Connaissez-vous la compagnie québécoise Moment Factory? Si vous avez suivi lâactualité entourant le spectacle de Madonna à la mi-temps du dernier Superbowl, câest probablement le cas. Ils ont en effet produit tout le contenu visuel du spectacle. Depuis, les artisans basés à Montréal sont sur toutes les lèvres et semblent participer à de nombreux projets dâampleur en ce moment.
Lâentreprise qui a aussi travaillé pour dâautres
clients de renoms tels que Céline Dion pour son nouveau spectacle, Arcade Fire,
Le Cirque du Soleil et Nine Inch Nails, sont maintenant appelés à prendre une expansion
extraordinaire. Ils ont notamment produit, 24 heures après le Superbowl, la
scénographie du premier concert du rappeur new-yorkais Jay-Z au Carnegie Hall.
Fondé en 2001,
Moment Factory a commencé de façon très modeste. « à lâépoque, câétait les raves, dit Ãric Fournier. Dominic Audet
(directeur des technologies), Sakchin Bessette (directeur créatif) et Jason
Rodi se sont mis à faire du visuel pour ces événements-là . En 2003, le Cirque
du Soleil les a appelés pour travailler sur ses fameux partys. Câest à ce
moment-là que Moment Factory sâest mis à devenir une boîte qui faisait beaucoup
de projets de type événementiel. »
Lâentreprise compte actuellement 60 employés et
sont présents aux Ãtats-Unis et en Europe où ils travaillent entre autres avec
Euronews, à Lyon en France, pour habiller la chaine de télévision. Les
dirigeants prévoient ouvrir des bureaux à lâétranger dans les années à venir
afin de consolider leur croissance internationale. « Ãa fait partie
de notre plan de développement, dit Ãric Fournier. Pour continuer dâassurer le
succès de Moment Factory, il faut se rapprocher des endroits où se fait la
création, que ce soit en Europe, en Californie ou à New York. On va continuer
dâagrandir notre studio ici, à Montréal, mais dâici un à deux ans, on va avoir
une présence à lâétranger. On est rendu là . »
Moment Factory vit actuellement une croissance fulgurante et représente un nouveau fleuron parmi les entreprises qui font la fierté du Québec ici et ailleurs. Il faut par contre parfois se méfier de ces situations puisque le manque de liquidité peut freiner les ardeurs de plusieurs compagnies. Si vous avez des besoins en liquidité, Distnet est une option de choix. Contactez un agent de chez Distnet et prenez conscience des possibilités que vous offre lâaffacturage.
Facebook fait énormément parler de lui depuis quelque temps. En effet, le géant du web a déposé sa demande officielle pour faire son entrée en Bourse mercredi auprès de la Security Exchange Commission (SEC). Le réseau social le plus populaire sur la planète compte ainsi lever 5 milliards US ce qui constitue un record pour une entreprise internet.
Inutile de dire que depuis lors, tous
les analystes boursiers se perdent en conjecture et spéculent sur les impacts
de cette arrivée. Facebook a également dévoilé ses performances financières,
ses projets pour les prochaines années et ses perspectives de croissance
présentes et futures. La compagnie américaine déclare donc des revenus de 3,7
milliards US en 2011 et un profit de 1 milliards US. Câest la troisième année
consécutive que Facebook est profitable.
« Je
ne crois pas que ce soit une question d'argent. Dans 99 % des cas, les
entreprises vont en Bourse pour aller y chercher de l'argent. Or, Facebook a
déjà beaucoup d'argent, leurs coffres sont déjà bien garnis. Bien des gens sont
d'avis que Facebook va à la Bourse pour répondre aux exigences de la SEC, car
ils ont plus de 500 actionnaires, donc ils n'ont pas le choix. Je crois que
c'est peut-être une formalité, et ça pourrait expliquer le fait qu'ils n'entendent
pas lever de grosses sommes. » Nous a expliqué mercredi Elleen Burbidge de
Passion Capital sur les ondes de Bloomberg Television. La compagnie aurait
actuellement 3,9 milliards US en argent comptant.
Par
le fait même, Facebook déclare officiellement la guerre à lâautre roi
dâInternet, Google. « Certains concurrents, comme Google, pourraient
utiliser leur position forte ou dominante dans un ou plusieurs marchés pour
exploiter un avantage concurrentiel contre nous », s'inquiète Facebook
dans la liste des « risques » pesant sur son activité.
Pour
Michael Gartenberg, analyste au cabinet spécialisé Gartner, « il y a
assurément des lignes de bataille qui sont en train d'être tracées », car « Google
ne va sûrement pas rester passif et permettre à Facebook de devenir le centre
de gravité d'internet ».
Toutes les entreprises nâont pas la chance dâavoir les reins aussi solides que Facebook. Pour la plupart, chaque dollar compte et les besoins en liquidités à court terme sont fréquemment la source de bien des maux de tête. Dans ces situations, un partenaire de qualité comme Distnet est primordial. Contactez un agent Distnet pour connaître toutes les options qui sâoffent à vous.
Après avoir perdu environ 75 % de sa valeur en 2011, Research in Motion (RIM) a vu ses co-PDG, Jim Balsillie et Mike Lazaridis, quitté leurs fonctions la semaine dernière. Plusieurs investisseurs blâmaient notamment les deux PDG pour les récents déboires de lâentreprise canadienne.
Fairfax Financial Holdings qui détenait déjà des parts dans RIM a annoncé quelques jours seulement après ce remaniement dâenvergure quâelle augmentait sa participation à 26,85 millions dâactions, soit environ 5,12 % des actions de la compagnie.
La société dâinvestissement qui appartient à Prem Watsa sâest affiliées dâautre compagnie afin dâeffectuer la transaction. M. Watsa a par le fait même joint le conseil dâadministration de RIM au moment où M. Balsillie et M. Lazaridis ont quitté la direction de lâentreprise. Ces derniers demeureront tout de même chez RIM, mais occuperont des postes moins importants.
Bien que ce remaniement représente un important changement pour la compagnie, certains investisseurs comme Vic Alboini, jugent quâils ne sont pas suffisants puisquâils laisseront selon eux, trop de pouvoir aux ex-PDG.
Thorsten Heins, anciennement de Siemens AG, et chef des opérations chez RIM depuis quatre ans, aura la lourde de tâche de remettre le géant canadien sur la bonne voix.
« Je suis d'accord avec le fait que le temps est venu de faire place à un nouveau leadership, et j'ai entièrement confiance en Thorsten, en l'équipe de gestion et en l'entreprise », a déclaré Jim Balsillie.
Quant à M.Heins, il a mentionné être « emballé face à lâavenir de la compagnie » et maintient que RIM peut compter sur de bonnes bases pour rebondir. « Nous avons un solide bilan, avec environ 1,5 milliard de dollars en liquide à la conclusion du dernier trimestre et une dette négligeable »
Bien que ce remaniement représente un important changement dans la compagnie, certains investisseurs comme Vic Alboini, jugent quâils ne sont pas suffisants puisquâils laisseront selon eux, trop de pouvoir à lâex-PDG.
Les grandes entreprises tout comme les petites peuvent avoir besoin de partenaire dâaffaires prêt à investir dans leurs projets pour que ceux-ci se poursuivent ou quâil se concrétise. Puisquâil est dur de prévoir exactement à quel moment ses besoins financiers se feront sentir, sachez que Distnet est peut être le partenaire dont vous avez besoin. Contactez un agent Distnet pour en connaître davantage sur les services disponibles.
Lâannonce que plusieurs analystes attendaient depuis quelques mois est enfin arrivée. Le géant de la photographie Eastman Kodak a annoncé ce jeudi quâil sâest placé sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Les filiales étrangères ne sont toutefois pas concernées par cette situation et continueront à honorer leurs engagements auprès des fournisseurs. Le groupe affichait un actif de 5,1 milliards de dollars et des dettes de 6,75 milliards à la fin septembre 2011.
En affaire depuis 1888, la compagnie américaine a
été une pionnière de la photographie et a joui dâune situation de monopole
jusquâau début des années 1980 où des concurrents asiatiques ont envahi
lâindustrie. Inventeur de la photo numérique, Eastman Kodak nâa toutefois pas
su voir en cette avancée un intérêt marqué puisquâils nâont pas jugé bon de
continuer dans cette voie. Câest la raison première de ses déboires actuels
selon les analystes qui jugent lâentreprise artisan de ses propres difficultés.
Ayant passé dâune capitalisation boursière de 31
milliards de dollars il y a 15 ans à moins de 150 millions aujourdâhui, Eastman
Kodak a également annoncé avoir obtenu une ligne de crédit de 950 millions de
dollars sur 18 mois de la part du groupe Citigroup. Cette manÅuvre vise Ã
donner un peu de temps au groupe pour trouver des acquéreurs pour ses 1100
brevets numériques et lui permettre de continuer à payer ses 17 000
employés.
« Le
conseil d'administration et la totalité de l'équipe de direction estiment que
c'est une étape nécessaire et la chose qu'il convient de faire pour l'avenir de
Kodak », a déclaré son PDG Antonio Perez, dans un communiqué.
Lâancien leader
américain se voit donc confronter au plus grand défi de sa longue histoire. Les
dirigeants semblent toutefois croire à un redressement futur selon le
communiqué envoyé plus tôt ce matin : « des liquidités suffisantes pour effectuer son
activité sous le chapitre 11 [de la loi américaine], et continuer Ã
fournir produits et services à ses clients comme à l'ordinaire ».
Souhaitons la meilleure des chances à cette institution qui a fait partie de plusieurs moments historiques. Le plus connu reste certainement les photos de la lune prises grâce à un appareil Kodak par lâastronaute Neil Armstrong en juillet 1969 lors de la célèbre mission Apollo 11. Cette situation nous rappel toutefois que peu importe la grosseur dâune compagnie ou sa situation dans le marché, aucune nâest à lâabri de problèmes financiers dans les années à venir. Des partenaires compétents sont primordiaux dans ces moments difficiles. Faites confiance à Distnet en matière de solution dâaffacturage. Nâhésitez pas à contacter un agent Distnet pour en connaître davantage.
à peine 24 h après le rejet à 90 % des dernières offres patronales par les travailleurs, Papiers White Birch à annoncé la fermeture définitive de lâusine de Québec. Malgré tout, certains employés refusent de baisser les bras et poursuivent leur piquetage au lendemain de cette annonce.
Selon les travailleurs, Papiers White Birch ne désirait plus maintenir son usine de Québec en fonction et essaie maintenant de mettre la faute sur ses employés en invoquant leur décision de ne pas accepter dâimportantes concessions sur leurs régimes de retraite. Le syndicat stipule que Papiers White Birch demandait une réduction de 45 % à 65 % des rentes du régime de retraite ainsi quâune diminution du salaire de 20 %.
Marc Boucher, employé à la Stadacona, affirme quâils nâont pas dit leur dernier mot. « Nous autres, on a confiance que cette usine-là va continuer à marcher. Il y a de l'espoir, notre syndicat nous a envoyé un communiqué de presse nous disant qu'il continue à travailler fort. On sait que cette usine-là a du potentiel. Ils ne nous fermeront pas ça de même. On a la Ville de Québec avec nous autres. »
Le syndicat des travailleurs digère très mal la fermeture de lâusine et demande maintenant lâintervention du premier ministre Jean Charest. Le syndicat évoque même une possible expropriation. Selon le vice-président au Syndicat canadien des communications, de lâénergie et du papier, Renaud Gagné « Dans un dossier un peu similaire, le gouvernement de Terre-Neuve a exproprié la compagnie. Quand on regarde, on a encore deux autres usines au Québec. Cet employeur-là , multimilliardaire, M. Brant [Peter Brant propriétaire de l'usine] qui tente de voler 130 millions à Québec au niveau des retraites, c'est vraiment dégueulasse »
Agnès Maltais, députée péquiste de Taschereau, a quant à elle demandé au ministre Sam Hamad de prendre position sur le dossier. « Il devrait au moins lui aussi exprimer l'indignation que tout le monde ressent ce matin. Il y a un mois, j'ai dénoncé ce que faisait le propriétaire qui se sert dans la caisse pendant qu'il essaie de négocier la diminution des fonds de retraite des gens. C'est du capitalisme sauvage! Il faut que la région choisisse son camp et le camp, c'est celui des travailleurs et de l'usine », a déclaré la députée.
La situation des
travailleurs de lâusine est regrettable mais malheureusement loin dâêtre
exceptionnelle. Au Québec, de nombreuses compagnies sont forcées à mettre la
clé dans la porte en raison de leur état financier précaire. Si la situation de
votre entreprise vous préoccupe et songez à des sources de financement
externes, Distnet pourrait bien être votre solution. Contactez un agent Distnet
dès aujourdâhui pour connaître la gamme de services qui sâoffre à vous.