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Aubaine ou occasion favorable

Nombreux sont ceux qui cherchent constamment de nouvelles avenues pour investir leur capital. Actuellement, les États-Unis offrent d’intéressantes occasions d’affaires aux investisseurs boursiers, selon différents gestionnaires de portefeuilles. La dépression américaine peut ralentir l’industrie au Canada, mais ces circonstances peuvent être payantes si l’heure est à l’investissement et au développement.

« Alors que certains investisseurs s’inquiètent de la santé de l’économie américaine, plusieurs entreprises affichent des bilans positifs, détiennent des réserves financières énormes et peuvent récompenser leurs actionnaires Â», a affirmé John Power, vice-président principal des actions américaines et gestionnaire de portefeuille chez Fidelity Investments.

« Nous pensons qu’il s’agit d’un bon moment pour acheter des compagnies en bonne santé et à bas prix Â», poursuit M. Power.

Pourtant, les États-Unis ont glissé de la première à la quatrième position en tant qu’endroit préféré des investisseurs, selon un sondage réalisé par Bloomberg auprès de 1 408 investisseurs, analystes et courtiers.

Selon les répondants au sondage, 35 % d’entre eux ont indiqué que l’Union européenne était le pire endroit où investir, suivi du Japon à 30 %. La troisième et la quatrième position sont occupées par le Royaume-Uni et les États-Unis, respectivement.

À ce jour, les opportunités qui se présentent au Canada sont à être évaluées soigneusement. D’autre part, parmi les régions émergentes représentant des occasions d’affaires intéressantes, les États-Unis constituent un marché beaucoup plus diversifié pour jouer sur ce terrain.

Également, selon les dires de M. Power, ces circonstances opportunes existent dans un grand nombre d’industries, dont la vente au détail, les services financiers, la construction, l’agriculture et la fabrication automobile.

En contrepartie, la volatilité du dollar canadien pourrait ici annuler les gains obtenus souligne l’expert financier Gordon Pape. Les investisseurs peuvent éviter les risques liés aux taux de change en faisant preuve de prudence et en investissant dans des entreprises canadiennes sous-évaluées ou en profitant d’une forte visibilité chez les Américains.

Parmi les entreprises canadiennes à considérer figurent la Financière Manuvie, dont l’action a chuté de 39 % dans la dernière année, ainsi que le Canadien National, l’une des plus grandes entreprises de transport en Amérique du Nord.

« Il existe des opportunités ailleurs, mais étant donné les circonstances, étant donné que l’économie canadienne semble être en meilleur état que celles d’autres pays, étant donné la bonne santé de notre système bancaire, je serais à la recherche d’opportunités au Canada. Â», indique M. Gordon Pape.

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Dépression aux États-Unis, nouveau souffle à Québec

Il y a 2 ans, Barack Obama avait été élu comme le premier président noir des États-Unis d’Amérique. Fait marquant, il avait aussi été nommé dans l’une des pires périodes de leur histoire financière. Encore aujourd’hui, il semble que ces derniers n’aient toujours pas la tête sortie de l’eau, malgré les promesses et les différentes actions prises par le gouvernement américain.

14,3%, c’est le taux de pauvreté aux États-Unis en 2009. Cela représente 43,6 millions d’Américains, et en 2010 cela ne s’est guère amélioré. Les prix de l’immobilier sont toujours dans les bas-fonds, les consommateurs hésitent à dépenser, les entreprises font plusieurs mises à pied et très peu d’entres eux embauchent. Bref, le pays peine à sortir de cette détresse.

D’ailleurs, le nombre de maisons saisies par les banques a atteint le mois dernier un sommet historique, révèle un rapport publié hier par la firme spécialisée RealtyTrac. Ainsi, 95 364 propriétaires ont perdu leur logis en août, un bond de 3% par rapport à juillet et de 25% sur un an.

Pendant que la crise financière bat son plein aux États-Unis, à Québec tous les sujets de discussions eux sont tournés vers de nouveaux projets de construction, un tramway, un nouveau secteur résidentiel à d’Estimauville, les jeux Olympiques… Mais ce qui retient le plus l’attention est le nouvel amphithéâtre (Le nouveau Colisée).

Tout récemment, le gouvernement de Jean Charest s’est engagé à financer à hauteur de 45% le projet d’amphithéâtre, évalué à au moins 400 millions $. La Ville de Québec, elle est prête à débourser 50 millions $. Maintenant que les paliers municipaux et provinciaux se sont mouillés, la population de Québec attend que le gouvernement fédéral contribue lui aussi.

Que votre entreprise s’apparente à la détresse américaine ou qu’elle ait le vent dans les voiles comme la Ville de Québec, Distnet peut répondre à vos différentes situations financières. Contactez l’un de nos agents et offrez à votre entreprise des solutions solides sur mesure qui vous permettront de croître et de vous développer.

Poursuites en F1

Tout récemment, la ToileF1 nous dévoilait que l’équipe espagnole Hispania Racing Team serait poursuivie en justice par un cabinet d’avocats suite à des factures impayées.

HRT n’aurait pas réglé des frais juridiques remontant à plus d’un an. La firme internationale DLA Piper souhaite faire valoir son bon droit et a donc décidé d’attaquer l’écurie en justice, selon le média Sport Business.

"En dépit de nombreux rappels, Hispania Racing a omis de nous payer. Ils ne nous ont donné aucune raison pour leur non-paiement. Nous sommes forcés de conclure qu’ils ne sont pas en mesure de payer et nous avons lancé cette procédure," a expliqué John Everett, un représentant de DLA Piper.

La situation financière de l’écurie est en grande difficulté, on signale particulièrement qu’elle n’aurait plus assez d’argent pour payer son fournisseur de moteurs Cosworth.

Serait-ce une opportunité pour notre vedette de course automobile Jacques Villeneuve de se porter acquéreur de ce dernier? Il avait essayé de réintégrer la F1 la semaine dernière, mais en vain.

À défaut de créer une nouvelle écurie « Jacques Villeneuve Racing Team » (nom fictif), HRT devient donc la cible idéale pour lui; les rumeurs et les spéculations sont relancées! D’ailleurs, il a indiqué cette semaine vouloir prendre le contrôle d’une écurie existante.

Au-delà de ces spéculations sur Jacques Villeneuve, l’entreprise HRT devra se croiser les doigts et trouver une solution pour ce relevé rapidement de cette crise financière interne.

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Mouvement inattendu du taux directeur

Le gouverneur de la Banque du Canada a annoncé la hausse du taux directeur d’un quart de point pour la troisième fois cette année, amenant ainsi ce dernier à un 1 %.

Dans sa décision, la Banque explique qu’elle s’attend à ce que la consommation progresse toujours vigoureusement au pays et à ce que l’investissement des entreprises augmente fortement. Mais elle n’avait pas anticipé que l’activité économique au Canada aurait été un peu moins forte au deuxième trimestre.

De plus, la Banque du Canada surveille de près le ralentissement des activités économiques aux États-Unis puisque ce dernier a un impact sur la reprise au pays. Elle prévoit maintenant que la reprise économique au Canada sera légèrement plus lente qu’elle ne l’avait projetée dans la livraison de son rapport sur la politique monétaire en juillet dernier.

« Aux États-Unis, le redressement de la demande privée est ralenti par le chômage élevé, et les indicateurs récents laissent entrevoir une reprise plus modeste à court terme Â», explique l’institution fédérale. Par ailleurs, des économistes attribuent le ralentissement de la reprise économique canadienne à l’anticipation des hausses des taux d’intérêt.

Les conditions du crédit restent dans l’ensemble favorables. Par contre, en tant qu’entreprise, il faut aussi considérer la progression continue de l’inflation au détriment de la hausse des taux d’intérêt. L’étau se ressert; il est important de bien garnir ses coffres et de s’entourer de partenaires de croissance pour la réussite de son entreprise.

Avec une équipe qualifiée et un partenaire vous offrant le support financier dont vous avez besoin, la récession ne devrait ni vous inquiéter ni vous empêchez de croître. Distnet est la référence pour les solutions d’affacturage et les ponts financiers lors de périodes d’instabilité. N’hésitez pas à contacter l’un de nos agents pour en connaître davantage sur les options qui s’offrent à vous. 

Mine chilienne : San Esteban au bord du gouffre

Les 33 mineurs bloqués depuis le 5 août dans une mine chilienne de San José ne sont pas au bout de leur peine. Il en va de même de la compagnie San Esteban qui possède la mine. Celle-ci va maintenant, en plus de toute la pression médiatique qui pèse sur elle, devoir composer avec des recours judiciaires entamés par la famille de l’un des mineurs et le gel d’une partie de ses revenus.

C’est l’épouse du mineur Raul Bustos qui est à la source de cette action en justice. Elle a porté plainte contre les dirigeants du groupe chilien San Esteban et le Service national de géologie et des mines pour « manquement au devoir Â»

« Je ne pense pas à un dédommagement financier, je pense à mettre face à leurs responsabilités non seulement les propriétaires de la mine, mais tous ceux qui n’ont pas fait leur travail Â», a-t-elle expliqué à la presse.

De son côté, un juge de Copiapo, une ville près de la mine, a ordonné le gel de 1,8 million de dollars des revenus de la mine provenant de la vente de cuivre à l’État chilien. Cette somme pourra servir d’indemnité aux 26 familles des mineurs disparus.

La compagnie San Esteban a de son côté d’énormes problèmes financiers depuis l’incident et serait au bord de la faillite. Elle pourrait même ne pas être en mesure de payer le salaire de ses employés.

La sécurité entourant la mine avait pourtant été mise en cause avant l’accident par un ancien directeur régional du Service national de géologie et des mines. Ce dernier aurait affirmé que la mine n’aurait « jamais dû rouvrir Â» après qu’un incident ait fait un mort en 2007. Ce dernier aurait « modifié radicalement Â» la géologie du secteur.

Le président du Chili, Sebastian Pinera, a promis d’instaurer : Â« toutes les enquêtes nécessaires pour établir les responsabilités, et sanctionner d’éventuels responsables Â». Une commission du parlement a été formée pour enquêter sur les causes de l’accident du 5 août.

Un calcul préliminaire de la presse chilienne indique que les opérations de secours ont coûté à ce jour au moins 10 millions de dollars en incluant le percement du tunnel à venir.

Des épreuves comme celle que vit actuellement la compagnie San Esteban peuvent paraître extrêmes, mais aucune entreprise n’est à l’abri d’incident pouvant mettre en péril sa pérennité. Si, comme cette dernière, vous rencontrez des difficultés financières, Distnet peut vous venir en aide et permettre à votre entreprise de reprendre du poil de la bête. Des solutions comme l’affacturage et les ponts financiers sont conçues pour les périodes d’instabilité. Faites affaire avec Distnet et offrez à votre entreprise des solutions sur mesure.