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Nouvelles

2017-07-13

Lac Bloom: Champion obtient des emprunts de 180 M $US

Champion Iron Limited est parvenu à décrocher des emprunts de 180 millions $US (229 millions $CAN), qui serviront à financer le redémarrage des opérations à la mine de fer du lac Bloom, près de Fermont. De cette somme, 100 millions $US (127 millions $CAN) proviennent du bas de laine des Québécois, la Caisse de dépôt et de placement.
 
Avec ces prêts, jumelés aux capitaux propres que Champion se charge de lever dans les prochains mois, l'entreprise estime que les opérations pourraient reprendre dès le premier trimestre de 2018 à la mine du lac Bloom, qui sera opéré par une filiale de Champion, Minerai de fer Québec.

L'autre 80 millions $US (101 millions $CAN) d'emprunt sera fourni par Sprott, gestionnaire d'actifs non traditionnels qui investit dans les métaux précieux et «les actifs réels», selon Champion. Le prêt de Sprott, d'une durée de cinq ans, est à un taux minimal de 7,5 %. Le gestionnaire recevra aussi trois millions de bons de souscription, à un prix qui reste à déterminer.

Quant au prêt de la Caisse de dépôt et de placement du Québec, sur sept ans, le taux a été établi à 12 % pour la première année. Les taux des années subséquentes sera fixé en fonction du prix du minerai de fer. La Caisse recevra aussi 21 millions de bons de souscription de Champion.

Le premier vice-président de la Caisse, Christian Dubé, assure par voie de communiqué que tous les éléments sont réunis pour amener encore plus loin le projet du lac Bloom, «avec le plan novateur de relance mis en place par l'équipe de direction, notre partenariat avec Sprott qui est un joueur réputé dans le secteur minier, la qualité des actifs ainsi que les conditions actuelles du marché».

Si tout va comme prévu, la réouverture de la mine du lac Bloom procurerait de l'emploi à 400 personnes. Autour de 7,5 millions de tonnes métriques de concentré de minerai de fer seraient produites dès la première année d'opération. Ce concentré sera transporté par chemin de fer pour être expédié à partir des installations du Port de Sept-Îles.

Rappelons que Minerai de fer Québec avait acquis à prix d'aubaine (13,3 millions $) les actifs du lac Bloom lors de la faillite du précédent propriétaire, Cliffs Natural Resources, en 2016. Cinq ans plus tôt, Cliffs avait déboursé près de 5 milliards $US (6,3 milliards $) pour acheter les actifs de Consolidated Thompson, précédent propriétaire de la mine.

Champion détient 63,2 % des parts dans Minerai de fer Québec. Le reste de la participation, soit 36,8 %, est détenue par Ressources Québec.


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Source
Le Soleil

2017-07-12

4,5 M$ investis pour contrer la pénurie de main-d’œuvre

La conquête de nouveaux marchés passe par l’automatisation pour Aliments 2000 qui a investi 4,5 M$ au cours de la dernière année pour acquérir une usine et de nouveaux équipements dédiés à la transformation agroalimentaire.

L’entreprise commercialise ses produits sous la marque Pâte 2000, en plus de produire des marques privées appartenant à de grandes chaînes d’alimentation et distribuées partout au Québec.

Reconnue pour ses pâtes à tarte et ses pizzas, une part importante des activités de cette PME consiste aussi à fabriquer des boules à pizza pour les restaurants.

Même si près de 90 % des activités sont automatisées, l’entreprise a su garder la flexibilité nécessaire puisqu’elle détient pas moins d’une trentaine de recettes de pâte à pizza pour ses clients. Sur les 4,5 M$ investis, près de 2 M$ ont servi à l’achat d’équipement devenu nécessaire en raison d’une pénurie de main-d’œuvre.

« On est propriétaires de l’entreprise depuis huit ans et je peux vous dire que cela a beaucoup bougé depuis ce temps. On a pris le virage de mécaniser l’usine. Selon nous, la clé est là », a mentionné Denis Giroux, président.


Nouvelle acquisition

L’entreprise a annoncé qu’elle a fait l’acquisition récemment de PizzéDélic – division détail – qu’elle entend relancer. Depuis le rachat de l’entreprise par M. Giroux et ses associés, le chiffre d’affaires d’Aliments 2000 a triplé. Près d’une cinquantaine de personnes y travaillent.

Il y a un an, Aliments 2000 est passée d’une usine de 16 000 pi2 à 35 000 pi2 dans le parc industriel de Saint-Augustin-de-Desmaures.

« En procédant à ce déménagement, cela nous a permis d’ajouter une ligne de production pour la pizza garnie », a poursuivi M. Giroux.

Ces changements permettent d’envisager une croissance de 30 % cette année. « L’an prochain, ça devrait être encore plus. On a l’intention de faire rouler la ligne de production de pizzas de jour comme de soir », a-t-il dit.


En fonction des saisons
La demande pour la pâte à tarte, qui est une autre spécialité de la maison, débute avec la saison des pommes, à l’automne, et elle se poursuit jusqu’en janvier.

« Aussitôt que les pommes sont prêtes, on fait de la pâte à tarte cinq jours par semaine », a-t-il souligné, ajoutant que l’entreprise n’utilise que des gras non hydrogénés.

Avec ses deux associés, Conrad Boivin et Sylvain Laroche, M. Giroux compte bien s’attaquer au marché canadien d’ici peu, d’autant plus qu’il est bien équipé pour le faire.


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Source
Journal de Québec

2017-07-06

Coca-Cola investit 30 M$ à Lachine

Coca-Cola a récemment investi près de 30 millions $ pour rénover de fond en comble ses installations de l’arrondissement de Lachine, ce qui permettra d’augmenter de 30 % la capacité de production de l’usine montréalaise.

«Si on voulait poursuivre notre expansion dans l’est du Canada, on devait absolument faire des investissements», a expliqué jeudi au «Journal de Montréal» le vice-président pour le Québec et l’est du Canada chez Coca-Cola Canada, Robert Fleury.

«Ça a été une bataille ardue au sein de notre entreprise internationale afin d’obtenir des investissements, mais on est parvenus à avoir les fonds pour installer une ligne de production dernier cri», a-t-il poursuivi.

Ces investissements se sont faits entièrement aux frais de Coca-Cola, sans fonds publics, a souligné M. Fleury.

En activité de façon ininterrompue depuis 1961, l’usine de Lachine compte près de 140 employés et on y fabrique 75 différents produits et formats.

Des 30 millions $, 27 millions $ servent à remplacer la machinerie et 3 millions $ à la mise à niveau des infrastructures de l’usine.

La nouvelle chaîne de fabrication permettra d’accroître la production de 30 %, tout en réduisant la quantité d’eau nécessaire de 25 millions de litres par an. L’entreprise réduit du coup ses émissions de gaz à effet de serre de 20 % à l’échelle de la province.

«On se retrouve maintenant avec les machines les plus performantes et versatiles qui soit. C’est la première usine de ce genre au Canada pour Coca-Cola», a dit M. Fleury.

Celles-ci permettront de produire tous les saveurs et formats de Coca-Cola, que ce soit en canette, en bouteilles de plastique ou encore les produits de fontaines utilisées en restaurants.

La ministre de l’Économie, Dominique Anglade, participait à l’annonce. Selon elle, cet investissement «entièrement privé» démontre la confiance des entreprises internationales envers l’économie du Québec.

«Le manufacturier innovant est un des trois piliers économiques de notre gouvernement. C’est grâce à des entreprises qui s’engagent dans des projets d’acquisition de nouvelles technologies, comme Coca-Cola, que nous pouvons mener notre secteur manufacturier encore plus loin», a-t-elle estimé.

Coca-Cola au Québec

- Présent depuis 1909

- En 1934, la plus grande usine au monde était située sur la rue Bellechasse

- Plus de 800 employés à travers la province, dont 140 à l’usine de Lachine


L’usine de Lachine

- En activité depuis 1961 et dessert le Québec et les Maritimes

- Sert à la fabrication et à l’emballage de 75 différents produits

- 27 millions $ sont investis dans de la machinerie dernier cri, et 3 millions $ dans les infrastructures de l’usine

- Réduira de 20 % les GES produits par Coca-Cola au Québec, tout en permettant d’augmenter la capacité de production de 30 %

- Diminuera de 7 % la consommation d’eau, une économie de 25 millions de litres d’eau par année


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Source
TVA Nouvelles

2017-07-05

Fabritec compte créer 530 nouveaux postes sur cinq ans

Bromont — Le fabricant d’armoires Fabritec compte créer 530 postes sur cinq ans dans le cadre d’un projet d’investissement évalué à 50 millions visant à accroître la production de son usine de Bromont, en Montérégie.
 
Québec et Ottawa ont indiqué mardi qu’ils avaient octroyé des prêts totalisant 18 millions à l’entreprise, qui exploite également une autre usine à Mont-Joli, dans le Bas-Saint-Laurent. Le fabricant d’armoires de cuisine et de salle de bain, qui s’affaire actuellement à pourvoir plus de 150 postes, souhaite accroître sa compétitivité afin de continuer à faire sa place sur le marché américain.
 
Selon la vice-présidente à l’administration Nadia Bourgeois, ce projet d’investissement est un « tournant dans le développement » de l’entreprise familiale qui a vu le jour en 1983. Fabritec a récemment conclu une entente avec Home Depot, ce qui lui a permis d’ajouter 178 des magasins du géant de la rénovation à sa liste de clients au sud de la frontière.
 
Le gouvernement du Québec octroie un prêt de 10 millions par l’entremise du programme Essor du ministère de l’Économie. Investissement Québec prête 3,3 millions à même ses fonds propres. L’entreprise obtient également un prêt de 2 millions de Développement économique Canada et un autre de 3,3 millions en financement à l’exportation consenti par Exportation et développement Canada.
 
Fabritec compte actuellement plus de 600 employés répartis dans ses usines de Bromont et Mont-Joli.


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Source
Le Devoir

2017-07-04

Le «méga gros projet» de Souris Mini

(Québec) Le «méga gros projet» de magasins concepts d'Annie Bellavance lui trotte dans la tête depuis déjà quelques années. Il deviendra une réalité à l'automne alors que Souris Mini vendra des meubles, de la literie et des produits cosmétiques.
 
Puis, à compter du printemps 2018, la chaîne de magasins de vêtements pour les enfants de 0 à 12 ans proposera à ses clients des chaises hautes, des coussins d'allaitement, des suces, des bavettes, de la vaisselle et des meubles d'appoint.

Et pour compléter le tout, l'entreprise de Québec offrira, à l'automne 2018, tout ce qui est nécessaire à la réussite d'un shower de bébé ou d'une fête d'enfant.

«Je suis tellement énervée. C'est trop beau. Il ne se passe pas 30 secondes sans que je pense à tout ça», s'emballe celle qui, en 1989, lançait sa collection de vêtements pour enfants parce qu'elle déchantait chaque fois qu'elle mettait les pieds dans une boutique pour habiller sa fille.

Au Soleil, Annie Bellavance raconte que vendre des lits, des objets décoratifs, des housses de couettes et des douillettes marque la réalisation d'un «vieux rêve» qui l'a poussée, ces dernières années, à prendre de grandes bouffées d'inspiration aux États-Unis et en Europe.


Tout faire soi-même

Comme ce fut le cas pour les vêtements de sa fille, Annie Bellavance n'a pas fait de trouvailles extraordinaires.

«Et si nous ne faisions tout ça nous-mêmes? Nous sommes habitués, chez Souris Mini, à créer et à produire. Pourquoi ne ferions-nous pas la même chose avec la literie et les meubles avec la collaboration, évidemment, de fabricants triés sur le volet? Surtout que Souris Mini compte sur une super équipe de créateurs de talent», expose Mme Bellavance qui, avec son conjoint Steeve Beaudet, est à la tête d'une entreprise qui fait travailler 350 personnes dont 250 dans son réseau de 29 boutiques au Québec et en Ontario et une centaine au siège social de la compagnie à Québec.

«Avec notre proposition de décor complet, nous avons l'occasion d'entrer dans la résidence des futurs parents avant même l'arrivée du nouveau-né et d'y rester jusqu'à ce qu'il devienne un adolescent», explique Annie Bellavance.

«Nous le savons tous, l'aménagement d'une chambre de bébé représente une dépense importante. Quand l'enfant atteint l'âge de deux ou trois ans, les parents veulent apporter des changements. C'est pourquoi nous proposons un concept de chambre évolutive. Pas besoin de tout refaire de A à Z. Le changement de lit et l'ajout de quelques objets décoratifs peuvent faire l'affaire.»

À court terme, Souris Mini transformera une quinzaine de ses boutiques - dont celle de la rue Esther-Blondin à Québec - pour en faire des magasins concepts dans lesquels le détaillant présentera ses nouvelles collections en tout ou en partie.

Les autres boutiques offriront la possibilité aux clients de faire des achats en ligne à partir d'une tablette électronique.

Le nouveau sentier emprunté par Souris Mini fait partie, selon sa cofondatrice, désigner et directrice générale, du «cheminement normal» d'un commerçant qui doit constamment se renouveler pour se démarquer dans un milieu coupe-gorge comme celui du détail. «Il faut se battre.»


Les deux pieds dans le commerce en ligne!

Les détaillants québécois sont souvent pointés du doigt pour leur retard à s'engager sur la voie du commerce numérique.

À cet égard, Souris Mini n'a absolument rien à se reprocher.

Au contraire.

«Les ventes en ligne constituent maintenant 25 % de notre chiffre d'affaires», signale la cofondatrice, désigner et directrice générale du fabricant de vêtements pour enfants de 0 à 12 ans de Québec, Annie Bellavance, qui tient à garder le silence sur les résultats financiers annuels de l'entreprise.

«Un tel pourcentage, c'est élevé», prend-elle soin de mentionner. «Au Québec, un détaillant qui performe bien dans le commerce numérique réalise entre 10 % et 12 % de ses ventes totales par voie électronique. Alors, 25 % pour Souris Mini, c'est élevé. Il a fallu se donner les moyens logistiques pour affronter la demande grandissante.»

Avec ses dollars et ceux du Fonds de solidarité FTQ, Souris Mini a investi au moins 8,5 millions $, au cours des dernières années, pour accélérer son plan d'expansion dont l'objectif est de doubler son chiffre d'affaires entre 2015 et 2020.

Une poussée de croissance qui passait, entre autres, par une refonte de son site Internet et par l'élaboration d'une stratégie de croissance numérique.

«L'an dernier, à partir de nos installations à Québec, nous avons livré 75 000 colis», mentionne Annie Bellavance en soulignant que le marché de prédilection de Souris Mini demeure le Québec. «Les affaires vont bien dans le reste du Canada et à Toronto, plus particulièrement, mais nos clients sont surtout québécois.»


Achalandage

Si les ventes en ligne progressent à vue d'oeil, l'achalandage dans les boutiques, lui, périclite.

Dans certains centres commerciaux, l'achalandage a régressé de 40 %, fait remarquer la femme d'affaires.

«Il faut être très agressif pour faire entrer les clients dans nos boutiques», constate Annie Bellavance en soulignant que Souris Mini encourageait ses clients à prendre possession en magasin des achats faits en ligne.

Dans les circonstances, Souris Mini pourrait-elle être contrainte à mettre la clé sous la porte d'un certain nombre de ses 29 magasins au Québec et en Ontario?

«Pas cette année. Nous n'en sommes pas encore rendus là», répond Mme Bellavance. «C'est certain, par contre, que nous examinons attentivement la situation de chacun de nos commerces lorsque les baux avec les propriétaires de centres commerciaux arrivent à échéance.»


À la conquête du Canada

Dans le plan d'expansion 2015-2020 de Souris Mini, l'ouverture de boutiques à Toronto, à Calgary et à Vancouver en 2016-2017 apparaissait parmi les priorités des propriétaires de l'entreprise, Annie Bellavance et Steeve Beaudet.

La baisse d'achalandage généralisée dans les centres d'achats a modifié leur stratégie visant à conquérir le Canada anglais.


Ce n'est que partie remise.

Pour le moment, les deux entrepreneurs vont plutôt opter sur le concept des boutiques éphémères pour se faire connaître dans de nouveaux marchés au Québec et, surtout, au Canada.

Délaissés par des locataires importants, des centres commerciaux offrent des pieds carrés à bon marché à des détaillants afin qu'ils ouvrent des points de vente pour de courtes périodes. Souvent de trois ou six mois. Parfois même plus.

Souris Mini va d'abord tenter l'expérience à Saguenay et à Montréal avec l'ouverture de trois boutiques éphémères. Elle mettra notamment en vedette sa nouvelle gamme de produits pour l'aménagement et la décoration des chambres pour les enfants.


Puis, ça sera au tour de Toronto.

«C'est notre plan pour la prochaine année», indique Annie Bellavance. «Nous y allons pour faire connaître Souris Mini et inciter les consommateurs torontois à nous suivre sur le web et à acheter nos produits à partir de notre site transactionnel.»

Avec tous les espaces disponibles actuellement dans les centres commerciaux au Canada et aux États-Unis, le concept des boutiques éphémères est appelé, à son avis, à connaître une croissance fulgurante.


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Source
Le Soleil

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