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Toyota : un rappel qui fait mal

Le géant automobile japonais, Toyota, a annoncé ce jeudi qu’il rappelait 1,13 million de voitures en Amérique du Nord dont plus de 200 000 ont été vendues au Canada. Un rappel qui comporte plusieurs implications tant au niveau de la sécurité des automobilistes que des finances de la compagnie.

Les voitures ciblées par ce rappel sont les Corolla et les Matrix produites entre 2005 et 2008. On compte environ 136 000 Corolla et 64 000 Matrix au pays. Il semblerait qu’un élément du moteur présente un défaut de fabrication et que ce dernier pourrait faire caler le véhicule durant la conduite. Il est également possible que ce défaut provoque l’allumage du voyant de révision du moteur ou empêche le démarrage de la voiture. Si vous possédez l’un de ces véhicules, consultez le site de Toyota afin de connaître les mesures à prendre.

Ce rappel intervient deux jours après que l’agence de sécurité routière américaine ait annoncé qu’elle intensifiait une enquête concernant la Corolla. Le moteur de certains de ces véhicules se serait arrêté par étouffement pour ensuite ne plus être en mesure de redémarrer. Selon l’agence, 163 plaintes de consommateurs insatisfaits auraient été reçues sans qu’aucun accident n’ait pour autant été rapporté. Rappelons également le rappel très médiatisé effectué par Toyota à l’automne dernier. Près de 11 millions de véhicules avaient été rappelés à ce moment pour des problèmes de pédales d’accélération pouvant rester bloquée en position enfoncée. Inutile de dire que ce type de défaut aurait pu engendrer plusieurs accidents.

Suite à ce premier rappel, Akio Toyoda, président de Toyota, avait dû présenter ses excuses devant la commission du Congrès des États-Unis pour sa façon de gérer la crise. Le titre new-yorkais du constructeur japonais (TM-N) a accusé un recul de 0,49 % ce jeudi.

Le dénouement des mésaventures de Toyota reste à venir, mais espérons que ceux-ci pourront se sortir de cette fâcheuse situation. Cela nous rappelle toutefois que peu importe la grosseur de votre entreprise, personne n’est à l’abri de ce type d’incidents. Les actions qui seront prises dans ces cas détermineront l’avenir des compagnies en jeu. Il est donc primordial de rester à flot financièrement pour espérer sortir de ce marasme.

Distnet représente un partenaire de choix pour les entreprises qui ont à affronter des difficultés financières passagères. N’hésitez pas à contacter l’un de leurs agents afin de connaître toutes les options qui s’offre à vous en ce qui a trait à l’affacturage et aux ponts financiers et ce, que vous soyez ou non dans situation précaire.

Une récession économique... pas au tennis féminin

Force est de constater que la majorité des sports pratiqués dans le monde paient leurs athlètes trop cher au détriment de la survie de leur ligue. En comparaison avec la plupart des sports d’équipe, le tennis oblige ses compétiteurs à offrir un spectacle époustouflant pour emporter la bourse du tournoi en fonction des prévisions budgétaires préalablement établies.

«Le tennis a la capacité de maîtriser une récession. Nous avons généré de la croissance dans des temps économiques difficiles», dit Stacey Allaster, PDG de la WTA, le circuit de tennis féminin qui débarquait à Montréal la semaine dernière pour la Coupe Rogers, en entrevue avec La Presse Affaires

Nonobstant la planification assidu des organisateurs des tournois, le tennis féminin est un sport en santé et qui connait un succès surprenant à l’international. D’ailleurs, la PDG de la WTA a la Chine dans sa ligne de mire.

 Â«L’un de nos quatre plus importants tournois a lieu à Pékin, dit-elle. En Chine, l’état du tennis ressemble au nôtre dans les années 80. Le gouvernement chinois fait du tennis une priorité. Il ne faut pas beaucoup de temps ni d’espace pour jouer au tennis. La Chine construit beaucoup de terrains sur les toits des immeubles.» 

Il faut souligner que l’une des 10 meilleures joueuses vient actuellement de la Chine. D’ailleurs, la WTA compte actuellement des joueuses de neuf pays au sein du top 10. Maria Sharapova est très populaire au Japon, Serena et Venus sont importantes pour nous dans le monde entier, mais beaucoup aux États-Unis, et Na Li est une vedette en Chine.

Dans divers contextes se trouvent différents problèmes économiques et les PME ne sont pas tous à l’épreuve de la récession. Si votre planification financière nécessite des ressources externes pour vous appuyer, contactez l’un de nos agents pour en connaître davantage sur nos services financiers.

Problèmes de liquidités pour American Apparel

Subvention de 21 millions de dollars pour Medicago

Spécialisée dans la production de vaccins à partir de plantes, la petite biotech de Québec est en progression fulgurante depuis près d’un an et demi. Le département de la Défense américain vient de lui accorder 21 millions de dollars pour la construction d’une usine de vaccins de calibre international aux États-Unis.

Medicago avait attiré l’attention lors de la pandémie de la grippe A (H1N1) alors qu’elle avait réussi à concevoir un vaccin expérimental en moins de quatre semaines, devançant ainsi les grandes multinationales de plusieurs mois.

L’usine qui sera construite en Caroline du Nord nécessitera un investissement supplémentaire de 7,5 millions de la part de Medicago ainsi qu’un montant de 13,5 millions de la société immobilière Alexandria Real Estate Equities, pour un somme total de 42 millions de dollars. Selon un analyste de la Presse Affaire,  « il s’agit de l’une des nouvelles les plus importantes du secteur de la santé au Québec et même au Canada depuis un certain nombre d’années. Â»

« Notre usine américaine nous procurera un meilleur accès aux nombreux programmes de subventions offerts aux États-Unis, et nous serons ainsi prêts à exploiter ces possibilités de financement supplémentaires, Â» a déclaré Andy Sheldon, président et chef de la direction de Medicago. D’ici 15 mois, si tout fonctionne pour le mieux, l’usine de Caroline du Nord pourrait employer jusqu’à 85 employés et rivalisera en terme de capacité avec celles de GlazoSmithKline et Novartis.

Afin de financer son propre investissement, Medicago a profité de l’annonce pour émettre des unités donnant droit à des actions de l’entreprise et à des bons de souscription, récoltant ainsi 7 millions de dollars. Malgré la bonne nouvelle, le titre de Medicago (TSX : T.MDG) a perdu 15,6 %, pour clôturer à 38 cents.

Chaque année, des entreprises québécoises en pleine expansion font face à une croissance accélérée. Bien qu’encourageante, ce type de situation peut tout de même créer une problématique financière. Si comme bon nombre de PME, vous n’avez pas accès au même procédé de financement que Medicago, Distnet est la solution à vos complications. Communiquez avec un des agents de Distnet pour en connaître davantage sur nos services d’affacturage.

Milliardaires et philanthropes

Nous rêvons tous un jour ou l’autre d’être assez fortuné pour bien vivre en tant qu’entrepreneur ou entreprise, et même, de pouvoir en redonner à la population. Les plus fortunés de ce monde ont vite compris qu’avec une bonne idée et les bons outils tout est possible.

Au mois de juin dernier, deux des plus grands richissimes Américains nous ont annoncé qu’ils tenteraient de convaincre plus de 40 de leurs pairs millionnaires et milliardaires de faire don de la moitié de leur fortune. Croyez-le ou non, c’est fait! Quarante milliardaires américains et leurs familles se sont engagés mercredi à verser la moitié de leur fortune à des organisations caritatives, dans le cadre d’une initiative lancée par Bill Gates et Warren Buffett.

Selon le magazine Forbes, Bill Gates et Warren Buffett occupent respectivement la deuxième et la troisième position dans le classement des personnes les plus fortunées au monde. M. Gates dispose d’une fortune évaluée à 53 milliards de dollars comparativement à 47 milliards de dollars pour M. Buffet.

Pour ce projet philanthropique, le fondateur de CNN Ted Turner, le maire de New York Michael Bloomberg, le cofondateur d’Oracle Larry Ellison et le réalisateur George Lucas font partie du lot. Il est possible de consulter les lettres officielles de chacun des participants à ce projet sur le site The giving pledge, créer par Bill Gates et sa femme Melinda.

Seules certaines exceptions peuvent se permettre de donner une pareille somme. Si votre croissance exige plus de liquidités et que vous souhaiteriez accroitre votre fortune pour un jour pouvoir participer à ce mouvement philanthropique, n’hésitez pas à contacter un conseiller de Distnet pour connaître les différentes options qui s’offrent à vous.