Le 10e anniversaire des attentats du 11 septembre 2001 arrive à grands pas. Une décennie a donc passé depuis ce triste jour qui a affecté le monde entier. Lâheure est au bilan pour plusieurs, et de nombreux rapports, sondages et études sortent actuellement sur les répercussions de lâévénement.
Nous avons tous été témoins des efforts qui ont
été déployés tant au niveau de la sécurité que des mesures de guerre. Un
sondage publié ce jeudi fait état de chiffres pour le moins étonnants. Il semblerait
quâune majorité dâAméricains estime que leur pays a consacré trop dâargent pour
répondre aux attentats du 11 septembre contribuant ainsi aux problèmes financiers
que vie actuellement le pays.
Pour 59 % des Américains, les dépenses
consacrées par leur gouvernement à la « guerre contre le terrorisme »
et au soutient des pays alliés sont une cause directe des difficultés
économiques. Seulement 30 % des personnes sondées sont dâavis contraire.
De plus, 55 % croient que les Ãtats-Unis ont consacré trop dâargent à la
guerre en Irak et 50 % partagent cet avis pour la guerre en Afghanistan.
Plus que tout, 66 % considèrent que le rayonnement et lâinfluence du pays ont
diminué à lâéchelle internationale depuis 2001.
Dans un autre ordre dâidée, une des industries à qui les experts prévoyaient un avenir noir est sans contredit lâaviation internationale. Pourtant, 10 ans après le 11 septembre 2001, cette lâindustrie devrait globalement déclarer des revenus de 598 milliards US, soit près du double de 2001 (307 milliards US). Peu de gens prévoyaient un tel scénario au lendemain de lâattentat. « Il a fallu trois ans pour pallier la baisse de 22 milliards de revenus (6 %) entre 2000 et 2001, explique Antony Tyler, directeur général et chef de la direction de IATA, en début de rapport. Et en 2006, lâindustrie est redevenue profitable, même si on parle dâune maigre marge de 1,1 %. »
La dernière
décennie a pourtant amené son lot dâévénements pouvant nuire à lâindustrie.
Pensons seulement aux multiples attentats en sol américain, au SRAS, aux
attaques en Europe ou aux coups avortés, à la hausse du prix du carburant ou aux
coûts liés à la sécurité.
On constate donc que les attentats survenus il y
a maintenant 10 ans ont eu de nombreux impacts tant locaux quâinternationaux.
Certaines industries comme lâaviation ont connu des années mouvementées, mais
ont su se relever. Plus de près de nous, nous ne savons jamais quand un
événement hors de votre contrôle peut venir menacer lâavenir de votre compagnie.
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Rôtisserie St-Hubert, qui célèbre cette année sont 60e anniversaire, aspire de nouveau à conquérir le marché international. La plus importante chaîne de restauration détenue par des intérêts québécois avait déjà tenté sa chance hors Québec il y a 25 ans ,mais sans succès.
Lâentreprise vise non seulement le Canada anglais, mais aussi les Ãtats-Unis, et à plus long terme, le Mexique et même lâAsie. Ce type dâambition nécessite un capital financier important mais aussi un savoir-faire et de lâexpérience à lâinternational.Heureusement, Rôtisserie St-Hubert compte dans ses rangs M. Daniel Cousineau, un président qui possède une feuille de route impressionnante. Ce dernier a parcouru la planète entre 1986 et 2006 pour y ouvrir plusieurs restaurants. Au total, il détient le crédit de 1200 ouvertures dans près de 70 pays pour des franchiseurs comme Dominoâs, Papa Johns et Van Houtte.
Au Québec seulement, on compte 112 établissements St-Hubert, dont 34 concepts Express. Câest dâailleurs avec ce concept que lâentreprise attaquera le marché international.
Une succursale express a lâavantage de nécessiter moins dâemployés en offrant uniquement le service au comptoir et la livraison. Lâouverture de ce type de bannière est aussi 50% moins coûteuse quâun restaurant complet, 2,5 millions contre 5 millions. «Et le retour sur investissement y est très intéressant. Certains Express font plus dâargent quâun restaurant avec service aux tables», affirme Daniel Cousineau.
Le plan dâexpansion est déjà entamé avec une première bannière Express qui a ouvert la semaine dernière à Bathurst au Nouveau-Brunswick. Une douzaine dâautres établissements seraient dâailleurs en construction ou en négociation au Canada.Pour ce qui est du marché américain, câest vraisemblablement la région de Boston qui devrait accueillir le premier St-Hubert Express dans les prochains mois. Les négociations avec le Mexique et lâAsie ont aussi débuté. «Mais il nây aura pas dâouverture avant 2013-2015», dit Daniel Cousineau.
Chose certaine, lâentreprise ne veut pas répéter les mêmes erreurs quâil y a une vingtaine dâannées lors de son expansion au Canada et en Floride. Le président des Rôtisseries a déclaré «Nous nous étions associés à des investisseurs qui nâavaient pas nécessairement la passion de la restauration. Nous ne ferons pas la même erreur deux fois. Cette fois, nos partenaires seront des gens chevronnés dans le domaine. Et nous leur demanderons aussi dâêtre maître-franchiseur avec exclusivité de territoire»
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Source: cyberpressse.ca
Le détaillant américain, Target, qui prévoyait ouvrir jusquâà 150 nouveaux magasins au Canada a annoncé une baisse de cet estimé lors dâune téléconférence qui sâest tenue cette semaine. Le vice-président et chef de la direction financière, Douglas A. Scovanner, a précisé aux analystes financiers, suite des résultats du 1er trimestre, que la chaîne ouvrira entre 125 et 135 magasins au Canada dâici 2013. Ce réajustement sâexplique entre autres par le transfert de certaines adresses au géant mondial Walmart.
Malgré cette annonce, Target compte tout de même investir entre 1,8 et 2,3 milliards de dollars au cours des trois prochaines années pour la rénovation de ses magasins, la mise en place de sa chaîne dâapprovisionnement et les technologies de lâinformation. En moyenne, 10 millions de dollars seront nécessaires pour la conversation de chaque magasin.
En mai dernier, le détaillant avait annoncé lâadresse des 105 premiers baux. De ce nombre, 19 magasins seront situés au Québec. Chacun dâentre eux emploiera entre 150 et 200 personnes. Jusquâaux travaux de réaménagement, les magasins visés continueront dâêtre exploités sous la bannière Zellers mais seront sous-loués par Target.
Selon les plus récentes informations, jusquâà 39 baux seront cédés à son concurrent Walmart Canada. La direction de Target nâa toutefois dévoilé aucune information quant aux adresses et aux détails financiers. Le reste des baux pourrait aussi être cédé à dâautres investisseurs puisque des discussions avec des tiers sont en cours à ce sujet.
Soulignons quâen seulement six mois, Target a déjà dépensé 36 millions de dollars en salaires, frais dâavocats et de consultants pour son expansion canadienne. Combinée à lâamortissement de son investissement, cette dépense a eu pour effet de soustraire 0,05 $ US du bénéfice net par action pendant le 2e trimestre 2011.
Cette diminution dâinvestissement en sol canadien par Target survient ironiquement au même moment que son annonce de profits atteignant les 704 millions de dollars, surpassant les attentes des analystes. Cette situation démontre bien que les profits, aussi élevés soient-ils, ne peuvent à eux seuls, répondre à tous types de projets dâinvestissement. Cela est aussi vrai pour les petites et moyennes entreprises qui jouissent souvent de moins grandes liquidités. Dans pareil cas Distnet peut vous aider, lorsque la banque nâest plus une solution. Contactez un agent Distnet pour en apprendre davantage sur nos services dâaffacturage, de financement et de pont financier.
Nos voisins du sud continuent de défrayer les manchettes ces derniers jours concernant leurs finances des plus instables. Cette semaine, lâagence dâévaluation financière Standard and Poor's a abaissé la note attribuée à la dette publique des Ãtats-Unis de AAA à AA+. Cette décision est basée sur les risques politiques face aux enjeux du déficit budgétaire du pays. Les deux autres grandes agences, la doyenne Moody's et Fitch Ratings, ont pour leur part décidé de ne pas modifier cette note pour le moment.
De son côté, le président américain Barack Obama croit toujours que son pays mérite la note AAA. Toutefois, une question reste toujours : les Ãtats-Unis filent-ils droit vers la récession? Câest ce que pensent de plus en plus dâéconomistes selon une enquête menée par lâagence de presse Reuters. Si on en croit le sondage effectué du 2 au 8 août auprès de plus de 200 dâentre eux, les Ãtats-Unis ont désormais 25 % de chance de tomber en récession à court terme comparativement à 20 % en juillet. En contrepartie, le grand gestionnaire de portefeuille Warren Buffet estime que la chute des marchés sâexplique avant tout par une crise de confiance chez les investisseurs et exclut une récession. Pour ce dernier, un retour à la normale est à prévoir.
Plus près de nous, le ministre fédéral des Finances Jim Flaherty, affirme que le Canada fait actuellement face à des risques évidents, compte tenu de lâincertitude qui plane au-dessus de lâéconomie internationale. Il croit toutefois que lâéconomie canadienne demeurera stable et en croissance malgré la volatilité des marchés mondiaux. Le pays a en effet enregistré un septième trimestre consécutif de croissance.
Les Ãtats-Unis ne peuvent évidemment pas avoir recours à lâaffacturage. Par contre, si votre compagnie fait également face à des problèmes financiers mettant en péril vos liquidités à court terme, nâhésitez pas à contacter un agent de Distnet pour connaître les options qui sâoffrent à vous. Un coup de main est toujours salutaire lorsque la situation lâoblige.