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Nouvelles

2017-01-25

Kruger: du carton à Trois-Rivières dès le 7 mai

(Trois-Rivières) «Le projet est bien en selle. Le 25 février, à midi, la dernière bobine de papier journal sera produite. Et le 7 mai, à 8 h 34, on débutera la production de carton. C'est un projet excitant qui entre dans sa phase finale.»

C'est avec précision que le vice-président de direction chez Kruger, Daniel Archambault, a fait le point mercredi sur la conversion de la machine numéro 10 à son usine trifluvienne devant les membres de la Chambre de commerce et d'industries de Trois-Rivières.

Déjà, pas moins de 180 des 250 millions de dollars prévus pour cette transformation initiée à l'automne 2015 ont été dépensés, ce qui fait que l'entreprise respecte tant le budget que l'échéancier. À ce jour, l'atelier de mise en pâte est opérationnel.

Lors de sa mise en service, l'ancienne machine à papier de 1990 fabriquera dorénavant 360 000 tonnes métriques de carton léger haut de gamme ultrarésistant 100 % recyclé par année. Le tiers de la production sera vendu aux usines de boîtes d'Emballages Kruger situées à Montréal (arrondissement LaSalle) et à Brampton (Ontario), tandis que le reste sera écoulé dans le marché.

Avec un carnet de commandes déjà rempli à près de 70 %, le conférencier du jour se dit maintenant «confortable» après plusieurs semaines d'insomnie.

D'ailleurs, celui-ci n'a pas caché qu'un tel projet représente plusieurs défis, dont celui des ventes. Et déjà, en soi, le fait de reconstruire complètement une machine à papier en un délai aussi court, soit 18 mois, se veut complexe.

Outre la planification et la logistique des travaux pendant la construction, il faut convertir la machine tout en continuant d'approvisionner les clients en papier journal. C'est sans compter qu'un maximum de tâches doivent être réalisées avant l'arrêt de la machine et il y a toute la réception de nombreux équipements qui doit être gérée.

«On a fait un bond de 25 ans dans la technologie. On est à l'ère du numérique. Le taux de productivité est élevé, soit 1000 tonnes métriques par jour. C'est une nouvelle machine dans un marché très compétitif. On veut se retrouver dans le premier quartile de l'industrie. On ne peut pas se tromper. Il faut que les employés soient bons lors de la première journée», a-t-il ajouté.

Or, les besoins en formation sont justement importants, d'où l'investissement de 3,5 millions de dollars et les 55 000 heures qui y seront consacrées. Car Kruger n'hésite pas à parler d'un véritable changement de culture dans l'entreprise, le nouveau produit et les nouvelles réalités exigeant un apprentissage. «Ce sont deux usines en une», a fait remarquer M. Archambault.

Par ailleurs, ce dernier a justifié un tel projet d'envergure par la volonté du propriétaire unique, Joseph Kruger II, de faire croître sa division cartonnage, qui doublera après le 7 mai.

Il faut dire que la demande de carton est en hausse annuelle de 1,5 % alors qu'elle se situe déjà autour des 35 millions de tonnes métriques par année en Amérique du Nord. L'achat en ligne ne fera que favoriser sa consommation. Et puisque le gros de la production est aux États-Unis, M. Archambault ne craint pas l'effet Trump.

Du même coup, ce virage vers le carton permet à Kruger d'ajuster sa production de papier journal en fonction d'un marché en forte décroissance à l'échelle mondiale. Seulement sur le continent nord-américain, on est passé de 14 millions de tonnes métriques à moins de quatre millions de tonnes métriques depuis 2001.

Quant au carton, c'est un domaine dans lequel Kruger évolue depuis plus de 50 ans. Ce producteur aura fait figure de pionnier dans le carton 100 % recyclé via ses installations montréalaises. L'approvisionnement en matières premières pour la nouvelle machine numéro 10 fait partie des enjeux identifiés par M. Archambault. Les vieux cartons achetés sur le marché transiteront via l'ancien centre de distribution de la Coop fédérée, fraîchement acquis par le Groupe Immobilier Bel-Rive.

Outre ses divisions cartonnage et papiers pour publication, Kruger fait aussi dans les produits de papier tissu, l'emballage, les vins et spiritueux, le recyclage, l'énergie renouvelable et les biomatériaux.

D'ailleurs, l'usine de démonstration de filaments de cellulose, également située sur le boulevard Gene-H.-Kruger, s'apprête à entrer dans une phase de pré-commercialisation.

Inaugurée en 2014, l'usine pilote pourrait éventuellement déboucher sur de nouvelles installations, après avoir été exploitée à son maximum. «Et on commence à regarder des investissements dans l'énergie solaire», a laissé entendre l'invité de la Chambre.

Au cours de son allocution, il a tenu à rappeler les retombées régionales directes de 80 millions de dollars qui sont rattachées au «projet TR2017», ce qui profite à quelque 80 fournisseurs de la région de Trois-Rivières.

«C'est l'un des plus grands chantiers au Québec car le projet demandera environ 500 000 heures/hommes de construction, soit 5 % de la main-d'oeuvre québécoise dans le secteur industriel», conclut-il tout en soulignant la consolidation de 270 emplois.


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Source
Le Nouvelliste

2017-01-20

Des entreprises se mobilisent pour accroître le recyclage

L’usine d'Arbec à Port-Cartier, sur la Côte-Nord, produit des milliers de tonnes de résidus chaque année. Elle les utilisera bientôt pour produire du biocarburant dans une usine actuellement en construction.

Voilà un exemple de projet qui correspond bien aux objectifs de l'économie circulaire. «L'économie circulaire, c'est une économie idéale où toutes les matières circulent en boucle. Il y a moins d'extraction de ressources naturelles et moins d'élimination de matières résiduelles», soutient Vincent Carbonnelle, coordonnateur de la Table de concertation en gestion des matières résiduelles.

La MRC de Sept-Rivières entreprend donc une démarche pour créer des synergies entre entreprises et institutions pour la gestion et la valorisation des matières résiduelles. Une subvention de 126 000 $ a été octroyée par Recyc-Québec pour favoriser ce projet.

«Ici, on est éloigné des grands marchés. Donc, le défi c'est de fonctionner avec des intervenants locaux, et susciter cet esprit d'entrepreneuriat afin que des projets de récupération et de valorisation voient le jour», ajoute M. Carbonnelle.

L'un de ces projets qui fait l'objet d'une étude de faisabilité vise la valorisation de dormants de chemin de fer, comme l'explique le directeur de l'Institut technologique en maintenance industrielle: «Annuellement, plusieurs dizaines de milliers de dormants de chemin de fer sont éjectés des compagnies ferroviaires qui sont sur la Côte-Nord. Initialement, ils sont expédiés à l'extérieur et brûlés dans des cimenteries en dehors de la région. Ça fait beaucoup de camionnage et de transport de matières qui doivent sortir de la région. Nous, on essaie de voir si localement, il n'y aurait pas moyen de revaloriser ces dormants de chemin de fer et qu'une entreprise du milieu puisse en bénéficier.»

Ce bois pourrait être utilisé comme source d'énergie ou pourrait permettre l'extraction d'huiles, deux technologies qui seront entre autres analysées.

Non seulement ces projets permettent de créer des emplois, mais aussi de réduire les coûts de gestion de matières résiduelles.


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Source
TVA Nouvelles

2017-01-19

ArcelorMittal investit près de 500 millions $ pour moderniser ses installations de la Côte-Nord

ArcelorMittal a annoncé qu’elle allait investir 500 millions $ pour moderniser ses installations au Québec au cours des quatre prochaines années.

En contrepartie, le gouvernement Couillard a souligné que le numéro un mondial de l’acier recevrait une réduction de sa facture d’électricité de 60 millions $ au cours de la même période grâce à un programme incitatif lancé dans le dernier budget Leitao.

«Ce projet-là est particulièrement important pour le plan Nord et également parce qu’il témoigne de ce que nous les Québécois on peut utiliser notre richesse collective, l’hydroélectricité, pour attirer les investissements chez nous», a dit Philippe Couillard.

Ce projet ne créera toutefois pas de nouveaux emplois, mais «consolidera» les emplois déjà existants, a précisé le premier ministre, qui n’était pas accompagné de représentants d’ArcelorMittal lors de son annonce.

«C’est majeur, mais chaque dirigeant d’entreprise a son style. Certaines entreprises préfèrent être le moins possible visibles médiatiquement et d’autres ont une conduite différente. C’est leur choix», a-t-il expliqué.

Ces investissements vont permettre à la mine de Firelake, située au nord de Sept-Îles, d’augmenter sa production de 7,5 à 15 millions $ de tonnes annuellement. «Globalement, le tonnage va rester inchangé», a toutefois précisé Paul Wilson, porte-parole de l’entreprise au Québec au cours d’une entrevue téléphonique. Cela s’explique par une chute de la production dans les installations du mont Wright.

En plus de ses deux mines, le géant du fer possède une usine de bouletage à Port-Cartier. Elle emploie près de 4000 travailleurs au Québec.

L’annonce en cache une autre : l’entente prévoie un rabais de 120 millions $ sur l’électricité au cours des quatre années suivantes si ArcelorMittal lance une deuxième phase d’investissements.

C’est tout un revirement puisqu’en juin 2016, l’entreprise envisageait de cesser ses activités sur la Côte-Nord d'ici 2030. La compagnie justifiait cette décision en soulignant la baisse du prix du fer et les coûts d'exploitation trop élevés.


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Source
TVA Nouvelles

2017-01-12

Preverco agrandira ses installations à Saint-Augustin

(Québec) Preverco appuie sur le champignon. L'entreprise s'est dotée d'une enveloppe budgétaire d'environ 10 millions $ pour entre autres agrandir ses installations de Saint-Augustin-de-Desmaures, situées dans le parc industriel François-Leclerc.
 
L'objectif derrière l'investissement du manufacturier de planchers est d'augmenter la capacité de production de plus de 30 % de ses usines dans les régions de Québec et de Montréal. Au cours des trois dernières années, la compagnie a connu une croissance annuelle de 15 % à 20 % et elle entend bien poursuivre sur cette lancée. Les travaux, qui ont débuté en 2016, seront complétés durant l'année 2017.

«Nous avons acheté un terrain, investi plusieurs millions de dollars en équipement et agrandi nos usines d'environ 45 000 pieds carrés à Québec et 20 000 pieds carrés à Montréal», indique au Soleil Fernand Dufresne, fondateur de Preverco. «Nous voulons augmenter notre production et avoir de nouveaux produits», poursuit le grand patron.

Entamés au mois d'août, les travaux d'agrandissement pour les installations de Saint-­Augustin-de-Desmaures consistent à l'ajout de deux nouvelles sections aux bâtiments actuels. Toutefois, l'un des chantiers a dû être mis en veille durant quelques mois. Une situation que déplore M. Dufresne.

«Il a été retardé de quatre mois strictement à cause d'Hydro-Québec. Nous nous étions informés au mois de juin pour les normes. Au mois de septembre, alors que les travaux étaient commencés depuis août, ils nous ont dit qu'on ne pouvait plus continuer. Ils devaient sécuriser les lignes. Cela devait prendre entre deux ou trois semaines... mais ç'a duré quatre mois», raconte-t-il, visiblement déçu de la situation.

Pour le terrain de 250 000 pieds carrés acquis dernièrement dans le parc industriel François-Leclerc, situé à quelques jets de pierre de l'usine, M. Dufresne indique qu'il s'agit pour l'instant d'une «police d'assurance» pour de futurs développements si le besoin se fait sentir. Aucun plan précis n'est présentement sur la table à dessin.

2016, «un record»

Dans son usine de Saint-­Augustin, où on trouve également le siège social de la compagnie, Preverco compte près 200 employés. Dans l'ensemble, l'entreprise sert de gagne-pain à environ 350 personnes. Aucune période d'embauche importante n'est prévue à court terme. «Toutefois, si avec l'augmentation de notre production de 30 % nos ventes grimpent également, c'est certain qu'il va avoir de la création d'emploi», précise M. Dufresne, dont l'entreprise est maintenant «à 99 %» entre les mains de ses fils, soit Jean-François, Bruno et Julien. «Actuellement, nos nouveaux produits amènent de très bonnes ventes. L'année 2016 a été un record», se réjouit celui qui travaille encore 25 heures par semaine.

Preverco vend aujourd'hui ses produits à travers le marché canadien, mais également chez nos voisins du sud ainsi qu'au Mexique. Elle compte plusieurs centaines de clients.

«Environ 30 ou 35 % de nos produits sont [exportés] vers les États-Unis. Nous avons aussi des ventes un peu en Europe et au Mexique, mais cela représente 1 ou 2 %», affirme l'homme d'affaires, qui ne cache pas être attentif aux gestes du futur président des États-Unis, Donald Trump. «Nous ne sommes pas liés par le fameux problème du bois d'oeuvre. On se croise les doigts et on espère qu'il n'y aura pas toutefois de nouvelles taxes», conclut-il.

Preverco, qui a vu le jour en 1988, possède une usine à Saint-Augustin-de-Desmaures, des usines à Boisbriand et à Neuville et une scierie à Daveluyville.


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Source
Le Soleil

2017-01-12

Une nouvelle technologie pour débloquer des artères

(Sherbrooke) Une technologie inventée à la faculté de génie de l'Université de Sherbrooke (UdeS) permet maintenant de pratiquer des interventions en angioplastie qui étaient autrefois impossibles à réaliser par le biais des angioplasties traditionnelles. Une première opération, couronnée de succès, a été réalisée au Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS) sur un patient sherbrookois. Une première mondiale toute sherbrookoise... mais qui se déploie déjà dans d'autres hôpitaux du monde.
 
L'angioplastie est une technique qui permet de rouvrir des artères rétrécies ou obstruées sans avoir recours à une intervention chirurgicale importante.

Mais la méthode a ses limites très claires. « Le défi avec les méthodes traditionnelles d'angioplastie, c'est que lors de l'intervention, on se bute à des parois de vaisseaux très endurcies par l'accumulation de calcaire notamment. Il est donc impossible parfois de traverser le blocage parce qu'il est trop dur, ce qui nous empêche de procéder avec le reste du traitement », soutient le Dr Andrew Benko, radiologiste interventionnel au CIUSSS de l'Estrie-CHUS, le médecin qui a procédé à la première intervention mondiale avec cette nouvelle technologie.

Par exemple, les médecins se butent souvent à un problème lors des interventions aux jambes.

« L'angioplastie est l'intervention la plus courante pour traiter les blocages artériels de la jambe. Dans environ la moitié des cas, c'est impossible de traverser le blocage avec les guides standards. L'intervention est alors un échec. Le guide SoundBite peut nous permettre de franchir de tels blocages avec succès », ajoute le Dr Benko.

« C'est comme essayer de traverser un mur de brique avec un spaghetti cuit », illustre le professeur Martin Brouillette, le chercheur derrière le SoundBite.

Mais qu'est-ce que fait exactement le SoundBite que ne font pas les guides traditionnels?

Il s'agit d'une technologie qui permet, de façon très contrôlée, de transmettre des ondes de choc par des fils-guides afin de traverser spécifiquement les tissus fortement calcifiés dans le système vasculaire artériel. Pour imager, on peut penser au travail d'un marteau-piqueur.

D'autres applications, d'autres hôpitaux

C'est dans le laboratoire du professeur Martin Brouillette, de la faculté de génie de l'UdeS, qu'est née cette idée promise à un bel avenir.

« Nous avons commencé à travailler sur le projet en 2004. Au départ, on voulait défaire des pierres au rein, mais en cours de route, nous avons vu d'autres applications possibles encore plus prometteuses », explique Martin Brouillette en insistant pour souligner le travail de deux doctorants dans son équipe, Steven Dion et Louis-Philippe Riel.

Cette première intervention à l'aide de la technologie de SoundBite s'inscrit dans une étude internationale approuvée par Santé Canada qui s'effectuera auprès de 30 patients à Sherbrooke, à Montréal et en Autriche. La compagnie SoundBite medical, cofondée par Martin Brouillette, travaille actuellement à adapter sa technologie pour des applications coronariennes.

L'entreprise compte déjà 25 employés, alors qu'elle a été créée il y a un an et demi à peine. « Vingt-cinq employés un an et demi après la création de l'entreprise? Qu'un patient ait déjà été opéré avec notre appareil? Oui, c'est très exceptionnel, c'est vraiment rapide », se réjouit Martin Brouillette.

Et son fil-guide ne s'arrêtera pas à cette étude. « D'ici la fin de l'année, nous en aurons au Canada, en Autriche et aux États-Unis », ajoute-t-il.

La compagnie SoundBite medical travaille actuellement à adapter sa technologie pour rendre le fil-guide encore plus souple pour des applications coronariennes en cardiologie.

« On aimerait beaucoup qu'un premier patient soit opéré avant de l'année! Mais c'est une prévision optimiste », ajoute Martin Brouillette.

Est-ce que la technologie sherbrookoise se retrouvera un jour parmi les équipements standards dans les hôpitaux partout dans le monde?

« Ça dépendra beaucoup du résultat de l'étude lorsque les 30 patients auront été opérés. Mais les premiers résultats sont très prometteurs », précise le Dr Simon Bérubé, cardiologue au CHUS.

En effet, un deuxième patient sur les 30 patients sélectionnés a déjà été opéré à Sherbrooke avec succès.

« Je suis un homme neuf! »

« C'est un miracle! Le Dr Benko m'a fait gagner le gros lot. Je suis un homme neuf! » Jean-Claude Bergeron ne cache pas son enthousiasme lorsqu'il parle de l'angioplastie qu'il a subie en décembre dernier grâce à la technologie SoundBite.

Les artères de ses deux jambes étaient si bloquées qu'il éprouvait des douleurs importantes qui nuisaient grandement à sa mobilité. « Je ne pouvais pas marcher longtemps avant d'être obligé de m'asseoir. Je ne pouvais plus nager. Je ne montais pas plus que deux ou trois marches dans un escalier. On ne m'en avait pas encore parlé, mais je commençais à envisager que mes jambes soient amputées à un moment donné », dit-il.

Et comme le blocage était très sérieux, d'une longueur de 20 centimètres dans chaque jambe, les chances de succès de l'angioplastie traditionnelle étaient plutôt minces.

L'opération réalisée par le Dr Andrew Benko a duré deux heures. Le soir même, le patient de 72 ans a pu quitter l'hôpital... sur ses deux jambes!

L'intervention s'est déroulée un vendredi. Le lundi suivant, l'homme est allé dans le bois pour se couper un sapin de Noël. Et le mardi, il reprenait son travail de chauffeur d'autobus comme si rien ne s'était passé. Un homme neuf!

« Je n'ai plus 72 ans, j'en ai 60! » rigole Jean-Claude Bergeron.


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Source
La Tribune

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