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Nouvelles

2012-03-20

Fermeture d’Aveos, Air Canada blâmé

Les problèmes financiers d’Aveos, une société de maintenance d’avions, l’ont contraint à se placer sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies.La fermeture de l’entreprise qui met en péril 2600 emplois, dont 1800 à Montréal seulement, est un véritable choc pour les travailleurs qui ont appris la nouvelle dimanche dernier.

Alors qu’hier, des centaines d’entre eux manifestaient leur colère, la direction d’Aveos accusait Air Canada, son ancienne société mère et principal client, d’être à l’origine de ses malheurs. Selon la requête d’Aveos en Cour supérieure, Air Canada aurait annulé ou retardé des travaux de maintenance ce qui a eu pour conséquence une diminution de revenu de 16 millions de dollars pour Aveos, et ce en seulement 2 mois.

D’après Marcel St-Jean, président de la section locale de l’Association internationale des machinistes et des travailleurs et travailleuses de l’aérospatiale, 90 % de la charge de travail provenait d’Air Canada.

Quant à Air Canada, la compagnie maintient qu’elle a respecté ses obligations et exige maintenant qu’Aveos termine les travaux de maintenance sur quelques avions présentement immobilisés dans des hangars. Le transporteur a d’ailleurs offert un financement de 15 millions de dollars pour assurer la conclusion des travaux.

Selon Me Louis Bélanger, avocat représentant Air Canada, jusqu'à 3000 passagers par jour pourraient être forcés de rester au sol si ses appareils demeurent bloqués dans les hangars.

Bien que la majorité des emplois ne pourront être récupérés, l’espoir demeure pour les employés en charge de la maintenance des moteurs et des autres grands composants des appareils, comme les trains d’atterrissage. Aveos envisagerait même de redémarrer ce secteur d’activité 

La situation est similaire à Winnipeg et Vancouver, où se trouvent les autres installations d’Aveos qui fermeront aussi leurs portes. Des affiches ont même été installées dans l’atelier de Winnipeg, indiquant que l’entreprise «a cessé ses opérations de maintenance».

Selon les renseignements de l’Aéroport Montréal-Trudeau, aucun vol à court terme ne sera affecté par la fermeture d’Aveos.

Cette fermeture se rajoute à la triste liste de faillites au Québec depuis le début de l’année 2012. Auraient-elles pu être évité avec l’aide financière d’un partenaire de confiance? Cela est bien difficile à déterminer. Si vous croyez que votre entreprise pourrait avoir recours à des services de financement pour maintenir ses activités à court ou moyen terme, Distnet est  le partenaire qu’il vous faut. Appelez l’un de nos agents pour en apprendre plus sur nos solutions d’affacturage, de financement d’inventaire et de pont financier.

2012-03-15

Le Red Bull Crashed Ice 2012 approche à grands pas

L’édition 2012 du Red Bull Crashed Ice se tiendra le 17 mars prochain dans les rues de Québec. Il s’agit de la finale de quatre courses internationales, dont les trois premières ont eu lieu à Saint-Paul aux États-Unis, Valkenburg aux Pays-Bas et Aare en Suède. L’événement qui en est à sa septième édition se doit de composer avec plusieurs groupes de citoyens qui aimeraient le voir disparaître. La survie de cette compétition de patinage extrême dépend principalement de sa popularité auprès de la population et des autorités de la ville. Mais qu’en sera-t-il après 2013, soit la date à laquelle se termine le contrat entre la ville de Québec et l’organisation?

Cette année encore, le Reb Bull Crashed Ice se bute à de vives réactions provenant cette fois du Comité des citoyens du Vieux-Québec (CCVQ) qui réclame le non-renouvellement du contrat à la fin 2013. Sur son site web, le comité juge que la tenue de l’événement « dépasse largement la capacité d’accueil du Vieux-Québec et qu’il serait plus que raisonnable que 2013 soit la dernière édition dans le Vieux-Québec Â».

Selon son président, Louis Germain, le CCVQ ajoute que le Red Bull Crashed Ice est une nuisance sur le plan commercial. « C’est une diminution des affaires, sauf à quelques restaurateurs et quelques hôtels durant les quatre jours de l’événement Â», écrit-il.

La compagnie responsable de l’événement pour Québec, Gestev, assure que des contacts ont été effectués à partir de la fin de l’édition 2007 avec les citoyens et gens d’affaires et se traduisent par au moins deux rencontres par année. « Depuis le début, on suit leurs recommandations, ce qui a amené en 2008 à changer le parcours de l’autre côté de la côte de la Montagne. Cette modification a entraîné des centaines de milliers de dollars de frais que le Red Bull Crashed Ice a absorbés Â», souligne Patrice Drouin, président de Gestev.

Pour ce qui est de l’après 2013, M. Drouin se montre confiant en ce qui concerne le maintient du Red Bull Crashed Ice à Québec. « C’est un événement qui arrive à maturité. Chez Red Bull, ils n’ont pas signifié leur intention d’aller ailleurs. Québec est de loin la meilleure Â», affirme-t-il.

Malgré le positivisme des organisateurs et sa grande popularité, l’avenir de l’événement reste inconnu dans la ville de Québec. Cette situation nous prouve que les succès vécus une organisation ne peuvent toutefois pas être garant du futur. Pour être bien équipée lors de ces périodes d’incertitude, une compagnie se doit de posséder les liquidités suffisantes pour traverser les tempêtes. Distnet vous offre des solutions efficaces d’affacturage qui vous permettront de faire face aux moments plus difficiles. N’hésitez pas à contacter un agent Distnet pour de plus amples informations.

2012-03-08

Lock-out en vue chez Air Canada

Le transporteur Air Canada menace de mettre ses pilotes en lock-out à compter de lundi le 12 mars 2012. Cela survient suite au refus de l’Association des pilotes d’Air Canada (APAC) concernant l’offre « finale Â» présentée par la compagnie qui venait à échéance ce jeudi à midi.

Le conflit qui perdure depuis maintenant 18 mois a donc atteint un point culminant. « Nous devons éliminer l'incertitude qu'occasionne le conflit de travail pour nos clients, qui déstabilise la Société et ses activités et qui ternit la marque Air Canada. Nous avons participé à de longues négociations depuis les 18 derniers mois ainsi qu'à diverses tentatives de conciliation et de médiation Â», a déclaré Duncan Dee, vice-président général et chef de l'exploitation d’Air Canada.

Le plus grand transporteur aérien du pays affirme que l’offre « finale Â» qu’il a présenté aux pilotes comprend des augmentations salariales de deux et trois pour cent au cours des cinq prochaines années et une pension non réduite en cas de retraite anticipée à 60 ans. « L'offre finale qu'Air Canada a présentée visait à maintenir la rémunération et les avantages sociaux de ses pilotes dans le quartile supérieur de l'industrie nord-américaine du transport aérien Â», peut-on lire dans le communiqué envoyé par la compagnie.

L’APAC , qui représente environ 3000 pilotes, affirme que la proposition de convention collective présentée comme « finale Â» par Air Canada est presque identique à celle précédente qui avait été rejetée par ses membres.

Si la tendance se maintient et qu’aucune entente de dernière minute ne survient, les opérations de la compagnie aérienne seront paralysées à partir de lundi, soit le premier jour des vacances scolaires du printemps en Ontario, la province canadienne la plus peuplée. Il est donc évident que cette situation aura des impacts importants sur les voyageurs.

Les répercussions de ce conflit risquent d’être multiples pour Air Canada. Il arrive que des dirigeants aient à prendre des décisions difficiles pour assurer le futur d’une compagnie. Dans ces occasions, avoir des partenaires financiers fiables est primordial. Distnet met à la disposition de ses clients des solutions d’affacturage efficace. Contactez un agent Distnet afin d’en savoir plus.

2012-02-24

La LNH s’entête à conserver la concession de Phoenix

Une équipe qui ne gagne pas et qui joue devant les plus petites assistances de la Ligue Nationale de Hockey, voilà le scénario qui se répète d’année en année pour les Coyotes de Phoenix. La saison dernière seulement, l’équipe a enregistré des pertes de plus de 36 millions de dollars. Malgré tout,  la LNH semble, sans raison concrète, s’acharner à garder l’équipe en Arizona plutôt que de chercher un marché plus lucratif.

Les experts comprennent mal les raisons derrière cet entêtement. « Ã€ mon avis, c'est tout à fait incompréhensible, il n'y a rien à comprendre, dit André Richelieu, professeur spécialisé en marketing du sport à l'Université Laval. C'est un acharnement à vouloir garder l'équipe en Arizona le plus longtemps possible et de manière plus générale, à la garder aux Ã‰tats-Unis. Â»

Certains avancent que l’intérêt des télédiffuseurs américains pour la présence d’une équipe à Phoenix joue un grand rôle dans la situation actuelle. En tant que 13e marché de télévision en importance aux États-Unis, Phoenix représente un atout pour la Ligue Nationale. Cette hypothèse est d’ailleurs la première vers laquelle se tourne le journaliste du Phoenix Business Journal, Mike Sunnucks.

« Je crois que, pour la ligue, l'enjeu est global. La présence d'une équipe à Phoenix les aide certainement dans la négociation de contrats de télévision avec des réseaux nationaux comme NBC. Â»

Il s’agirait selon lui aussi d’une question d’image pour la LNH. Le déménagement éventuel des Coyotes pourrait lancer un mauvais message aux autres propriétaires d’équipes dans un marché ensoleillé comme celui de l’Arizona. Ce serait un peu comme avoué que ce type de marché n’est pas viable pour une concession de la LNH.

Toujours d’après le journaliste américain, l’effet Balsillie aurait aussi un rôle à jouer. « Il faut se souvenir que toute cette histoire a commencé quand Jim Balsillie a tenté de mettre la main sur l'équipe, rappelle M. Sunnucks. Je crois qu'il y a beaucoup de conflits personnels entre lui et Gary Bettman. . Les tentatives maladroites de Jim Balsillie, cofondateur de Research in Motion, pour obtenir une franchise ont grandement déplu au dirigeant de la LNH, ce qui expliquerait en partie sont entêtement à conserver l’équipe à Phoenix. Â»

Selon André Richelieu, il n’y a tout simplement aucun espoir de sortir les Coyotes du rouge, et ce peu importe le propriétaire. « Je pense que tout a été essayé. C'est une question d'offre et de demande. Vous pouvez avoir la meilleure machine de marketing possible, s'il n'y a pas de demande pour votre produit, ça ne marchera pas. Â»

Il sera intéressant de suivre ce dossier pour connaître l’avenir de cette franchise dans les mois à venir. Si votre entreprise traverse aussi une période d’incertitude, les services financiers de Distnet pourraient bien vous venir en aide. Apprenez-en davantage en contactant l’un de nos agents dès aujourd’hui.

 

2012-02-21

Nouveau plan de sauvetage pour la Grèce

Malgré les efforts de la Grèce dans les derniers mois pour redresser son économie, le bilan n’a guère changé et le pays semble toujours se diriger vers une faillite inévitable. Afin d’éviter ce scénario catastrophe, les ministres de la zone euro se rencontraient hier, lundi 20 février, à Bruxelles.

La rencontre avait pour objectif d’évaluer si les conditions sont respectées pour l’application d’un plan de sauvetage qui comprendrait une aide publique de 130 milliards d’euros et un effacement partiel de la dette grecque détenue par les créanciers privés, à concurrence de 100 milliards d’euros.

Rappelons que la Grèce a jusqu’au 20 mars de cette année pour rembourser une dette de 14,5 milliards d’euros, ce qui d’après les conditions actuelles semble mission impossible pour le pays et sans quoi ce dernier risque de subir un défaut de paiement plus important que celui de l’Argentine il y a 10 ans.

D’après le ministre français de l’Économie François Baroin, tous les éléments seraient réunis pour arriver à un accord. « Je souhaite que nous puissions les uns et les autres, membres de l'Eurogroupe, tenir compte de tout ce qui s'est fait depuis plusieurs semaines, même plusieurs mois, de la part du gouvernement grec et des formations politiques constituant la coalition Â» a ajouté M.Baroin.

Bien que le plan de sauvetage ait soulevé plusieurs questionnements quant à sa pertinence, même les plus sceptiques, comme la chancelière allemande Angela Merkel, ont laissé savoir que l’issue de la réunion serait positive.

Dans le but de rassurer les plus récalcitrants, une liste de réformes devra être appliquée avant qu’un premier versement d’aide ne soit attribué. Les réformes devront être votées d’ici le début du mois de mars.

Lucas Papademos, premier ministre grec, s’est joint à la réunion de l’Eurogroupe afin d'afficher sa détermination auprès de ses partenaires de la zone euro.

« Il est évident que nous attendons aujourd'hui de mettre fin à une longue période d'incertitude qui n'a aidé ni l'économie grecque ni la zone euro dans son ensemble (...), et je crois que tout sera résolu sur la base des décisions européennes et les principes de l'acquis européen Â» a déclaré pour sa part le ministre grec des Finances, Evangélos Vénizélos, juste avant la rencontre d’hier.

Il sera intéressant de voir comment la Grèce pourra se relever suite à l’obtention d’une aide financière aussi importante. Si votre entreprise traverse une situation financière instable, il est peu probable qu’autant d’effort externe soit entrepris pour l’aider. C’est pour cette raison que Distnet est peut-être la solution qu’il vous faut. Contactez un agent Distnet pour en apprendre davantage sur les services offerts.

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