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Nouvelles

2017-04-11

Un complexe de 200 millions $ à Lévis

(Québec) Québec aura son Phare et Lévis un complexe de 200 millions $ à l'entrée du pont de Québec.
 
Le chef de la direction du Fonds de placement immobilier Cominar et président du Groupe Dallaire, Michel Dallaire, a dévoilé mardi devant la communauté d'affaires de Lévis sa vision pour la rive sud du fleuve Saint-Laurent.

Pour les 15 prochaines années, le promoteur prévoit investir 1,6 milliard $, dont 1,4 milliard pour réaliser la construction de 7000 unités résidentielles et le développement de 2,3 millions de pieds carrés pour des édifices commerciaux, à bureaux et industriels.

Pour la tête des ponts, à Sainte-Foy, le projet de 650 millions $ baptisé Le Phare - un gratte-ciel de 65 étages - est déjà bien connu du public. Du côté de Lévis, le maire Gilles Lehouillier ne sera pas en reste.

Des plans sont présentement sur la table à dessin pour un nouveau complexe avec plusieurs édifices à vocation mixte, dont des bureaux, des commerces ainsi qu'une offre résidentielle. Les travaux pour les premiers bâtiments sur le site d'une superficie d'un million de pieds carrés situé sur boulevard Guillaume-Couture, près de la succursale Home Depot, devraient débuter au début 2019.

«La superficie du terrain est trois fois celle du Phare», avance M. Dallaire, pour illustrer l'ampleur du chantier qui devrait se réaliser en plusieurs phases.

Pour l'heure, l'homme d'affaires refuse de lever entièrement le voile sur son mégaprojet. Ce complexe pourrait-il héberger des tours de 10, 12 ou plus de 15 étages?

«Oui, cela va dépendre de ce que la Ville nous permettra de faire. J'ai toujours une cible qui est haute, mais ce n'est pas moi qui décide», indique au Soleil avec le sourire M. Dallaire, quelques minutes après son allocution. «On va faire quelque chose qui est dense et structurant, aligné avec la vision de la Ville. Je peux vous garantir qu'on s'en vient avec quelque chose de majeur à l'entrée de Lévis [...] C'est la continuité de l'axe Laurier. C'est une opportunité incroyable de pouvoir investir à la tête des ponts», poursuit-il. Ce dernier assure que son nouveau complexe répond à la vision et au schéma d'aménagement et de développement de la municipalité.

Tout comme pour son développement Le Phare, le promoteur aimerait bien voir le service rapide par bus (SRB) faire escale dans ses installations. Lors de sa présentation, il a de nouveau plaidé l'importance de ce projet pour les deux municipalités.

«Oui, on peut envisager un pôle pour le SRB, mais ce n'est pas moi qui contrôle l'endroit où il va s'arrêter. La seule chose que je peux dire, c'est qu'il doit passer à côté de ce terrain», note M. Dallaire.

Terrain industriel

Au mois de mars, le Groupe Dallaire a vendu à Québec pour 12,96 millions $ un lopin de terre de 320 671 mètres carrés situé dans l'arrondissement de La Haute-Saint-Charles. L'entreprise a été contrainte de jeter aux oubliettes un projet commercial, industriel et résidentiel de 6000 unités pour répondre aux demandes de la Ville qui se cherchait depuis plusieurs mois un nouveau parc industriel. Une situation qui semble n'avoir guère enchanté le promoteur.

«La Ville a pris la décision d'annuler le projet pour faire un parc industriel», explique M. Dallaire. «La Ville m'a informé que cela allait être un parc industriel et nous avons dû nous entendre. Elle voulait être propriétaire d'une partie du terrain. [...] On faisait face à une expropriation», poursuit-il.

Dans la transaction, Québec s'est également dotée d'une option d'achat sur trois autres lots aux alentours.


Le dossier du Phare «entre les mains de la Ville»

Par ailleurs, pour le futur locataire du resto-bar Beaugarte, M. Dallaire confie que l'homme d'affaires Jean-Pier Goulet est responsable du local jusqu'au 30 mai. S'il ne parvient pas à dénicher un nouveau joueur, Cominar, propriétaire de Place de la Cité, prendra les rênes par la suite.

«C'est malheureux pour M. Goulet après tant d'années», avance M. Dallaire. «S'il ne parvient pas à vendre son commerce ou à transférer son bail, nous allons remettre ce local dans le marché locatif. Mais pour le moment, je n'ai aucune discussion avec d'autres bannières», conclut-il.


Le Phare pourrait accuser de nouveau un retard

Le projet Le Phare pourrait accuser de nouveau un retard. Le Groupe Dallaire est incapable de dire si la consultation publique pour son complexe de 650 millions $ aura lieu comme prévu ce printemps. Il avance que la balle est maintenant dans le camp de la Ville de Québec.

«Nous sommes toujours en attente de la Ville, ce n'est pas moi qui décide», a confié Michel Dallaire (photo), président du Groupe Dallaire, de passage devant la communauté d'affaires de Lévis. «Nous sommes prêts à commencer dès que nous obtiendrons le feu vert. Actuellement, le dossier est entre les mains de la Ville», poursuit-il, assurant que le projet continue d'évoluer.

Le promoteur craint que les prochaines élections municipales ralentissent le développement de son mégacomplexe de plusieurs bâtiments, dont une tour de 65 étages, à Sainte-Foy.

«Tranquillement, on s'en va vers les élections [...], si nous ne rentrons pas dans une fenêtre, on va se ramasser après les élections», avance M. Dallaire, estimant que son chantier pourrait être retardé de plusieurs mois, voire même d'un an. «Ce que j'ai appris dans mon métier, c'est qu'il faut être patient. C'est le résultat qui est important. Si ce n'est pas cette année, cela sera l'année prochaine», poursuit-il.

Lorsqu'on consulte le calendrier du conseil municipal, il y a une pause entre le 2 octobre et le 20 novembre. L'élection est prévue pour le 5 novembre.


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Source
Le Soleil

2017-04-11

Complexe pour aînés de 65 millions$ à Val-Bélair

(Québec) Un nouveau complexe pour personnes âgées ouvrira ses portes à l'automne 2018 à Val-Bélair. Un investissement de 65 millions $.

Les promoteurs du projet, le groupe beauceron Château Bellevue ont levé le voile sur leur nouveau développement situé dans le Carrefour de la Bravoure, mardi, aux représentants des médias.

L'édifice de dix étages, qui comptera 300 unités,  possédera entre autres une piscine et un spa, une salle à manger située au dixième étage, un dépanneur, une pharmacie, un bistro, une salle de quilles, une salle de jeux, un cinéma, une unité de soins et une salle d'entraînement. Un stationnement sous-terrain sera également érigé.

La clientèle visée par ce projet est des retraités autonomes et en légère perte d'autonomie. Les travaux sont commencés depuis quelques semaines. À terme, les promoteurs estiment que leur développement permettra la création d'une cinquantaine d'emplois dans la région.

«Nous offrons une formule tout-inclus comme un Club Med. [...] Nous n'allons pas au Château Bellevue pour mourir, mais plutôt pour vivre», indique Frédéric Lepage, président-directeur général du groupe. «Ce n'est pas un complexe pour millionnaire, il s'adresse à tout le monde. Une personne peut habiter chez nous pour 1340 $ par mois», poursuit-il.

Fondée en 2006,  l'entreprise Château Bellevue détient actuellement six complexes pour retraités. Outre celui de Val-Bélair, un établissement similaire devrait ouvrir ses portes à Valleyfield à l'été 2018. La compagnie emploie plus d'une centaine de personnes. D'ici trois ans, elle vise à doubler ses actifs.

«On souhaite ouvrir entre deux et trois complexes par an au cours des prochaines années», note M. Lepage, qui est associé avec l'homme d'affaires Grégoire Turcotte dans l'aventure.


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Source
Le Soleil

2017-04-06

Le secret bien gardé de Plenty Humanwear

(Québec) Plenty Humanwear a d'abord attiré l'attention des journalistes de la section des arts.
 
Pourtant, il se cachait derrière la collaboration, entre autres, avec le collectif d'artistes émergents Canadian Bacon du muraliste contemporain urbain Phelipe Soldevila, le succès d'une toute petite entreprise de la rue Arago, à Québec, dans l'univers coupe-gorge des vêtements pour les 18-35 ans.

«Vous pouvez dire que nous sommes un secret bien gardé», convient Pierre-Nicolas Lessard, l'un des fondateurs de Plenty Humanwear en compagnie de Gregory Desjardins et de Steeve Lebel. Trois gars dans la jeune trentaine.

Un secret bien gardé qui vend ses t-shirts, ses camisoles, ses hauts à capuchon, ses robes, ses chemises, ses manteaux, ses tuques et ses casquettes en Suède, en Suisse, au Japon, en Allemagne et en Autriche. Et au Canada d'un océan à l'autre.

Un secret bien gardé qui a atteint le seuil de la rentabilité en 2015, sept ans après sa fondation à la fin de 2008.

Un secret bien gardé qui, maintenant, trouve une oreille attentive auprès des institutions financières.

«Pour en arriver à franchir la barre de la rentabilité, la route a été longue. Nous avons constamment réinvesti dans l'entreprise pour la faire progresser», raconte Pierre-Nicolas Lessard en rappelant que Plenty Humanwear avait vu le jour grâce au love money amassé ici et là auprès de parents et amis.

Besoin de créer

Ne cherchez pas une boutique Plenty Humanwear dans votre centre commercial préféré. 

Du moins, pas encore.

Ses vêtements conçus pour le loisir et la vie en ville, le manufacturier les vend dans les magasins spécialisés comme Séraphin et la Vie Sportive dans les chaînes comme Simons ou Empire et par l'entremise du commerce électronique (plenty-humanwear.com).

Au Canada, Plenty Humanwear est roi et maître de sa commercialisation.

À l'étranger, il en confie la responsabilité à des distributeurs. «Pour l'Allemagne et l'Autriche, nous venons tout juste de conclure une entente avec un important partenaire qui distribue aussi des marques comme Brixton et Poler, les Wayne Gretzky de notre industrie. Ça nous fait un petit velours et ça montre le potentiel de notre marque», fait remarquer Pierre-Nicolas Lessard.

Issus du monde de la planche à neige, du skateboard et du surf, les trois bonshommes se sont dirigés vers le monde des affaires pour assouvir leur soif de créer.

«Nous avions des tas d'idées en tête sans trop savoir comment leur donner vie. La mode nous intéressait. La mère de Gregory est une patroniste. Elle nous a aidés à trouver notre voie.»

Pour se démarquer de la concurrence, la compagnie - dont la devise est Inspired by All - met de l'avant sur ses vêtements des scènes de la vie de tous les jours. «Nous puisons notre inspiration à partir de toutes les sources, notamment de notre héritage, de notre histoire et des générations qui nous ont précédés.»

Il y a quelques années, Plenty Humanwear a dû se résoudre à aller fabriquer ses vêtements en Chine. Le design, la coloration et le choix des textiles se font à Québec où la compagnie fait travailler six personnes et de nombreux collaborateurs.

«La réalité a fini par nous rattraper», explique Pierre-Nicolas Lessard, un bachelier en administration. La production de masse est moins coûteuse en Asie.

«La Chine d'aujourd'hui n'est pas celle d'il y a 30 ans. La technologie utilisée là-bas est absolument incroyable. L'environnement de travail fourni par notre partenaire à ses employés est sain. De plus, l'entreprise est dirigée par des femmes.»

Pierre-Nicolas Lessard l'avoue. Plenty Humanwear souhaite, un jour, rapatrier toute sa production au Québec. Chose certaine, les arts ne cesseront pas d'inspirer les trois camarades qui continueront de transformer leur milieu de travail en galerie d'art, quelques fois par année, pour permettre à des artistes d'exposer leurs oeuvres.


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Le Soleil

2017-04-06

Maisons Laprise vise les marchés américain et ontarien

(Québec) Maisons Laprise souhaite étendre son terrain de jeu au cours des prochaines années. Une escapade vers les États-Unis et l'Ontario est notamment dans les plans.
 
«Nous avons un agent de développement qui vient de commencer à travailleur pour nous du côté américain. C'est un marché qui nous intéresse», indique au Soleil Stéphane Lessard, directeur corporatif, division gestion immobilière de Laprise. L'homme d'affaires précise que leur filiale Habitaflex Concept, avec sa marque Hôm, est «le produit phare pour l'exportation».

«Nos projets d'expansion pourraient nous amener à ouvrir des usines à extérieur de la province», concède-t-il. «Pour l'Ontario, nous sommes déjà présents, mais nous avons l'intention d'ouvrir la machine encore plus».


Projet dans Saint-Nicolas

Mais avant tout, le fabricant et constructeur de maison usinée de Montmagny veut consolider sa présence à travers la province, dans un secteur où la compétition est très féroce. Du coté de la rive sud du fleuve, plus précisément dans Saint-Nicolas, à Lévis, l'entreprise travaille en collaboration avec le Fonds immobilier de solidarité FTQ sur le projet résidentiel locatif L'Aura Saint-Nicolas, situé dans le quartier Roc Pointe.

Le chantier prévoit la construction de six bâtiments de neuf unités. Une première phase de 18 unités est déjà complétée et la seconde devrait être livrée au cours des prochaines semaines. La facture de ce développement avoisinera les 10 millions $.

Il s'agit d'une partie du site à développer du Domaine de Villieu appartenant à Maisons Laprise. Dans l'ensemble, ce développement qui a débuté en juin 2015, prévoit plusieurs types d'habitations, soit des maisons unifamiliales, des maisons en rangée, des unités locatives et des copropriétés. Mentionnons que ce n'est pas tout le développement qui se fera en partenariat avec le Fonds immobilier de solidarité FTQ.

Pour la troisième phase du chantier de L'Aura Saint-Nicolas, évaluée à 9 millions $, elle prévoit la construction de 36 unités réparties dans 3 édifices. Le Fonds immobilier de solidarité FTQ pourrait également collaborer dans cette aventure. À terme, plus de 48 millions $ auront été injectés dans le Domaine de Villieu, notamment pour la construction des rues.

«Pour L'Aura Saint-Nicolas, nous avons privilégié un style contemporain afin d'assurer une harmonie architecturale des bâtiments. Avec les parcs et la toute nouvelle école primaire l'Étoile situés à proximité du projet, il s'agit d'un secteur paisible face à un boisé qui offre un milieu de vie idéal pour les jeunes familles et les professionnels, tout en étant seulement à quelques minutes de la ville de Québec», affirme M. Lessard.

Fondée en 1989, Maisons Laprise compte trois usines à Montmagny et environ 200 travailleurs. Pour l'heure, le chiffre d'affaires de l'entreprise provient principalement du Canada.


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Source
Le Soleil

2017-04-06

Topla! vise les tablettes des épiceries pour ses sauces à pâtes

Le Groupe F. Dufresne de Québec, qui a injecté 6,5 M$ depuis le lancement de la chaîne de restaurants Topla! en 2014, est en pourparlers pour distribuer ses sauces dans les supermarchés de la région de Québec.

«On est en discussion très avancée avec des chaînes de supermarchés. Nous prévoyons conclure une entente bientôt, de sorte qu’il pourrait y avoir un lancement dans les prochains mois. On sent une belle ouverture», a indiqué Francis Dufresne, directeur des opérations de la chaîne Topla!

Selon M. Dufresne, l’expérience dans le milieu de la restauration s’avère concluante jusqu’à présent. Topla! a inauguré récemment sa huitième succursale à la Pyramide de Sainte-Foy.

«Ça va très bien. On a pris une expansion rapide. On a ouvert huit succursales en deux ans et demi. C’est certain qu’il y a des défis, mais la réponse est très favorable», a-t-il ajouté.

L’entreprise familiale est en ligne directe avec ses prévisions. L’objectif est toujours d’ouvrir une vingtaine de restaurants en cinq ans.

Après avoir consolidé le marché de Québec où il reste au moins une ouverture à venir, l’entreprise entend étendre ses tentacules vers Trois-Rivières, Drummondville, et Saint-Hyacinthe avant de s’attaquer aux banlieues de Montréal, d’ici deux à trois ans.

Projet ambitieux

«C’est un projet extrêmement ambitieux. Au Québec, on n’en voit pas beaucoup des chaînes qui partent de zéro ou qui ne sont pas des franchises», souligne le dirigeant de 29 ans.

Le Groupe F. Dufresne souhaite aussi faire rayonner la chaîne du côté du Bas-Saint-Laurent et du Saguenay–Lac-Saint-Jean.

«On voit énormément de potentiel. On n’est pas encore arrivé à maturité. Il ne faut pas oublier que cinq des huit succursales ont moins d’un an», a-t-il dit.

La chaîne se définit entre un McDonald’s et un Pacini avec ses salles à manger et ses pâtes al dente servies en quelques minutes.

L’Ontario dans la mire

«On veut prendre d’assaut le Québec, mais éventuellement on vise l’Ontario. On ne voit aucune limite géographique. On pense que ce concept-là peut aussi bien réussir à Toronto, Boston ou Vancouver.»

M. Dufresne dit s’inspirer du modèle d’affaires de Starbucks, qui a fait de l’expérience client sa principale marque de commerce tout en gardant le contrôle sur son développement.


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Source
Journal de Québec

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