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Nouvelles

2016-12-20

Emballages LM: penser en dehors de la boîte

(Québec) «En une seule journée, les ventes de nos principaux concurrents totalisent notre chiffre d'affaires annuel!»

Des boîtes en carton ondulé, Emballages LM en fabrique toujours.

L'entreprise de Saint-François-de-la-Rivière-du-Sud, près de Montmagny, continuera sans doute d'en produire pour longtemps encore, et ce, en dépit de l'impitoyable concurrence qu'elle doit affronter depuis bientôt un quart de siècle dans ce segment de marché ultracompétitif.

Par contre, ses dirigeants savent pertinemment que la croissance à court et à long terme passe par un autre chemin.

Pour utiliser un jeu de mots facile dans le cas présent, ils se devaient de penser à l'extérieur de la boîte. Out of the box, comme l'exprime la langue de Shakespeare. Être originaux. Distinctifs.

Sa planche de salut, Emballages LM l'a trouvée dans l'innovation. Nulle part ailleurs.

Sa trouvaille?

Les emballages de protection pour le secteur manufacturier et industriel. En carton ondulé, évidemment.

Des cornières, des angles, des blocs, des coins dont la fonction est de tenir bien en place les meubles, les portes, les fenêtres, les produits en verre et les pièces industrielles de toutes sortes se trouvant dans les boîtes pendant leur transport du fabricant au commerçant, puis au consommateur.

«Les produits d'emballages de protection représentent aujourd'hui entre 65 % et 70 % de notre chiffre d'affaires», informe David Welsh, directeur des ventes et du marketing d'Emballages LM.

«Des boîtes en carton ondulé, nous ne cesserons pas d'en fabriquer. C'est un produit de commodité sans trop de valeur ajoutée. Tout le monde peut faire des boîtes en carton ondulé. Pour se démarquer, il fallait voir un peu plus loin que le bout de son nez et offrir à nos clients ce qu'ils recherchent. Nous sommes en mesure de leur offrir des solutions complètes d'emballage.»

Parmi les clients d'Emballages LM, il y a des fabricants de meubles, dont Meubles South Shore de Sainte-Croix-de-Lotbinière, et de produits de salles de bain comme MAAX.

Les boîtes et les emballages de protection qui sortent de l'usine de Saint-François-de-la-Rivière-du-Sud sont composés de matières recyclées à 90 % et entièrement recyclables et repulpables.

Selon David Welsh, le carton a la cote auprès des géants du commerce de détail qui veulent réduire l'entreposage et la manutention et, du même souffle, le gaspillage généralisé. Comme tout ce qui touche l'environnement, le développement durable et le recyclage.

«Walmart et Costco exigent maintenant auprès de leurs fournisseurs que les produits qui se retrouveront sur les tablettes des magasins soient livrés dans des boîtes de carton.»

De grands honneurs

Innover pour l'entreprise qui fait travailler une quarantaine de personnes signifiait de sortir des sentiers battus.

Tous les équipements nécessaires à la fabrication des cornières, angles et autres produits d'emballage de protection ont été dessinés et assemblés, pièce par pièce, par les équipes d'ingénierie et de maintenance d'Emballages LM.

«Pourquoi? Tout simplement parce que vous ne trouvez pas ces équipements sur le marché. Il fallait tout inventer», explique David Welsh.

L'industrie du carton a ses Jeux olympiques. Ils se tiennent tous les quatre ans. Cette année, la SuperCorrExpo se tenait à Orlando, en Floride.

L'événement rassemble quelque 5000 professionnels provenant d'une cinquantaine de pays.

Dans le cadre la SuperCorrExpo, l'innovation est dignement récompensée. Emballages LM y a remporté deux premiers prix.

L'un pour un emballage de bornes électriques fabriqué par Paber Aluminium, de Cap-Saint-Ignace, pour General Electric. L'autre pour un présentoir en carton ondulé conçu pour Garant - aussi de Saint-François-de-la-Rivière-du-Sud - afin que le fabricant d'outils puisse mettre en vedette ses pelles chez les détaillants.

En plus de ces deux médailles d'or, Emballages LM a remporté avec son présentoir fabriqué pour Garant le premier prix toute catégorie.

«Nous flottons sur un nuage depuis ce temps. Pour accroître notre notoriété dans l'industrie, cette reconnaissance n'a pas de prix», affirme David Welsh en soulignant que cet honneur tombe à point nommé étant donné qu'Emballages LM veut accroître ses parts de marché dans le reste du Canada. «Nous avons aussi des visées du côté du nord-est des États-Unis au cours des prochaines années.»


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Source
Le Soleil

2016-12-15

Une appli québécoise pour le voyage lève 82 millions $ en financement

De plus en plus populaire auprès des voyageurs qui veulent acheter leurs billets d'avion au meilleur prix possible, l'entreprise québécoise Hopper compte accélérer son développement à l'international et triplera son effectif au cours de la prochaine année, le faisant passer à plus de 120 employés.
 
Contrairement à des géants comme Expedia et Priceline, qui ont une forte présence sur le web, Hopper a séduit les voyageurs en proposant uniquement une application mobile. Par l'entremise d'algorithmes et de l'analyse de données massives, la société se targue d'être capable de prévoir le prix des billets d'avion jusqu'à un an à l'avance avec une précision de 95 pour cent.

«Il y a une sorte d'angoisse qui entoure l'achat des billets d'avion», explique le chef de la direction et cofondateur de Hopper, Frédéric Lalonde, en entrevue téléphonique depuis New York.

Dépendamment des prix au terme d'une recherche, Hopper suggère aux voyageurs soit de procéder à l'achat ou d'attendre pour obtenir un meilleur prix. L'application effectue un suivi de la recherche et prévient l'utilisateur en lui envoyant des alertes au moment opportun pour lui suggérer quand procéder à la transaction.

Pour accélérer sa croissance, l'entreprise, dont le siège social se trouve à Montréal, vient de compléter une nouvelle ronde de financement de 82 millions $ auprès d'actionnaires actuels de l'entreprise ainsi que de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), qui injecte 40 millions $ du montant.

«L'entreprise a un avantage concurrentiel sur les autres joueurs du secteur, qui sont surtout présents en ligne, explique le directeur principal, Fonds et Technologies, de la Caisse, Thomas Birch, au cours d'un entretien téléphonique. C'est une application qui vise les milléniaux (sic) âgés de 18 à 35 ans.»

Primée notamment par Google et Apple, Hopper est la deuxième application de voyage la plus populaire aux États-Unis, selon M. Lalonde, et elle compte 10 millions d'utilisateurs depuis son lancement, il y'a 18 mois. D'ici la fin de 2017, celui-ci espère multiplier de trois à cinq fois le nombre d'utilisateurs.

Quotidiennement, Hopper dit agir comme intermédiaire pour 1 million $ de billets d'avion vendus dans 126 pays. L'entreprise prévoit ajouter une vingtaine de pays en Europe, en Amérique du Sud ainsi qu'en Asie.

«Il y a un investissement à faire dans l'infrastructure d'analyse de données pour asseoir notre croissance, mais il faut également ouvrir des agences locales dans des pays où nos ventes sont élevées, explique M. Lalonde. La statistique la plus surprenante, c'est que le quart de nos ventes sont pour des billets dont le point d'origine est à l'extérieur des États-Unis.»

Hopper tire ses revenus principalement grâce à des compensations versées par des compagnies aériennes ainsi qu'un prélèvement de 5 $ sur chaque billet d'avion vendu.

«L'application ajoute tellement de valeur que les gens épargnent en moyenne 50 $ par billet, explique le dirigeant de l'entreprise. Les consommateurs sont très heureux de payer le 5 $.»

Pour l'instant, M. Lalonde écarte le scénario d'une acquisition pour Hopper. Il n'exclut toutefois pas une percée du côté de l'hébergement, ce qui, selon lui, est compatible avec le modèle d'affaires actuel. Par ailleurs, il n'est pas question de lancer un site internet pour imiter les grands joueurs du secteur.

Actuellement, les 40 employés de l'entreprise sont répartis entre Montréal et Boston, où Hopper s'est installée en 2012 pour être à proximité du Massachusetts Institute of Technology afin de profiter de ce bassin d'expertise.

«Le gros de la croissance va probablement se faire à Montréal, précise M. Lalonde. Toute notre infrastructure de données se trouve dans la métropole. D'ici un an, le nombre d'employés devrait croître de façon plus marquée.»

Hopper vient par ailleurs de doubler la superficie de ses bureaux situés dans le Mile-End et prévoit ajouter entre 10 000 et 15 000 pieds carrés supplémentaires au cours des deux prochaines années, affirme son grand patron.

L'entreprise compte également Investissement Québec, Brightspark Ventures, Accomplice, OMERS Ventures et BDC Ventures parmi ses actionnaires.


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Source
Le Soleil

2016-12-15

400 M$ pour transformer l’ancien Hôpital de Montréal pour enfants

Devimco Immobilier, qui a lancé Griffintown et qui a réalisé le quartier Dix30, à Brossard, s’attaque maintenant au redéveloppement du site de l’Hôpital de Montréal pour enfants, au coin de l’avenue Atwater et du boulevard René-Lévesque Ouest, à Montréal.

Le site, dont on ne conservera que l’ancienne maison des infirmières, un bâtiment de trois étages, est abandonné depuis que l’hôpital a été relocalisé au Centre de santé universitaire McGill au printemps 2015. Il comprendra six nouvelles tours, six de 20 étages (80 mètres) et une de 32 étages (120 mètres), celle-là développée par l’homme d’affaires Philip Kerub.

Le projet de 400 millions $, dont 325 millions $ pour la part du promoteur, misera sur une mixité d’usages: 600 condos, 800 appartements locatifs ou sociaux, un hôtel de 250 chambres, un centre et une salle communautaire, une bibliothèque, des salles multifonctionnelles, des espaces verts, des commerces de proximité et peut-être même une école de 18 à 21 classes. Il sera étudié par l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) dès que le conseil municipal l’aura adopté en première lecture, le 19 décembre prochain.

Cette étape ne devrait pas poser de problème parce que le promoteur a travaillé main dans la main avec la Ville dès le départ, ainsi qu’avec les groupes communautaires du village Shaughnessy.

Richard Bergeron, qui est responsable de la Stratégie centre-ville et Russell Copeman, qui est responsable de l’habitation, de l’urbanisme, de la gestion et de la planification immobilière et de l’OCPM, étaient d’ailleurs présents jeudi pour appuyer le projet lors de sa présentation.

«À ce stade-ci, le projet répond à nos attentes», a dit M. Bergeron, qui croit qu’il «peut encore être amélioré» lors de son étude par l’OCPM.

Serge Goulet, le président de Devimco Immobilier, a parlé d’un projet qu’il se prêtera aux demandes de l’OCPM. «Nous allons respecter les conclusions qui vont en découler», a dit l’homme d’affaires. Il pilote aussi un projet de développement de plus de 1 milliard $ en face du Dix30.

Devimco Immobilier, qui a racheté il y a deux semaines les actifs du site au promoteur immobilier Luc Poirier, porte le projet depuis près d’un an avec deux partenaires, le Fonds immobilier de solidarité FTQ et Fiera Financement Privé, une filiale de Corporation Fiera Capital.

Serge Goulet n’a pas caché qu’il aurait aimé pouvoir construire des tours plus hautes. «Au moins 10 mètres de plus, surtout que notre proposition comporte beaucoup d’espaces verts qui limitent l’occupation du sol, il faut donc monter plus haut pour que ce soit rentable», a-t-il mentionné.

Les travaux de démolition et de décontamination pourraient se mettre en branle dès 2017, le projet de construction s’étalant sur un horizon de cinq à sept ans.

Ce projet, qui n’a pas encore de nom, s’ajoutera aux condos construits ces dernières années dans le secteur, dont Le Séville, La Catherine et S sur le square. Bientôt, un promoteur lancera aussi son propre complexe sur l’ancien site des Franciscains, toujours dans le même secteur.


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Source
TVA Nouvelles

2016-12-07

Breather reçoit 40 M$ US pour ses espaces de travail

La Montréalaise Breather, devenue le plus important réseau d’espaces de travail et salles de réunion sur demande en quatre ans, a obtenu un financement de 40 millions $ US.

Il s’agit du plus gros investissement en capital de risque à Montréal. Et avec 73 millions $ US reçus depuis les premières phases de financement, cela en fait la start-up la mieux financée du secteur grandissant des espaces de travail sur demande.

Cette phase de financement a été menée par Menlo Ventures, la société de capital de risque derrière Uber, Tumblr, Warby Parker et Siri.

La Montréalaise Breather, devenue le plus important réseau d’espaces de travail et salles de réunion sur demande en quatre ans, a obtenu un financement de 40 millions $ US.

Il s’agit du plus gros investissement en capital de risque à Montréal. Et avec 73 millions $ US reçus depuis les premières phases de financement, cela en fait la start-up la mieux financée du secteur grandissant des espaces de travail sur demande.

Cette phase de financement a été menée par Menlo Ventures, la société de capital de risque derrière Uber, Tumblr, Warby Parker et Siri.

Ce que les investisseurs voient en Breather, c’est le Uber ou le Airbnb de son industrie, soit celui qui a le plus de chance de s’imposer comme numéro un, après quoi la compétition rame pour le rejoindre. «Il y a une compagnie qui gagne dans chaque industrie, et les investisseurs croient que ce sera Breather pour l’immobilier commercial, dit Julien Smith. Comme on dit, «winner takes all», le gagnant ramasse tout...»

Plein de gens essaient de bâtir un réseau comme celui de Breather. «La majorité n’a pas réussi. On n’est pas les premiers, mais on est les premiers pour lesquels ça fonctionne.»

Breather a débuté en 2012 par quelques espaces à Montréal. Elle en exploite aujourd’hui plus de 300 dans 10 marchés, incluant New York, San Francisco, Londres, Chicago, Washington, Los Angeles et Toronto.

Aucuns frais d’abonnement

Elle n’est évidemment pas la seule dans le marché florissant des espaces de travail locatifs ou collaboratifs. Mais son modèle s’apparente davantage à Airbnb qu’au géant WeWork, par exemple. Il n’y a aucuns frais d’abonnement ou de contrat à court ou long terme, ni d’espaces communs ou collaboratifs.

Breather offre une multitude de lieux, éparpillés dans les quartiers les plus denses des grandes villes. Elle verse un pourcentage des revenus générés par chaque espace au gestionnaire immobilier à qui il loue.


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Source
Le Journal de Québec

2016-12-07

Installations de Pointe-Noire : Québec scelle une entente avec le Port de Sept-Îles

(Sept-Îles) Québec pose un jalon de plus pour faire de Pointe-Noire un ancrage stratégique du Plan Nord en scellant une entente avec le Port de Sept-Îles, lui assurant un accès maritime pour les 20 prochaines années.
 
La Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire (SFPPN), l'entité créée après l'achat par l'État des actifs appartenant au géant minier Cliffs Natural Resources pour 66,75 millions $ en mars, a signé une entente commerciale avec le Port de Sept-Îles, à titre de nouveau client des installations portuaires.

Québec a mis la main sur les biens exploités par Cliffs avant l'arrêt de ses activités en 2014, dont un chemin de fer et des équipements de manutention du minerai, mais doit néanmoins emprunter les quais du Port pour expédier la production des compagnies minières, qui deviendront «partenaires» de la SFPPN, une société en commandite.

«Ça nous permet de geler une structure de coûts qu'on va connaître», s'est réjoui le directeur général de la société, Pierre Bolduc. «Quand je me retourne vers mes clients futurs, c'est beaucoup plus facile de faire des projections.» Québec veut développer Pointe-Noire, qui relie la fosse du Labrador à Sept-Îles, selon l'approche «multiusager».

De la musique aux oreilles du Port et du milieu économique régional, qui a longtemps eu de la difficulté à négocier les droits de passage avec Cliffs Natural Resources. «La Pointe-Noire, c'est un bijou, un territoire voué à de multiples opportunités», a fait valoir le président-directeur général du Port de Sept-Îles, Pierre D. Gagnon.

«Tout le monde gagnant»

En plus d'un coût de location, l'entente tiendra aussi compte «de la variable du tonnage». C'est-à-dire que plus la SFPPN expédiera du minerai des quais du Port, plus «tout le monde va être gagnant», assure M. Bolduc. Il faut rappeler que la fin des opérations de Cliffs a fait fondre le chiffre d'affaires du Port de 40 %.

«La conséquence [de l'achat par Québec], c'est qu'on vient permettre l'arrivée de plusieurs joueurs, poursuit M. Gagnon. Plus de bateaux pour le port, c'est aussi beaucoup plus de revenus et d'argent qui peut être réinvesti dans nos infrastructures.» Le nouveau partenariat prévoit d'ailleurs «une provision» pour la croissance du secteur.

«Il y a des modalités, des précautions aussi pour prévoir l'ajout d'équipements et de bâtiments», précise M. Gagnon. Dès 2017, la SFPPN prévoit entre autres la construction d'un convoyeur reliant les actifs de Pointe-Noire au mégaquai multiusager du Port de Sept-Îles, flambant neuf, qui n'a pas encore servi, construit pour 220 millions $.

Québec se dit toujours en discussions avec «plusieurs» joueurs miniers intéressés à utiliser les installations maintenant publiques. Pour l'heure, seul Tata Steel Minerals Canada a expédié, en octobre, un premier chargement de quelque 115 000 tonnes de minerai en provenance de la mine DSO, près de Schefferville.

Mais, la SFPPN «arrive au point final» de conclure des ententes avec de futurs partenaires, a laissé savoir M. Bolduc. Des sociétés comme Champion Iron Mines, qui vient d'acheter la mine du lac Bloom, Mine Arnaud et Alderon Iron Corp. ont toutes manifesté leur intérêt d'emprunter les actifs stratégiques.


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Source
Le Soleil

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