Les problèmes financiers dâAveos, une société de maintenance dâavions, lâont contraint à se placer sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies.La fermeture de lâentreprise qui met en péril 2600 emplois, dont 1800 à Montréal seulement, est un véritable choc pour les travailleurs qui ont appris la nouvelle dimanche dernier.
Alors quâhier, des centaines dâentre eux manifestaient leur colère, la direction dâAveos accusait Air Canada, son ancienne société mère et principal client, dâêtre à lâorigine de ses malheurs. Selon la requête dâAveos en Cour supérieure, Air Canada aurait annulé ou retardé des travaux de maintenance ce qui a eu pour conséquence une diminution de revenu de 16 millions de dollars pour Aveos, et ce en seulement 2 mois.
Dâaprès Marcel
St-Jean, président de la section locale de lâAssociation internationale des
machinistes et des travailleurs et travailleuses de lâaérospatiale, 90 %
de la charge de travail provenait dâAir Canada.
Quant à Air Canada, la compagnie maintient quâelle a respecté ses obligations et exige maintenant quâAveos termine les travaux de maintenance sur quelques avions présentement immobilisés dans des hangars. Le transporteur a dâailleurs offert un financement de 15 millions de dollars pour assurer la conclusion des travaux.
Selon Me Louis Bélanger, avocat représentant Air Canada, jusqu'à 3000 passagers par jour pourraient être forcés de rester au sol si ses appareils demeurent bloqués dans les hangars.
Bien que la majorité des emplois ne pourront être récupérés, lâespoir demeure pour les employés en charge de la maintenance des moteurs et des autres grands composants des appareils, comme les trains dâatterrissage. Aveos envisagerait même de redémarrer ce secteur dâactivité
La situation est similaire à Winnipeg et Vancouver, où se trouvent les autres installations dâAveos qui fermeront aussi leurs portes. Des affiches ont même été installées dans lâatelier de Winnipeg, indiquant que lâentreprise «a cessé ses opérations de maintenance».
Selon les renseignements de lâAéroport Montréal-Trudeau, aucun vol à court terme ne sera affecté par la fermeture dâAveos.
Cette fermeture se rajoute à la
triste liste de faillites au Québec depuis le début de lâannée 2012. Auraient-elles
pu être évité avec lâaide financière dâun partenaire de confiance? Cela est
bien difficile à déterminer. Si vous croyez que votre entreprise pourrait avoir
recours à des services de financement pour maintenir ses activités à court ou
moyen terme, Distnet est le
partenaire quâil vous faut. Appelez lâun de nos agents pour en apprendre plus
sur nos solutions dâaffacturage, de financement dâinventaire et de pont
financier.
Lâédition 2012 du Red Bull Crashed Ice se tiendra le 17 mars prochain dans les rues de Québec. Il sâagit de la finale de quatre courses internationales, dont les trois premières ont eu lieu à Saint-Paul aux Ãtats-Unis, Valkenburg aux Pays-Bas et Aare en Suède. Lâévénement qui en est à sa septième édition se doit de composer avec plusieurs groupes de citoyens qui aimeraient le voir disparaître. La survie de cette compétition de patinage extrême dépend principalement de sa popularité auprès de la population et des autorités de la ville. Mais quâen sera-t-il après 2013, soit la date à laquelle se termine le contrat entre la ville de Québec et lâorganisation?
Cette année encore, le Reb Bull Crashed Ice se
bute à de vives réactions provenant cette fois du Comité des citoyens du
Vieux-Québec (CCVQ) qui réclame le non-renouvellement du contrat à la fin 2013.
Sur son site web, le comité juge que la tenue de lâévénement « dépasse largement
la capacité dâaccueil du Vieux-Québec et quâil serait plus que raisonnable que
2013 soit la dernière édition dans le Vieux-Québec ».
Selon son président, Louis Germain, le CCVQ
ajoute que le Red Bull Crashed Ice est une nuisance sur le plan commercial. « Câest une
diminution des affaires, sauf à quelques restaurateurs et quelques hôtels
durant les quatre jours de lâévénement », écrit-il.
La compagnie responsable de lâévénement pour
Québec, Gestev, assure que des contacts ont été effectués à partir de la fin de
lâédition 2007 avec les citoyens et gens dâaffaires et se traduisent par
au moins deux rencontres par année. « Depuis le
début, on suit leurs recommandations, ce qui a amené en 2008 à changer le
parcours de lâautre côté de la côte de la Montagne. Cette modification a
entraîné des centaines de milliers de dollars de frais que le Red Bull Crashed
Ice a absorbés », souligne Patrice Drouin, président de Gestev.
Pour ce qui est de lâaprès 2013, M. Drouin
se montre confiant en ce qui concerne le maintient du Red Bull Crashed Ice Ã
Québec. « Câest un événement qui arrive à maturité. Chez Red Bull, ils nâont
pas signifié leur intention dâaller ailleurs. Québec est de loin la meilleure »,
affirme-t-il.
Malgré le positivisme des organisateurs et sa grande popularité, lâavenir de lâévénement reste inconnu dans la ville de Québec. Cette situation nous prouve que les succès vécus une organisation ne peuvent toutefois pas être garant du futur. Pour être bien équipée lors de ces périodes dâincertitude, une compagnie se doit de posséder les liquidités suffisantes pour traverser les tempêtes. Distnet vous offre des solutions efficaces dâaffacturage qui vous permettront de faire face aux moments plus difficiles. Nâhésitez pas à contacter un agent Distnet pour de plus amples informations.
Le transporteur Air Canada menace de mettre ses pilotes en lock-out à compter de lundi le 12 mars 2012. Cela survient suite au refus de lâAssociation des pilotes dâAir Canada (APAC) concernant lâoffre « finale » présentée par la compagnie qui venait à échéance ce jeudi à midi.
Le conflit qui perdure depuis maintenant 18 mois
a donc atteint un point culminant. « Nous devons éliminer
l'incertitude qu'occasionne le conflit de travail pour nos clients, qui
déstabilise la Société et ses activités et qui ternit la marque Air Canada.
Nous avons participé à de longues négociations depuis les 18 derniers mois
ainsi qu'à diverses tentatives de conciliation et de médiation », a
déclaré Duncan Dee, vice-président général et chef de l'exploitation dâAir
Canada.
Le plus grand transporteur aérien du
pays affirme que lâoffre « finale » quâil a présenté aux pilotes
comprend des augmentations salariales de deux et trois pour cent au cours des
cinq prochaines années et une pension non réduite en cas de retraite anticipée
à 60 ans. « L'offre finale qu'Air Canada a présentée visait à maintenir la
rémunération et les avantages sociaux de ses pilotes dans le quartile supérieur
de l'industrie nord-américaine du transport aérien », peut-on lire dans le
communiqué envoyé par la compagnie.
LâAPAC , qui représente environ 3000
pilotes, affirme que la proposition de convention collective présentée comme
« finale » par Air Canada est presque identique à celle précédente
qui avait été rejetée par ses membres.
Si la tendance se maintient et
quâaucune entente de dernière minute ne survient, les opérations de la
compagnie aérienne seront paralysées à partir de lundi, soit le premier jour
des vacances scolaires du printemps en Ontario, la province canadienne la plus
peuplée. Il est donc évident que cette situation aura des impacts importants
sur les voyageurs.
Les répercussions de ce conflit risquent dâêtre multiples pour Air Canada. Il arrive que des dirigeants aient à prendre des décisions difficiles pour assurer le futur dâune compagnie. Dans ces occasions, avoir des partenaires financiers fiables est primordial. Distnet met à la disposition de ses clients des solutions dâaffacturage efficace. Contactez un agent Distnet afin dâen savoir plus.
Une équipe qui ne gagne pas et qui joue devant les
plus petites assistances de la Ligue Nationale de Hockey, voilà le scénario qui
se répète dâannée en année pour les Coyotes de Phoenix. La saison dernière
seulement, lâéquipe a enregistré des pertes de plus de 36 millions de dollars.
Malgré tout, la LNH semble, sans
raison concrète, sâacharner à garder lâéquipe en Arizona plutôt que de chercher
un marché plus lucratif.
Les experts comprennent mal les raisons derrière cet entêtement. « à mon avis, c'est tout à fait incompréhensible, il n'y a rien à comprendre, dit André Richelieu, professeur spécialisé en marketing du sport à l'Université Laval. C'est un acharnement à vouloir garder l'équipe en Arizona le plus longtemps possible et de manière plus générale, à la garder aux Ãtats-Unis. »
Certains avancent que lâintérêt des télédiffuseurs américains pour la présence dâune équipe à Phoenix joue un grand rôle dans la situation actuelle. En tant que 13e marché de télévision en importance aux Ãtats-Unis, Phoenix représente un atout pour la Ligue Nationale. Cette hypothèse est dâailleurs la première vers laquelle se tourne le journaliste du Phoenix Business Journal, Mike Sunnucks.
« Je crois que, pour la ligue, l'enjeu est global. La présence d'une équipe à Phoenix les aide certainement dans la négociation de contrats de télévision avec des réseaux nationaux comme NBC. »
Il sâagirait selon lui aussi dâune question dâimage pour la LNH. Le déménagement éventuel des Coyotes pourrait lancer un mauvais message aux autres propriétaires dâéquipes dans un marché ensoleillé comme celui de lâArizona. Ce serait un peu comme avoué que ce type de marché nâest pas viable pour une concession de la LNH.
Toujours dâaprès le journaliste américain, lâeffet Balsillie aurait aussi un rôle à jouer. « Il faut se souvenir que toute cette histoire a commencé quand Jim Balsillie a tenté de mettre la main sur l'équipe, rappelle M. Sunnucks. Je crois qu'il y a beaucoup de conflits personnels entre lui et Gary Bettman. . Les tentatives maladroites de Jim Balsillie, cofondateur de Research in Motion, pour obtenir une franchise ont grandement déplu au dirigeant de la LNH, ce qui expliquerait en partie sont entêtement à conserver lâéquipe à Phoenix. »
Selon André Richelieu, il nây a tout simplement aucun espoir de sortir les Coyotes du rouge, et ce peu importe le propriétaire. « Je pense que tout a été essayé. C'est une question d'offre et de demande. Vous pouvez avoir la meilleure machine de marketing possible, s'il n'y a pas de demande pour votre produit, ça ne marchera pas. »
Il sera intéressant de suivre ce dossier pour connaître lâavenir de cette franchise dans les mois à venir. Si votre entreprise traverse aussi une période dâincertitude, les services financiers de Distnet pourraient bien vous venir en aide. Apprenez-en davantage en contactant lâun de nos agents dès aujourdâhui.
Malgré les efforts de la Grèce dans les derniers mois
pour redresser son économie, le bilan nâa guère changé et le pays semble
toujours se diriger vers une faillite inévitable. Afin dâéviter ce scénario
catastrophe, les ministres de la zone euro se rencontraient hier, lundi 20
février, à Bruxelles.
La rencontre avait pour objectif dâévaluer si les conditions sont respectées pour lâapplication dâun plan de sauvetage qui comprendrait une aide publique de 130 milliards dâeuros et un effacement partiel de la dette grecque détenue par les créanciers privés, à concurrence de 100 milliards dâeuros.
Rappelons que la Grèce a jusquâau 20 mars de cette année pour rembourser une dette de 14,5 milliards dâeuros, ce qui dâaprès les conditions actuelles semble mission impossible pour le pays et sans quoi ce dernier risque de subir un défaut de paiement plus important que celui de lâArgentine il y a 10 ans.
Dâaprès le ministre français de lâÃconomie François Baroin, tous les éléments seraient réunis pour arriver à un accord. « Je souhaite que nous puissions les uns et les autres, membres de l'Eurogroupe, tenir compte de tout ce qui s'est fait depuis plusieurs semaines, même plusieurs mois, de la part du gouvernement grec et des formations politiques constituant la coalition » a ajouté M.Baroin.
Bien que le plan de sauvetage ait soulevé plusieurs questionnements quant à sa pertinence, même les plus sceptiques, comme la chancelière allemande Angela Merkel, ont laissé savoir que lâissue de la réunion serait positive.
Dans le but de rassurer les plus récalcitrants, une liste de réformes devra être appliquée avant quâun premier versement dâaide ne soit attribué. Les réformes devront être votées dâici le début du mois de mars.
Lucas Papademos, premier ministre grec, sâest joint à la réunion de lâEurogroupe afin d'afficher sa détermination auprès de ses partenaires de la zone euro.
« Il est évident que nous attendons aujourd'hui de mettre fin à une longue période d'incertitude qui n'a aidé ni l'économie grecque ni la zone euro dans son ensemble (...), et je crois que tout sera résolu sur la base des décisions européennes et les principes de l'acquis européen » a déclaré pour sa part le ministre grec des Finances, Evangélos Vénizélos, juste avant la rencontre dâhier.
Il sera intéressant de voir comment la Grèce pourra se relever suite à lâobtention dâune aide financière aussi importante. Si votre entreprise traverse une situation financière instable, il est peu probable quâautant dâeffort externe soit entrepris pour lâaider. Câest pour cette raison que Distnet est peut-être la solution quâil vous faut. Contactez un agent Distnet pour en apprendre davantage sur les services offerts.