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Nouvelles

2010-10-25

Verizon perd du terrain

L’opérateur téléphonique américain Verizon a publié vendredi un bénéfice net en chute de 25,1% à 881 millions de dollars US pour le troisième trimestre, juste au-dessus des attentes, avec un chiffre d’affaires résistant un peu mieux qu’attendu.

 

Le chiffre d’affaires recule de 2,9% à 26,48 milliards US, après la cession de lignes fixes l’an dernier, mais les analystes attendaient un recul plus marqué (26,34 milliards US). En outre, le chiffre d’affaires dégage une petite progression de 2,1% a assuré le groupe.

 

Verizon garde de justesse son titre de premier opérateur de la téléphonie mobile aux États-Unis, devant AT&T, avec 93,2 millions d’abonnés (+7,1%).

 

Verizon Wireless, dont le britannique Vodafone possède 45%, a enregistré un chiffre d’affaires de 16,25 milliards US, en hausse de 6%, pour un bénéfice opérationnel de 4,85 milliards US (+14,3%).

 

Le tableau est bien plus sombre dans les liaisons filaires, dont le chiffre d’affaires a reculé de 3,6% à 10,29 milliards US, et le bénéfice s’est effondré de 90% à 19 millions de dollars.

 

Des situations financières comme celle que vit actuellement la compagnie Verizon peuvent paraître différentes de votre contexte économique, mais aucune entreprise n’est invincible aussi grosse soit elle. Si, comme cette dernière, vous rencontrez des difficultés financières ou rencontrer une mauvaise gestion de vos finances, Distnet peut vous venir en aide et permettre à votre entreprise de reprendre du poil de la bête. Des solutions comme l’affacturage et les ponts financiers sont conçues pour les périodes d’instabilité. Faites affaires avec Distnet et offrez à votre entreprise des solutions sur mesure.

2010-10-19

Le papier et l'électronique

Le groupe de presse du New York Times (NYT) a publié mardi une perte nette de 4,3 millions de dollars, très fortement réduite en un an, et un chiffre d’affaires en baisse en raison de moindres recettes publicitaires (-1 %) et de diffusion (-4,8 %).

Présentement, le tournant économique en communication touche principalement les médias papier qui sont voués à disparaître selon l’opinion de certains experts. Par contre, ils resteront toujours un média d’importance sur le WEB, dans les médias sociaux comme les blogues et sur les appareils mobiles. Même que certains trouvent de superbes alternatives pour utiliser les nouvelles technologies et la publicité papier. Voici un exemple, ICI, d’une publicité de AXA réalisée récemment dans un journal local belge. 

Pour revenir à notre premier sujet, le chiffre d’affaires du New York Times s’établit actuellement à 554,3 millions de dollars (-2,7 %). Les recettes publicitaires générées sur Internet ont progressé de 14,6 % à 78,3 millions de dollars, et représentent plus du quart (27 %) du total, mais n’ont pas suffit à compenser le recul de 5,8 % des recettes publicitaires sur papier.

« Il est clair que les annonceurs sont sensibles aux occasions d’associer leurs marques à notre journalisme de haute qualité Â», a souligné la directrice générale Janet Robinson. « Ces résultats montrent la capacité de l’entreprise à gérer les affaires dans des conditions économiques inégales et pendant une période d’intense transition dans notre secteur Â» poursuit-elle.

Pour le trimestre en cours, le groupe s’attend à une amélioration « modeste Â» des recettes publicitaires papier par rapport à l’été, et une croissance d’un trimestre sur l’autre de 10 % pour le numérique. En revanche, les recettes de diffusion devraient continuer à baisser de 4 à 5 %.

Mme Robinson a souligné que d’importants progrès avaient été réalisés pour le lancement du site payant NYTimes.com. Elle a précisé que les internautes se retrouvant sur le site après avoir cliqué sur un lien, sur d’autres sites ou sur un moteur de recherche, ne se heurteraient pas au péage, ce qui préserverait la pénétration publicitaire importante du site.

L’action perdait 2,49 % à 7,84 $ vers 15 h à la Bourse de New York, en date du 19 octobre 2010.

Les nouvelles technologies peuvent chambouler des prévisions budgétaires, même dans un plan d’affaires bien conçu. Lorsque de nouvelles épreuves se présentent, il faut s’allier de bons partenaires et même profiter de ces occasions pour s’adapter au changement. Distnet représente un choix essentiel pour les entreprises qui doivent affronter l’adversité. N’hésitez pas à contacter l’un de leurs agents afin de connaître toutes les options qui s’offrent à vous que vous soyez ou non dans une situation précaire.

2010-10-14

La Grèce, toujours sur la corde raide

La Commission européenne a exclu mardi que la Grèce puisse bénéficier dans l’immédiat d’un délai supplémentaire pour rembourser l’énorme prêt que lui ont accordé l’UE et le FMI afin de lui éviter la faillite, après qu’Athènes eut évoqué cette possibilité.

«Il n’y a pas de raison concrète d’envisager cette éventualité», a déclaré à la presse le porte-parole de l’exécutif européen pour les questions économiques, Amadeu Altafaj.

«Au contraire, nous avons assisté au cours des dernières semaines à une amélioration de la perception de la situation en Grèce par les investisseurs, avec des "spreads" (écarts de rendement entre les emprunts d’État grecs et allemands, qui bénéficient eux des taux les plus bas dans la zone euro, ndlr) en baisse», a-t-il poursuivi.

Le porte-parole a ajouté que le gouvernement grec était en train d’appliquer les mesures d’économie budgétaires promises en échange des prêts. «Tout ceci suggère que la Grèce sera en mesure de couvrir pleinement ses besoins de financement extérieurs sur les marchés à partir de 2012», a souligné M. Altafaj.

«Il n’y a pas de discussion et encore moins de négociation» au sujet d’un délai et «il n’y a pas eu de demande» en ce sens de la part de la Grèce, a-t-il encore dit.

Cependant, lundi soir, le ministre grec des Finances, Georges Papaconstantinou, avait reconnu l’existence de discussions avec l’UE et le FMI sur un allongement au-delà de 2015 du remboursement du prêt.

«La Grèce n’a pas officiellement revendiqué» un tel répit, c’est «un débat mené informellement, sans qu’aucune décision n’ait été prise», a indiqué M. Georges Papaconstantinou.

Suite à la crise financière qu’affronte la Grèce, un prêt de 110 milliards d’euros a été débloqué, car le pays n’était plus en mesure d’emprunter sur les marchés pour financer ses déficits et rembourser sa dette à des taux abordables.

L’éventuel délai énoncé concernerait la période de remboursement se terminant en 2016. Actuellement, l’argent prêté est versé en plusieurs tranches jusqu’à la fin 2012. Athènes commencera dès 2013 à rembourser ces différentes tranches pendant trois ans, jusqu’à la fin 2015.

Votre entreprise subit elle aussi les effets de la crise financière? Vous ne pouvez plus compter sur les banques et les méthodes de financement traditionnelles pour vous remettre à flot? Distnet est la solution à vos problèmes. Contactez un agent qui vous guidera vers les meilleures solutions pour vous et votre entreprise, en matière de services financiers et de financement.

2010-10-07

BCE - taux directeur à 1%

La Banque centrale européenne (BCE) a décidé jeudi de maintenir son principal taux directeur inchangé à 1%, son plus bas niveau historique, a annoncé un porte-parole de l’institution monétaire.

La BCE confrontée à la tentation de ses homologues d’assouplir encore davantage leur politique monétaire et à l’envol de l’euro a choisi de maintenir le cap en laissant son principal taux directeur inchangé à 1% jeudi. Elle laisse ainsi ouvert le robinet du crédit, offrant aux banques des volumes illimités de liquidités à ce taux historiquement bas, adopté en mai 2009.

La Banque Centrale européenne, dont la raison d’être est de veiller à la stabilité des prix et non d’agir sur les changes, n’est pas intervenue sur le marché des devises depuis 2000: c’était pour soutenir la monnaie unique.

C’était une décision largement attendue par les économistes qui guettent davantage une éventuelle déclaration du président de l’institution monétaire Jean-Claude Trichet sur le calendrier de sortie des mesures de crise, lors de la conférence de presse qui suit la réunion du conseil des gouverneurs à Frankfurt.

Jugeant la reprise fragile, la Réserve fédérale américaine (Fed) s’est dite prête à remettre la planche à billets en marche afin de soutenir l’économie nationale. La Banque du Japon a opté pour la même stratégie, renouant cette semaine avec sa politique de taux zéro.

Quant à la Banque d’Angleterre, dont le taux plafonne à 0,5% depuis près de deux ans, elle est tentée, comme la Fed, de relancer son dispositif «d’assouplissement quantitatif» qui consiste à acquérir des titres de créance émis par des entreprises ou par l’État.

Pour la BCE, qui se refuse à commenter l’attitude d’autres banques centrales, prendre le contre-pied de ses partenaires signifierait renforcer davantage encore la monnaie unique, avec le risque de casser l’élan retrouvé par l’économie de la zone euro, tiré notamment par l’Allemagne.

La monnaie européenne a atteint mercredi 1,39$ US pour la première fois depuis huit mois, flirtant désormais avec le seuil de 1,40$ US.

Par ailleurs, une guerre de taux de change se dessine actuellement entre pays développés et émergents : c’est à qui dévaluera le plus sa monnaie pour soutenir ses exportations. Cette logique du chacun pour soi risque de faire dérailler la reprise mondiale, en plus de causer des remous inédits sur les marchés monétaires.

Selon le ministre canadien des Finances Jim Flaherty, il y a risque d’entraver les échanges commerciaux et de compromettre la reprise économique, si certains pays tentent de manipuler la valeur de leur monnaie sur les marchés de change.

Avec un partenaire vous offrant le support financier dont vous avez besoin, tous ces fluctuations monétaires ne devraient ni vous inquiéter ni vous empêchez de croître. Distnet est la référence pour les solutions d’affacturage et les ponts financiers lors de périodes d’instabilité. N’hésitez pas à contacter l’un de nos agents pour en connaître davantage sur les options qui s’offrent à vous. 

Source : http://www.nytimes.com/2010/10/08/business/global/08rates.html?src=busln

http://topics.nytimes.com/top/reference/timestopics/organizations/e/european_central_bank/index.html?inline=nyt-org

 

2010-10-01

Fast-firm : l’entreprise d’échec rapide

L’engouement pour les émissions de cuisine et les concours des meilleures recettes web ne dérougit pas. Par contre, bien que la demande soit élevée face aux produits et services culinaires, il y a présentement autant de restaurants qui ouvrent que de restaurants qui ferment leurs portes.

Après la guerre du fast-food, nous avons eu droit à des assiettes plus recherchées sur le plan de la qualité et du raffinement des mets. Puis, a suivi la création de menus dégustations, ce qu’on appelle aussi « cocktail dinatoire Â», comme des verrines, cuillères, bouchées et autres. Finalement, au début 21e siècle, la découverte de la cuisine moléculaire a révolutionné la manière de préparer les mets traditionnels et permis d’offrir de nouvelles saveurs à des produits déjà existants.

Certes, les goûts changent, mais le taux élevé d’échec en restauration est sans aucun doute associé à la préparation insuffisante des gens qui se lancent en affaires, qui reprennent ou encore relancent une enseigne connue.

L’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec (ITHQ) entend s’investir pour corriger en partie cette situation qui fait du tort à l’ensemble de la restauration.

«L’industrie s’attend à ce que l’ITHQ joue un rôle actif là-dedans, explique en entrevue Bernard Aurouze, directeur du Centre d’expertise et de recherche de l’ITHQ. C’est une industrie davantage basée sur l’expérience que sur le savoir. Il faut que ça change, car il y a un problème de crédibilité.»

Beaucoup s’improvisent restaurateurs, d’autres imaginent des concepts, souvent avec compétence, mais les banquiers ne les croient pas dans la plupart des cas. «C’est l’argent du coeur qui finance les projets et ce n’est pas normal», poursuit M. Aurouze.

Voilà pourquoi la Fondation ITHQ se lance dans une nouvelle collecte de fonds auprès de grands mécènes, de la population et de la communauté d’affaires, qui croient en la nécessité d’une industrie solide et réputée à l’échelle internationale. Cette activité de la Fondation s’ajoute à ses banquets, qui lui ont permis de soutenir l’ITHQ et ses activités depuis 2003.

L’objectif de plusieurs millions étalés sur quelques années consiste à «donner un sceau de qualité» à l’industrie québécoise de la restauration et de l’hébergement.

La Fondation a mis sur pied un comité consultatif consacré à un fonds de soutien en entrepreneuriat dans la restauration et l’hôtellerie. Il est composé de personnalités très engagées dans l’industrie, dont Pierre Parent, président du conseil de plusieurs établissements hôteliers, et Robert Gagnon, aussi président du conseil d’administration de l’ITHQ et longtemps associé aux Relais & Châteaux.

Cette initiative de la Fondation s’ajoute à d’autres qu’a prises l’ITHQ. De concert avec l’Association des restaurateurs du Québec et avec l’appui de l’école d’hôtellerie de Lausanne, l’ITHQ mène une étude auprès de 350 établissements québécois dans le but d’esquisser le profil de l’entrepreneur en restauration. Les résultats sont attendus plus tard à l’automne.

L’ITHQ compte 1200 élèves dont les deux tiers manifestent un esprit d’entrepreneuriat. La proportion grimpe à 97% pour ceux qui se concentrent en restauration.

Ce désir de se lancer en affaires est associé à l’épanouissement de leur créativité. L’ITHQ et sa fondation entendent leur apporter de la crédibilité et accompagner quelques diplômés dans leur première aventure. «Nous voulons vérifier si la base entrepreneuriale est solide», indique M. Aurouze.

La démarche vaut aussi pour ceux qui étudient en hôtellerie. L’ITHQ s’est associé à l’UQAM dans un programme de hautes études en gestion hôtelière internationale. Un programme de mentorat est sur le point de voir le jour à cette fin.

Les différents secteurs de l’industrie ne sont malheureusement pas tous aussi bien supportés par des fondations comme l’ITHQ afin de soutenir le développement économique. Pour des entreprises en difficultés, les solutions financières de Distnet permettent de se sortir d’impasse et d’assurer la continuité des opérations. Faites appel à un agent de Distnet pour en connaître davantage sur l’affacturage, le financement d’inventaire et les ponts financiers.

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