avoir accès à des liquidités supplémentaires à court terme. N’hésitez pas à contacter un agent de chez Distnet et découvrez toutes les options qui s’offrent à vous.

2011-09-23

Dure journée sur les marchés mondiaux

Les bourses mondiales ouvrent dans le rouge ce matin au lendemain d’une journée extrêmement difficile sur les marchés financiers partout sur la planète. C’est effectivement avec un recul de 4,5 % quelles ont terminé la journée d’hier confirmant un été meurtrier pour les investisseurs.

Les analystes estiment que le repli massif des investisseurs est dû au fait qu’ils sont toujours convaincus qu’une récession est imminente. Parmi les éléments inquiétants, notons l'état chancelant de l'économie américaine, le péril de la dette souveraine en Europe et les signes d'essoufflement donnés par l'Asie, moteur de la croissance mondiale.

La Réserve Fédérale américaine (Fed) avait évoqué mercredi des « risques baissiers significatifs Â» pour l'économie des États-Unis pour ensuite annoncer une « opération Twist Â» de 400 milliards de dollars visant à donner un coup de fouet à l’économie en plus de faire baisser les taux et soutenir l'activité. Toutefois, une enquête menée par la firme Reuters auprès des spécialistes en valeur du Trésor affirme que Wall Street évalue à 15 % les chances de réussite de l’opération.

« Les investisseurs réalisent que d'un côté, l'économie ralentit et de l'autre côté les pays développés, comme les États-Unis et l'Europe, ont de plus en plus de difficultés Â», commente Michael Sheldon, spécialiste des marchés chez RDM Financial.

 Vendredi matin, la journée s’annonçait encore difficile dans les bourses nord-américaines, la tendance demeurant en baisse sur les marchés mondiaux. Il semble que les investisseurs attendent les développements à survenir lors de la rencontre de cette fin de semaine entre les ministres des Finances et gouverneurs des banques centrales des pays du G20 à Washington. « Une fois encore, les investisseurs sont obsédés par de grands problèmes comme un défaut éventuel de la Grèce, un effondrement des banques européennes et le spectre d'une récession mondiale Â», a résumé Patrick O'Hare, du site d'analyste financière Briefing.com. « Ils font une fixation sur ces scénarios négatifs, car les décideurs politiques n'ont toujours pas présenté d'initiatives capables d'empêcher (la réalisation) de telles éventualités Â», a-t-il ajouté.

 Connaîtrons-nous une crise financière comme celle de 2008? Seule l’avenir nous le diras mais parions que plusieurs investisseurs suivent actuellement la situation de très prêt. Votre entreprise est-elle affectée par les marchés financiers mondiaux? Que ce soit le cas ou non, nous ne sommes jamais à l’abri d’une crise qui menace les liquidités de votre entreprise. Dans de telles situations, un partenaire comme Distnet peut vous permettre de passer à travers la tempête. N’hésitez pas à contacter un agent Distnet pour connaître les différentes options qui s’offrent à vous.

2011-09-20

Amélioration de l’offre du voyagiste Sunwing

Conscient de la compétition féroce qui règne sur le marché des destinations soleil, Sunwing souhaite se démarquer en  offrant de nouvelles destinations et davantage de flexibilité. «Notre flotte va passer de 19 à 23 appareils, déclare le président et chef de la direction de Sunwing, Stephen Hunter, au cours d'une entrevue avec La Presse Affaires à Montréal C'est une augmentation de 18 à 20% de notre capacité.» Rien pour plaire à son principal concurrent, Air Transat, qui déplore la surcapacité actuelle sur le marché.

En plus des nouvelles destinations, Sunwing offrira plus de flexibilité pour certaines liaisons populaires. Des vols de jour seront donc offerts entre Montréal, Cancún et Punta Cana. «Traditionnellement, les vols partent très tôt le matin et reviennent très tard le soir, observe-t-il. Nous croyons que des gens voudront payer plus cher pour avoir la commodité d'un vol de jour.»

Selon le patron de Transat, Jean-Marc Eustache, la surcapacité qui existe sur le marché des destinations soleil fait en sorte qu’il est difficile de compenser l’augmentation des prix du carburant. Rappelons que Transat a perdu 2,9 millions de dollars au dernier trimestre seulement.

Malgré tout, Sunwing semble pourtant bien se tirer d’affaire. M.Hunter soutient que la compagnie fait des profits. Cette dernière a regroupé ses activités en janvier 2010 avec FIrst Choice Canada, dans le cadre d’un partenariat stratégique avec le grand voyagiste européen, Tui Travel. Les activités canadiennes de Tui Travel ont enregistré des bénéfices d’exploitations de 30 millions de dollars lors du premier trimestre de 2010-2011, dont un certain pourcentage correspond à la valeur consolidée de la Torontoise Sunwing. «Il y aura toujours de la surcapacité, lance M. Hunter. Parfois, tous les voyagistes perdent de l'argent, parfois, un seul en perd.»

D’autres compétiteurs comme Air Canada et West Jet ont aussi fait connaître leur intention d’accroître leur présence sur le marché des destinations soleil en ajoutant de la capacité dès l’hiver prochain. Cette annonce n’a pas semblé inquiéter M.Hunter qui a affirmé « il n’y a que deux véritables voyagistes au Canada, Transat et nous. Â»

Selon lui, Sunwing détient 35% du marché du voyage au Canada, contre 32% pour Transat. Quatre ou cinq autres joueurs se partagent la balance. L’offensive du voyagiste s’exprime sur d’autres fronts. L’entreprise vient d’ouvrir un hôtel luxueux au Panama et compte répéter la formule pour six ou sept autres destinations dans la prochaine année.

Votre compagnie œuvre aussi dans un marché où la compétition est féroce et où se démarquer nécessite d’importantes liquidités Ã  court terme? Distnet est probablement votre solution de financement rapide. Appelez sans frais un agent Distnet pour en connaître davantage sur nos services et améliorer vos chances de réussite.  

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