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News

2015-07-03

Développement du Nord: Canalta construira un hôtel à Baie-Comeau

(Baie-Comeau) Le groupe Canalta, qui possède une quarantaine d'hôtels dans l'Ouest canadien, fera une première incursion dans l'est du pays en construisant un hôtel de 80 chambres à Baie-Comeau, à un carrefour appelé à devenir stratégique relativement au développement du Nord.


Selon la Société d'expansion de Baie-Comeau (SEBC), qui a fait cette annonce jeudi, Canalta installera son futur établissement en face du CLSC Lionel-Charest, au coin du boulevard Pierre-Ouellet (la route 138) et de l'avenue Charles-Normand. D'ici quelques années, en raison de travaux d'importance, la route 389 croisera la 138 à cet endroit précis.


«Être au coin de la 138 et de la 389 est un élément qui a grandement motivé le promoteur», a souligné le directeur du développement et des relations avec le milieu de la SEBC, Paul Joncas. «Ils ont fait une étude de marché et une étude du secteur et les autres terrains ne les intéressaient pas», a-t-il ajouté.


L'arrivée du groupe Canalta, qui précisera la hauteur de son investissement à Baie-Comeau dans les prochaines semaines, est évidemment une bonne nouvelle pour la municipalité. «Il s'agit d'un investissement majeur et d'un signal important envoyé à la communauté», a enchaîné M. Joncas.


Canalta n'est pas la première entreprise à lorgner un développement hôtelier dans le secteur. En décembre 2011, le groupe CREECO, bras économique des Cris du Nord-Est québécois, avait annoncé la construction d'un hôtel de 70 chambres à côté du club de golf de Baie-Comeau, à moins de deux kilomètres de l'hôtel aujourd'hui envisagé. Le projet de CREECO n'a finalement jamais vu le jour.


Le projet avancé

Paul Joncas assure que le projet de Canalta ne subira pas le même sort, car il est déjà plus avancé que le précédent. «Le terrain est déjà acheté et payé, l'entrepreneur général vient à Baie-Comeau la semaine prochaine pour rencontrer des sous-traitants et le permis de construction devrait être émis dans les prochaines semaines», a affirmé le directeur, qui refuse de dévoiler le montant de la transaction en ce qui concerne le terrain.


À titre de comparaison, le terrain convoité par CREECO valait 800 000 $ et le projet total de construction avoisinait les 10 millions $. M. Joncas a dit croire que le projet du Canalta est sensiblement du même ordre.


Canalta Hotels est surtout actif en Alberta et en Saskatchewan. Le groupe, qui a aussi un établissement au Manitoba, opère sous les bannières Canalta, Super 8 et Ramada.



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Lapresse.ca

2015-06-22

Informatique au gouvernement: économiser grâce à un outil québécois

(Québec) Une entreprise québécoise a mis au point un système de développement informatique pour faire économiser des centaines de millions aux grandes organisations paragouvernementales et aux ministères dans la façon de gérer leurs technologies de l'information.


Spécialiste du langage .NET (point Net) du géant Microsoft, Pierre Fournier, président et cofondateur de Consyst, et son équipe ont mis au point un outil d'automatisation de nombreuses tâches qu'il n'est pas nécessaire de programmer manuellement lorsqu'il faut compiler une application multiplateforme et multisystème d'exploitation.


L'outil de type MDD (model-driven development) nommé Rep ++ a été testé avec succès lors d'un projet pilote à Revenu Québec. Le Groupe Gartner dans ses évaluations des produits souligne que les outils MDD facilitent le développement d'application et réduit la codification manuelle de 2 à 15 fois selon les cas.


«Le projet qui a été mené à Revenu Québec a démontré hors de tout doute, même avec une formation minimale, que l'outil Rep ++ facilite la tâche des programmeurs en éliminant des pertes de temps par l'automatisation de la codification des mêmes données», raconte M. Fournier.


Voilà ce qu'indiquent deux membres de la direction de TI de Revenu Québec, Christian Genest et Karl Mckenna, dans un document sur le site de l'agence gouvernementale expliquant les résultats de l'application produite de la manière habituelle et avec l'outil de la compagnie québécoise Consyst :


«En tenant compte du contexte de développement et de la portée des essais, le développement de l'application sans Rep++ a exigé près de 60 heures de travail. En comparaison, la même application développée avec l'ajout de Rep++ à Visual Studio a requis un peu moins de six heures de travail, ce qui représente environ 10 % de l'effort original. À la suite de ces résultats, nous pouvons donc conclure que l'ajout de Rep++ à la plateforme .NET peut diminuer de façon significative les efforts de développement d'une application .NET, et ce, pour la réalisation des fonctionnalités ciblées par la preuve de concept.»


Cette démonstration, soutient M. Fournier, permet de travailler plus rapidement et plus efficacement pour créer les applications dont les ministères et les organismes ont besoin tout en assurant de conserver l'expertise à l'interne au lieu de constamment faire affaire avec des consultants externes.


Ne pas changer le modèle d'affaires


«Il n'est pas nécessaire de changer le modèle d'affaires du gouvernement, exprime-t-il, mais de modifier les modes de production pour obtenir des gains de production et de temps de déploiement de la technologie. Depuis notre fondation, il y a 28 ans, notre entreprise a toujours eu comme objectif d'améliorer la productivité et l'efficacité du travail de programmation.»


Ce gain de productivité ferait épargner des centaines de millions de dollars, un facteur à considérer lorsque le gouvernement cherche à équilibrer son budget. «Si l'on considère que les projets pouvant utiliser la technologie .NET dans un rapport d'amélioration de 10 pour 1 comme dans le projet pilote à Revenu Québec, le gouvernement dans ses ministères seulement pourrait économiser 143 millions $ par année, estime-t-il. Et en prenant une option pessimiste de 2 pour 1, l'économie serait d'au moins 80 millions $.»


À son avis, sur une période de 10 ans, les économies réalisées pourraient varier entre 800 millions à 1,4 milliard $ en utilisant un outil capable d'optimiser les applications multiplateformes avec la technologie .NET. Et cela ne tient pas compte des économies pouvant être réalisées dans les sociétés d'État comme Hydro-Québec, Revenu Québec ou Loto-Québec pour le projet en informatique.



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Lapresse.ca

2015-06-22

Bellechasse: 42 millions $ pour le gaz naturel

(Sainte-Claire) Le préfet de la MRC de Bellechasse, Hervé Blais, sait qu'il ne faut jamais ambitionner sur le pain bénit.


C'est pourquoi la confirmation, vendredi, des engagements de 35 millions $ de Québec et d'Ottawa et de 7 millions $ de Gaz Métro pour le prolongement du réseau de distribution de gaz naturel entre Lévis et Sainte-Claire représente, pour lui, une annonce attendue depuis belle lurette.


Son bonheur aurait été total, toutefois, si le futur réseau de 62 kilomètres avait été prolongé d'une vingtaine de kilomètres de plus - comme le souhaitait la Coalition gaz naturel Bellechasse - jusqu'à Saint-Damien, la ville qu'il représente à la table de la MRC.


«C'est une première étape. Je comprends que Paris ne s'est pas construit en un jour», a philosophé le maire de Saint-Damien en assurant qu'il allait poursuivre la bataille pour que les entreprises de son coin de pays puissent bénéficier, elles aussi, de cette source d'énergie moins coûteuse et moins polluante que le mazout.


«Je sais que Paris ne s'est pas construit en jour, mais je peux dire au maire Blais que Saint-Damien est plus loin de Paris que de Sainte-Claire!» a rétorqué la présidente et chef de la direction de Gaz Métro, Sophie Brochu, présente à la conférence de presse, qui se tenait chez Prévost, en compagnie des ministres québécois Pierre Arcand et Dominique Vien et du ministre fédéral Steven Blaney.


Mme Brochu a expliqué que la prolongation du réseau gazier jusqu'à Saint-Damien représentait un «fardeau additionnel». Selon elle, il faut toujours considérer les coûts de la distance à parcourir pour brancher les clients au réseau ainsi que la consommation de ces derniers. Pour le moment, une extension jusqu'à Saint-Damien n'en vaut pas la chandelle.


Travaux au printemps 2016


D'ici cinq ans, une centaine d'entreprises auront donc accès au gaz naturel.


«Cet été, nous allons soumettre le projet à la Régie de l'énergie pour qu'elle l'approuve, puis nous procéderons, cet automne, au choix de l'entrepreneur.» Selon Sophie Brochu, les travaux devraient débuter au printemps et dès l'arrivée de l'hiver 2016, les entreprises pourront dire adieu au mazout et adopter le gaz naturel.


Les entreprises prévoient investir 5 millions $ pour se brancher au réseau.


En octroyant chacun 17,5 millions $, Québec et Ottawa veulent non seulement aider les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, mais aussi faire en sorte qu'elles deviennent plus compétitives.


«Le gaz naturel est reconnu comme un facteur de location et de rétention des entreprises», a fait valoir le ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles, Pierre Arcand.


Tout en soulignant que le projet n'aurait jamais vu le jour sans la mobilisation générale de tous les intervenants locaux, les députés-ministres régionaux Dominique Vien et Steven Blaney ont martelé, pour leur part, que l'arrivée du gaz naturel allait soutenir la prospérité et la croissance des entreprises.


Sans le gaz naturel, la survie et l'expansion des entreprises étaient en péril, ont fait valoir, ces derniers mois, les élus et les dirigeants de compagnie réunis au sein de la Coalition gaz naturel Bellechasse. Sans le gaz naturel, des projets d'investissements resteront sur les tablettes.


Des économies de 30 % chez Prévost


«L'arrivée du gaz naturel à proximité de nos deux usines de Sainte-Claire va nous permettre de réaliser de grandes économies», a soutenu le vice-président des opérations de Prévost, Yvan Mailhot.


«Concrètement, nous prévoyons une baisse de 30 % de notre facture d'énergie. C'est pourquoi nous croyons que l'utilisation du gaz naturel dans nos procédés de fabrication nous permettra de demeurer compétitifs sur la scène nord-américaine», a indiqué le haut dirigeant du fabricant d'autocars.


Selon la Coalition gaz naturel Bellechasse, l'arrivée du gaz naturel pourrait favoriser le démarrage de projets évalués à plus de 30 millions $ de la part des entreprises.


On prévoit également que jusqu'à 700 emplois pourraient voir le jour, dont 540 pendant la construction de la desserte qui traversera Lévis, Pintendre, Saint-Henri, Saint-Anselme et Sainte-Claire, et 150 autres provenant des nouveautés investissements réalisés par les entreprises.


À terme, le gaz naturel réduira les émissions de gaz à effet de serre de près de 6000 tonnes et permettra des économies de coût d'énergie de 2,5 millions $ par année.


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Source
Lapresse.ca

2015-06-12

Montage financier de 265 millions $ complété pour l'agrandissement de l'aéroport de Québec

(Québec) L'aéroport de Québec a annoncé jeudi avoir complété un financement privé de 265 millions $ qui lui permettra notamment de procéder aux travaux d'agrandissement du terminal et de repaver la piste principale.


Aéroport de Québec inc., la société privée qui gère l'aéroport international Jean-Lesage depuis 2001, n'en était pas à la première opération du genre.


En 2008, elle avait réussi à recueillir 45 millions $. Ce montant est aujourd'hui multiplié par six.


Gaëtan Gagné, président et chef de la direction, fait un lien avec les actifs. De 4 millions $ en 2001, leur valeur atteindra 600 millions $ après la phase actuelle d'agrandissement.


Après l'ajout d'un stationnement étagé et la reconstruction des garages, les efforts sont dirigés vers l'aérogare, appelée à doubler de superficie. À partir de 2016, des travaux de pavage seront également entrepris sur la piste principale.


Les noms des «institutions financières canadiennes de premier plan» qui ont participé au financement n'ont pas été dévoilés. On sait toutefois que Scotia Capitaux a agi à titre de chef de file du syndicat des placeurs pour compte.


La Caisse de dépôt prête 53 millions $


La Caisse de dépôt et placement du Québec a également publié un communiqué de presse, jeudi, pour publiciser sa participation. Elle a consenti un prêt à terme de 53 millions $ à l'aéroport de Québec.


Marc Cormier, premier vice-président Revenu fixe à la Caisse, estime que le trafic aérien augmentera avec l'amélioration des infrastructures. Il a parlé d'appuyer «la croissance à long terme d'une organisation phare de la ville de Québec». 


L'aéroport de Québec a comptabilisé plus de 1,5 million de passagers en 2014 et espère franchir le cap des 2 millions de passagers en 2020.



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Lapresse.ca

2015-06-12

L'Innoparc de Lévis, c'est parti pour vrai, assure Lehouillier

(Québec) Cette fois, c'est la bonne! assure le maire de Lévis, Gilles Lehouillier.


Dès le retour des vacances de la construction, un premier bâtiment lèvera de terre dans l'Innoparc. Il sera prêt à temps pour la fin de l'année 2015.


Le promoteur immobilier Lesva construira un immeuble multilocatif de 21 000 pieds carrés réparti sur deux étages, comprenant un centre d'affaires incluant des bureaux à frais partagés et des laboratoires. Un projet de 3 millions $.


Un premier locataire a été trouvé. Il s'agit de l'organisme de développement économique Développement PME Chaudière-Appalaches.

Tout juste à côté, un autre promoteur immobilier, Innova2, projette, lui aussi, de construire un bâtiment multilocatif pour accueillir des entreprises. Son dirigeant, Jean Dumont, assure avoir en poche une liste de locataires éventuels.


Deux autres terrains du parc à vocation technologique et scientifique ont aussi trouvé preneurs.


L'Innoparc, c'est une superficie de deux millions de pieds carrés située en bordure de l'autoroute transcanadienne. Un secteur facilement accessible en autobus, à pied ou à vélo et intégré au Parc Valero Les Écarts, un vaste boisé urbain de plus de sept millions de pieds carrés.


Pour la première phase du projet, le territoire a été découpé en 23 terrains d'une superficie variant entre 800 et 136 000 pieds carrés. La Ville de Lévis vend les terrains au prix de 2,50 $ le pied carré. Au besoin, elle peut apporter un soutien financier aux promoteurs et aux entreprises intéressés à s'établir dans l'Innoparc.


Trois autres millions de pieds carrés sont disponibles pour une deuxième phase.


À terme, l'Innoparc pourrait représenter des investissements de 100 millions $ et permettre la création de 1200 emplois.


Repositionnement


Le projet de l'Innoparc est dans l'air depuis 2007. Il devait accueillir ses premiers locataires en 2010. Ce fut ensuite reporté en 2012. Une annonce avait été faite pour confirmer la venue dans l'Innoparc d'une Chaire de recherche industrielle en technologie de l'énergie et en efficacité énergétique de l'École de technologie supérieure. Le projet n'a jamais vu le jour.


En conférence de presse, jeudi, Gilles Lehouillier a expliqué que pour remettre l'Innoparc sur les rails, la Ville de Lévis avait demandé la collaboration de ses partenaires, notamment le Centre de robotique et de vision industrielle, TransBIOTech, Développement PME Chaudière-Appalaches et Québec International. «En 2014, nous avons complété un repositionnement complet de l'Innoparc», a précisé le maire de Lévis.


Au départ, l'Innoparc cherchait principalement à attirer des entreprises technologiques et scientifiques dont la mission est axée sur la recherche pure.


«Des entreprises nous démontraient de l'intérêt pour venir établir leurs pénates à l'Innoparc, mais elles nous signalaient, du même souffle, que les critères pour s'y installer étaient trop restrictifs.»


La Ville de Lévis a donc modifié son cadre réglementaire pour faire en sorte que l'Innoparc puisse ouvrir ses portes aux entreprises du secteur manufacturier, par exemple, et à certains créneaux porteurs dans la région de la Chaudière-Appalaches, comme les cosméceutiques, les aliments naturels, la robotique, l'automatisation industrielle, les plastiques et les matériaux composites.



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Source
Lapresse.ca

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