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Nouvelles

2016-11-18

Mason Graphite songe déjà à une deuxième usine

(Baie-Comeau) Mason Graphite n'a pas encore construit sa première usine à Baie-Comeau que l'entreprise songe déjà à en implanter une deuxième. Elle a confirmé mardi aller de l'avant avec une étude de faisabilité pour cette éventuelle usine de seconde transformation du graphite adjacente à son futur concentrateur projeté au parc industriel Jean-Noël-Tessier de Baie-Comeau.
 
Mason envisage déjà de produire à Baie-Comeau au début 2018 autour de 50 000 tonnes de concentré de graphite d'une grande pureté. La construction de ce concentrateur doit s'amorcer au début de l'année prochaine. Il sera alimenté par le minerai qui sera extrait de la mine de graphite du lac Guéret, près de 300 kilomètres au nord de Baie-Comeau. Ce premier projet est évalué à 165 millions $.

Mais le marché du graphite est plus grand que celui du concentré, confie le vice-président exécutif et chef de la direction financière chez Mason Graphite, Luc Veilleux, d'où cet intérêt pour pouvoir produire à grande échelle des produits à valeur ajoutée.

«Il y a des clients qui auront besoin du produit de première transformation, mais il y en a d'autres qui sont à la recherche de produits surtransformés selon leurs spécifications. Nos intentions sont donc d'ériger une usine [de seconde transformation]. Avant, on doit toutefois en démontrer la faisabilité, mais on est confiants», a-t-il soutenu.

Cette étude prendra la forme d'un programme de recherche appliquée en collaboration avec le Centre national de recherches du Canada (CNRC), qui financera d'ailleurs tout près de la moitié du coût de cette étude, évaluée à 1 070 000 $. Innovation et développement (ID) Manicouagan, le bras économique de la Ville de Baie-Comeau et de la MRC de Manicouagan, y contribue à hauteur de 107 000 $.

Le ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation du Québec accorde pour sa part 50 000 $. Le reste de la somme, autour de 400 000 $, proviendra des goussets de Mason Graphite.

Les recherches porteront entre autres sur les anodes de batteries lithium-ion (Li-ion) pour véhicules électriques ainsi que des produits adaptés à des applications techniques spécifiques comme les garnitures de frein, les piles alcalines et à combustible, les plastiques et les lubrifiants.


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Source
Le Soleil

2016-10-26

Plus de commerces dans la prochaine aérogare

(Québec) L'aéroport de Québec veut intégrer davantage de commerces à son aérogare en cours d'agrandissement. Une nouvelle boutique hors taxes, des comptoirs de nourriture et deux bureaux de change sont dans les cartons.
 
Un appel d'offres sera publié le 18 novembre par Aéroport de Québec inc. (AQi), la société privée à but non lucratif qui gère l'aéroport international Jean-Lesage, pour trouver des partenaires commerciaux.

«Les entreprises intéressées pourront soumissionner afin d'opérer des concessions d'aliments et boissons (foire alimentaire, restaurant avec service, restaurants-bar, bar-sandwicherie), un espace hors taxes, des boutiques commodités/spécialités et deux comptoirs de change», peut-on lire sur le site Internet de l'aéroport. Les offres devront être déposées au plus tard le 20 janvier.

Mathieu Claise, directeur des communications de l'aéroport de Québec, ne veut pas dire combien de nouvelles enseignes sont visées «par souci d'équité» envers les éventuels soumissionnaires. «Tout le monde doit avoir l'information en même temps.»


Superficie doublée

M. Claise avance tout de même que l'agrandissement de l'aérogare - la superficie doublera d'ici 2018 - incite l'organisation à «revoir complètement» son offre commerciale. Sur les maquettes rendues publiques, on peut voir une boutique hors taxes beaucoup plus spacieuse et des concessions alimentaires avec des airs de cafétéria, bar et café.

«AQi recherche une offre commerciale variée et digne de l'aéroport du futur qu'elle bâtit actuellement. Les concessionnaires devront s'assurer de faire vivre aux passagers une expérience inoubliable reflétant les tendances aéroportuaires actuelles en offrant une diversité de produits et services à saveur locale, mais aussi nationale et internationale», précise l'aéroport dans un texte répercuté sur des sites spécialisés.

«On veut rehausser l'expérience pour les deux millions de passagers que nous prévoyons accueillir en 2020», insiste M. Claise.

Impossible de savoir pour le moment ce qu'il adviendra de la petite boutique hors taxes, du Tim Hortons, du restaurant L'altitude et du bar installés dans la section existante du terminal, aménagée en 2008 et promise à un réaménagement en 2019.

L'agrandissement doit être terminé pour 2018. Les nouvelles concessions y ouvriront leurs portes graduellement jusqu'en 2019.


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Source
Le Soleil 

2016-10-24

Québec alloue 500 M$ pour appuyer les PME

Québec a annoncé lundi l'allocation de plus de 500 millions $ pour appuyer les PME dans leurs démarches d'exportation.
 
La ministre de l'Économie, Dominique Anglade, a rendu publique la Stratégie québécoise de l'exportation, qui inclut un montant de 536,8 millions $, dont 125,6 millions $ en nouveaux crédits, pour sa mise en oeuvre au cours des quatre prochaines années. Elle était entourée pour ce faire du ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles, Pierre Arcand, du ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs, Luc Blanchette, et de la ministre des Relations internationales et de la Francophonie, Christine St-Pierre.

Le gouvernement affirme avoir consulté près de 200 entreprises et organismes au cours de la dernière année, pour ensuite élaborer 21 mesures en réponse aux besoins exprimés par les PME.

Parmi ces mesures, Québec souligne la bonification de 25 millions $ du soutien financier aux entreprises pour faciliter la commercialisation des produits et services sur les marchés extérieurs par l'entremise du Programme Exportation et du Fonds à l'exportation du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation.

Le gouvernement souhaite également appuyer les entreprises dans leur virage vers le commerce électronique comme stratégie de pénétration de marchés extérieurs et dans la mise en place d'une vitrine technologique.


Allègement fiscal

Un allègement fiscal pour les grandes entreprises innovantes de l'ordre de 88,1 millions $ au cours des quatre prochaines années est aussi prévu.

«Notre objectif est d'arrimer le plus précisément possible l'offre de produits et services québécois aux occasions d'affaires mondiales afin que cette réussite commerciale profite à l'ensemble des Québécois», a déclaré la ministre Anglade.

Par communiqué, le Conseil du patronat du Québec a réagi en disant espérer que les initiatives du Québec soient en synchronisation avec celles du gouvernement fédéral pour qu'il n'y ait pas de dédoublement avec les programmes existants, mais davantage de convergence des outils et des moyens qui rendront les entreprises plus performantes.

«Il est trop tôt pour commenter la pertinence des différentes mesures annoncées ce matin, tout dépend de l'efficacité avec laquelle elles seront communiquées aux entreprises et à l'utilisation que celles-ci vont en faire. Mais il faudra s'assurer qu'elles soient connues et que leur modalité d'utilisation soit la plus simple possible pour ne pas détourner les efforts de nos entreprises visant à développer, fabriquer et offrir des produits et des services sur les marchés étrangers», a ajouté le président-directeur général du Conseil du patronat du Québec, Yves-Thomas Dorval.


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Source
Le Soleil

2016-10-19

Creaform: un nouveau siège social de 20 millions $ à Lévis

(Québec) Une surprise attendait les employés de Creaform mercredi après-midi. Leur patron les a conviés à une balade en autobus dans les rues de Lévis. Leur destination : l'Innoparc. Le lieu où s'érigera, au coût de 20 millions $, le nouveau siège social de l'entreprise spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation d'appareils d'inspection 3D portables utilisés dans le monde de la fabrication industrielle pour détecter les plus petites anomalies dans les pièces produites en usine.
 
«Même si nous avions annoncé à nos employés en juin dernier que nous planchions sur un projet d'expansion, le secret a été bien gardé», mentionne au Soleil le cofondateur et vice-président de Creaform, Martin Lamontagne.

Le siège social de Creaform a actuellement pignon sur rue dans le Vieux-Lévis. Les 205 personnes qui s'y activent - l'entreprise fait travailler 450 personnes en tout et partout à travers le monde - se rendaient bien compte qu'elles étaient de plus en plus à l'étroit dans leurs locaux.

En novembre 2017, lorsqu'ils pendront la crémaillère, les salariés de Creaform se retrouveront alors dans un édifice de 76 000 pieds carrés. Deux fois plus grand que le siège social actuel. La capacité de production pourra être multipliée par trois.

Quartier général de la compagnie, le siège social regroupera les activités de recherche et développement, celles de fabrication et d'assemblage de produits et les services d'ingénierie, de vente et de marketing.

«À notre arrivée sur la rue Saint-Georges, en juillet 2007, nous étions 130. Creaform n'a cessé de croître et nous n'avons pas l'intention de réduire la cadence. Nous voulons doubler nos ventes d'ici cinq ans, notamment en conquérant de nouveaux marchés et en lançant de nouveaux produits», assure Martin Lamontagne en indiquant que le chiffre d'affaires de l'entreprise - estimé à 115 millions $ - enregistrera une croissance supérieure à 30 % à la fin de 2016 par rapport à 2015.

Pour pourvoir des emplois à son nouveau siège social, Creaform prévoit embaucher 150 nouveaux travailleurs au cours des cinq prochaines années.

«Pour l'ensemble du groupe, nous allons recruter 60 nouvelles personnes en 2017», précise M. Lamontagne, soulignant que l'entreprise qu'il a mise au monde en compagnie de Charles Mony et Gilles Bernigaud est présente aux États-Unis, en France, en Allemagne, au Brésil, en Chine, au Japon, en Inde, en Corée et à Singapour.

Rappelons que Creaform fait partie de la famille d'Ametek depuis 2013. La société américaine spécialisée dans la fabrication d'instruments électroniques et d'appareils électromécaniques a déplié 120 millions $US pour mettre le grappin sur Creaform dont la clientèle pour ses scanneurs 3D provient de tous les horizons du monde de la fabrication industrielle, notamment du secteur de la construction automobile et celui de la santé.

Fidèle à Lévis

Au moment de choisir l'emplacement du nouveau siège social, Creaform a envisagé toutes les possibilités, notamment celle de traverser de l'autre côté du Saint-Laurent.

«La moitié de nos employés habitent la Rive-Nord. L'autre moitié, la Rive-Sud. Tous ont fait le choix de venir travailler à Lévis. En déménageant nos pénates à Québec, nous aurions alors forcé nos gens de la Rive-Sud à se déplacer, matin et soir, à Québec, un choix qu'ils n'ont pas fait au moment de prendre la décision de venir travailler pour nous. Demeurer à Lévis constituait alors le meilleur compromis pour tous. Nous minimisons ainsi les impacts sur nos travailleurs», explique Martin Lamontagne en ajoutant que Creaform tenait également à démontrer sa fidélité à Lévis. «C'est ici que l'on nous a donné notre première chance. Nous y retrouvons toutes les conditions gagnantes pour poursuivre notre ascension.»

Creaform ne sera pas propriétaire de l'immeuble sis au 4700, rue de la Pascaline, dans le nouveau parc à vocation technologique et scientifique de la Ville de Lévis. Le parc situé en bordure de l'autoroute 20 se trouve dans un secteur boisé doté de sentiers pédestres et de pistes cyclables.

Le bâtiment sera construit et géré par le Groupe commercial AMT, une propriété de l'homme d'affaires Jacques Tanguay.

Dans l'aménagement intérieur du siège social, l'accent sera mis sur le confort des travailleurs et sur la fonctionnalité. Il y aura une terrasse extérieure et une salle d'entraînement.

«Et nous laisserons les meilleures places, celles près des fenêtres, à nos employés!» insiste Martin Lamontagne, en soulignant que les bureaux des patrons se trouveront plutôt dans la partie centrale du quartier général.


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Source
Le Soleil

2016-10-19

Une première mine de diamant au Québec

Aux portes de la production commerciale pour son projet diamantifère Renard, à la baie James, dans le Nord-du-Québec, Stornoway (TSX:SWY) croit que sa mine peut être profitable avant la fin de 2017.
 
Inaugurée officiellement mercredi, la première mine de diamant à voir le jour au Québec devrait entrer dans la phase de la production commerciale d'ici le 31 décembre, affirme l'entreprise établie à Longueuil.

«Nous allons terminer le développement et nous espérons atteindre la profitabilité en 2017», explique le directeur et chef de l'exploitation de Stornoway, Patrick Godin, au cours d'un entretien téléphonique avec La Presse canadienne.

Située à 350 kilomètres au nord de Chibougamau, la construction du projet a débuté en juillet 2014 à la suite d'un financement de 946 millions $. L'État québécois détient une participation d'environ 30 % dans le projet, alors que la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) possédait, en date du 31 décembre dernier, 44,7 millions d'actions de la société minière, soit environ 5,4 % de l'actionnariat.


Prolongement de la route 167

Dans le cadre du Plan Nord, le gouvernement québécois a également largement contribué au financement du prolongement de la route 167 afin que la mine soit accessible tout au long de l'année.

Cela a permis à Stornoway de devancer de cinq mois son échéancier en plus d'abaisser de 36 millions $, à 775,4 millions $, son budget.

«Il n'y a que deux % des projets miniers au cours des 15 dernières années, dans le monde, qui ont été en mesure de respecter les budgets et échéanciers, note M. Godin. Au Québec, nous avons souvent mauvaise réputation là-dedans. Je pense qu'elle n'est pas méritée.»

D'une durée de vie évaluée à 14 ans, la mine Renard, lorsqu'elle aura atteint sa vitesse de croisière, devrait produire annuellement 1,6 million de carats, soit environ 2 % de l'offre mondiale.

Toutefois, le directeur et chef de l'exploitation de Stornoway n'écarte pas une augmentation de la production sur le site, qui compte actuellement 450 employés et jusqu'à 525 travailleurs en période de pointe.

«Au moment où nous allons stabiliser les activités de la mine et obtenir de la constance en ce qui a trait à la production, nous pourrons évaluer la possibilité d'augmenter la productivité», avance-t-il, sans fournir d'échéancier précis à ce chapitre.

La quasi-totalité des revenus générés par Stornoway proviendra des diamants de joaillerie, associés aux produits de luxe comme les bijoux.

Puisqu'il n'est négocié sur aucun marché, il est difficile d'obtenir un prix moyen. Toutefois, M. Godin dit avoir observé une baisse d'environ 15 à 20 % des prix depuis 2011.

«L'offre et la demande devraient favoriser les producteurs en 2020, estime-t-il. Maintenant, le taux de change nous avantage, la baisse du dollar canadien nous procure un avantage, puisque nous vendons en dollars américains.»

Stornoway n'a aucune obligation d'effectuer la transformation des diamants extraits du sol québécois. Ils sont plutôt vendus à Anvers, en Belgique - un des principaux marchés de la planète - par l'entremise d'encans.

M. Godin affirme cependant que la société n'hésiterait pas à faire affaire avec un acheteur québécois, si quelqu'un se manifestait.

«Polir des diamants demande beaucoup de crédit puisqu'il faut les acheter, explique-t-il. De plus, les marges sont assez faibles, puisqu'elles oscillent entre deux et trois %. Nous sommes un producteur et nous désirons obtenir le meilleur prix possible pour nos actionnaires, comme le gouvernement québécois et la Caisse.»

Autres sites

En parallèle, l'entreprise continue d'explorer sur trois autres sites, soit celui d'Adamantin, à une centaine de kilomètres du site de Renard, en Saskatchewan ainsi qu'au Nunavut.

M. Godin ne craint pas que Stornoway puisse maintenant faire l'objet d'une offre d'achat de la part d'un plus gros joueur du secteur minier, mais il ne peut pas écarter ce scénario avec certitude.

«C'est sûr que les risques d'exécution (de la mine Renard) sont derrière nous, concède-t-il. C'est l'un des risques d'être une compagnie publique et de se financier auprès des marchés.»

Quelques questions entourant le projet diamantifère Renard:

Qu'est-ce qu'une production commerciale?

Selon M. Godin, il s'agit d'atteindre une production d'au moins 60 % de la capacité pendant 30 jours consécutifs. Cela devrait permettre à Stornoway d'extraire 3600 tonnes de minerai par jour.

À quel moment l'extraction a-t-elle débuté?

Stornoway a commencé à traiter du minerai à son site diamantifère en juillet dernier, en avance par rapport à son objectif initial de la fin du mois de septembre. L'entreprise avait auparavant stocké 1 million de tonnes de minerai afin de soutenir sa phase de démarrage planifiée.

Combien de travailleurs se trouvent sur le site de la mine Renard?

Actuellement, Stornoway compte environ 450 travailleurs sur le site en plus de quelque 200 entrepreneurs, qui ne sont pas des employés directs de l'entreprise. À terme, le nombre d'employés de la société minière devrait osciller entre 500 et 525, d'après son directeur et chef de l'exploitation.

Quelle sera la capacité de production?

Au cours des 14 prochaines années - sa durée de vie - la mine devrait produire en moyenne 1,6 million de carats par an au prix moyen de 155 $ US le carat, selon les prix du diamant de mars dernier. Cela devrait générer, selon la minière, une marge d'exploitation de 59 %. Dès le début de 2018, du minerai sera obtenu en souterrain à partir de quatre paliers de production distincts allant jusqu'à 700 mètres sous la surface.


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Source
Le Soleil

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