Lâopérateur
téléphonique américain Verizon a publié vendredi un bénéfice net en chute de
25,1% à 881 millions de dollars US pour le troisième trimestre, juste au-dessus
des attentes, avec un chiffre dâaffaires résistant un peu mieux quâattendu.
Le
chiffre dâaffaires recule de 2,9% à 26,48 milliards US, après la cession de
lignes fixes lâan dernier, mais les analystes attendaient un recul plus marqué
(26,34 milliards US). En outre, le chiffre dâaffaires dégage une petite
progression de 2,1% a assuré le groupe.
Verizon
garde de justesse son titre de premier opérateur de la téléphonie mobile aux
Ãtats-Unis, devant AT&T, avec 93,2 millions dâabonnés (+7,1%).
Verizon
Wireless, dont le britannique Vodafone possède 45%, a enregistré un chiffre
dâaffaires de 16,25 milliards US, en hausse de 6%, pour un bénéfice
opérationnel de 4,85 milliards US (+14,3%).
Le
tableau est bien plus sombre dans les liaisons filaires, dont le chiffre
dâaffaires a reculé de 3,6% à 10,29 milliards US, et le bénéfice sâest effondré
de 90% Ã 19 millions de dollars.
Des
situations financières comme celle que vit actuellement la compagnie Verizon
peuvent paraître différentes de votre contexte économique, mais aucune
entreprise nâest invincible aussi grosse soit elle. Si, comme cette dernière,
vous rencontrez des difficultés financières ou rencontrer une mauvaise gestion
de vos finances, Distnet peut vous venir en aide et permettre à votre
entreprise de reprendre du poil de la bête. Des solutions comme lâaffacturage
et les ponts financiers sont conçues pour les périodes dâinstabilité. Faites
affaires avec Distnet et offrez à votre entreprise des solutions sur mesure.
Le groupe de presse du New York Times (NYT) a publié mardi une perte nette de 4,3 millions de dollars, très fortement réduite en un an, et un chiffre dâaffaires en baisse en raison de moindres recettes publicitaires (-1 %) et de diffusion (-4,8 %).
Présentement, le tournant économique en communication touche principalement les médias papier qui sont voués à disparaître selon lâopinion de certains experts. Par contre, ils resteront toujours un média dâimportance sur le WEB, dans les médias sociaux comme les blogues et sur les appareils mobiles. Même que certains trouvent de superbes alternatives pour utiliser les nouvelles technologies et la publicité papier. Voici un exemple, ICI, dâune publicité de AXA réalisée récemment dans un journal local belge.
Pour revenir à notre premier sujet, le chiffre dâaffaires du New York Times sâétablit actuellement à 554,3 millions de dollars (-2,7 %). Les recettes publicitaires générées sur Internet ont progressé de 14,6 % à 78,3 millions de dollars, et représentent plus du quart (27 %) du total, mais nâont pas suffit à compenser le recul de 5,8 % des recettes publicitaires sur papier.
« Il est clair que les annonceurs sont sensibles aux occasions dâassocier leurs marques à notre journalisme de haute qualité », a souligné la directrice générale Janet Robinson. « Ces résultats montrent la capacité de lâentreprise à gérer les affaires dans des conditions économiques inégales et pendant une période dâintense transition dans notre secteur » poursuit-elle.
Pour le trimestre en cours, le groupe sâattend à une amélioration « modeste » des recettes publicitaires papier par rapport à lâété, et une croissance dâun trimestre sur lâautre de 10 % pour le numérique. En revanche, les recettes de diffusion devraient continuer à baisser de 4 à 5 %.
Mme Robinson a souligné que dâimportants progrès avaient été réalisés pour le lancement du site payant NYTimes.com. Elle a précisé que les internautes se retrouvant sur le site après avoir cliqué sur un lien, sur dâautres sites ou sur un moteur de recherche, ne se heurteraient pas au péage, ce qui préserverait la pénétration publicitaire importante du site.
Lâaction perdait 2,49 % à 7,84 $ vers 15 h à la Bourse de New York, en date du 19 octobre 2010.
Les nouvelles technologies peuvent chambouler des prévisions budgétaires, même dans un plan dâaffaires bien conçu. Lorsque de nouvelles épreuves se présentent, il faut sâallier de bons partenaires et même profiter de ces occasions pour sâadapter au changement. Distnet représente un choix essentiel pour les entreprises qui doivent affronter lâadversité. Nâhésitez pas à contacter lâun de leurs agents afin de connaître toutes les options qui sâoffrent à vous que vous soyez ou non dans une situation précaire.
La Commission européenne a exclu mardi que la Grèce puisse bénéficier
dans lâimmédiat dâun délai supplémentaire pour rembourser lâénorme prêt que lui ont accordé lâUE et le FMI afin de lui éviter la faillite,
après quâAthènes eut évoqué
cette possibilité.
«Il nây a pas de raison concrète dâenvisager cette éventualité», a déclaré à la presse le porte-parole de lâexécutif européen pour les questions économiques, Amadeu Altafaj.
«Au contraire, nous avons assisté au cours des dernières semaines à une amélioration de la perception de la situation en Grèce par les investisseurs, avec des "spreads" (écarts de rendement entre les emprunts dâÃtat grecs et allemands, qui bénéficient eux des taux les plus bas dans la zone euro, ndlr) en baisse», a-t-il poursuivi.
Le porte-parole a ajouté que le gouvernement grec était en train dâappliquer les mesures dâéconomie budgétaires promises en échange des prêts. «Tout ceci suggère que la Grèce sera en mesure de couvrir pleinement ses besoins de financement extérieurs sur les marchés à partir de 2012», a souligné M. Altafaj.
«Il nây a pas de discussion et encore moins de négociation» au sujet dâun délai et «il nây a pas eu de demande» en ce sens de la part de la Grèce, a-t-il encore dit.
Cependant, lundi soir, le ministre grec des Finances, Georges Papaconstantinou, avait reconnu lâexistence de discussions avec lâUE et le FMI sur un allongement au-delà de 2015 du remboursement du prêt.
«La Grèce nâa pas officiellement revendiqué» un tel répit, câest «un débat mené informellement, sans quâaucune décision nâait été prise», a indiqué M. Georges Papaconstantinou.
Suite à la crise financière quâaffronte la Grèce, un prêt de 110 milliards dâeuros a été débloqué, car le pays nâétait plus en mesure dâemprunter sur les marchés pour financer ses déficits et rembourser sa dette à des taux abordables.
Lâéventuel délai énoncé concernerait la période de remboursement se terminant en 2016. Actuellement, lâargent prêté est versé en plusieurs tranches jusquâà la fin 2012. Athènes commencera dès 2013 à rembourser ces différentes tranches pendant trois ans, jusquâà la fin 2015.
Votre entreprise subit elle aussi les effets de la crise financière? Vous ne pouvez plus compter sur les banques et les méthodes de financement traditionnelles pour vous remettre à flot? Distnet est la solution à vos problèmes. Contactez un agent qui vous guidera vers les meilleures solutions pour vous et votre entreprise, en matière de services financiers et de financement.
La Banque centrale européenne (BCE) a décidé jeudi de maintenir son principal taux directeur inchangé à 1%, son plus bas niveau historique, a annoncé un porte-parole de lâinstitution monétaire.
La BCE confrontée à la tentation de ses homologues
dâassouplir encore davantage leur politique monétaire et à lâenvol de lâeuro a
choisi de maintenir le cap en laissant son principal taux directeur inchangé Ã
1% jeudi. Elle laisse ainsi ouvert le robinet du crédit, offrant aux banques
des volumes illimités de liquidités à ce taux historiquement bas, adopté en mai
2009.
La Banque Centrale européenne, dont la raison dâêtre
est de veiller à la stabilité des prix et non dâagir sur les changes, nâest pas
intervenue sur le marché des devises depuis 2000: câétait pour soutenir la
monnaie unique.
Câétait une décision largement attendue par les
économistes qui guettent davantage une éventuelle déclaration du président de
lâinstitution monétaire Jean-Claude Trichet sur le calendrier de sortie des
mesures de crise, lors de la conférence de presse qui suit la réunion du
conseil des gouverneurs à Frankfurt.
Jugeant la reprise fragile, la Réserve fédérale américaine
(Fed) sâest dite prête à remettre la planche à billets en marche afin de
soutenir lâéconomie nationale. La Banque du Japon a opté pour la même
stratégie, renouant cette semaine avec sa politique de taux zéro.
Quant à la Banque dâAngleterre, dont le taux plafonne à 0,5% depuis près de deux ans, elle est tentée, comme la Fed, de relancer son dispositif «dâassouplissement quantitatif» qui consiste à acquérir des titres de créance émis par des entreprises ou par lâÃtat.
Pour la BCE, qui se refuse à commenter lâattitude
dâautres banques centrales, prendre le contre-pied de ses partenaires
signifierait renforcer davantage encore la monnaie unique, avec le risque de
casser lâélan retrouvé par lâéconomie de la zone euro, tiré notamment par lâAllemagne.
La monnaie européenne a atteint mercredi 1,39$ US
pour la première fois depuis huit mois, flirtant désormais avec le seuil de
1,40$ US.
Par ailleurs, une guerre de taux de change se
dessine actuellement entre pays développés et émergents : câest à qui dévaluera
le plus sa monnaie pour soutenir ses exportations. Cette logique du chacun pour
soi risque de faire dérailler la reprise mondiale, en plus de causer des remous
inédits sur les marchés monétaires.
Selon le ministre canadien des Finances Jim Flaherty, il y a risque dâentraver les échanges commerciaux et de compromettre la reprise économique, si certains pays tentent de manipuler la valeur de leur monnaie sur les marchés de change.
Avec un partenaire vous offrant le support financier dont vous avez besoin, tous ces fluctuations monétaires ne devraient ni vous inquiéter ni vous empêchez de croître. Distnet est la référence pour les solutions dâaffacturage et les ponts financiers lors de périodes dâinstabilité. Nâhésitez pas à contacter lâun de nos agents pour en connaître davantage sur les options qui sâoffrent à vous.
Source : http://www.nytimes.com/2010/10/08/business/global/08rates.html?src=busln
Lâengouement pour les émissions de cuisine et les concours des meilleures recettes web ne dérougit pas. Par contre, bien que la demande soit élevée face aux produits et services culinaires, il y a présentement autant de restaurants qui ouvrent que de restaurants qui ferment leurs portes.
Après
la guerre du fast-food, nous avons eu droit à des assiettes plus recherchées
sur le plan de la qualité et du raffinement des mets. Puis, a suivi la création
de menus dégustations, ce quâon appelle aussi « cocktail dinatoire »,
comme des verrines, cuillères, bouchées et autres. Finalement, au début 21e
siècle, la découverte de la cuisine moléculaire a révolutionné la manière de
préparer les mets traditionnels et permis dâoffrir de nouvelles saveurs à des
produits déjà existants.
Certes,
les goûts changent, mais le taux élevé dâéchec en restauration est sans aucun
doute associé à la préparation insuffisante des gens qui se lancent en affaires,
qui reprennent ou encore relancent une enseigne connue.
LâInstitut de tourisme et dâhôtellerie du Québec (ITHQ) entend sâinvestir pour corriger en partie cette situation qui fait du tort à lâensemble de la restauration.
«Lâindustrie
sâattend à ce que lâITHQ joue un rôle actif là -dedans, explique en entrevue
Bernard Aurouze, directeur du Centre dâexpertise et de recherche de lâITHQ. Câest
une industrie davantage basée sur lâexpérience que sur le savoir. Il faut que
ça change, car il y a un problème de crédibilité.»
Beaucoup
sâimprovisent restaurateurs, dâautres imaginent des concepts, souvent avec
compétence, mais les banquiers ne les croient pas dans la plupart des cas. «Câest
lâargent du coeur qui finance les projets et ce nâest pas normal», poursuit M.
Aurouze.
VoilÃ
pourquoi la Fondation ITHQ se lance dans une nouvelle collecte de fonds auprès
de grands mécènes, de la population et de la communauté dâaffaires, qui croient
en la nécessité dâune industrie solide et réputée à lâéchelle internationale.
Cette activité de la Fondation sâajoute à ses banquets, qui lui ont permis de
soutenir lâITHQ et ses activités depuis 2003.
Lâobjectif
de plusieurs millions étalés sur quelques années consiste à «donner un sceau de
qualité» à lâindustrie québécoise de la restauration et de lâhébergement.
La
Fondation a mis sur pied un comité consultatif consacré à un fonds de soutien
en entrepreneuriat dans la restauration et lâhôtellerie. Il est composé de
personnalités très engagées dans lâindustrie, dont Pierre Parent, président du
conseil de plusieurs établissements hôteliers, et Robert Gagnon, aussi président
du conseil dâadministration de lâITHQ et longtemps associé aux Relais &
Châteaux.
Cette
initiative de la Fondation sâajoute à dâautres quâa prises lâITHQ. De concert
avec lâAssociation des restaurateurs du Québec et avec lâappui de lâécole dâhôtellerie
de Lausanne, lâITHQ mène une étude auprès de 350 établissements québécois dans
le but dâesquisser le profil de lâentrepreneur en restauration. Les résultats
sont attendus plus tard à lâautomne.
LâITHQ
compte 1200 élèves dont les deux tiers manifestent un esprit dâentrepreneuriat.
La proportion grimpe à 97% pour ceux qui se concentrent en restauration.
Ce
désir de se lancer en affaires est associé à lâépanouissement de leur
créativité. LâITHQ et sa fondation entendent leur apporter de la crédibilité et
accompagner quelques diplômés dans leur première aventure. «Nous voulons
vérifier si la base entrepreneuriale est solide», indique M. Aurouze.
La
démarche vaut aussi pour ceux qui étudient en hôtellerie. LâITHQ sâest associé
à lâUQAM dans un programme de hautes études en gestion hôtelière
internationale. Un programme de mentorat est sur le point de voir le jour Ã
cette fin.
Les
différents secteurs de lâindustrie ne sont malheureusement pas tous aussi bien
supportés par des fondations comme lâITHQ afin de soutenir le développement
économique. Pour des entreprises en difficultés, les solutions financières de
Distnet permettent de se sortir dâimpasse et dâassurer la continuité des opérations.
Faites appel à un agent de Distnet pour en connaître davantage sur
lâaffacturage, le financement dâinventaire et les ponts financiers.