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Nouvelles

2016-09-08

IKEA va ouvrir un magasin à Québec

La chaîne de magasins IKEA fait un véritable retour à Québec, avec l’annonce de la construction d’un grand magasin qui accueillera ses premiers clients à l’été 2018.

Depuis décembre dernier, la région de Québec était desservie par un centre de cueillette dont l’activité a surpassé les attentes de la direction, au point d’être le plus actif au monde.

«Nous nous sommes rendu compte dès l'ouverture de notre emplacement de cueillette et de commande de Québec que les habitants de la ville sont de fervents partisans de la marque IKEA», a affirmé David McCabe, directeur par intérim d'IKEA Canada, lors de l’annonce jeudi matin.

Le magasin fera 340 000 pieds carrés, soit l’équivalent de cinq terrains de football. Il comptera un restaurant, une salle d'exposition, un hall de marché et une salle de jeux.

Le commerce sera construit au sud de l’intersection des autoroutes 50 et 540, dans le secteur de Sainte-Foy, sur un terrain qui a déjà été utilisé comme dépotoir. La Ville de Québec va contribuer à sa décontamination.

Le magasin emploiera environ 300 personnes et on estime que 100 autres emplois indirects seront créés par son activité.

La chaîne d'ameublement avait déjà été présente à Québec, au Centre Lebourgneuf, mais elle avait fermé son établissement en 1996.

IKEA prévoit construire 12 magasins au Canada en 10 ans, portant à 24 le nombre total de magasins au Canada. En janvier, un premier nouveau magasin dans le cadre de cette expansion avait été annoncé à Halifax.


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Source
TVA Nouvelles

2016-09-08

Québec s'entend avec Uber

Le gouvernement du Québec a confirmé en milieu de nuit, jeudi, qu'une entente en matière de covoiturage urbain avait été conclue sur les termes d'un projet pilote avec l'entreprise Uber. Les détails n'ont toutefois pas été communiqués.
 
Le ministre des Transports, Laurent Lessard, a néanmoins assuré dans un communiqué que la compagnie avait accepté de faire des concessions à son modèle d'affaires afin de se conformer aux lois et règlements en vigueur au Québec.

Un peu moins de deux heures avant que l'accord ait été annoncé par Québec, le directeur général d'Uber Québec, Jean-Nicolas Guillemette, avait lui aussi rapporté qu'une entente de principe avait été conclue afin d'encadrer le covoiturage urbain à travers le Québec.

M.Guillemette avait aussi indiqué qu'Uber allait maintenir ses opérations dans la province «pour le moment» afin notamment de «démontrer au gouvernement» sa capacité à évoluer au sein «d'une industrie réglementée».

Uber devait s'entendre avec le gouvernement sur un éventuel projet pilote avant l'entrée en vigueur d'une nouvelle loi sur le transport des personnes ce jeudi 8 septembre.

«Je demeure sous l'impression qu'une entente est encore possible, mais le temps passe», avait déclaré le premier ministre Philippe Couillard mercredi en fin d'après-midi, en marge du caucus de ses députés en vue de préparer la rentrée parlementaire, à Gatineau.

Uber tient à ce que ses chauffeurs puissent prendre le volant quand bon leur semble, pour le temps qu'ils veulent, dans la zone qu'ils veulent, avait mentionné le ministre, ce qui nuirait aux détenteurs actuels de permis de taxi, avait-il poursuivi.

«Si personne n'a de limites, cela fait donc en sorte qu'il y a moins de travail pour les autres», avait-il résumé avant de se lancer dans une analogie.

«J'ai dit à Uber: ''Vous voulez faire les hamburgers de McDonald's, ceux de Burger King, ceux de Harvey's, en plus de vos propres hamburgers. Donc, quand vous voulez faire tous les hamburgers, il y a peut-être un problème pour ceux qui en font déjà.''»


Saisir les véhicules

Le ministre avait rappelé que les activités de la multinationale étaient illégales et il avait donné instruction à la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ) de sévir à compter de l'entrée en vigueur de la nouvelle loi, en suspendant les permis et en saisissant les véhicules des conducteurs d'Uber.

Le ministre Lessard avait laissé entendre mercredi que les positions de Québec et d'Uber étaient difficilement conciliables. Dans le communiqué qu'il a émis jeudi, il a soutenu que l'entente respectait les paramètres requis pour qu'Uber opère un service de taxi au Québec.

Le ministre a aussi assuré qu'il surveillerait le respect de cette entente avec une grande rigueur.

Les chauffeurs de taxi attendent de pied ferme l'entrée en vigueur de la loi et la fin des négociations. Si Uber poursuivait ses activités sans se conformer à la législation, l'industrie du taxi entendait lancer son plan d'action incluant des mesures concrètes de délation sur le terrain et des moyens juridiques.

La proposition initiale d'Uber prévoyait des conditions beaucoup plus souples et moins coûteuses pour ses conducteurs que pour les chauffeurs de taxi.

L'entreprise se disait prête à payer la taxe sur les produits et services (TPS) et la taxe de vente du Québec (TVQ) et à financer un fonds de compensation, sans toutefois vouloir acheter des permis de taxi au prix actuel du marché.

Le parcours du gouvernement Couillard pour aboutir à son projet de loi a été semé d'embûches. Après de nombreuses consultations et même la disgrâce du ministre Robert Poëti au profit de Jacques Daoust, le gouvernement a dû faire face à une contestation des jeunes libéraux qui ont pris ouvertement le parti d'Uber contre un projet de loi qu'ils jugeaient trop restrictif.

Le projet de loi 100 donne carte blanche au ministre pour accepter des projets pilotes sous toutes les formes, ce qui risque de relancer la guerre avec les chauffeurs de taxi qui réclament un régime unique pour tous.


Un permis de classe 4C

Le projet de loi 100 oblige tous les chauffeurs à avoir un permis de conduire de classe 4C, spécifiquement réservé aux taxis, ce qui nécessitera une vérification de leurs antécédents judiciaires et une formation en service à la clientèle.

Toutes les voitures qui servent à des activités de taxi devront avoir une plaque d'immatriculation désignée comportant la lettre T.

Les chauffeurs d'Uber, qui étaient exemptés d'une portion de la perception des taxes à titre de travailleurs autonomes, devront acquitter les montants de TPS et de TVQ relatifs à leurs activités, au même titre que les autres. Actuellement, Québec estime ses pertes annuelles en taxes et impôts à approximativement 20 millions $.


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Source
Le Soleil

2016-09-02

Umano Medical rafle un contrat de 53,2 M$ pour des lits d'hôpitaux

(L'Islet) Déterminée à faire mentir l'expression «Nul n'est prophète dans son pays», Umano Medical y rêvait, à ce contrat. C'est maintenant dans le sac.
 
L'entreprise de L'Islet fournira les lits médicaux pour tous les hôpitaux du Québec au cours des cinq prochaines années.

Avec la fourniture de pièces et les options pour les deux dernières années de l'entente avec le ministère de la Santé et des Services sociaux, il s'agit d'un contrat qui pourrait totaliser 53,2 millions $.

«Nous produirons entre 1700 et 2000 lits médicaux par année pour les hôpitaux du Québec», a indiqué, jeudi, le président de la compagnie, Christian Cariou, à l'occasion d'une conférence de presse au cours de laquelle la ministre de l'Économie, de la Science et de l'Innovation, Dominique Anglade, a annoncé l'octroi de prêts totalisant un peu plus d'un million de dollars à Umano Medical. L'entreprise planche déjà depuis quelques mois sur un plan de développement de 8 millions $ visant à moderniser ses installations et à accélérer ses efforts de commercialisation à l'échelle internationale.

«Ce contrat avec le ministère de la Santé et des Services sociaux est très important pour nous. Il nous assure un bon niveau de production pour les prochaines années», a mentionné M. Cariou.

À court terme, l'entente permettra à Umano Medical d'accroître de 40 % sa production de lits médicaux.

«L'an prochain, elle pourrait atteindre entre 4000 et 4500 lits. Nous avons la capacité d'en produire jusqu'à 20 000 par année», a précisé le président de la compagnie qui ne cachait pas sa fierté et celle des 90 employés de l'entreprise d'avoir décroché ce contrat. «Ç'a toujours été important, pour nous, de percer le marché québécois. Ça nous procure une belle carte de visite lorsque nous rencontrons des clients étrangers. Ils constatent que nous sommes des joueurs importants dans notre marché naturel. C'est à nous, maintenant, de livrer des produits de qualité et un service impeccable aux hôpitaux.»

Création de 120 emplois

Le plan de développement d'Umano Medical prévoit la création de 120 nouveaux emplois directs au cours des cinq prochaines années.

C'est en misant sur l'innovation que l'entreprise de L'Islet entend tirer son épingle du jeu.

Une stratégie qui lui a notamment permis de conclure des partenariats commerciaux au Brésil et en Arabie Saoudite, de gruger des parts de marché à ses concurrents au Canada et aux États-Unis et d'établir des ponts avec des organismes de groupement d'achats dans le secteur de la santé ici et chez nos voisins du sud.

L'entreprise a notamment investi 2,5 millions $ pour mettre au monde la «Cadillac» des lits médicaux, le Ook Snow. Un lit plus bas, plus facile à nettoyer et doté d'un système de détection qui avertit le personnel soignant si le patient tente de se lever alors que son état l'interdit.

Depuis le lancement de son premier produit-vedette, Umano Medical n'a cessé de le peaufiner, d'y ajouter de nouvelles fonctionnalités et de nouveaux accessoires.

«Il faut accompagner nos bons joueurs», a fait valoir Dominique Anglade.

«L'industrie québécoise du matériel médical répond en tous points aux critères d'une économie fondée sur le savoir, guidée par la nécessité d'innover et tournée vers les marchés extérieurs.»

Une entreprise qui revient de loin

La ministre de l'Économie, de la Science et de l'Innovation n'a pas manqué de souligner qu'Umano Medical revenait de loin. De très loin.

Propriété de la multinationale de la sous-traitance Flextronics, l'entreprise avait fermé ses portes en 2010 laissant 300 travailleurs sans emploi.

Quatre anciens dirigeants de la compagnie, Christian Cariou, Robert Dion, Ghislain Demers et Denis Bourgault, ont reparti la machine en 2012.

Député de la circonscription Côte-du-Sud à l'Assemblée nationale, Norbert Morin, a vanté la détermination démontrée des quatre actionnaires d'Umano Medical.

«L'entreprise a été sauvée par quatre gars qui avaient décidé, eux, qu'elle ne fermerait pas ses portes. Pour réussir ce tour de force, ils se sont battus comme ça n'a pas de maudit bon sens!»


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Source
Le Soleil

2016-09-02

6 M$ pour exporter les vertus du bleuet nordique

(Sept-Iles) Le bleuet nordique pourrait bien exporter ses vertus à travers le monde. C'est du moins ce que vise l'entreprise Phytimpact, qui planche sur la transformation du petit fruit pour en faire une référence dans l'industrie nutraceutique, un projet ambitieux de plus de 6 millions $.
 
Spécialisé en biotechnologie, Phytimpact voit grand pour le bleuet de Sept-Îles. Si bien que la jeune entreprise a acquis, l'an dernier, une bleuetière de 220 hectares dans le secteur de Moisie, à l'est de la municipalité. «On commence à élaborer des produits qui proviendront du 50e parallèle», assure le président, Laurent Morin.

Lui et ses deux partenaires, tous trois de Sept-Îles, ont déjà entamé l'agrandissement de leur propriété pour atteindre une superficie exploitable de 750 hectares d'ici cinq ans et lancent une étude de faisabilité pour implanter sur leur site, une usine d'extraction des ingrédients actifs. Les premières livraisons sont prévues à l'automne 2017.

«Notre but, c'est de transformer le bleuet et lui donner une très grande valeur ajoutée», explique M. Morin. Une entente «avec un important distributeur qui a des ramifications aux États-Unis et en Asie» a d'ailleurs déjà été conclue assure le président, et une autre est en voie de l'être, cette fois dans le domaine du cosméceutique.

«Le positionnement stratégique du 50e parallèle, qui représente la pureté, les grands espaces et un endroit unique de culture, attire nos clients et donne à notre région un atout indéniable», assure Phytimpact. «Tout porte à croire qu'on a vraiment un produit unique», ajoute M. Morin, au sujet du bleuet nordique.

L'entreprise mise par ailleurs sur la recherche pour préciser davantage la teneur des ingrédients actifs du petit fruit, déjà reconnu comme étant un antioxydant. L'équipe est appuyée d'une scientifique pour assurer son développement. Pour l'heure, Phytimpact prévoit produire une poudre de bleuet de base.

Bien accueilli

La Ville de Sept-Îles et sa corporation économique, qui offre un soutien à Phytimpact, se réjouissent du projet sur la table à dessin. «La recherche et développement, notre avenir passe par là», a indiqué le maire, Réjean Porlier. «En plus, travailler avec une ressource renouvelable, bien on assure la pérennité. C'est un très bon signal.»

D'ici cinq ans, Phytimpact espère avoir généré des investissements de plus de 6 millions $ à Sept-Îles, notamment avec l'aménagement d'une nouvelle usine d'extraction, qui devrait être aménagée en 2017. L'entreprise, fondée en 2013 à Lévis, doit créer 30 emplois «à ses débuts».


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Source
Le Soleil

2016-08-12

Cimenterie de Port-Daniel

En allongeant 125 millions de plus, la Caisse de dépôt prend le contrôle

Les Beaudoin-Bombardier deviennent des partenaires minoritaires au sein du holding qui possède Ciment McInnis

Afin d’éponger des dépassements de coûts de près de 40 % sur une enveloppe initiale de 1,1 milliard, la Caisse de dépôt réinjecte 125 millions et prend le contrôle de Ciment McInnis. Le refinancement total du projet controversé atteint les 250 millions, s’appuyant sur l’arrivée d’un nouveau partenaire financier dans la cimenterie gaspésienne.
 
La valeur du projet Ciment McInnis à Port-Daniel atteint désormais 1,5 milliard, confirmant les dépassements de coûts de quelque 400 à 450 millions reconnus en juin dernier. Le nouveau financement de 250 millions « est suffisant pour compléter le projet », souligne la Caisse de dépôt et placement du Québec dans son communiqué.
 
L’injection additionnelle de la Caisse prend la forme d’actions privilégiées. L’autre portion de 125 millions est consentie par le gestionnaire de fonds BlackRock Alternative Investors, sous forme d’une débenture, dont les modalités n’ont pas été précisées.
 
L’engagement total de la Caisse atteint désormais les 265 millions. L’institution avait pris une participation initiale de 100 millions dans le capital-actions du holding Beaudier Ciment, principal actionnaire de Ciment McInnis. Dans la foulée de l’annonce des dépassements de coûts, des investissements additionnels en équité avaient été effectués par les actionnaires de Ciment McInnis, « comme prévu dans l’entente d’investissement initiale », ajoute la Caisse, dont la contribution additionnelle était alors évaluée à 40 millions.
 
Du côté d’Investissement Québec, la participation initiale comprenait un investissement de 100 millions en capital-actions et un prêt garanti subordonné de 250 millions portant intérêt. Québec avait rejeté toute injection additionnelle dans l’aventure.
 
Avec sa mise supplémentaire annoncée jeudi, le gestionnaire québécois prend le contrôle du holding Beaudier Ciment, avec une participation de 55 %, contre 45 % pour la famille Beaudoin-Bombardier. Auparavant, cette répartition était inversée. La Caisse occupe également 7 des 11 sièges du conseil d’administration de la cimenterie.
 

Les conditions de la Caisse
 
« Il y avait dépassement de coûts. Nous avions dit que, s’il fallait réinvestir, ça se ferait à nos conditions. Nous le voyons », a déclaré Maxime Chagnon, directeur principal, Relations médias à la Caisse. « Dans une condition difficile, on a agi pour protéger la rentabilité de notre investissement et le capital de nos déposants. » L’annonce de jeudi « est une réponse à cela ».
 
Malgré cette hausse marquée de la valorisation, malgré l’ajout d’une débenture au passif, la Caisse de dépôt maintient ainsi sa croyance en la rentabilité du projet. On y croit davantage, « maintenant qu’on a pris le contrôle », précise Maxime Chagnon.
 
L’institution souligne dans son communiqué qu’elle a procédé à une réévaluation en profondeur des perspectives de rentabilité du projet « à la lumière des dépassements de coûts importants […] et pour protéger le capital de ses déposants ». Elle évoque les « qualités fondamentales de la cimenterie » et « de meilleures conditions de marché en Amérique du Nord qu’au moment de l’investissement initial ».
 
Au début du mois, le conseil d’administration de McInnis avait annoncé un remaniement de sa direction et le départ de son grand patron, Christian Gagnon. Un processus de recrutement international est en cours pour embaucher un nouveau p.-d.g. et, dans l’intervalle, un comité de direction a été mis sur pied, sous l’influence de la Caisse. « Nous croyons que ce projet bénéficie de fondamentaux de haute qualité. Pour cette raison, la Caisse a conclu une entente de changement de contrôle avec Beaudier. Avec la nouvelle équipe de direction et la nouvelle structure du capital que nous annonçons aujourd’hui, Ciment McInnis sera en mesure de saisir des occasions d’affaires attrayantes et de générer des rendements pour les clients de la Caisse », a déclaré Christian Dubé, premier vice-président, Québec de l’institution.


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Source
Le Devoir

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