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Nouvelles

2012-02-09

Moment Factory fait la manchette

Connaissez-vous la compagnie québécoise Moment Factory? Si vous avez suivi l’actualité entourant le spectacle de Madonna à la mi-temps du dernier Superbowl, c’est probablement le cas. Ils ont en effet produit tout le contenu visuel du spectacle. Depuis, les artisans basés à Montréal sont sur toutes les lèvres et semblent participer à de nombreux projets d’ampleur en ce moment.

L’entreprise qui a aussi travaillé pour d’autres clients de renoms tels que Céline Dion pour son nouveau spectacle, Arcade Fire, Le Cirque du Soleil et Nine Inch Nails, sont maintenant appelés à prendre une expansion extraordinaire. Ils ont notamment produit, 24 heures après le Superbowl, la scénographie du premier concert du rappeur new-yorkais Jay-Z au Carnegie Hall.

Fondé en 2001, Moment Factory a commencé de façon très modeste. « Ã€ l’époque, c’était les raves, dit Éric Fournier. Dominic Audet (directeur des technologies), Sakchin Bessette (directeur créatif) et Jason Rodi se sont mis à faire du visuel pour ces événements-là. En 2003, le Cirque du Soleil les a appelés pour travailler sur ses fameux partys. C’est à ce moment-là que Moment Factory s’est mis à devenir une boîte qui faisait beaucoup de projets de type événementiel. Â»

 En 2005, le petit groupe a commencé à travailler sur des projets permanents, ce qui leur a permis l’année suivante d’être engagés pour faire le Bar Évolution, à Las Vegas, dans le cadre du spectacle Love du Cirque du Soleil et des Beatles.

L’entreprise compte actuellement 60 employés et sont présents aux États-Unis et en Europe où ils travaillent entre autres avec Euronews, à Lyon en France, pour habiller la chaine de télévision. Les dirigeants prévoient ouvrir des bureaux à l’étranger dans les années à venir afin de consolider leur croissance internationale. « Ã‡a fait partie de notre plan de développement, dit Éric Fournier. Pour continuer d’assurer le succès de Moment Factory, il faut se rapprocher des endroits où se fait la création, que ce soit en Europe, en Californie ou à New York. On va continuer d’agrandir notre studio ici, à Montréal, mais d’ici un à deux ans, on va avoir une présence à l’étranger. On est rendu là. Â»

Moment Factory vit actuellement une croissance fulgurante et représente un nouveau fleuron parmi les entreprises qui font la fierté du Québec ici et ailleurs. Il faut par contre parfois se méfier de ces situations puisque le manque de liquidité peut freiner les ardeurs de plusieurs compagnies. Si vous avez des besoins en liquidité, Distnet est une option de choix. Contactez un agent de chez Distnet et prenez conscience des possibilités que vous offre l’affacturage.

2012-02-03

Facebook entre en bourse

Facebook fait énormément parler de lui depuis quelque temps. En effet, le géant du web a déposé sa demande officielle pour faire son entrée en Bourse mercredi auprès de la Security Exchange Commission (SEC). Le réseau social le plus populaire sur la planète compte ainsi lever 5 milliards US ce qui constitue un record pour une entreprise internet.

Inutile de dire que depuis lors, tous les analystes boursiers se perdent en conjecture et spéculent sur les impacts de cette arrivée. Facebook a également dévoilé ses performances financières, ses projets pour les prochaines années et ses perspectives de croissance présentes et futures. La compagnie américaine déclare donc des revenus de 3,7 milliards US en 2011 et un profit de 1 milliards US. C’est la troisième année consécutive que Facebook est profitable.

« Je ne crois pas que ce soit une question d'argent. Dans 99 % des cas, les entreprises vont en Bourse pour aller y chercher de l'argent. Or, Facebook a déjà beaucoup d'argent, leurs coffres sont déjà bien garnis. Bien des gens sont d'avis que Facebook va à la Bourse pour répondre aux exigences de la SEC, car ils ont plus de 500 actionnaires, donc ils n'ont pas le choix. Je crois que c'est peut-être une formalité, et ça pourrait expliquer le fait qu'ils n'entendent pas lever de grosses sommes. Â» Nous a expliqué mercredi Elleen Burbidge de Passion Capital sur les ondes de Bloomberg Television. La compagnie aurait actuellement 3,9 milliards US en argent comptant.

Par le fait même, Facebook déclare officiellement la guerre à l’autre roi d’Internet, Google. « Certains concurrents, comme Google, pourraient utiliser leur position forte ou dominante dans un ou plusieurs marchés pour exploiter un avantage concurrentiel contre nous Â», s'inquiète Facebook dans la liste des « risques Â» pesant sur son activité.

Pour Michael Gartenberg, analyste au cabinet spécialisé Gartner, « il y a assurément des lignes de bataille qui sont en train d'être tracées Â», car « Google ne va sûrement pas rester passif et permettre à Facebook de devenir le centre de gravité d'internet Â».

Toutes les entreprises n’ont pas la chance d’avoir les reins aussi solides que Facebook. Pour la plupart, chaque dollar compte et les besoins en liquidités à court terme sont fréquemment la source de bien des maux de tête. Dans ces situations, un partenaire de qualité comme Distnet est primordial. Contactez un agent Distnet pour connaître toutes les options qui s’offent à vous.

2012-01-30

Fairfax augmente sa participation dans RIM

Après avoir perdu environ 75 % de sa valeur en 2011, Research in Motion (RIM) a vu ses co-PDG, Jim Balsillie et Mike Lazaridis, quitté leurs fonctions la semaine dernière. Plusieurs investisseurs blâmaient notamment les deux PDG pour les récents déboires de l’entreprise canadienne.

Fairfax Financial Holdings qui détenait déjà des parts dans RIM a annoncé quelques jours seulement après ce remaniement d’envergure qu’elle augmentait sa participation à 26,85 millions d’actions, soit environ 5,12 % des actions de la compagnie.

La société d’investissement qui appartient à Prem Watsa s’est affiliées d’autre compagnie afin d’effectuer la transaction. M. Watsa a par le fait même joint le conseil d’administration de RIM au moment où M. Balsillie et M. Lazaridis ont quitté la direction de l’entreprise. Ces derniers demeureront tout de même chez RIM, mais occuperont des postes moins importants.

Bien que ce remaniement représente un important changement pour la compagnie, certains investisseurs comme Vic Alboini, jugent qu’ils ne sont pas suffisants puisqu’ils laisseront selon eux, trop de pouvoir aux  ex-PDG.

Thorsten Heins, anciennement de Siemens AG, et chef des opérations chez RIM depuis quatre ans, aura la lourde de tâche de remettre le géant canadien sur la bonne voix.

« Je suis d'accord avec le fait que le temps est venu de faire place à un nouveau leadership, et j'ai entièrement confiance en Thorsten, en l'équipe de gestion et en l'entreprise Â», a déclaré Jim Balsillie.

Quant à M.Heins, il a mentionné être « emballé face à l’avenir de la compagnie Â» et maintient que RIM peut compter sur de bonnes bases pour rebondir. « Nous avons un solide bilan, avec environ 1,5 milliard de dollars en liquide à la conclusion du dernier trimestre et une dette négligeable Â»

Bien que ce remaniement représente un important changement dans la compagnie, certains investisseurs comme Vic Alboini, jugent qu’ils ne sont pas suffisants puisqu’ils laisseront selon eux, trop de pouvoir à l’ex-PDG.

Les grandes entreprises tout comme les petites peuvent avoir besoin de partenaire d’affaires prêt à investir dans leurs projets pour que ceux-ci se poursuivent ou qu’il se concrétise. Puisqu’il est dur de prévoir exactement à quel moment ses besoins financiers se feront sentir, sachez que Distnet est peut être le partenaire dont vous avez besoin. Contactez un agent Distnet pour en connaître davantage sur les services disponibles.

 

 

2012-01-19

L’annonce que plusieurs analystes attendaient depuis quelques mois est enfin arrivée. Le géant de la photographie Eastman Kodak a annoncé ce jeudi qu’il s’est placé sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Les filiales étrangères ne sont toutefois pas concernées par cette situation et continueront à honorer leurs engagements auprès des fournisseurs. Le groupe affichait un actif de 5,1 milliards de dollars et des dettes de 6,75 milliards à la fin septembre 2011.

En affaire depuis 1888, la compagnie américaine a été une pionnière de la photographie et a joui d’une situation de monopole jusqu’au début des années 1980 où des concurrents asiatiques ont envahi l’industrie. Inventeur de la photo numérique, Eastman Kodak n’a toutefois pas su voir en cette avancée un intérêt marqué puisqu’ils n’ont pas jugé bon de continuer dans cette voie. C’est la raison première de ses déboires actuels selon les analystes qui jugent l’entreprise artisan de ses propres difficultés.

Ayant passé d’une capitalisation boursière de 31 milliards de dollars il y a 15 ans à moins de 150 millions aujourd’hui, Eastman Kodak a également annoncé avoir obtenu une ligne de crédit de 950 millions de dollars sur 18 mois de la part du groupe Citigroup. Cette manœuvre vise à donner un peu de temps au groupe pour trouver des acquéreurs pour ses 1100 brevets numériques et lui permettre de continuer à payer ses 17 000 employés.

« Le conseil d'administration et la totalité de l'équipe de direction estiment que c'est une étape nécessaire et la chose qu'il convient de faire pour l'avenir de Kodak Â», a déclaré son PDG Antonio Perez, dans un communiqué.

 Â« Nous devons maintenant achever la transformation en continuant à nous attaquer à notre structure de coût et en monétisant avec succès nos actifs non stratégiques en matière de propriété intellectuelle Â», a-t-il ajouté.

 

L’ancien leader américain se voit donc confronter au plus grand défi de sa longue histoire. Les dirigeants semblent toutefois croire à un redressement futur selon le communiqué envoyé plus tôt ce matin : « des liquidités suffisantes pour effectuer son activité sous le chapitre 11 [de la loi américaine], et continuer à fournir produits et services à ses clients comme à l'ordinaire Â».

 

Souhaitons la meilleure des chances à cette institution qui a fait partie de plusieurs moments historiques. Le plus connu reste certainement les photos de la lune prises grâce à un appareil Kodak par l’astronaute Neil Armstrong en juillet 1969 lors de la célèbre mission Apollo 11. Cette situation nous rappel toutefois que peu importe la grosseur d’une compagnie ou sa situation dans le marché, aucune n’est à l’abri de problèmes financiers dans les années à venir. Des partenaires compétents sont primordiaux dans ces moments difficiles. Faites confiance à Distnet en matière de solution d’affacturage. N’hésitez pas à contacter un agent Distnet pour en connaître davantage.

2012-01-16

Fermeture définitive pour l’usine Stadacona

À peine 24 h après le rejet à 90 % des dernières offres patronales par les travailleurs, Papiers White Birch à annoncé la fermeture définitive de l’usine de Québec. Malgré tout, certains employés refusent de baisser les bras et poursuivent leur piquetage au lendemain de cette annonce.

Selon les travailleurs, Papiers White Birch ne désirait plus maintenir son usine de Québec en fonction et essaie maintenant de mettre la faute sur ses employés en invoquant leur décision de ne pas accepter d’importantes concessions sur leurs régimes de retraite. Le syndicat stipule que Papiers White Birch demandait une réduction de 45 % à 65 % des rentes du régime de retraite ainsi qu’une diminution du salaire de 20 %.

Marc Boucher, employé à la Stadacona, affirme qu’ils n’ont pas dit leur dernier mot. « Nous autres, on a confiance que cette usine-là va continuer à marcher. Il y a de l'espoir, notre syndicat nous a envoyé un communiqué de presse nous disant qu'il continue à travailler fort. On sait que cette usine-là a du potentiel. Ils ne nous fermeront pas ça de même. On a la Ville de Québec avec nous autres. Â»

Le syndicat des travailleurs digère très mal la fermeture de l’usine et demande maintenant l’intervention du premier ministre Jean Charest. Le syndicat évoque même une possible expropriation. Selon le vice-président au Syndicat canadien des communications, de l’énergie et du papier, Renaud Gagné « Dans un dossier un peu similaire, le gouvernement de Terre-Neuve a exproprié la compagnie. Quand on regarde, on a encore deux autres usines au Québec. Cet employeur-là, multimilliardaire, M. Brant [Peter Brant propriétaire de l'usine] qui tente de voler 130 millions à Québec au niveau des retraites, c'est vraiment dégueulasse Â»

Agnès Maltais, députée péquiste de Taschereau, a quant à elle demandé au ministre Sam Hamad de prendre position sur le dossier. « Il devrait au moins lui aussi exprimer l'indignation que tout le monde ressent ce matin. Il y a un mois, j'ai dénoncé ce que faisait le propriétaire qui se sert dans la caisse pendant qu'il essaie de négocier la diminution des fonds de retraite des gens. C'est du capitalisme sauvage! Il faut que la région choisisse son camp et le camp, c'est celui des travailleurs et de l'usine Â», a déclaré la députée.

La situation des travailleurs de l’usine est regrettable mais malheureusement loin d’être exceptionnelle. Au Québec, de nombreuses compagnies sont forcées à mettre la clé dans la porte en raison de leur état financier précaire. Si la situation de votre entreprise vous préoccupe et songez à des sources de financement externes, Distnet pourrait bien être votre solution. Contactez un agent Distnet dès aujourd’hui pour connaître la gamme de services qui s’offre à vous.

 

 

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