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News

2015-03-27

Le CRTC propose de simplifier les contrats de distribution télé

Le CRTC a lancé jeudi une dernière salve dans sa série de mesures visant à donner plus de pouvoirs aux consommateurs canadiens face aux grands fournisseurs de services de radiodiffusion du pays.


Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes propose cette fois l'ébauche d'un nouveau «code», qui obligerait notamment les entreprises de distribution par câble ou par satellite à rendre leurs contrats plus simples à comprendre pour le commun des mortels, et à informer leurs clients des changements apportés à leur offre de services.


Les fournisseurs de services de radiodiffusion devraient aussi simplifier leurs grilles tarifaires et leurs forfaits, souvent durs à suivre, et clarifier les politiques et les frais en cas de résiliation anticipée du contrat ou de modifications des choix de canaux, estime le CRTC.


Enfin, lorsque le sous-titrage pour malentendants est déjà offert pour une émission, «le CRTC s'attend» à ce que les versions en ligne et à partir d'appareils mobiles soient elles aussi sous-titrées. De plus, les radiodiffuseurs devraient «augmenter la quantité d'émissions avec vidéodescription offertes au cours des prochaines années».


«À partir de septembre 2019, la majorité des radiodiffuseurs devra fournir la vidéodescription dans le cas des émissions diffusées pendant les heures de grande écoute (de 19 h à 23 h)», propose le CRTC en guise d'objectifs et d'échéancier.


Les Canadiens sont invités à donner leur avis sur ce code provisoire d'ici le 25 mai. Le CRTC aimerait connaître quel type de renseignements les entreprises de distribution par câble et par satellite devraient fournir aux clients au moment de leur abonnement, quel préavis elles devraient donner lorsqu'elles changent le prix de canaux ou de forfaits composés de plusieurs canaux, et quel intervalle de temps serait raisonnable pour les rendez-vous d'installation.


Changement de culture au CRTC


Cette nouvelle proposition marque par ailleurs la fin de la consultation «Parlons télé» que le CRTC avait lancée en 2013 «sur l'avenir du système de télévision et sur la manière dont il peut s'adapter à l'évolution des technologies et des habitudes d'écoute». Le gendarme de la radiodiffusion canadienne a reçu plus de 13 000 commentaires de particuliers, d'organismes et d'acteurs de l'industrie.


Le CRTC a récemment annoncé de grands changements dans le secteur de la télévision: les fournisseurs par satellite et par câble devront dorénavant offrir un service «entrée de gamme» à 25 $ par mois ou moins, mais les réseaux canadiens de télévision n'auront plus à présenter d'émissions produites au pays avant 18 h - auparavant, 55 pour cent de ces émissions devaient être canadiennes.


En décembre 2014, le CRTC avait par ailleurs permis aux Canadiens de changer de fournisseur de services de télévision sans avoir à donner un préavis de 30 jours s'ils sont insatisfaits, et à choisir la télévision en direct comme solution de rechange gratuite.


«Grâce aux mesures que nous avons annoncées récemment, les Canadiens auront accès à un contenu télévisuel captivant, auront la liberté de choisir le contenu qui répond à leurs besoins et disposeront d'outils afin de naviguer dans un marché dynamique», a indiqué jeudi le président du CRTC, Jean-Pierre Blais. «Ils tiennent maintenant les rênes.»


Ce parti-pris du CRTC pour le consommateur ne devrait pas trop surprendre: dès sa nomination par le premier ministre Stephen Harper, en juin 2012, Jean-Pierre Blais a prévenu qu'il était là pour défendre d'abord le client, rappelait jeudi John Lawson, du Centre pour la défense de l'intérêt public.


De tels organismes de défense des consommateurs se réjouissent de ce changement d'attitude, après les années de régime Konrad von Finckenstein, qui a déjà soutenu publiquement que le CRTC «n'avait pas le mandat d'entendre les commentaires et les inquiétudes des citoyens».


«On assiste indéniablement à un changement de culture» au CRTC, estime le directeur de campagne à l'organisme OpenMedia, Josh Tabish. «Cela dit, ils ont encore un bon bout de chemin à parcourir afin d'améliorer les choses.»


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Lapresse.ca

2015-03-27

Loblaw: la marque Joe Fresh se lance dans la chaussure avec Aldo

Le détaillant Loblaw Co. (T.L) annonce que sa marque de vêtements Joe Fresh se lance dans la chaussure.


La compagnie a conclu une entente avec le groupe montréalais Aldo, qui s'occupera de la conception et de la fabrication des chaussures de marque Joe Fresh.


Les premières chaussures Joe Fresh devraient être lancées sur le marché au printemps 2016.


Le groupe Aldo est propriétaire de plus de 1800 magasins dans 93 pays, dont le Canada. Il fabrique aussi des produits de marque privée pour différents partenaires dans les secteurs de la mode et du détail.


La marque Joe Fresh s'inscrit dans la volonté de Loblaw de se diversifier au-delà de ses activités traditionnelles d'épicerie. La marque a été lancée en 2006 et comprend des vêtements et accessoires.


Les produits de marque Joe Fresh sont aussi disponibles dans d'autres commerces au détail, dans les succursales de J.C. Penny et en ligne. La compagnie a également ouvert des commerces en Corée du Sud, en Arabie Saoudite et en Égypte avec des partenaires locaux.


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Lapresse.ca

2015-03-20

L'incubateur Espace-INC ouvrira ses portes mercredi

(SHERBROOKE) Le lancement du nouvel incubateur d'entreprises de Sherbrooke, Espace-INC, aura lieu mercredi dans ses locaux de la rue Marquette. Lors de l'événement, l'équipe d'Espace-INC présentera les premières entreprises incubées. L'offre de services de l'incubateur et une visite des lieux sera également au programme.


«Au cours du point de presse, vous assisterez notamment à une séance typique d'elevator pitch. En deux minutes, quelques entrepreneurs présenteront leur projet d'affaires devant leurs pairs, leurs coachs, les entrepreneurs-ambassadeurs d'Espace-INC, ainsi que les premiers partenaires privés de l'incubateur», explique la directrice d'Espace-INC, Chloé Legris.


«Espace-INC est à la fois un milieu de vie pour entrepreneurs et un accélérateur de startups», souligne Mme Legris qui agissait jusqu'à récemment à titre de directrice du développement des affaires de la filière-clé des Technologies propres chez Sherbrooke Innopole.


Deux types d'entreprises seront incubées sous le toit d'Espace-INC : les entreprises en démarrage qui sont en mode accélération et les entreprises en démarrage qui sont en mode pré-accélération. «Nous avons signé des ententes avec quatre startups de la première catégorie qui ont été sélectionnés pour leur grand potentiel de développement, leur innovation et le leadership de leur fondateur. De plus, six ententes de la deuxième catégorie ont été signées avec des startups qui sont dans une phase plus embryonnaire de leur développement, mais qui pourrait bien passer dans la première catégorie au fil du temps», mentionne Mme Legris.


D'autres entrepreneurs pourront travailler dans des espaces de co-working aménagés pour favoriser les échanges.


Sans vouloir pour l'instant dévoiler le nom des entreprises incubées, la directrice d'Espace-Inc souligne qu'elles proviennent de secteurs d'activité variés. «On en a qui sont issus des secteurs des sciences de la vie, des transports, du web, de l'agroalimentaire et de l'environnement», spécifie-t-elle.


Évolution et motivation


Les ententes initiales signées avec la dizaine d'entreprises incubées sont pour une période de six mois avec une possibilité de renouvellement pour une période allant jusqu'à trois ans, en fonction de l'évolution des projets et de la motivation des entrepreneurs.


Pour l'instant, l'incubateur occupera 5000 pieds carrés, mais pourrait s'étaler jusqu'à 12 000 dans un avenir rapproché, ce qui représente un peu moins du tiers de la superficie totale de l'ancien poste de police.


Environ 90 pour cent des travaux d'aménagement ont été complétés à ce jour. Les premiers locataires ont emménagé dans l'incubateur fin février avec un retard d'environ deux mois puisque cette étape avait initialement été prévue pour début janvier. «Le processus d'accompagnement des entrepreneurs a débuté début janvier, même si ces derniers n'avaient pas encore déménagé. Certains continueront de profiter de notre accompagnement dit «virtuel». On les appelle nos entreprises incubées satellites», souligne la directrice d'Espace-INC.


Le lancement aura lieu le 25 mars à 15 h 30 au 400, rue Marquette, Sherbrooke.


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Lapresse.ca

2015-03-20

Kombi: rajeunir une marque vénérable

Il y a quelques années, le fabricant de gants et de mitaines Kombi avait cédé du terrain à ses concurrents. Pour renverser la vapeur, l'entreprise montréalaise a adopté une nouvelle image de marque audacieuse. Les résultats ne se sont pas fait attendre.


Pour bien des amateurs de sports d'hiver, Kombi est synonyme de gants et de mitaines. Mais depuis des années, la marque était en perte de vitesse, des détaillants lui préférant les produits de multinationales comme The North Face et Columbia. Un changement de cap s'imposait.


Pour relever le défi, c'est tout un branle-bas de combat qu'a déclenché l'entreprise fondée en 1961, mais dont les racines remontent à 1911. La famille Pascal, propriétaire de Kombi, a commencé le processus en embauchant Patrick Ménard comme directeur des ventes et du marketing, il y a trois ans.


«J'ai appris beaucoup en travaillant pour une entreprise internationale de vêtements de sport, Peak Performance», relate M. Ménard. Celui-ci a complètement remanié l'équipe des ventes de Kombi, de sorte que 40% des représentants sont partis, dans bien des cas «parce qu'ils ne faisaient pas le travail».


Dès la première année, les ventes ont repris une pente ascendante. Mais l'ambition de l'entreprise était beaucoup plus grande: reprendre tout le terrain perdu, puis aller plus loin. Pour y parvenir, il fallait dépoussiérer la marque Kombi. «On nous disait que nos produits devenaient de plus en plus difficiles à vendre», confie Patrick Ménard.


Avec la nouvelle directrice du marketing, Marie-Hélène Choquette Zaurrini, une ancienne de CloudRaker et de Cossette, il a consacré plusieurs mois à pondre un document d'une centaine de pages sur les forces et les faiblesses de Kombi. Le principal constat? La marque était trop «éparpillée». Elle ne projetait pas suffisamment les valeurs de simplicité et de qualité de l'entreprise.


Kombi a ensuite lancé un appel d'offres pour un contrat de renouvellement de l'image de marque (rebranding). Marie-Claude Fortin et Sébastien Bisson, des anciens de DentsuBos et de Sid Lee, l'ont remporté, ce qui les a amenés à créer leur propre agence, Polygraphe.


Impact quasi immédiat


La nouvelle image de marque de Kombi imaginée par Polygraphe tranche radicalement avec l'ancienne, avec un logo facilement reconnaissable, l'utilisation du rouge vif, des slogans percutants et des diagrammes pour décrire les caractéristiques des produits. Dès sa première présentation aux détaillants, en décembre 2013, le design a fait mouche. Pour le faire connaître, l'entreprise a doublé son budget de marketing.


«Nos commandes ont augmenté de 45% en 2014 et une autre hausse d'au moins 25% s'annonce pour cette année», se réjouit M. Ménard. Le renouvellement de l'image, qui a remporté deux prix de l'industrie, a même permis à Kombi de renouer avec des détaillants qui lui avaient tourné le dos quelques années auparavant.


On a profité du repositionnement pour lancer une nouvelle gamme de gants, de mitaines et de chaussettes adaptés à la vie urbaine, Metro. On a aussi rajeuni l'image de la marque soeur de Kombi, Hot Paws, dont les produits sont distribués dans les grandes chaînes comme Wal-Mart et Canadian Tire.


Par ailleurs, pour donner plus de profondeur à son processus décisionnel, l'entreprise a créé un comité de direction composé de ses principaux cadres. Afin de bien implanter cette nouvelle structure organisationnelle et la nouvelle orientation de Kombi, on a complètement rénové le siège social de Mont-Royal. Une salle d'exposition a été aménagée pour en mettre plein la vue aux acheteurs des détaillants.


Viser le monde


Kombi souhaite maintenant reproduire ses succès récents ailleurs dans le monde. L'entreprise est présente depuis des décennies aux États-Unis et en Europe, mais elle réalise encore plus de la moitié de ses ventes au Canada.


«Nous faisons de bonnes affaires en Scandinavie, mais c'est difficile dans le reste de l'Europe, où nous nous butons à des marques locales fortes, explique Patrick Ménard. Notre nouvelle image devrait nous donner un bon coup de pouce.»


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Lapresse.ca

2015-03-13

Un premier grand centre de données à Montréal

Griffintown accueillera l'un des plus gros centres de données jamais construits en milieu urbain au Canada, un projet de 70 millions de dollars qui devrait être terminé d'ici la fin de l'année.


Le groupe torontois Urbacon et le Fonds immobilier de solidarité FTQ sont partenaires à parts égales dans l'érection de ce bâtiment de 10 étages. En incluant toutes les sommes qui seront investies en matériel informatique par les futurs locataires - de 15 à 20 millions par étage -, les investissements totaux devraient frôler les 200 millions, a indiqué à La Presse Affaires Peter Russell, vice-président d'Urbacon.


«On est très fiers de dire que c'est un équipement de très haut niveau qui sera situé à Montréal, a-t-il indiqué. Il était à peu près temps que Montréal obtienne un tel centre.»


Le nouvel immeuble sera situé rue de l'Inspecteur, à côté d'une rampe d'accès du tunnel Ville-Marie. La tour gris charbon de 234 000 pieds carrés intégrera un ancien bâtiment industriel de quatre étages, qui sera converti en bureaux.


Nanosecondes


Selon le Fonds FTQ, ce projet générera environ 600 emplois, surtout pendant la phase de construction. Une fois terminé, l'immeuble abritera d'immenses serveurs informatiques et une ribambelle d'équipements à la fine pointe de la technologie, mais somme toute peu d'employés.


Pourquoi construire ce centre de données en plein coeur de la métropole, plutôt qu'au milieu d'un champ? Peter Russell fait d'abord valoir la proximité avec les entreprises du centre-ville - notamment dans le secteur financier -, qui bénéficieront d'un accès rapide à leurs serveurs.


La vitesse de transmission des données par fibre optique joue aussi un rôle crucial, précise-t-il. «Même si les signaux voyagent à la vitesse de la lumière, plus il y a d'interrupteurs, plus ça ralentit le signal. Si le signal doit voyager le long d'un câble de 60 km, cela lui prendra une fraction de seconde de plus pour se rendre à destination. Ces fractions de seconde peuvent avoir une valeur extrêmement élevée pour une société financière, qui fait des transactions sur les marchés boursiers.»


Urbacon, qui s'est spécialisée depuis 1984 dans la construction de centres de données, achève ces jours-ci un autre établissement au centre-ville de Toronto. Celui de Montréal demeurera néanmoins le plus vaste en son genre au Canada, selon l'entreprise.


Accent sur la sécurité


Des sommes importantes seront investies pour assurer une sécurité permanente du centre de données. Le vice-président d'Urbacon refuse d'entrer dans le détail, mais il précise que des systèmes de reconnaissance de la rétine seront entre autres installés.


À ce jour, des ententes ont été conclues pour la location d'environ la moitié des sept étages de serveurs. Peter Russell est confiant que la totalité sera louée d'ici à 24 mois. Il refuse de nommer les futurs locataires pour des raisons de confidentialité.


«Nous sommes convaincus que les entreprises à la recherche d'un centre de données sauront tirer avantage de ce nouvel immeuble, non seulement pour son emplacement stratégique, mais également pour la qualité du bâtiment», a indiqué Normand Bélanger, président-directeur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ, qui cherchait depuis quelques années une vocation à ce terrain stratégique de Griffintown.


Certains travaux de démolition ont déjà démarré sur le terrain, et l'excavation devrait commencer dans deux semaines. Le bâtiment sera terminé d'ici la fin de 2015, selon Urbacon, mais l'aménagement intérieur des différents étages prendra davantage de temps.


Le projet sera annoncé officiellement ce matin dans le cadre du Forum stratégique sur les grands projets, organisé par la chambre de commerce du Montréal métropolitain.


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Source
Lapresse.ca

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