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Nouvelles

2017-02-10

GE Aviation investit 238 millions à Bromont

GE Aviation investira 238 millions d’ici cinq ans à son usine de Bromont, en Montérégie, ce qui entraînera la création de 115 nouveaux emplois spécialisés.
 
L’investissement, annoncé jeudi, permettra également de consolider 200 emplois existants dans ces installations de fabrication et de réparation de pièces de moteurs d’avion, qui comptent un total d’environ 800 employés. « Nous allons renouveler cette usine pour la prochaine génération de moteurs », a déclaré la présidente et chef de la direction de GE Canada, Elyse Allen, lors de l’annonce, faite en présence du premier ministre Philippe Couillard.
 
L’argent servira notamment à acquérir des équipements pour la fabrication de composantes de moteurs de nouvelle génération qui sont destinés aux appareils Boeing 737, Airbus A320neo et Comac C919. GE Aviation procédera également à une intensification de l’automatisation et de la numérisation des équipements existants et accroîtra la capacité du laboratoire de vibration, qui sert entre autres à analyser les limites des pales de moteurs à réaction, que cette usine produit au rythme effarant de 60 000 par année.
 

L’aide de Québec
 
La présence du premier ministre, qui était accompagné de sa ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation, Dominique Anglade, s’explique en grande partie par l’octroi d’une subvention de 12 millions en appui au projet, soit 5 % du montant total de l’investissement. Bien que la contribution puisse sembler marginale, le directeur des opérations chez GE Aviation, Alain Ouellette, a expliqué que le coup de pouce du Québec était un des éléments qui avait fait pencher la balance du côté de Bromont. « Ça nous permet de nous démarquer. Est-ce que c’est essentiel ? Ça nous permet d’être très compétitifs à l’intérieur de GE », a-t-il fait valoir.
 
Le premier ministre, pour sa part, a tenu à rassurer les contribuables sur la valeur de l’investissement. « Ces fonds publics sont amplement compensés et même plus que compensés par les retombées économiques et fiscales du maintien et du développement d’une activité comme celle-ci », a mentionné M. Couillard.
 

Bras de fer avec le Brésil
 
Le premier ministre a profité de l’occasion pour défendre la politique de soutien gouvernemental de l’industrie aéronautique au lendemain du dépôt d’une plainte contre le Canada à l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Le Brésil, pays d’origine de l’avionneur Embraer, demande à l’OMC de sanctionner le Canada pour ses subventions à Bombardier, estimant que cette pratique confère à la multinationale québécoise un avantage concurrentiel déloyal, notamment pour la nouvelle CSeries.
 
Philippe Couillard a promis que son gouvernement serait présent à ce débat pour défendre ses pratiques. « Avec le gouvernement du Canada, on verra à rectifier les faits. On a entièrement confiance que nos pratiques respectent entièrement les accords de commerce internationaux. »
 
Il ne s’est d’ailleurs pas gêné pour renvoyer la balle au Brésil et aux autres pays manufacturiers qui oeuvrent dans le domaine. « Il n’y a pas un seul pays doté d’une industrie aéronautique importante qui ne soutient pas activement son industrie. »


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Source
Le Devoir

2017-02-08

Novik investit 3 M$ à Saint-Augustin

(Québec) En passant entre les mains d'un fonds d'investissement américain, Novik a profité d'une occasion de croissance méticuleusement bien calculée.
 
«En l'espace de trois ans, nous avons doublé - et même plus - nos ventes et nous estimons que nous pouvons les multiplier par deux une autre fois», affirme François Giroux, chef de la direction de l'entreprise de Saint-Augustin-de-Desmaures spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation de revêtements extérieurs et de toitures faits en polymère. Des produits qui remplacent les matériaux classiques comme la pierre, la brique ou le bardeau.

Avant d'entrer dans le giron de la société américaine d'investissement Clearview Capital, Novik était une compagnie publique dont les revenus atteignaient 33 millions $CAN.

«Nous visons des ventes de l'ordre de 200 millions $US d'ici 2021», indique M. Giroux en annonçant au Soleil que la compagnie qui fait travailler 130 personnes vient d'investir 3 millions $ pour accroître la capacité de production de l'usine de Saint-Augustin.


«Lorsque nous avons décidé de mettre l'entreprise en vente, nous nous sommes mis à la recherche d'un acheteur et nous avons déniché Clearview Capital. C'était le meilleur prétendant que nous pouvions trouver. Nous en étions convaincus au moment de la conclusion de la transaction, en février 2014, et nous le sommes encore plus aujourd'hui», constate François Giroux en soulignant que la vente d'une entreprise québécoise à une société étrangère n'est pas nécessairement une mauvaise nouvelle, contrairement à la croyance populaire.

Faut dire que la société d'investissement privé du Connecticut s'y connaît dans le domaine des matériaux de construction.

Elle avait contribué, il y a quelques années, à la croissance d'une PME américaine spécialisée, elle aussi, dans les revêtements. Clearview Capital avait investi massivement dans cette entreprise pour lui permettre d'atteindre des sommets de ventes. Elle l'avait ensuite revendu réalisant, du même coup, un retour important sur son investissement. Avec une partie de ce gain, les Américains ont acheté Novik avec l'idée de reproduire le même succès.

La transaction avait été évaluée à l'époque à 45 millions $CAN.

Mariage parfait!

Ayant trouvé l'actionnaire tant espéré, Novik a pu se donner les moyens de ses ambitions en faisant l'acquisition, l'été dernier, d'Exteria Building Products, une entreprise de Miami ayant la même taille qu'elle et évoluant dans un secteur similaire, celui de la fabrication de matériaux de revêtements composites.

Un mariage parfait.

L'expertise de Novik en fabrication.  Et la force d'Exteria en commercialisation.

À l'époque, Novik était présent au Canada, aux États-Unis, en Russie et au Japon. Au Canada, elle vendait ses produits directement aux consommateurs et aux professionnels de la construction. Au pays de l'Oncle Sam, les revêtements de Novik se trouvaient dans quelques commerces.

De son côté, Exteria Building Products faisait son pain et son beurre exclusivement avec les constructeurs d'habitations américains.

Aujourd'hui, les canaux de distribution de l'un et de l'autre ne font plus qu'un.

Novik a même été rebaptisé. Il faut dorénavant parler de Produits de construction Derby. Au Canada, ses produits continuent toutefois d'être commercialisés sous la marque de commerce Novik.

L'entreprise réalise actuellement 70 % de ses affaires aux États-Unis et 20 % au Canada. Éventuellement, elle devra ouvrir la machine à fond du côté de l'Europe et de l'Asie pour assouvir sa soif de croissance. François Giroux fait aussi remarquer que les yeux des actionnaires et des dirigeants demeurent ouverts et que d'autres acquisitions pourraient se concrétiser.

Seule ombre au tableau : la difficulté de recrutement, autant à Saint-Augustin qu'à Miami. «Là-bas, le taux de chômage est aussi sous la barre de 5 %», informe M. Giroux.

À l'usine de Saint-Augustin, ce dernier a 32 postes à pourvoir. «Je n'y arrive pas», se plaint-il.

Est-ce que la situation pourrait éventuellement forcer les actionnaires à investir ailleurs qu'à Saint-Augustin?

«Évidemment, ils prennent tout ça en compte. Pour le moment, ils continuent de miser gros sur le Québec et sur la qualité de nos employés.»

Rappelons que Novik a été fondée en 1998 par Michel Gaudreau.


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Source
Le Soleil

2017-02-02

Groupe BMR vise une expansion en Ontario

(Québec) Il y a un an, le géant américain Lowe's annonçait l'achat de RONA dans une transaction de 3,2 milliards $. Du coup, le Groupe BMR devenait le plus gros quincaillier de propriété québécoise dans le domaine de la rénovation. Et l'entreprise qui fête ses 50 ans a aujourd'hui faim, même très faim. Elle vise à augmenter ses parts de marchés à travers la province et même conquérir l'Ontario.
 
En 2016, la vente de l'un des plus importants fleurons québécois avait fait couler beaucoup d'encre. Plusieurs ont reproché au gouvernement son inaction devant la transaction qui a été officialisée au mois de mai.

Depuis, des enseignes de Lowe's (NYSE : LOW) ont commencé à pousser à la place de celle de RONA, notamment à Boucherville, près du siège social. Pour 2017, la société américaine envisage la plus importante croissance qu'a connue RONA au cours des cinq dernières années. Quatre magasins de proximités vont ouvrir, neuf succursales vont être rénovées, de nouvelles technologies seront développées et la vente d'appareils électroménagers sera intégrée dans 47 points de vente.

Dans ses cartons, l'entreprise a également comme objectif que 40 magasins à grande surface RONA, dont 17 dans la province, passent sous la bannière Lowe's d'ici quatre ans. Aucun plan n'est sur la table pour les Réno-Dépôt. 

Cette stratégie d'affaires n'intimide en rien le Groupe BMR, qui a vu le jour à Montréal grâce au partenariat entre six marchands qui souhaitaient obtenir de meilleurs prix pour l'achat de matériaux. Cette entreprise a également l'intention d'appuyer sur le champignon et prendre de l'expansion. Actuellement, la Coop fédérée, propriétaire du groupe, exploite 325 magasins BMR, dont une soixantaine sous la bannière Unimat, au Québec, en Ontario et dans les provinces maritimes. De ce nombre, 18 se trouvent dans la Capitale-Nationale et sept en Ontario.

«On prévoit une importante croissance en Ontario pour les prochaines années [...] On vise être aussi présent qu'au Québec. On n'exclut rien comme stratégie, ça peut être par acquisition ou par développement de nouveaux magasins», confie au Soleil Pascal Houle, chef de la direction du Groupe BMR, qui ne ferme pas non plus la porte à la possibilité de faire d'autres petits vers l'Ouest canadien. «Notre vision à long terme est de devenir un leader canadien», poursuit-il, assurant du même souffle que la compagnie veut continuer de consolider sa présence à travers la province.

«Nous sommes très présents en région, mais il y a encore de la place. Pour les villes de Montréal et de Québec, nous avons comme plan d'être plus présents d'ici les deux prochaines années. On veut demeurer le leader dans le domaine des quincailleries et des matériaux de construction», souhaite le patron. En 2016, ce sont 11 magasins que le Groupe BMR a ouverts au Québec. Au moins une dizaine d'ouvertures sont prévues pour 2017.

Nouveaux points de vente à Québec

Bien qu'il refuse de donner un chiffre précis pour la région de Québec, M. Houle confie que plusieurs nouveaux points de vente devraient ouvrir leurs portes au cours des deux prochaines années. Un nouveau concept de magasin est d'ailleurs actuellement à l'étude. Pour l'heure, le Groupe BMR compte quatre types de bannières, soit les BMR Express (de 3000 à 4000 pi²), BMR (de 8000 à 10 000 pi²), BMR Expert (8000 pi²) et BMR Extra (plus de 25 000 pi²). Pour l'ouverture d'un magasin d'une superficie standard, la facture oscille entre 6 et 10 millions $.

Tout en poursuivant son plan d'expansion, la compagnie entend miser sur les produits québécois. Actuellement, l'entreprise, qui a enregistré un chiffre d'affaires de 1,7 milliard $ en 2016, compte un total de 1700 fournisseurs, dont près de 1000 sont Québécois. Ces derniers représentent 74 % du volume d'achat du Groupe BMR.

Quant à l'impact suivant la vente de RONA, M. Houle souligne qu'il est «minime», bien qu'il concède que son entreprise ait connu «une importante croissance de ses ventes». Il attribue les bons résultats principalement à la stratégie d'affaires et à la fusion du Groupe BMR et Unimat en 2015. Ensemble, l'entreprise compte aujourd'hui 8000 travailleurs.

«C'est trop tôt pour voir un impact. Nous avons toujours favorisé les fournisseurs québécois et c'est ce que nous allons faire dans le futur. Nous n'avons pas vraiment vu de changement. Nous sommes un fleuron et nous espérons que les consommateurs vont continuer d'encourager les entreprises québécoises. Nos compétiteurs sont des multinationales, des joueurs nord-américains, on se doit d'être meilleur et de continuer d'innover», dit-il, précisant que le groupe a investi d'importants montants pour entreprendre un virage numérique. Un nouveau site sera lancé au printemps prochain et différentes technologies seront mises à la disposition des consommateurs.  Avec La Presse canadienne


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Source
Le Soleil

2017-02-01

Une nouvelle usine de 28 millions $ à Trois-Rivières

(Trois-Rivières) Sûrement que l'arrivée du solaire dans sa Ville n'était pas étranger au rayonnement de son visage. Car le maire Yves Lévesque pouvait difficilement cacher sa joie de voir le fournisseur d'équipements électriques québécois St-Augustin Canada Électric (STACE) annoncer mercredi un investissement de 28 millions de dollars pour s'implanter à Trois-Rivières et créer du même coup 40 emplois de qualité.
 
L'entreprise de Saint-Augustin-de-Desmaures a donc choisi de procéder à une expansion de ses activités dans l'ancien bâtiment de Marcotte Alimentation, acheté récemment par Innovation et Développement économique (IDE) Trois-Rivières.

D'ici la fin de l'été, on y retrouvera ainsi une usine de fabrication de panneaux solaires photovoltaïques à concentration de technologie unique à haute performance. L'aménagement des lieux est déjà en cours et le tout sera en grande partie automatisé.

Dernièrement, le promoteur a fait l'acquisition de la propriété intellectuelle de la compagnie française Soitec concernant leur module solaire CPV. «C'est une technologie très prometteuse et supérieure et on a besoin de faire la fabrication de ce module», a lancé le président de STACE, Normand Lord.

Selon lui, plusieurs facteurs ont influencé positivement le choix de l'emplacement. «Trois-Rivières nous a attirés pour sa localisation géographique stratégique ainsi que son installation portuaire à proximité, 80 % de notre fabrication étant exportée dans les pays étrangers», a-t-il expliqué en conférence de presse.

Par ailleurs, le potentiel de main-d'oeuvre qualifiée en région et la proximité des formations spécialisées dans le domaine solaire ne sont pas étrangers à la décision de s'installer sur le boulevard Industriel. «Nous allons motiver ces gens-là, jeunes et moins jeunes, à travailler pour nous et l'équipe d'IDE a été très efficace dans la recherche de solutions d'affaires pour notre entreprise», a ajouté M. Lord.

Pour sa part, le maire Yves Lévesque a fait remarquer que les entrepreneurs ont le choix de s'implanter partout. «Ce n'est pas toujours évident. Je l'ai dit en 2002. Notre rôle est de créer un environnement propice au développement économique et nous avons investi 840 millions de dollars depuis la fusion municipale», n'a-t-il pas manqué de souligner en cette année électorale.

À son avis, «le coffre d'outils était barré à double tour» avant 2002. «On a tout ce qu'il faut à Trois-Rivières. Et comme un entrepreneur, on doit se démarquer par de grands projets et innover», a poursuivi le premier magistrat.

Celui-ci considère que le secteur solaire a du potentiel. Et pour assurer la pérennité de l'entreprise, la rétention de main-d'oeuvre constitue un facteur clé, d'où, dit-il, l'importance d'offrir un milieu de vie de qualité. «C'est une entreprise qui est là depuis longtemps et qui se démarque à travers le monde avec son produit unique. Les équipements ont commencé à entrer dans l'usine. C'est le début d'une belle aventure», ajoute M. Lévesque.

Il est vrai que depuis 1977, l'usine de Saint-Augustin-de-Desmaures, une ancienne division de General Electric, fait la conception et la fabrication de barres blindées à phases isolées et d'équipements électriques auxiliaires pour les centrales électriques telles que celles d'Hydro-Québec à la Baie-James.

Au cours des 25 dernières années, STACE a été le principal fournisseur de ces types de produits sur le marché international, incluant des composantes électriques pour les éoliennes, notamment au Canada, aux États-Unis, au Brésil, en Inde, en Chine, en Afrique et dans plusieurs pays d'Europe.

«Nous sommes heureux de la confiance qu'accorde l'entreprise STACE à notre Ville. Cela démontre bien que Trois-Rivières possède les atouts nécessaires pour attirer des entreprises de calibre mondial. Ce n'est que le début de belles annonces qui contribueront à la vitalité économique de Trois-Rivières», assure le directeur général d'IDE Trois-Rivières, Mario De Tilly.

Pour ce dernier, tout succès d'entreprise repose sur les individus qui la gèrent, saluant au passage la qualité de gestionnaire de Normand Lord.

«Je suis très heureux de cet investissement majeur. Ce sont des gens de l'extérieur qui viennent chez nous avec un produit intéressant. C'est important d'enrichir notre portefeuille technologique et notre base industrielle par des capitaux étrangers», a-t-il confié, évoquant l'arrivée d'un nouveau payeur de taxes et rendant hommage à ses administrateurs et à la Ville de Trois-Rivières sans qui «ce projet n'aurait pas été possible».


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Source
Le Nouvelliste

2017-01-27

Le gaz naturel arrive dans Bellechasse

(Québec) C'est maintenant chose faite. Le gaz naturel est arrivé dans la région de Bellechasse.
 
Jeudi, après plusieurs années de revendications de la part des intervenants politiques et des leaders économiques bellechassois, l'inauguration du prolongement du réseau gazier de Gaz Métro s'est faite en présence de représentants des gouvernements du Canada et du Québec et du distributeur de gaz naturel.

Le prolongement d'une longueur de 72 kilomètres permettra de raccorder près d'une centaine de bâtiments des municipalités de Lévis (secteur Pintendre), de Saint-Henri, de Saint-Anselme et de Sainte-Claire au réseau de Gaz Métro, principalement des entreprises manufacturières qui bénéficieront d'une diminution substantielle du coût de leur facture d'énergie en passant du mazout au gaz naturel.


Économie de 30 % sur la facture

Une économie qui pourrait être de l'ordre de 30 %, avait déjà mentionné la direction du constructeur d'autobus Prévost de Sainte-Claire.

«Nos entreprises sont maintenant sur un pied d'égalité avec les entreprises des autres régions du Québec», a fait valoir le préfet de la MRC de Bellechasse, Hervé Blais.

Tout au long de la bataille menée, ces dernières années, par la Coalition gaz naturel Bellechasse, des entreprises ont signifié que l'impossibilité de se raccorder au réseau gazier retardait la concrétisation de projets d'expansion.

Il en a coûté 42 millions $ pour réaliser ce projet. Ottawa et Québec ont mis chacun 17,5 millions $ sur la table. Gaz Métro a contribué, pour sa part, pour une somme de 7 millions $.

Selon Gaz Métro, ce raccordement au réseau d'une centaine de bâtiments permettra à la région de Bellechasse d'économiser 2,5 millions $ en coûts énergétiques, en plus de réduire de 8600 tonnes ses émissions de gaz à effet de serre, soit l'équivalent d'environ 2050 véhicules.


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Source
Le Soleil

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