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Nouvelles

2017-01-04

Entente finalement conclue entre Olymel et Groupe Robitaille

Annoncée depuis novembre 2015, la transaction en vue de former un partenariat à parts égales entre Olymel et le Groupe Robitaille dans l’entreprise de transformation de porc Lucyporc de Yamachiche a été conclue le 31 décembre dernier.

«La clôture de cette entente de partenariat a été un travail de longue haleine et sa conclusion permet autant à Olymel qu’à Groupe Robitaille de mettre en œuvre une vision audacieuse de développement, bénéfique à nos deux entreprises. Nous nous donnons ainsi les moyens de relever les défis du marché et d’encore mieux répondre aux exigences de nos clients partout dans le monde», a déclaré Réjean Nadeau, président-directeur général d’Olymel dans un communiqué publié mercredi.

Ce partenariat 50-50 avait aussi permis de dévoiler, en août 2016, un projet de 80 millions $ pour agrandir l’usine Atrahan d’Olymel et accroître sensiblement ses activités de production. Les activités de cette usine de Yamachiche seront fusionnées avec celles de Lucyporc, dans la même municipalité, quand les travaux seront terminés.

«Une fois les travaux d’agrandissement complétés, soit dans un peu moins de trois ans, les activités de l’usine de Lucyporc de la même localité pourront être fusionnées à celles d’ATRAHAN, division d’Olymel. L’établissement regroupera alors les 360 employés de cette dernière et les 430 employés de Lucyporc, en plus de créer 350 nouveaux emplois», ont précisé Olymel et Lucyporc dans un communiqué conjoint.


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Source
TVA Nouvelles

2017-01-04

2016, une excellente année pour le Port de Montréal

Les nouvelles sont bonnes au Port de Montréal, qui procédait mercredi à la traditionnelle remise de la Canne à pommeau d'or. Les activités portuaires viennent de connaître une autre année record.

Le capitaine du Chem Sirius est le 178e à recevoir la Canne à pommeau d'or de Montréal. Son navire a atteint le port dans les premières heures de 2017.

Le plus important port de l'Est canadien a établi de nouveaux records historiques l'année dernière. Plus de 35,2 millions de tonnes de fret selon les données préliminaires, une hausse de 10%.

«Le fait que nous ayons différents types de cargos cette année, par exemple le grain, qui a connu une excellente récolte dans l'Ouest canadien, ce qui a aidé notamment à faire en sorte que le Port de Montréal ait des trafics records encore une fois», explique Sylvie Vachon, PDG de l'APM.

En novembre, le Port inaugurait un nouveau terminal à conteneurs dans le secteur Viau construit avec le soutien du gouvernement fédéral.

En collaboration avec Québec et Montréal, le Port a investi plus de 78 millions de dollars pour moderniser la jetée Alexandra, qui accueille toujours plus de croisiéristes.

«En fait, on a un premier navire de croisière qui va arriver le 6 mai 2017. Notre terminal de croisière va être prêt pour l'accueillir. Évidemment, l'ensemble du site de la jetée ne sera pas nécessairement complété, mais ça va être quand même très avancé», poursuit Mme Vachon.

Ils étaient 86 000 passagers en 2016 et on prévoit en accueillir 110 000 cette année, à l'occasion du 375e anniversaire de Montréal et du 150e anniversaire du Canada. Le Port de Montréal dit être en concurrence avec celui de New York.

L'activité portuaire génère des retombées économiques estimées à plus de 2 milliards de dollars par année.


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Source
TVA Nouvelles

2016-12-29

Du pain sur la planche pour le Fonds InnovExport

(Québec) Les 15 dragons du Fonds InnovExport ne chômeront pas au cours des prochains mois. «Plusieurs dizaines» d'entrepreneurs des quatre coins du Québec ont soumis des projets à l'organisation, forçant même la direction du programme, victime de son succès, à revoir quelque peu ses plans.

 Â«On avait prévu une enveloppe de 30 millions $ sur quatre ans et on prévoyait réaliser selon notre plan initial entre 10 et 12 investissements par année. D'après moi, on va dépasser ça allègrement», affirme au Soleil Richard Bordeleau, de l'entreprise Icentia, président du Fonds et membre du groupe du G15, ceux qui serviront de mentors aux jeunes entrepreneurs sélectionnés. «Le nombre de demandes dépasse de loin nos attentes. Au départ, on devait réaliser une seule journée de comité d'investissement, soit le 12 janvier, là, nous sommes obligés d'en tenir une deuxième au mois de février pour être capables de passer toutes les entreprises sélectionnées», poursuit l'homme d'affaires.

Après la première période de soumission, qui s'est conclue le 28 octobre, ainsi que'une première rencontre entre les entreprises et les investisseurs, une vingtaine de projets porteurs, avec un caractère innovant et un potentiel d'exportation, ont été retenus. Lors de la prochaine rencontre en janvier, les entrepreneurs présenteront pour une dernière fois leur idée et leur plan d'affaires au comité d'investissement, c'est-à-dire des membres du G15. Par la suite, les mentors ainsi que la direction vont déposer leur offre financière.

«Ce qui est très intéressant, c'est que les projets reçus touchent à peu près tous les secteurs d'activité, soit entre autres le domaine de l'électronique, du minier, de l'optique photonique, de la robotique et de l'industrielle. On voit que le Québec innovant, ce n'est pas que les applications Web, bien qu'on ait reçu quelques projets», se réjouit M. Bordeleau, précisant que les demandes ont émergé de partout au Québec. «Évidemment de la grande région de Québec, mais aussi l'Estrie, de l'Outaouais, de Montréal et même de l'Abitibi-Témiscamingue.»

Le patron du fonds affirme que les entreprises ayant essuyé un refus, c'est principalement parce qu'elles ne satisfaisaient pas les critères d'investissement, comme avoir un produit qui peut s'exporter.

«Forger le Québec de demain»

Lancé au mois de septembre, le Fonds InnovExport a comme mission de soutenir l'amorçage et le démarrage d'entreprises innovantes visant les marchés internationaux pour «forger le Québec de demain».

Investissement Québec (15 millions $), la Caisse de dépôt et placement du Québec (6 millions $), le Fonds de solidarité FTQ (4,5 millions $), le Fondation CSN (2,25 millions $) ainsi que 15 personnalités d'affaires (150 000 $ chacune), notamment les dirigeants de firmes comme EXFO, Premier Tech, Eddyfi, Regitex et Creaform, ont tous sortir leur chéquier pour garnir les coffres du fonds. La Ville de Québec a également investi 2 millions $ dans l'aventure pour la gestion du fonds.

Parmi la première vague de soumissionnaires, environ 65 % sont considérés comme des entreprises en période d'amorçage - sans revenu - et 35 % en démarrage, où l'entreprise a enregistré quelques ventes. «Nous avons des compagnies qui ont 400 000 $, 500 000 $ et même 1 million $ de chiffre d'affaires», confie le président, qui espère être en mesure de faire l'annonce des premiers investissements du fonds d'ici février.  

Outre le fait de pouvoir avoir accès à un réseau d'entrepreneurs et à du capital de risque, M. Bordeleau est d'avis que la contribution financière de la Ville venant appuyer celle du fonds a également eu un impact pour expliquer la forte demande pour le programme. Cet automne, Québec a signé une entente de principe avec le fonds s'engageant à offrir aux entreprises qui en font la demande de bonifier sous forme de prêt jusqu'à 50 % l'offre d'InnovExport. À titre d'exemple, si un entrepreneur touche 100 000 $, la Ville pourrait ajouter jusqu'à 50 000 $ supplémentaire. Pour pouvoir avoir accès au programme de la Ville, il faut toutefois que l'entreprise soit localisée dans l'agglomération de Québec.

La prochaine date limite de soumission des projets est le 6 janvier. Le Fonds procédera par appel de projets sur une base trimestrielle, c'est-à-dire trois fois par année.


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Source
Le Soleil

2016-12-29

Pointe-Noire: un nouvel élan au Plan Nord

(Sept-Îles) L'année 2017 sera «charnière» pour l'État qui a dans les cartons de façonner tout le secteur stratégique de Pointe-Noire à Sept-Îles, sa récente acquisition, pour donner un nouvel élan au Plan Nord.
 
«On a mis le premier rang du casse-tête et maintenant, on continue de le monter», illustre Pierre Bolduc, directeur général de la Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire (SFPPN), l'entité créée après l'achat en mars, des équipements miniers du géant Cliffs Natural Resources, qui a tiré un trait sur ses activités en décembre 2014.

La société a accepté d'accueillir Le Soleil sur son immense terrain de jeu de 1200 hectares, qui débouche à Pointe-Noire, une presqu'île qui entoure la baie de Sept-Îles, et qui, surtout, donne accès au port de mer, la porte de sortie des nouveaux producteurs de fer de la généreuse fosse du Labrador, dans le nord de la province.

La transaction de 66,75 millions $ a aussi permis à l'État de mettre la main sur le convoité chemin de fer Arnaud, qui relie Pointe-Noire au tracé de la QNS&L, l'unique lien ferroviaire entre le Labrador et Sept-Îles. Les minières n'ont d'autres choix que de l'emprunter pour sortir leur tonnage et l'envoyer vers les marchés internationaux.

«Le secteur développé [par Cliffs à l'époque], c'est la pointe de l'iceberg, c'est 10,15 % [des terrains]», affirme M. Bolduc. De vastes lieux donc, aux possibilités multiples, que Québec a bien l'intention de développer avec ses futurs partenaires. Tata Steel Mineral Canada a été la première en septembre, à y expédier des tonnes de fer vers la Chine.

Champion Iron Mines, qui a acheté la mine du lac Bloom, autrefois exploitée par Cliffs, pourrait bien être le prochain utilisateur des actifs de l'État. La minière planche activement sur le redémarrage des opérations. Le sort de la mine Scully, qui appartenait aussi à Cliffs, n'est pas non plus scellé dans la restructuration légale du géant américain.

«[Champion, Tata Steel et possiblement Scully], ça pourrait être les activités de base pour le site, mais il en a d'autres. Il y a beaucoup d'activités qui se préparent», poursuit le directeur général. Le téléphone ne dérougit pas, explique M. Bolduc, notamment avec un prix du fer à la hausse, qui se négocie autour de 80 $US la tonne.

Il faut comprendre que Québec exploitera le site selon une approche multiusager. Une société, qui lorgne un projet minier par exemple, pourra utiliser les infrastructures de l'État plutôt que de construire les siennes. La transaction a déjà réveillé l'intérêt de joueurs silencieux depuis la débâcle des prix, comme Alderon et Labrador Iron Mines.

«Ça va prendre du développement. Je ne peux pas prendre 50 millions de tonnes demain matin. Le site n'est pas suffisamment développé pour ça». Et l'une des premières étapes sera de brancher les actifs au mégaquai du port de Sept-Îles, tout juste voisin, financé à moitié par cinq minières, mais qui n'a pas encore servi.

Québec a réservé 15 millions $ pour construire un convoyeur vers l'infrastructure, une «plaque tournante» du Plan Nord, construite aux coûts de 220 millions $, capable d'accueillir les plus grands minéraliers du monde. Le feu vert des travaux pourrait être donné «rapidement», si la demande le justifie, a déjà fait savoir le ministre Pierre Arcand.

«Ça devient pressant», affirme M. Bolduc, rappelant que le quai 30 (celui que l'État utilise) a une «capacité réduite» d'expédition. La SFPPN s'affairera aussi en 2017 à adapter son «circuit» au transit du DSO (Direct Shipping Ore), comme exploite Tata Steel, et du concentré de minerai de fer, deux produits ferreux différents.

Plus que du minerai de fer...

Québec évalue que d'ici trois ans, quelque 14,5 millions de tonnes de minerai de fer pourraient transiter via son acquisition. Mais, l'État ne souhaite pas seulement accueillir sur ses terres du fer. Environ 700 hectares pourraient être destinés «à d'autres services», comme des projets en transformation, indique M. Bolduc.

«On veut développer d'autres secteurs en parallèle», explique-t-il. «Ce n'est pas que du minier. Dans la vision stratégique, on doit sortir du mono-industriel dans lequel on est». Des «entrepreneurs avec les nerfs d'acier» dans le contexte actuel pourraient même avoir des vues sur l'usine de bouletage, qui se trouve également sur le site de Pointe-Noire.

C'est aussi connu que Mine Arnaud, dont Investissement Québec est le principal actionnaire, profitera de la transaction. La minière a d'ailleurs déjà retranché 82 millions $ de son projet initial d'exploiter une mine d'apatite à l'entrée ouest de Sept-Îles, évalué à 850 millions $, depuis que l'État est propriétaire des actifs de Pointe-Noire.

Malgré la présence anticipée de «plusieurs» joueurs à Pointe-Noire, Québec s'assurera qu'aucune société n'exerce un pouvoir de nuisance. Il faut rappeler que le gouvernement a mis la main sur Pointe-Noire justement pour désenclaver le secteur stratégique, dont le développement a longtemps été freiné par Cliffs Natural Resources.

Pierre Arcand a confirmé au Soleil qu'il espère que les premiers partenaires de la SFPPN, qui doit devenir une société en commandite, seront connus d'ici les printemps. Deux entreprises «sont fortement intéressées» et l'État «aimerait éventuellement en avoir deux autres», a-t-il indiqué. «On est là-dessus.»

Au chapitre des revenus que généreront les volumes manutentionnés sur le site de Pointe-Noire, Pierre Bolduc estime que «le seuil de rentabilité» devrait être atteint d'ici 2020. D'autres investissements pourraient également être à prévoir pour «être adapté, juste à temps, avec les besoins de l'industrie», l'objectif de la société.


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Source
Le Soleil

2016-12-20

Un contrat de 1,65 million pour Multi-Électronique

Pêches et Océans Canada a octroyé un contrat de 1,65 million $ à l'entreprise rimouskoise Multi-Électronique, spécialisée dans la conception et la fabrication d'équipements océanographiques.

Le montant annoncé servira à la construction de quatre bouées océaniques automatisées, appelées «Vikings».

Ces bouées permettront d'analyser divers paramètres de l'eau du golfe du Saint-Laurent et de l'océan Atlantique. On souhaite observer l’impact des changements climatiques. On analysera entre autres la température, la salinité, la fluorescence de l'eau, ainsi que les courants marins.

«On a vendu il y a quelques années deux bouées en Argentine qui étaient de la génération précédente. On espère bien pouvoir exporter ce nouveau type de bouées. Elles sont plus matures et adaptées à des milieux plus complexes que celles de la première génération», affirme le président de Multi-Électronique, Jacques Saint-Pierre.

La nouvelle a été bien accueillie dans la région puisque cet investissement permettra de consolider une douzaine d'emplois dans l'entreprise, mais aussi d'assurer du travail aux sous-traitants qui fournissent les pièces pour ces appareils.

«Ça nous permet de continuer sur notre lancée et tenter d’en vendre d’autres ailleurs. Je ne crois pas que ça va s’arrêter là», a ajouté Jacques Saint-Pierre.

Le projet comprend également une option d'achat pour deux autres bouées, qui pourraient être commandées d'ici 2018.


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Source
TVA Nouvelles

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