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2015-07-15

Premier Tech investit 45,9 millions $

(Québec) Pour obtenir un taux de croissance qui réussit à se maintenir à un rythme annualisé de 11,5 % depuis un quart de siècle, Premier Tech a dû investir massivement afin de constamment améliorer ses façons de faire. Et la compagnie de Rivière-du-Loup entend bien continuer à le faire.


Mardi, le fabricant de produits agricoles et d'horticulture, d'équipements d'emballage et de systèmes de traitement des eaux usées a annoncé un investissement de 45,9 millions $ en innovation sur une durée de trois ans.


Une mesure qui permettra la création de 45 emplois, principalement dans la MRC de Rivière-du-Loup.


Le programme IDÉE - qui signifie Innovation et Développement pour l'Élévation des Exportations - se veut une sorte de plan de match qui guidera la réalisation de 24 initiatives distinctes visant à réaliser des avancées technologiques dans des secteurs ciblés aptes à renforcer les activités de Premier Tech en sol canadien et à accroître les exportations de l'entreprise qui compte sur 3250 employés répartis dans 23 pays à travers le monde et dont les ventes atteignent 600 millions $ par année.


«Au fil des années, Premier Tech a réussi à identifier des niches de développement porteuses et à mettre en place une force d'innovation, de recherche et développement unique et sans égal dans ses divers métiers à l'échelle internationale», a indiqué le président du conseil et chef de la direction de Premier Tech, Bernard Bélanger, à l'occasion d'une conférence de presse au cours de laquelle le ministre de l'Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec, Denis Lebel, a annoncé le versement d'une aide financière de 8,2 millions $ au projet mis en branle par l'entreprise louperivoise. Il ne s'agit pas d'une subvention, mais bien d'une contribution remboursable.


«Les investissements soutenus et continus de Premier Tech en innovation ont alimenté ses succès commerciaux et permis à l'entreprise de croître à un rythme annualisé de 11,5 % au cours des 25 dernières années. Ce nouveau partenariat avec Développement Économique Canada nous donnera la latitude nécessaire à la pleine mise en valeur de nos capacités et du potentiel des secteurs industriels dans lesquels nous ciblons nos activités», a ajouté M. Bélanger.


Au seul plan de la recherche, pas moins de 225 travailleurs de Premier Tech dans huit pays différents s'y consacrent à temps plein.


Fondée en 1923, l'entreprise a su bâtir son savoir-faire à partir de l'exploitation de la tourbe de mousse de sphaigne.


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Lapresse.ca

2015-07-15

Contrat de 45,8 millions $ pour le chantier naval de Gaspé

(Gaspé) Le chantier naval Forillon de Gaspé obtient son plus gros contrat à vie : construire six navires de recherche et sauvetage pour la Garde côtière canadienne. Pour honorer ce contrat de 45,8 millions $ qui s'échelonnera jusqu'en 2020, le chantier embauchera 20 travailleurs en plus des 50 déjà à l'emploi.


Jusqu'ici, le plus important contrat signé par le chantier naval avait été de 10 millions $, pour construire le traversier de l'Île-Verte, au Bas-Saint-Laurent. Le contrat avec la Garde côtière inclut la possibilité de construire quatre navires supplémentaires en plus des six assurés.


Ce contrat apporte «de la stabilité» au chantier naval Forillon, indique Jean-David Samuel, directeur des opérations. «Ça ne nous est jamais arrivé de voir à aussi long terme. On est assurés d'avoir du travail [pour cinq ans]. C'est le fun pour nos employés et pour nous.»


«C'est un navire complètement en aluminium, c'est plus délicat à construire, poursuit M. Samuel. Et c'est la première fois qu'on fera des bateaux en série, on a toujours rêvé d'en faire plusieurs pareils.»


Les navires commandés mesureront 20 mètres de long par 6 de large. Conçus pour se redresser automatiquement s'ils chavirent, ils servent à faire des recherches sur l'eau, à répondre aux appels de détresse en mer et à venir en aide aux navires en difficulté. Ces navires embarquent un équipage de quatre à six personnes et peuvent transporter jusqu'à 14 rescapés. Ils remplaceront les navires de type Arun, qui ont servi près de 20 ans en moyenne.


Le chantier naval Forillon est en train de préparer des plans précis à partir d'un modèle conçu par l'entreprise Robert Allan Ltée de Vancouver. La construction commencera en janvier ou février 2016, précise M. Samuel.


Livraison en 2017


La livraison du premier bateau est prévue en 2017, indique la Garde côtière par voie de communiqué. «On va les livrer à Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, précise Jean-David Samuel. On s'attend à ce qu'ils travaillent sur la côte est.»


Un autre chantier naval, Hike Metal Products à Wheatley, en Ontario, a aussi signé un contrat avec la Garde côtière pour six navires de recherche et sauvetage, d'une somme de 43,4 millions $, avec une option pour quatre navires de plus.


Le chantier naval Forillon a l'intention de continuer en parallèle la construction de bateaux de pêche, de traversiers et de remorqueurs, ainsi que la réparation, l'entretien et le remisage de navires. Ses employés travaillent actuellement à construire un navire de pêche au crabe, à la crevette et au poisson de fond pour une compagnie de Terre-Neuve.


Le chantier naval Forillon est la propriété de Robert Côté, de Gaspé. L'entreprise existe depuis plus de 60 ans.


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Lapresse.ca

2015-07-10

Agrandissement du port de Québec: le fédéral promet 62 millions $

(Québec) Tout indique que le ministre conservateur Denis Lebel s'engagera vendredi à soutenir un investissement d'Ottawa de 60 millions $ dans le projet d'agrandissement du port de Québec.


Différentes sources ont confirmé au Soleil la présence du lieutenant québécois de Stephen Harper dans la capitale cet avant-midi. Un événement de presse, auquel assisterait le maire Régis Labeaume, doit avoir lieu au port.


Le ministre de l'Infrastructure a déjà indiqué en mai qu'il était «important d'appuyer ce projet-là», comme son gouvernement a soutenu les ports de Montréal et de Sept-Îles dans leur développement. M. Lebel franchirait un pas supplémentaire en annonçant son appui à une participation de 62 millions $ du gouvernement fédéral, tel que souhaité par les autorités portuaires. Le maire Labeaume a aussi placé l'agrandissement du port sur sa liste de priorités soumises aux partis fédéraux en vue de l'élection à venir cet automne.


La première phase du projet consiste à prolonger de 610 mètres l'actuelle ligne de quai en eau profonde et la création de 18,5 hectares de nouveaux terrains pour aider le port à profiter de la croissance de l'industrie du transport maritime.


Les autorités portuaires ont déjà indiqué que l'investissement du gouvernement fédéral pourrait se faire «dans le cadre du programme Nouveau Fonds Chantiers Canada, volet Infrastructures nationales».


La phase I du projet d'agrandissement comprend aussi un réaménagement de la plage de la baie de Beauport. Mais, selon nos informations, il est plus difficile pour Ottawa d'insérer cet aspect dans un programme existant. Ces travaux devraient donc logiquement se réaliser à même les sommes que le port lui-même investira dans le projet.


Selon nos informations, le ministre Lebel ne débarquerait pas au port avec un chèque de 60 millions $. Il s'engagerait à soutenir le financement à travers le processus fédéral dont l'aboutissement a toutes les chances de se retrouver de l'autre côté du prochain scrutin. Il y a fort à parier que le projet d'agrandissement du port sera un enjeu de la campagne électorale à Québec.


D'Amour absent


Selon nos informations, le ministre québécois responsable de la Stratégie maritime, Jean D'Amour, ne sera pas de l'annonce. Un bras de fer subsiste entre le Port de Québec et le gouvernement Couillard qui tient à soumettre le projet d'agrandissement à un Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE). Les autorités portuaires, qui entendent mener leur propre «Processus environnemental de participation citoyenne» (PEPC), considèrent que les terrains fédéraux n'ont pas à se soumettre à un BAPE. Le premier ministre Philippe Couillard et son ministre de l'Environnement David Heurtel ont déjà juré que «les lois québécoises s'appliqueront au Port de Québec».


En mai, le ministre conservateur Denis Lebel a indiqué qu'à son avis, «le Port s'est engagé à respecter toutes les normes d'un processus habituel d'acceptabilité sociale, de rencontre des normes environnementales».


L'ensemble du projet baptisé Beauport 2020 est évalué à 190millions $. Le pdg du Port, Mario Girard, a déjà estimé les retombées à 100 millions $. La construction créerait selon lui 1200 emplois sur une période de cinq ans.


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Source
Lapresse.ca

2015-07-10

Lévis s'ouvre aux croisières internationales

(Québec) Dès 2017, Lévis se lancera dans le marché des croisières fluviales et internationales. Une étude dévoilée jeudi confirme que le quai Paquet peut accueillir des navires allant jusqu'à 175 mètres de long, donnant ainsi le feu vert aux grandes visées de la Ville.


«Lévis, pour une des premières fois de son histoire, va s'inscrire vraiment à l'intérieur du tourisme international, et c'est ça qu'on vise», a déclaré le maire Gilles Lehouillier lors d'une conférence de presse en bordure du fleuve.


Le quai Paquet aurait la capacité d'accueillir des bateaux comme le Pearl Mist, le Boréal ou le Seven Seas Navigator, qui font escale à Québec cet été et qui accueillent entre 200 et 500 passagers.


Rénové au coût de 21 millions $, le quai aura besoin d'un investissement supplémentaire de 700 000 $ avant de recevoir son premier navire. La Ville de Lévis s'est engagée jeudi à investir cette somme, qui servira surtout à installer des défenses pneumatiques, qui permettent aux bateaux d'accoster en douceur.


Elle pourrait également bénéficier de subventions, grâce à la toute récente Stratégie maritime dévoilée par le gouvernement libéral du Québec.


La Ville a décidé d'aller de l'avant après avoir pris connaissance des deux études qu'elle avait commandées : l'une sur les capacités techniques du quai, réalisée par Roche, et l'autre sur le potentiel d'accueil, réalisée par Lemay + DAA Stratégies. «On constate que le marché est là, et il est drôlement intéressant», soutient le maire Lehouillier.


Le quai Paquet pourrait aussi accueillir des navires allant jusqu'à 250 mètres de long, mais d'autres investissements, oscillant entre 2 et 3 millions $, devraient alors être faits.


Le maire Lehouillier n'est pas fermé à l'idée, mais, pour l'instant, il préfère prendre une bouchée à la fois. «Commençons par plus petit, question de nous faire la main», a-t-il lancé.


Le quai pourrait être fonctionnel dès 2016, une année permettant de faire des tests, avec des navigateurs qui connaissent bien le fleuve. D'autant plus que la rue Saint-Laurent devrait ressembler à un chantier de construction l'an prochain, alors qu'on enfouira les fils électriques, qu'on élargira les trottoirs et que des cafés-terrasses devraient commencer à s'installer. «On ne veut pas créer de déception», explique le maire.


C'est donc à l'été 2017 qu'on donnera le réel coup d'envoi. M. Lehouillier est conscient bien sûr que les croisiéristes qui feront escale à Lévis voudront visiter Québec, «mais avec le traversier, en 15, 20 minutes, ils sont rendus!» souligne-t-il.


Sur la Rive-Sud, on cherchera à développer le potentiel du secteur de la traverse et du Vieux-Lévis. «Sur le plan touristique, il faut maintenant s'inscrire dans de grands ensembles. Il ne faut plus mettre de frontières», souligne le maire, qui cite en exemple la collaboration entre Ottawa et Gatineau sur ce plan. Les croisières fluviales, les excursions d'un jour, et le combiné bateau-vélo sont également dans la mire de la Ville.


Collaboration avec le Port de Québec


Le Port de Québec a indiqué jeudi que c'était «bon à savoir» que Lévis aurait un quai prêt à accueillir des navires de taille moyenne dès 2017. «On va le considérer dans notre planification d'accueil et oui, ça se pourrait qu'on collabore», a indiqué la porte-parole Marie-Andrée Blanchet.


En conférence de presse jeudi, on soutenait que le quai Paquet pourrait subvenir aux besoins lorsque le port de Québec déborde. Pourtant, ce n'est pas encore arrivé ces dernières années. La seule fois où le port de Québec a affiché complet, c'était le 3 octobre dernier, alors que six bateaux de croisière étaient à quai en même temps. «Si on avait une septième demande, on considérerait l'opportunité [...] mais c'est hypothétique pour le moment», ajoute Mme Blanchet.


Comme le plan d'eau utilisé par Lévis est sous la juridiction du Port de Québec, des collaborations seront nécessaires. Le maire Lehouillier a déjà indiqué jeudi qu'il profiterait avec plaisir de l'expertise offerte par le Syndicat des débardeurs de Québec chez lui.



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Source
Lapresse.ca

2015-07-03

Groupe Desgagnés aura deux pétroliers mus au gaz naturel

(Québec) Groupe Desgagnés a déjà emboîté le pas à l'État pour doter sa flotte de navires moins polluants. Le pdg Louis-Marie Beaulieu indique qu'il comptera bientôt sur deux pétroliers propulsés au gaz naturel liquéfié (GNL).


L'armateur confirme que les deux vaisseaux, jaugeant de 15 000 à 20 000 tonnes, entreront en service vers la fin du printemps 2016. Ils sont en construction, en ce moment, en Turquie.


M. Beaulieu fait valoir que les commandes ne pouvaient être réalisées par les travailleurs de la Davie, à Lévis, sur la Rive-Sud de Québec. Il existe une raison reposant sur les coûts et les garanties de financement, mais surtout il y a le fait que le chantier n'était pas encore relancé à l'époque où les contrats ont été signés.


Le directeur de l'environnement de l'entreprise, Daniel Côté, avance que le nouveau mode de propulsion permettra de réduire de 25 à 30 % les rejets de gaz à effet de serre. La pollution de l'air, notamment pour les émanations de soufre et de particules fines, diminuera de 85 %.


Louis-Marie Beaulieu précise que l'équipement nécessaire pour se servir du GNL représente une facture de 10 millions $ par navire. Chacun vaut au total 40 millions $.


Ils remplaceront le Thalassa Desgagnés. Ils serviront à transporter du pétrole provenant des raffineries situées à Lévis et à Montréal de même que des produits bitumineux, comme ceux pour fabriquer de l'asphalte.


Stratégie maritime

La semaine dernière, Québec a profité du lancement de sa Stratégie maritime pour souligner que la Société des traversiers du Québec (STQ) effectue maintenant la navette entre Baie-Comeau et Matane à l'aide d'un imposant navire mû par le gaz naturel liquéfié. Le F-.A.-Gauthier, pouvant transporter 800 passagers et 180 véhicules, est le premier navire du genre en Amérique du Nord, selon la STQ.


La Stratégie vient conforter la firme dans la direction qu'elle a prise. M. Côté note qu'un courant mondial, poussé par des réglementations nationales pour restreindre les rejets polluants, incite les propriétaires de flottes de bateaux à adopter de nouvelles technologies.


Groupe Desgagnés détient des options pour la construction de trois autres navires. L'entreprise utilise 19 navires. Son chiffre d'affaires est de l'ordre de 230 millions $. Elle embauche 1000 travailleurs en période de pointe.


 
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Source
Lapresse.ca

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