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Nouvelles

2010-11-30

Hausse et gèle des salaires moyens

Ce lundi, M. Obama annonçait une proposition de deux ans afin de geler les salaires des travailleurs au gouvernement. Ce frein permettrait à l’État d’épargner 2 milliards de dollars pour l’année 2011, 28 milliards au courant des cinq prochaines années et 60 milliards d’ici 10 ans.

Mme Dan Pfeiffer de la maison blanche spécifiait que tout comme les familles et les différentes entreprises américaines en difficulté financière, ces coupures représentent une participation des fonctionnaires aux coupures et aux restrictions budgétaires afin de permettre au gouvernement des États-Unis de relancer plus rapidement l’économie.

Pour l’économie canadienne, les nouvelles sont complètement à l’opposé. Statistique Canada nous a dévoilé dernièrement que la rémunération hebdomadaire moyenne a augmenté de 4,3 % entre septembre 2009 et septembre 2010 pour se chiffrer à 864,13 $. Pour un deuxième mois de suite, on remarque une croissance des salaires qui dépasse 4,0%. Selon Statistique Canada, une part de la croissance de la rémunération hebdomadaire est attribuable à l’augmentation du nombre d’heures travaillées par semaine entre septembre 2009 et septembre 2010 (+0,9 %).

Selon l’agence, le reste de la croissance est attribuable à plusieurs autres facteurs dont des variations dans la composition de l’emploi et dans les catégories professionnelles au sein de chaque industrie, l’expérience de travail ainsi que la croissance des salaires.

« Parmi les principales industries du secteur du commerce de gros, les plus fortes hausses de la rémunération au cours de cette période d’un an ont été notées dans l’industrie des ordinateurs et du matériel de communication (+15,2 %), dans celle des machines, du matériel et des fournitures industriels et pour la construction, la foresterie et l’extraction minière (+13,3 %) ainsi que dans l’industrie des produits alimentaires (+13,2 %) Â» souligne l’agence Statistique Canada.

Il est parfois difficile de suivre la parade lors de période financière aussi instable. Si votre entreprise doit jongler avec des baisses de taux d’intérêt, des hausses de salaire de l’industrie, des retards dans les comptes à recevoir… Peu importe la problématique, sachez qu’une entreprise comme Distnet peut résoudre la majorité de vos tracas.

Grâce à des solutions comme l’affacturage par exemple, un service offert par Distnet, vous profiterez de vos liquidités immédiatement et pourrez alors acquitter à temps vos différents paiements. N’hésitez pas à contacter l’un de leurs agents afin de connaître toutes les options qui s’offrent à vous.

 

2010-11-24

XM et Sirius, maintenant de concert

Les radios satellites XM et Sirius Canada fusionnent dans un échange d’actions

Les stations de radio satellite XM Canada et Sirius Canada ont annoncé mercredi leur intention de fusionner au moyen d’une transaction tout en action évaluée à environ 520 millions de dollars.

John Bitove, de XM, qui deviendra le président du conseil de la nouvelle entité, a indiqué que la fusion favoriserait le succès à long terme de la radio satellite au Canada.

La société issue de la fusion comptera un total de plus de 1,7 million d’abonnés et sera plus en mesure de rivaliser avec la concurrence du secteur du divertissement audio, qui évolue rapidement.

La transaction devra être approuvée par le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC).

Canadian Satellite Radio Holdings, société mère de XM Canada, a récemment fait état d’une diminution de sa perte nette du quatrième trimestre, passé à 700 000 $, contre 1,3 million $ lors de la même période en 2009.

La valorisation de la future entreprise inclut une dette à long terme de 130 millions $.

En fusionnant leurs activités, Sirius et XM Canada comptent réaliser des économies d’échelle qui leur permettront de mieux gérer leurs coûts. Elles comptent réduire leurs dépenses de 20 millions de dollars.

Historique des deux entités

Digital Audio Radio Service (DARS) a été créé par la Federal Communications Commission (FCC) en 1992 en établissant certains segments de la fréquence radio pour une diffusion satellite.

Une vente aux enchères a ensuite eu lieu et deux entreprises ont reçu l’autorisation d’utiliser ces fréquences. L’une, American Mobile Radio (qui deviendra plus tard XM Radio) a payé 93 millions de dollars pour leur licence, et l’autre, Radio-CD (qui deviendra plus tard Sirius Satellite Radio) a payé 89 millions de dollars pour cette licence. On estime que la totalité du coût du lancement d’un service par satellite est d’environ 1,5 milliard $.

Au printemps de 2001, XM Radio a lancé avec succès deux satellites de radiodiffusion: "Rock" et "Roll". En septembre 2001, XM fût le premier à diffuser un service de radio numérique par satellite sur deux marchés aux Etats-Unis : Dallas / Fort Worth et San Diego. Deux mois plus tard, XM Radio a été lancée à l’échelle nationale.

En février 2002, Sirius a lancé son service dans quatre marchés: Denver, Houston, Phoenix, et Jackson, au Mississippi. Le déploiement national a été complet au cours de l’été 2002.

Dans les mois qui suivirent leur lancement à l’échelle nationale, chacun d’entre eux travailla à accroître le nombre d’abonnés. À la fin de 2004, XM Radio atteignait plus de 3,2 millions d’utilisateurs pendant que Sirius atteignit 1 million d’abonnés.

Le 6 octobre 2004, Sirius annonça une personnalité de la radio, Howard Stern, pour un contrat à long terme qui a été diffusé exclusivement sur leur service – une entente d’une somme de 500 millions. Son passage à la radio satellite, survenu en 2005, a généré une publicité importante pour Sirius ainsi que l’industrie dans son ensemble.

D’ici à ce que les mois s’écoulent et que ces derniers rentabilisent leur fusion grâce à de nouveaux abonnements et de nouveaux projets, ils pourront désormais réduire leur frais d’exploitation en réalisant des économies d’échelle qui leur permettront de mieux gérer leurs coûts. Sinon, ils pourront toujours faire appel à des entreprises spécialisées en affacturage comme Distnet. Ce partenaire de choix met à disposition une forme différente de financement qui transforme les comptes clients en liquidités accessibles. De cette manière, il est possible de renflouer les fonds de roulement et ainsi être en mesure de poursuivre ses activités. N’hésitez pas à contacter un agent afin de connaître toutes les options qui sont offertes pour une situation précaire ou non.

 

2010-11-15

Le challenge d’Ubisoft

L’éditeur français de jeux vidéo Ubisoft a creusé ses pertes à 89,8 millions d’euros (123 millions CAN) lors du semestre achevé fin septembre en raison de charges liées à la réorganisation de ses studios, mais a promis un retour à la rentabilité sur l’ensemble de l’exercice.

L’an dernier à la même époque, le groupe fondé par les frères Guillemots avait enregistré une perte de 52,0 millions (71 millions CAN), selon un communiqué publié lundi.

Ubisoft a indiqué avoir dû «adapter sa structure aux évolutions significatives de l’industrie, en réorganisant les rôles et opérations de ses studios, ce qui a pour conséquence l’abandon de certains projets».

«L’abandon de ces projets conduit la société à passer sur le premier semestre 62,1 millions de charges de réorganisation», a précisé le PDG Yves Guillemot.

«Sur l’exercice 2010-2011, nous confirmons attendre une croissance du chiffre d’affaires, un retour à la rentabilité et une génération de trésorerie positive, soit une amélioration notable par rapport à l’exercice précédent», a-t-il souligné.

Affecté par la crise économique et des ventes décevantes pour certains jeux, Ubisoft avait annoncé pour son exercice 2009-2010 une perte nette de 44 millions d’euros et un chiffre d’affaires en recul de 17,7%. D’ailleurs, l’éditeur de jeux vidéo précise que le trimestre a été caractérisé par une sous-performance des titres Tom Clancy’s H.A.W.X.® 2 et R.U.S.E.(TM).

Le consensus de marché est très dispersé sur 2010-2011, illustrant la difficulté à anticiper la configuration du prochain exercice pour Ubisoft. Seul le jeu Assassin’s Creed semble actuellement en mesure de se démarquer face à la concurrence.

Le challenge du groupe est de réussir à tenir ses marques et idéalement de les rendre plus fortes. Un déclin des marques aurait un effet désastreux sur la profitabilité du groupe compte tenu de l’inflation des coûts de production. De plus, les effets de la stratégie de repositionnement d’Ubisoft sur ses principales marques ne seront, selon les analystes, pas visibles avant la mi-2011, au mieux.

La visibilité sur les jeux Wii reste incertaine. Ubisoft pâtit à la fois d’un problème de différenciation de ses jeux et de faiblesse du segment : seules les superproductions propres à Nintendo se démarquant actuellement. Également, Ubisoft est encore très peu présent dans les MMO (jeux en ligne massivement multi joueurs).

Cette industrie est en constante évolution et les entreprises se battent pour attirer et garder les meilleurs talents dans leur société. Ces épreuves ne sont que la pointe de l’iceberg pour les entreprises œuvrant dans les nouvelles technologies. Il faut savoir bien s’entourer et s’adapter au changement au besoin. Distnet représente un choix essentiel pour les entreprises qui doivent affronter l’adversité. N’hésitez pas à contacter l’un de leurs agents afin de connaître toutes les options qui s’offrent à vous que vous soyez ou non dans une situation précaire.

 

 

2010-11-05

Le commerce MOBILE

Suivant la dernière nouvelle concernant Mark Zuckerberg et la fameuse bulle Facebook, ce dernier phénomène nous arrive avec de nouvelles applications, mais surtout avec un outil de promotion 2.0 pour les entreprises.

Entre géolocalisations, commerce de proximité et mobilité, Facebook Deals surgit avec une proposition pour développer "les bonnes affaires du coin".

S’il est encore nécessaire de montrer la détermination de Facebook de monter en puissance dans les services mobiles, il suffit de lire la récente contribution “Introducing Deals” de Jon Fougner sur le blogue officiel de la société exploitant le réseau social.

http://blog.facebook.com/blog.php?post=446183422130

Le responsable marketing produit de Facebook illustre la manière dont le réseau social compte exploiter la géolocalisation associée aux enseignes marchandes et boutiques physiques pour attirer de nouveaux clients et développer le commerce de proximité.

Grâce à Facebook Deals, il est possible de savoir quelles sont les offres à proximité et aussi de partager les bonnes affaires à son entourage. Pour ce faire, il suffit d’utiliser Facebook Places depuis sa tablette Apple, Android ou RIM après s’être enregistré sur "Nearby Places". Par là, les utilisateurs auront accès aux "bonnes affaires du coin" à savoir les coupons de réduction, les échantillons gratuits et toute autre offre commerciale alléchante.

 Â« Vous pourrez voir quelles sont les offres proches de vous et partager les affaires avec vos amis Â», résume Jon Fougner.

Parmi les premières opérations Facebook Deals, on peut trouver une opération “10 000 jeans gratuits” qui se déroulent dans les boutiques de l’enseigne GAP, McDonalds versera 1 dollar par client à sa fondation Ronald McDonald pour toute commande et H&M proposera une réduction de 20% pour tout achat.

Sachant que Facebook recense 200 millions d’utilisateurs de la version mobile de Facebook dans le monde (sur une base globale de 500 millions), les start-ups exploitant le filon du m-commerce associé à la géolocalisation (Groupon, Foursquare, Plyce…) se retrouvent face à un nouveau redoutable concurrent. Et partenaire à la fois.

Sur ce, nous vous souhaitons un bon week-end et n’oubliez pas que Distnet peut vous venir en aide et permettre à votre entreprise de reprendre du poil de la bête. Des solutions comme l’affacturage et les ponts financiers sont conçues pour les périodes d’instabilité. Faites affaire avec Distnet et offrez à votre entreprise des solutions sur mesure.

2010-11-01

Des actions Facebook?

Les rumeurs s’intensifient à l’effet que Facebook ferait bientôt son entrée en Bourse. Si tel était le cas, la société du jeune milliardaire Mark Zuckerberg pourrait établir sa valeur légèrement au-delà des 30 milliards de dollars US. Par ailleurs, ces derniers prévoient faire entre 1,2 et 2 milliards de revenu cette année.

La compagnie Accel partenaire de Facebook, soit M. Jim Breyer, prédit que cette entrée en Bourse ne se réalisera probablement pas avant 2011.

Depuis quelques semaines, de nombreux nouveaux employés font le plein de parts dans l’entreprise, un mouvement que le portail spécialisé TechCrunch interprète comme un signal de l’imminence de la manœuvre boursière.

De la fin des années 90 jusqu’au début des années 2000, les employés de startups de la Silicon Valley faisaient exactement la même chose. Ils empochaient des millions une fois leur entreprise inscrite en Bourse. Les investisseurs se pressant pour acquérir les nouvelles actions émises faisaient croître substantiellement la valeur des parts acquises au préalable.

Depuis l’éclatement de la fameuse bulle techno, par contre, c’est une habitude qui s’est assainie. L’émergence de nouveaux géants du Web comme Facebook, Groupon et Zynga, notamment, pourrait relancer cette mode, prévoient certains observateurs du milieu.

Ces trois sociétés au capital fermé n’existaient pas à l’époque, mais leur valeur actuelle est supérieure au milliard de dollars, rendant une éventuelle émission d’actions très tentante pour leurs propriétaires.

Les choses ont bien changé depuis, par contre, notent certains critiques. Notamment, le fait que la loi oblige les sociétés comme Facebook à offrir des parts à ses employés à un prix reflétant le plus fidèlement possible ce que serait leur valeur en Bourse, minimisant ainsi les chances d’explosion de leur cours.

Actuellement, Mark est inquiet (à juste titre) que son entreprise devienne publique puisque cela réduirait sa flexibilité d’actions et de prises de décisions. D’autre part, petit fait cocasse, M. Zuckerberg a commencé à porter une cravate au lieu d’un « t-shirt Â», car c’est une année importante pour la firme, laisse-t-il croire! Iront-ils en Bourse plus rapidement que prévu?

Votre entreprise ressent elle aussi le besoin d’aller sur les marchés publiques ou simplement d’accroître vos liquidités? Mais vous ne pouvez compter sur de telles méthodes de financement pour vous remettre à flot ? Distnet est la solution à vos problèmes. Contactez un agent qui vous guidera vers les meilleures solutions pour vous et votre entreprise en matière de services financiers et de financement.
 

 
 

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