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Nouvelles

2016-10-14

Un projet de 1,5 M $ à Saint-Léonard-d'Aston

(Saint-Léonard-d'Aston) Voulant continuer à conquérir les marchés internationaux, le Groupe PNF de Saint-Léonard-d'Aston peut réaliser son projet d'investissement de 1,5 million de dollars grâce à la contribution des deux ordres de gouvernement, qui totalise près de 775 000 dollars
 
Ayant déjà agrandi son usine de fabrication de filtres à air, l'entreprise entend acquérir des équipements spécialisés en plus de faire passer son nombre d'employés de 40 à 50.

D'abord, la ministre Julie Boulet a annoncé l'attribution d'une aide financière de 373 750 $ par l'entremise du Fonds de diversification économique du Centre-du-Québec et de la Mauricie.

«Notre gouvernement est fier de soutenir les entreprises du secteur manufacturier innovant, telles que le Groupe PNF, qui sont bel et bien engagées dans l'atteinte de notre objectif commun visant à diversifier et à stimuler davantage l'économie régionale», a-t-elle indiqué.

D'ailleurs, celle-ci a tenu à rappeler que le Fonds découlant de la fermeture de Gentilly-2 constitue un important levier de croissance permettant aux entreprises de réaliser des projets créateurs de richesse.

«À ce jour, on compte 172 projets qui ont généré des investissements de 283 millions de dollars», a fait savoir la députée de Laviolette.

Pour sa part, le secrétaire parlementaire du ministre responsable de Développement économique Canada (DEC), Greg Fergus, a confirmé un soutien financier de 400 000 dollars provenant du Programme de développement économique du Québec de DEC.

«Le gouvernement du Canada s'est engagé à établir des partenariats étroits avec les entreprises du Québec afin d'appuyer les efforts déployés pour accroître leur productivité et leur compétitivité dans les marchés d'exportation», a-t-il déclaré.

Fondé en 1995, le Groupe PNF oeuvre dans le secteur de la conception et de la fabrication de filtres à air lavables destinés aux manufacturiers de systèmes de ventilation, de hottes de cuisinières, de système de chauffage, de déshumidificateurs, de climatiseurs, de purificateur d'air et de balayeurs de rue.

«On peut poursuivre nos développements de marché au Canada et à l'international, en amélioration notre productivité et notre gamme de produits», a conclu l'un des propriétaires du Groupe PNF, Yan Nadeau, évoquant une entente prometteuse avec une entreprise allemande pour un filtre antigoutelettes.


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Source
Le Nouvelliste

2016-10-14

Des dollars de Desjardins pour Unicoop et Citadelle

(Québec) «Ce n'est pas parce que nous gérons une coopérative qu'il faut penser petit!»
 

Directeur général et chef de la direction d'Unicoop, Gaétan Roger voit grand.

«Avec la vente de RONA, le marché de la quincaillerie entre dans une phase de consolidation. Il sera impossible de maintenir sur le territoire le nombre actuel de quincailleries. Il va y avoir des opportunités pour nous», affirme M. Roger en rappelant qu'Unicoop - un secteur d'affaires de la Coop fédérée - avait fait l'acquisition du Groupe BMR, en février 2015, ce qui plaçait la coopérative au deuxième rang parmi les grands joueurs dans le marché québécois de la quincaillerie et des matériaux de construction.

Martin Plante, directeur de la coopérative de production de sirop d'érable Citadelle, a faim lui aussi.

Déjà présente dans une quarantaine de pays dont en Chine où ses produits sont vendus sur le site Internet de commerce électronique Alibaba, la coopérative rêve à de nouveaux marchés, notamment l'Inde.

«Nous nous y intéressons depuis plusieurs années. Nous n'avons pas encore vendu un seul conteneur. C'est long. Nous n'abandonnons pas. Il a fallu une décennie pour pénétrer le marché chinois», explique M. Plante.

Pour aider les deux coopératives à continuer de voir grand, une coopérative - financière celle-là - déplie les billets verts. Capital régional et coopératif Desjardins (CRCD) investit 6,5 millions $ dans Citadelle et 2,5 millions $ dans Unicoop.

«Ça s'appelle de l'intercoopération et ça me rend extrêmement fier, car nous contribuons à la vitalité économique des régions et à protéger la propriété québécoise de nos entreprises», témoigne Guy Cormier, le nouveau président et chef de la direction du Mouvement Desjardins qui était présent, mercredi, à la conférence de presse soulignant la participation de CRCD dans le capital des deux coopératives en pleine expansion. Une annonce faite dans le cadre du Sommet international des coopératives qui se tient à Québec jusqu'à jeudi.

Des 410 organisations qui ont bénéficié des dollars du CRCD au cours des 10 dernières années, 35 sont des coopératives. Pour assurer leur survie ou pour les aider à grandir, elles ont reçu 177 millions $. «Nous pourrions en faire davantage pour les coopératives», reconnaît le chef de l'exploitation de Desjardins Entreprises Capital régional et coopératif, Luc Ménard.

CRCD, c'est une cagnotte de 1,6 milliard $ à laquelle contribuent quelque 100 000 actionnaires.

Les moyens de leurs ambitions

Au cours des dernières années, Unicoop a investi 20 millions $ pour améliorer ses infrastructures.

«L'investissement de 2,5 millions $ du CRCD dans le capital de la coopérative nous permet de rééquilibrer notre bilan, précise Gaétan Roger. Nous nous donnons les moyens pour poursuivre nos investissements stratégiques et pour saisir les opportunités d'affaires - que ce soit par des acquisitions ou par des partenariats - qui pourraient se présenter.»

Pour Gaétan Roger, le recrutement de la main-d'oeuvre demeure le principal défi de son organisation qui a aussi la mission d'accompagner les producteurs dans l'intégration des nouvelles technologies à la ferme.

En plus de vendre son sirop d'érable à l'étranger, Citadelle propose aussi du miel et des canneberges. «Le défi, c'est de faire connaître nos produits et leurs valeurs nutritionnelles. Il y a encore des gens qui pensent que l'érable vient des abeilles!» fait remarquer Martin Plante.

«Le soutien financier du CRCD va nous permettre de poursuivre notre croissance et nos efforts en matière de diversification et d'innovation. Nous avons le levier qu'il faut pour relever les nouveaux défis qui se présentent à nous.»


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Source
Le Soleil

2016-10-05

Olymel prévoit créer 160 emplois à Vallée-Jonction

(Québec) Deux mois après avoir annoncé la suppression de 340 postes à son usine de Saint-Hyacinthe, Olymel, une filiale de la Coop fédérée, investit 3 millions $ et prévoit créer 160 emplois à son établissement de transformation de porc de Vallée-Jonction en Beauce.

«Nous avons un plan de développement. Cela s'inscrit dans la continuité de notre réorganisation de notre secteur du porc frais dans l'est du Canada», indique au Soleil le premier vice-président chez Olymel, Paul Beauchamp, concédant qu'il s'agit d'une partie des activités réalisées à l'usine de Saint-Hyacinthe qui seront transférées au cours des prochains mois en Beauce. «Les activités de Saint-Hyacinthe sont dirigées vers les usines où on fait de l'abattage, à Saint-Esprit, à Yamachiche et à Vallée-Jonction», poursuit-il.

L'investissement d'Olymel servira notamment à l'installation d'une table de désossage de fesses de porc. Afin d'accueillir les nouveaux équipements, des travaux de réaménagement de la salle de découpe et d'entreposage de produits frais réfrigérés devront être effectués. Le désossage de fesses de porc représente une nouvelle activité pour cet établissement qui dessert notamment le marché japonais pour lequel il produit du porc frais réfrigéré (chilled pork). Les travaux devraient débuter en novembre et se terminer en février 2017.

«Cet investissement permettra à l'usine de Vallée-Jonction de continuer de servir ses marchés avec une plus grande efficacité. [...] L'addition de 160 nouveaux emplois qui s'ajouteront à l'effectif actuel portera à près de 1200 le nombre d'employés de notre établissement de Vallée-Jonction», a commenté le président-directeur général d'Olymel, Réjean Nadeau, notant que l'entreprise est actuellement en période de recrutement.

250 millions $ depuis 2015

Depuis 2015, Olymel a sorti de ses coffres près de 250 millions $ pour moderniser ses installations afin d'augmenter sa production tant dans son secteur du porc que dans celui de la volaille et pour prendre de l'expansion. Cet été, l'entreprise a notamment annoncé un investissement de 11 millions $ qui allait permettre la création d'une trentaine d'emplois à son usine de Saint-Henri, dans Bellechasse. À Yamachiche, en Mauricie, Olymel et le Groupe Robitaille ont également annoncé au mois d'août des investissements de 80 millions $ afin de regrouper les activités de deux usines.

«En parallèle, on a aussi investi dans les Fermes boréales au Témiscamingue. Ce sont une série de maternités [porcines]. On va investir avec nos partenaires près de 50 millions $ en Abitibi», rappelle Paul Beauchamp. La ferme de Fugèreville a été la première de cinq maternités collectives à être réalisées au Témiscamingue. La deuxième est actuellement en construction.

Et d'autres annonces pourraient avoir lieu au cours des prochains mois. Lors d'une entrevue en septembre, Olymel a confié regarder au sud de la frontière canadienne pour acquérir à moyen terme une entreprise de charcuteries. «Je mentirais de dire que nous n'avons pas d'autres projets. C'est une période où il se passe beaucoup de choses», s'est contenté de dire M. Beauchamp.

Au Canada, Olymel, qui a été fondée en 1991, emploie près de 11 000 personnes, dont plus de 8000 au Québec. Le chiffre d'affaires de l'entreprise, qui compte des clients aux États-Unis, au Japon et en Australie ainsi que dans plus de 65 pays, est d'environ 3 milliards $.

Outre au Québec, la compagnie possède des installations en Ontario, en Alberta, au Nouveau-Brunswick et en Saskatchewan.

Les activités de l'usine de Saint-Hyacinthe devraient se poursuivre jusqu'en septembre 2017.


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Source
Le Soleil

2016-10-05

Pointe-Noire : Québec vise 14,5 millions de tonnes de minerai d'ici trois ans

(Sept-Îles) Le premier minéralier chargé au quai de Pointe-Noire n'a pas encore repris la mer que Québec aspire à faire transiter via ses nouvelles installations de Sept-Îles un volume de 14,5 millions de tonnes de minerai d'ici trois ans. C'est plus de la moitié que tout ce que le Port de Sept-Îles a expédié en 2015.

«La Côte-Nord est une région fondamentale dans ce qu'on veut faire avec le Plan Nord», a lancé le ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles, Pierre Arcand, en visite mardi à la Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire, l'entité créée avec l'achat par l'État des actifs miniers de Cliffs Natural Resources pour 66,75 millions $, en mars.

«C'est une région qui est la porte d'entrée du secteur est du territoire nordique, a-t-il poursuivi. Qui donne accès à un territoire avec un excellent potentiel minéral, celui de la fosse du Labrador.» C'est que l'achat de Québec comprend le chemin de fer Arnaud, le seul qui rejoint le tracé de QNS&L du Labrador vers la Pointe-Noire et le port de mer.

En 2019-2020, le gouvernement évalue que ses équipements manutentionneront quelque 14,5 millions de tonnes de minerai. «C'est une possibilité bien réelle, assure M. Arcand. Évidemment, nous sommes tributaires des marchés, mais une chose est certaine : il y a un intérêt marqué [pour le Québec et ses ressources]», ajoute-t-il.

Prévisions de Tata Steel

Les visées de Québec se fondent entre autres sur la production anticipée par Tata Steel Minerals Canada (TSMC), qui a commandé le premier bateau de Pointe-Noire, et de Champion Iron, qui vient de racheter la mine du lac Bloom. «[Il y en a] d'autres aussi, il faut voir de quelle façon ces entreprises sont en train d'évoluer», a précisé M. Arcand.

TSMC pourrait à elle seule produire jusqu'à huit millions de tonnes si le marché le permet d'ici trois ans. «L'acquisition du gouvernement du Québec est un pas dans la bonne direction», a affirmé le président et chef de la direction de la société, Rajesh Sharma. «Qui permettra le succès du Plan Nord et attirera d'autres investissements miniers.»

La Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire doit d'ailleurs conclure des ententes avec les minières pour créer une société en commandite. Pour l'heure, Investissement Québec possède encore la totalité des actifs. Impossible de connaître la teneur des négociations à ce stade, mais l'État dit «faire le maximum pour faire avancer les choses».

Le raccordement des installations au quai multiusager du Port de Sept-Îles, voisin du quai de Pointe-Noire, est aussi dans les cartons de Québec, qui a réservé 15 millions $ pour les travaux, auxquels les futurs utilisateurs devront contribuer. «Pour le convoyeur, on est prêt à dépenser cet argent-là, mais on veut le faire avec prudence», prévient le ministre.

«On veut s'assurer que le niveau de production va justifier la dépense, c'est quand même l'argent des citoyens.» Tata Steel envisage pour sa part d'être en selle pour utiliser l'infrastructure de classe mondiale, construite au coût de 220 millions et payée à moitié par des sociétés minières, dont Tata Steel, en 2017.

Le redémarrage des anciens équipements de Cliffs Natural Resources à Pointe-Noire, qui n'avaient pas fonctionné depuis le dernier chargement de la mine du lac Bloom en janvier 2015, a entraîné le rappel d'une quarantaine d'ex-employés de la minière.


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Source
Le Soleil

2016-09-30

La Bourse de Montréal sera relocalisée dans la Tour Deloitte

Cadillac Fairview et le Groupe TMX ont signé un bail à long terme pour la relocalisation de la Bourse de Montréal dans la Tour Deloitte en 2018. Celle-ci sera au cœur du «Quad Windsor», ce quartier du centre-ville de Montréal qui se développe autour du Centre Bell et de la gare.

La Bourse de Montréal y sera en compagnie des bureaux montréalais de la Caisse canadienne de dépôt de valeurs, de la Corporation canadienne de compensation de produits dérivés, de la Bourse de Toronto et de la Bourse de croissance TSX. Ils occuperont quelque 44 000 pieds carrés répartis sur deux des 26 étages que compte cette tour de bureaux.

Les travaux pour adapter l'espace aux besoins de ces futurs locataires vont débuter cet automne.

Les bureaux de la Bourse de Montréal sont actuellement au 800, Square-Victoria.

Cadillac Fairview s’est dite «fière» d'accueillir le Groupe TMX dans la Tour Deloitte. Il s’agit de la première tour de bureaux à vocation exclusivement commerciale détenue et financée par une société privée à être construite en plus de 20 ans à Montréal.

C’est aussi le premier immeuble de bureaux à être certifié LEED Platine dans la métropole.


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Source
TVA Nouvelles

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