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Nouvelles

2017-05-24

Fonds de diversification: 25 millions $ de plus pour les MRC

(Trois-Rivières) Les doléances régionales concernant le Fonds de diversification économique du Centre-du-Québec et de la Mauricie ont trouvé écho auprès du gouvernement du Québec.
 
Quatre ans après son lancement, le Fonds subit diverses modifications qui amèneront plus d'argent dans les MRC de la région et certains assouplissements pour les secteurs de Bécancour et de Trois-Rivières.

Le Fonds de diversification économique conserve son budget initial de 200 millions de dollars. Étant donné que les 50 millions réservés aux MRC et municipalités entourant Bécancour et Trois-Rivières sont épuisés, Québec pige 25 millions de dollars dans l'enveloppe de 150 millions accordée à ces deux villes pour les redistribuer dans les MRC de Nicolet-Yamaska, de l'Érable, de Mékinac, des Chenaux, de Maskinongé et dans les villes de Shawinigan et de La Tuque. Le niveau de dévitalisation de ces secteurs a incité le gouvernement à agir ainsi.

En échange, les projets de relève entrepreneuriale ou les entreprises du secteur primaire ayant un projet de première transformation ou de production de culture en serre de produits alimentaires sont admissibles pour les territoires de Bécancour et de Trois-Rivières.

Le gouvernement consent à assouplir les mesures pour les projets d'entreprises du domaine touristique. De plus, l'aide financière accordée pour le financement d'études sera doublée, passant de 5 % de l'enveloppe globale du fonds jusqu'à 10 %.

Le gouvernement accepte de prolonger la vie de ce fonds qui devait prendre fin en mars 2018. Cinq ans sont ajoutés, si bien que le fonds sera en vigueur jusqu'en mars 2023.

«Ces leviers ont démontré de beaux résultats et les modifications vont les rendre encore plus performants. Aucun projet ne doit rester sur la table», a déclaré la vice-première ministre Lise Thériault, de passage à Trois-Rivières mercredi matin pour annoncer les changements, en invitant les gens de la région à utiliser tous les outils de développement économique.

Rappelant que la fermeture de Gentilly-2 a été un coup dur pour la région, la ministre Julie Boulet indique que la nouvelle version du Fonds de diversification économique est mieux adaptée aux besoins des secteurs de la région.

«On entendait beaucoup de commentaires depuis l'arrivée du Fonds (date butoir, critères). Lise (Thériault) a été attentive, elle a été à l'écoute de nos besoins. Tout ce qu'on a dit a été pris en considération. Changer les règles du jeu, ça semble simple. Mais au gouvernement, c'est loin d'être simple. Il faut être déterminé et Lise l'a fait. La balle est dans le camp des promoteurs», lance la ministre du Tourisme et députée de Laviolette.

Yves Lévesque ne se fait pas de souci de voir 25 millions de dollars disparaître de l'enveloppe réservée à Bécancour et Trois-Rivières.

«Le point majeur est la date butoir qui est maintenant en mars 2023. On a le temps de faire des projets, on en a 100 sur la table. C'est vrai qu'on perd 25 millions, mais le rayon d'emplois déborde de notre ville. Tant que ça reste en Mauricie, je suis content», raconte le maire de Trois-Rivières.

Son homologue de Bécancour, Jean-Guy Dubois, tient un discours assez semblable.

«Le Fonds est étiré de cinq ans et on y tenait. On sacrifie 25 millions de dollars, mais le bonheur des autres fait notre bonheur. Ça sert à des régions dévitalisées. Et on fait partie du même milieu.»

Jusqu'à maintenant, 101 millions de dollars ont été utilisés pour 331 projets, dont 130 seront annoncés prochainement. À écouter parler Robert Lalonde, préfet de la MRC de Maskinongé, celle-ci saura utiliser à bon escient la somme qui lui sera remise.

«C'était normal qu'on nous en donne encore, car on a rempli les mandats qu'on nous avait donnés. On a des projets qui sont en attente d'une aide et ce sont des projets qui vont bénéficier à toute la région. C'est une très bonne nouvelle.»

Donald Martel, député de Nicolet-Bécancour, accueille avec satisfaction les modifications apportées au programme par le gouvernement québécois.

«Ça fait longtemps que je veux que Nicolet-Yamaska ait accès à des fonds nouveaux et que l'échéancier du fonds soit reporté. Mais j'aurais aimé une plus grande part de subventions, car c'est ce qui fait que les projets démarrent», affirme M. Martel, qui se désole de l'exclusion des MRC de Drummond et d'Arthabaska des secteurs ayant droit aux 25 millions de dollars.


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Source
Le Nouvelliste

2017-05-24

Le mastodonte américain WeWork occupera deux étages de la Place Ville Marie

C’était l’un des secrets les moins bien gardés à Montréal en raison du battage sur les médias sociaux. Il faut dire qu’avec 60 000 pieds carrés répartis sur deux étages de la Place Ville Marie, WeWork n’aura d’autre choix que de faire du bruit pour atteindre ses objectifs de location.

Pour l’instant, WeWork n’a aménagé que la moitié du 4e étage de la Place Ville Marie, où une poignée de locataires montréalais travaillent depuis le 1er mars. En septembre, toutefois, deux étages entiers devraient être aménagés, permettant à l’espace de coworking d’accueillir pas moins de 1 200 locataires.

Comme d’autres espaces de coworking, WeWork Montréal permet aux travailleurs autonomes et aux entreprises de louer des espaces de travail réservés sur des tables communes ou des bureaux fermés. Tous ses locataires auront accès à un réseau Wi-Fi, à des salles de réunion et, chose non négligeable, à du café et la bière à volonté.

À un tarif de 350 $ par mois par travailleur (pour les espaces de travail réservés), WeWork Montréal affiche des tarifs identiques à ceux de Station C (350$), mais légèrement supérieurs à ceux d’Espaces Nexus (219$) et La Gare (295$), mais à partir d’un emplacement beaucoup plus central. «On a choisi la Place Ville Marie, car c’est vraiment central et accessible; il y a deux lignes de métro et même le train», m’a expliqué Heather McCuen, directrice de la communauté de WeWork Montréal.

WeWork Montréal a déjà plusieurs locataires bien connus dans la communauté techno, dont l’école de programmation Decode MTL et le Founder Institute. Toutefois, lors de ma visite de ce matin, l’espace était loin de fonctionner à pleine capacité. Il n’y a là rien d’anormal, puisque l’ouverture officielle de WeWork Montréal est prévue pour le 1er avril.

Valorisé à 10 milliards de dollars US, WeWork se démarque toutefois de ses concurrents locaux grâce à son réseau international d’une cinquantaine d’espaces, qui abritent des locataires comme Snapchat, Instacart et General Assembly aux États-Unis.

Le mastodonte new-yorkais des espaces de coworking compte ainsi 45 000 membres à l’échelle du monde, que les locataires de chacun de ses espaces peuvent contacter grâce à son application mobile. Aux travailleurs mobiles, WeWork offre aussi l’avantage d’être en mesure de réserver une salle de réunion ou d’aller travailler dans les aires communes des autres espaces du réseau, notamment implanté à New York, San Francisco, Berlin, Londres et Tel-Aviv.


Surcapacité?

L’arrivée de WeWork à Montréal ne fera pas que des heureux. Même si la demande pour les espaces de coworking est à la hausse, mes sources m’indiquent qu’il est difficile de rentabiliser de tels espaces à Montréal.

L’arrivée des 60 000 pieds carrés de WeWork Montréal dans un marché difficile coïncide notamment avec l’ouverture de Crew Collectif & Café dans l’ancien siège social de la Banque Royale au centre-ville et de Fabrik 8, un espace de coworking de 32 000 pieds carrés situé dans le Mile-Ex.

Bref, le créneau des espaces de coworking à Montréal est appelé à devenir ultra-compétitif en 2016. On peut donc s'attendre à ce que les espaces de coworking les plus fragiles soient affectés. « C’est un marché très volatil avec des hauts et des bas; il y a beaucoup de roulement de locataires», relève Sylvain Boissé, co-fondateur d’Espace Nexus, un espace de coworking situé sur le Plateau-Mont-Royal. Ce dernier ne s’inquiète toutefois pas de la concurrence de WeWork dont les prix ne se comparent pas à ceux d’Espace Nexus, qui serait rentable.


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Source
Les Affaires

2017-05-17

Archibald est en mode expansion

La microbrasserie Archibald poursuit son expansion. Après avoir investi 2,6 millions $ dans de nouvelles cuves à Québec, Archibald annonce l’ouverture d’un nouveau restaurant dans le quartier DIX30 à Brossard, a appris Le Journal.

«On respecte notre plan de match», a indiqué mercredi le grand patron d’Archibald, François Nolin, lors d’un entretien avec Le Journal.

À Brossard, dans le chic quartier DIX30, Archibald ouvrira son cinquième restaurant au début de 2018. L’investissement de près de 3 millions $ devrait permettre la création de 140 emplois, a confirmé M. Nolin.

La région de Montréal apparaît d’ailleurs clairement dans le radar d’Archibald, déjà présente à l’aéroport Montréal-Trudeau avec un restaurant-phare très prisé des voyageurs.

L’entreprise dit négocier actuellement un emplacement dans le secteur de Saint-Jérôme pour y établir un autre restaurant prochainement.

«On regarde beaucoup du côté des banlieues pour ouvrir de nouveaux restaurants. Ce sont des marchés en forte croissance où nos clients peuvent se déplacer facilement», a fait valoir le président d’Archibald.

D’ici cinq ans, François Nolin prévoit l’ouverture d’au moins cinq nouveaux restaurants au Québec et en Ontario.


De nouvelles cuves

À son usine de brassage à Québec, Archibald vient de compléter un investissement de 2,6 millions $ pour l’achat de nouvelles cuves et de technologies de pointe visant à optimiser sa production.

Depuis qu’elle est passée chez le brasseur Labatt il y a un an, la microbrasserie Archibald a notamment vu le nombre de ses points de vente exploser de 125 %, passant de 2000 à plus de 4500 au Québec et en Ontario.

«Nos produits étant très populaires, on doit maintenant répondre à une très forte demande. On ajoutera bientôt un entrepôt de 10 000 pieds carrés à nos installations», a précisé M. Nolin.

Si tout se déroule comme prévu, Archibald doublera sa production de bière d’ici deux ans.

La microbrasserie Archibald brasse de nombreuses bières de style ale, lager, porter et pilsner dans des canettes reconnaissables à leur design rétro unique.

Les principales bières d’Archibald sont la Chipie, La Joufflue, La Matante, La Brise du Lac, La Ciboire et La Valkyrie.

Fondée à Québec en 2005, la microbrasserie Archibald emploie 500 personnes.


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Source
Journal de Québec

2017-05-17

L'aventure britannique d'Eddyfi se poursuit

(Québec) L'entreprise Eddyfi Technologies poursuit ses emplettes. Profitant de l'incertitude entourant le Brexit, elle met le grappin sur TSC Inspection Systems et consolide du coup sa présence au Royaume-Uni.
 
L'aventure en sol britannique a débuté au printemps 2016 pour la compagnie située dans le Parc technologique du Québec métropolitain avec l'acquisition de Silverwing pour quelques dizaines de millions de dollars.

Mercredi, par voie de communiqué, la direction d'Eddyfi, une compagnie qui conçoit et commercialise des équipements et des logiciels d'inspection, a confié que le pari du Royaume-Uni s'avère très salutaire jusqu'à présent. Et que les opportunités d'affaires sont très nombreuses depuis le vote en 2016 de la sortie du pays de l'Union européenne.

En avalant TSC Inspection Systems, basé à Milton Keynes en Grande-Bretagne, Eddyfi agrandit sa famille de 36 nouveaux cerveaux, pour atteindre les 235 travailleurs à travers le monde, dont environ 130 dans la capitale. Le président et chef de la direction d'Eddyfi, Martin Thériault, n'a pas voulu révéler au Soleil le montant exact de la transaction, soulignant qu'elle était de plusieurs millions de dollars. Il a toutefois confié que les ventes annuelles de TSC frôlent les 10 millions $.

Les technologies développées par TSC viendront bonifier l'offre d'Eddyfi auprès de ses clients. L'une d'entre elles, soit l'ACFM, consiste entre autres à détecter les défauts dans les structures d'acier et les composants métalliques, notamment pour les plateformes de forage. Un secteur d'affaires où Eddyfi souhaite d'ailleurs augmenter sa présence. La technologie StressProbe de TSC permet quant à elle la détection des zones à risque dans les pipelines.

«Nous investirons des sommes importantes afin de faire évoluer les technologies et produits de TSC», indique M. Thériault. «Nous transformerons TSC afin de lui donner un rôle de fournisseur de technologies, en meilleure collaboration avec les différents joueurs de l'industrie», poursuit-il, ne cachant pas qu'il garde un oeil attentif pour faire d'autres acquisitions au Royaume-Uni. L'argent est d'ailleurs déjà disponible dans les coffres de la compagnie.


Livre sterling moins chère

«Il y a des opportunités intéressantes et nous avons bien l'intention d'en profiter. Notre première transaction au Royaume-Uni fonctionne très bien et c'est un très bon endroit», raconte le président. «Depuis le Brexit, la livre sterling est moins chère, ce qui nous rend plus compétitifs à l'achat. Il en coûte 15 à 20 % de moins pour acheter une compagnie qu'il y a un an. Les gens sont plus nerveux. Plusieurs dirigeants sont prêts à vendre leur entreprise», ajoute-t-il. Ce dernier précise toutefois regarder également pour d'autres pays afin de poursuivre la croissance d'Eddyfi.

Le grand patron a confié au Soleil que les bureaux de TSC à Aberdeen et à Singapour vont demeurer ouverts et qu'aucune suppression de poste n'est prévue. Eddyfi, qui vend ses produits dans plus de 70 pays, possède des installations entre autres aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Afrique du Sud, en France et aux Émirats Arabes Unis.

En mars dernier, la Caisse de dépôt et placement du Québec a investi 36,5 millions $ dans cette entreprise afin d'appuyer la réalisation de son plan de croissance international. Cet investissement de la Caisse, qui est actionnaire minoritaire de la compagnie, aura servi, entre autres, à financer cette nouvelle acquisition.

Fondée en 2009, Eddyfi qui avait un chiffre d'affaires de 1 million $ après sa première année d'activité devrait franchir le cap des 50 millions $ cette année, parole de son président. L'entreprise déménagera éventuellement ses locaux dans l'Espace d'innovation Michelet, un investissement de 13,5 millions $. D'ici quatre ans, M. Thériault espère compter plus de 200 employés dans la région de Québec.


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Source
Le Soleil

2017-05-11

SherWeb investit 8M$ à Longueuil

SherWeb, une PME sherbrookoise spécialisée dans l’hébergement de données, a injecté 8 millions $ dans son nouveau bureau d’affaires de Longueuil. D’ici l’automne, c’est 200 emplois de haut savoir qui seront créés.

Fondée en 1998, SherWeb a connu une croissance accrue ces dernières années, passant de 180 employés à près de 500 depuis 2015. En proposant un guichet unique pour des services diversifiés — hébergement de données, solutions infonuagiques, etc. —, elle a su s’attirer une clientèle grandissante qui atteint aujourd’hui 40 000 entreprises dans 100 pays.

Pourquoi avoir choisi l’agglomération de Longueuil pour établir leurs nouveaux locaux? Samuel Guénette, vice-président du service client de SherWeb, est catégorique: «Pour avoir accès à un plus grand bassin de main-d’œuvre qualifiée et bilingue, car nous commencions à en manquer dans la région de Sherbrooke. On ne se le cachera pas, dans notre domaine, les ressources humaines sont le nerf de la guerre», assure-t-il.


Bonne qualité de vie

Longueuil offre aussi une bonne qualité de vie, l’accès au transport en commun et aux grands axes routiers. Ce qui, espère M. Guénette, aidera à attirer les candidats dans un contexte où le recrutement en technologies de l’information devient un enjeu pour les entreprises, en particulier pour les PME.

Autre attrait de poids: Développement économique de l’agglomération de Longueuil (DEL) a accordé une aide financière non remboursable de 100 000 $ à la PME pour l’aider à concrétiser son implantation. «Cette somme provient du Fonds de développement des territoires, un programme mis en œuvre par le ministère des Affaires municipales pour soutenir les MRC», précise Julie Éthier, directrice générale de DEL.


Main-d’œuvre recherchée

SherWeb est encore en mode recrutement et devra pourvoir des postes en soutien technique, programmation et administration de système.

En cela, elle pourra encore bénéficier du soutien de DEL, qui mettra son réseau de partenaires à sa disposition. De plus, la Ville de Longueuil prêtera main-forte en faisant circuler les offres d’emploi sur plusieurs de ses panneaux d’affichage.

Cette arrivée est une bonne nouvelle pour la municipalité qui vient ainsi renforcer sa position dans le secteur des technologies de l’information. Elle compte déjà 200 entreprises et 4000 emplois dans ce domaine sur son territoire.


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Source
Journal de Québec

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