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Nouvelles

2012-06-12

L’Espagne réclame l’aide financière de la zone euro

Malgré les difficultés Ã©conomiques que connaît l’Espagne depuis plusieurs mois, ce n’est que samedi dernier que les dirigeants se sont décidés à demander de l’aide de la part de la zone euro, qui pourrait atteindre les 100 milliards d’euros au maximum.

Depuis le début de la crise à la fin 2009, l’Espagne est le quatrième pays à profiter d’un plan d’aide de la zone euro, après la Grèce, l’Irlande et le Portugal.

Selon le premier ministre suédois Fredrik Reinfeldt, « Il s’agira en fait d’un des plus grands sauvetages financiers de l’histoire récente Â». Rappelons que l’Espagne est la quatrième économie de la zone euro et représente 12 % du PIB contrairement à 6 % pour l’Irlande, le Portugal et la Grèce réunis.

Cette fois, c’est le secteur banquier, considérablement affecté par le marché immobilier, qui bénéficiera de l’aide financière européenne.

D’après les dires du ministre de l’Économie Luis de Guindos, « il n’y aura aucune condition de réformes économiques hors sur domaine du secteur financier Â», ajoutant que « Les conditions seront imposées aux banques, pas à la société espagnole Â» pour tenter de rassurer le pays qui affiche un taux de chômage inégalé de 24,44 %.

Néanmoins, M. Guindos insiste que « cela n’a rien à voir avec un sauvetage Â» précisant que l’aide sera réservée aux « 30 % des banques qui ont le plus de difficultés Â», qui figurent dans le rapport du Fonds monétaire international (FMI) publié vendredi soir.

Ce plan d’aide est pourtant loin de faire que des heureux. Dans le pays voisin, le Portugal, de nombreuses voix s’élèvent contre un soi-disant traitement de faveur accordé à l’Espagne. Celles-ci dénoncent le manque de conditions du plan d’aide, en comparaison au rigoureux plan de réforme et d’austérité qui était rattaché à l’aide qu’avait reçue le gouvernement portugais.

Un article concernant ce plan d’aide et qui exprime l’amertume de la population a aussi été publié dans le Jornal de Negocios, un quotidien économique portugais. On peut y lire Â« Quelle est la différence entre le fait que la Grèce ait menti sur ses comptes publics et que les banques espagnoles aient menti sur leur bilan Â». « Il est clair que les 100 milliards font partie d'un sauvetage pour l'Espagne Â» a ajouté l’éditorialiste.

Nonobstant les conditions auxquelles sont assujetties les aides fournies au pays européen en difficultés, ces derniers peuvent se compter chanceux de bénéficier d’un pareil appui de la zone euro. Sachez que si votre entreprise traverse aussi une période économique instable, vous pouvez compter sur Distnet pour la surmonter. Que ce soit pour des besoins d’affacturage, de financement d’inventaire ou de pont financier, Distnet est votre partenaire de choix. Contactez dès aujourd’hui un conseiller pour en apprendre davantage sur nos services. 

2012-05-30

Conflit étudiant : l’industrie touristique menacée

La Chambre de commerce de Montréal métropolitain (CCMM) et une vingtaine de représentants du monde du tourisme, de l’hôtellerie et de la restauration de Montréal souhaitent un règlement entre le gouvernement et les différentes associations étudiantes en grève. C’est le message qu’a lancé Michel Leblanc, président de la CCMM au ministre des Finances Raymond Bachand, suite à une réunion organisée dimanche soir qui visait à faire le point sur les impacts de la grève étudiante sur les commerces montréalais en vue du début de la saison touristique.

« Les négociations entre le gouvernement et les étudiants doivent avoir lieu. Même si cela prend plusieurs jours, voir des semaines, il ne faut pas interrompre les pourparlers après quelques heures sous prétexte qu’ils n’avancent qu’à petits pas. Â»

Michel Leblanc en appel donc à la bonne foi des deux parties dans ce conflit. Â« Les impacts se font déjà sentir et ils sont forts. Plusieurs hôtels perçoivent une baisse significative du nombre de réservations pour cette période de l’année Â», a souligné M. Leblanc. Selon les chiffres avancés en début de semaine, certains restaurateurs des grandes artères telles que Saint-Denis et Sainte-Catherine enregistrent une baisse de 40 % de leur chiffre d’affaires. Les hôteliers connaissent pour leur part une baisse de 25 % dans leurs réservations.

Le président du Festival Juste pour rire, Gilbert Rozon, fait partie des personnalités du monde des affaires montréalais les plus en vue du conflit. Ce dernier est « choqué Â» par l’impact économique qu’engendre la situation actuelle. Largement critiqué dans les médias sociaux pour ses prises de position contre la grève, M. Rozon affirme que son festival a subi une baisse importante de vente de billets. « Les gens des banlieues et les touristes nous appellent pour nous dire qu'ils veulent venir au festival, mais qu'ils attendent la résolution de la crise. Â»

De son côté, le président et chef de la direction du Cirque du Soleil, Daniel Lamarre, s’inscrit dans la même ligne de pensée que le CCMM. Le Cirque du Soleil vient tout juste de lancer AmaLuna, son tout nouveau spectacle dans le Vieux-Port de Montréal. M. Lamarre a laissé entendre que les multiples manifestations dans le centre-ville ont un effet négatif sur l’assistance. Ce dernier dit espérer que les deux parties « mettent de l'eau dans leur vin Â» afin d'en arriver à une entente.

Que l’on soit pour ou contre la grève étudiante, il semble évident que le conflit a des conséquences importantes sur plusieurs entreprises de la province de Québec. À celles déjà mentionnées, ajoutons les petits commerces situés au centre-ville de la métropole, les nombreux congrès menacés ou le Grand Prix du Canada qui semble visé par les manifestants. Plusieurs compagnies auront besoin de liquidités pour survivre après le conflit. Dans ces situations, des partenaires comme Distnet peuvent permettre à des organisations de sortir la tête de l’eau et de continuer leurs activités. Consultez un agent Distnet pour en apprendre davantage sur l’affacturage et le principe de pont financier.

2012-05-29

Marco Di Vaio débarque à Montréal

Les amateurs de soccer québécois en ont à coup sûr entendu parler. L’impact de Montréal vient de mettre sous contrat son premier joueur désigné et l’heureux élu est l’italien Marco Di Vaio. Ce nom risque de revenir souvent dans les médias dans les prochains mois puisque nous sommes actuellement au coeur de la saison de la Major League of Soccer (MLS).

Au niveau sportif, cet ajout est très important pour l’équipe montréalaise. Cet attaquant de 35 ans originaire de Rome affiche une feuille de route impressionnante ayant porté les couleurs de plusieurs grands clubs européens dont le Juventus de Turin, la Lazio Rome et Valence. Il compte une Coupe d’Italie, une Supercoupe d’Italie et une Supercoupe d’Europe. Finalement, il a porté le maillot de la sélection nationale italienne à 14 reprises dont une fois lors d’un match de l’Euro 2004 contre la Bulgarie. Il est fort à parier qu’il agira comme mentor auprès de la relève de l’équipe.

Avec une saison en dents de scie pour l’Impact, inutile de dire que Marco Di Vaio aura énormément de pression sur les épaules pour amener l’équipe vers de meilleurs résultats. Mais plus que de marquer des buts, le mandat de l’italien sera également économique. Montréal étant une équipe d’expansion, elle se cherche naturellement une personnalité qui saura conquérir le public. Di Vaio devra donc renforcer la personnalité de l’organisation, attirer des spectateurs au nouveau stade Saputo et augmenter la vente de produits dérivés.

À l’image des grandes vedettes comme David Beckham avec le Galaxy de Los Angeles et Thierry Henry avec le Red Bull de New York, Marco Di Vaio représente une force de vente pour l’Impact de Montréal. À voir les 150 personnes qui se sont déplacé à l’aéroport Pierre-Elliot Trudeau pour l’accueillir, son arrivée semble déjà provoquer une onde de choc dans la province. Jesse March, l’entraineur de 11 montréalais semble confiant lorsque des journalistes lui ont demandé ses impressions sur son nouveau joueur, mais ne veut pas lui imposer une trop grande pression : « Il va être parfait pour notre équipe, a-t-il déclaré sans hésiter. Nous sommes très excités par rapport à son arrivée et on sait qu'il va faire de nous une meilleure équipe, mais on ne veut pas lui mettre tout ce poids sur les épaules. Ça ne servirait à rien de mettre la barre trop haute, ça serait injuste pour tout le monde. Et de toute façon, je crois bien qu'au final, il va nous démontrer qu'on a eu raison. Â»

Des bonnes nouvelles de ce genre sont toujours les bienvenues dans une organisation. Elles permettent à la fois de faire parler d’elles et d’amasser des sommes importantes. Marco Di Vaio sera rémunéré à la hauteur de son importance pour l’Impact de Montéal. Peu de compagnies peuvent toutefois se permettre ce genre de dépense du jour au lendemain. Aussi importantes soient elles pour l’avenir, elles demandent réflexion et analyse. Des partenaires financiers comme Distnet peuvent vous permettre d’avoir accès aux liquidités nécessaires pour offrir à votre entreprise ce dont elle a besoin pour avancer. Contacter un agent Distnet pour en connaître plus sur toutes les solutions qui s’offrent à vous.

2012-05-09

Perte de près de 40 millions $ pour le Groupe TVA

Malgré sa grande popularité auprès des Québécois, Le Groupe TVA a rapporté mardi une perte nette de 39,3 millions $, soit 1,66 $ par action, au cours du premier trimestre. En 2011, au cours du même trimestre, TVA avait pourtant réalisé un bénéfice net de 300 000 $ ou 1 cent par action.

Cette perte, selon l’entreprise, serait principalement due à une charge de dépréciation de 32,2 millions $ provenant du secteur de l’édition.

TVA a même dû revoir son plan d’affaires en raison des nouveaux tarifs imposés par le gouvernement du Québec concernant les contributions des entreprises aux coûts des services de récupération des matières résiduelles fournis par les municipalités. D’après l’entreprise, ces nouveaux tarifs affecteront défavorablement ses coûts d’exploitation futurs.

Selon Pierre Dion, PDG de Groupe TVA, les coûts avancés, leur répartition et les nouveaux tarifs « sont fondés notamment sur un processus incomplet et sur des prémisses et des conclusions déraisonnables, arbitraires et erronées, au point de les rendre invalides sur le plan légal. Â»

M.Dion a aussi fait savoir que TVA évaluait actuellement les « recours judiciaires disponibles afin de s'assurer que les droits de l'entreprise sont respectés Â».

Les revenus trimestriels de Groupe TVA ont pourtant connu une augmentation de 10 millions $ en comparaison au premier trimestre de 2011, passant de 107,1 à 117,8 millions $.

C'est le secteur de la télévision qui a subi la plus grande perte d’exploitation avec 3 076 000 $, ce qui représente une variation négative de 6 592 000 $ par rapport à 2011.

Cet écart s’explique principalement par la mise en ligne de la nouvelle chaine spécialisée TVA Sports, la baisse du bénéfice d’exploitation du Réseau TVA et la perte d’exploitation de SUN News.

Pour ce qui est du secteur de l’édition, une perte d’exploitation de 2 028 000 $ a été enregistrée, soit une variation défavorable de 3 722 000 $.

D’un point de vue plus positif, les services spécialisés du Réseau TVA ont augmenté leurs revenus publicitaires de 24 % et leur abonnement de 43 %. « Cette croissance des services spécialisés est largement attribuable à nos nouveaux services « TVA Sports » et « Mlle » mais également aux services existants « addikTV », « Casa », « Yoopa » et « prise 2 », ce qui confirme notre stratégie d'investissement et de diversification dans ce secteur Â» a affirmé M.Dion.

Il est normal pour une entreprise de connaitre des périodes économiques plus difficiles. Certaines ont la chance de compter sur d’importantes liquidités internes qui permettent de surmonter ces obstacles. Malheureusement, plusieurs entreprises ne peuvent compter sur de pareilles liquidités. C’est pour ce genre de situation que les services de Distnet deviennent indispendables. Contactez dès aujourd’hui un conseiller Distnet pour en apprendre d’avantages sur les différents types de financement offert.

2012-05-03

Marc Bergevin choisit par les Canadiens de Montréal

Les Canadiens de Montréal ont enfin choisi leur nouveau directeur général. C’est l’ex-défenseur des Blackhawks de Chicago, Marc Bergevin, qui a maintenant la responsabilité de porter l’équipe vers les grands honneurs. C’est donc la fin d’un suspense qui aura duré près de deux mois.

L’organisation montréalaise a pris beaucoup de temps pour choisir son nouveau dirigeant. M. Bergevin aurait été choisi au détriment du directeur adjoint du Lightning de Tampa Bay, Julien Brisebois, que plusieurs voyaient prendre les reines du tricolore. « Nous sommes passés de 20 candidats à un seul, a ajouté Geoff Molson, actuel président des Canadiens de Montréal. Nous avions eu la permission de discuter avec 10 hommes de hockey au total. Quand on a eu la chance de parler avec Marc, c'était clair : on avait devant nous un leader, un gars d'équipe. Â»

Le nouveau directeur général a passé les sept dernières années dans l’organisation des Blackhawks de Chicago, dont la dernière à titre d’adjoint au directeur général Stan Bowman. « Il y a beaucoup de travail à faire ici, mais je crois que l'équipe repose sur une base solide, a estimé le nouveau DG montréalais. Mais elle a aussi terminé au 15e rang, et on ne peut pas être satisfaits de ça. Â» a affirmé Marc Bergevin lors du point de presse d’hier.

Ce dernier a beaucoup de pain sur la planche dans les mois à venir pour préparer la saison 2012-2013, à commencer par le repêchage qui aura lieu les 22 et 23 juin à Pittsburgh. Pensons aussi à la nomination d’un nouvel entraineur-chef puisque la première action de Bergevin en tant que directeur général fut d’annoncer à Randy Cunneyworth qu’il ne dirigerait plus l’équipe montréalaise. Le cas Scott Gomez risque également de faire partie des préoccupations de l’équipe de direction.

Il est à noter que Marc Bergevin, qui semble déjà recevoir des appuis de tailles dans la presse et le public, risque de se faire encore plus d’amis chez les amateurs de joueurs québécois. Il fut très clair lors du point de presse que selon lui, il n’y a pas assez de joueurs francophones à Montréal. À talent égal, le Bleu Blanc Rouge optera désormais pour les Québécois. « Les joueurs du Québec sont dans notre cour. Ma vision est de mettre du personnel en place pour être certain qu'on ne manque pas des gars du Québec. Il y a de bons Québécois partout dans la LNH, on va faire notre possible pour ne pas les manquer Â», a affirmé l'ancien défenseur.

Espérons que les Canadiens de Montréal ont fait le bon choix. Une chose est sure, l’organisation n’aurait pas pu survivre longtemps sans tête dirigeante. Par contre, un changement de direction apporte son lot de remises en question et d’incertitudes. Votre entreprise a-t-elle les liquidités nécessaires pour faire face à ces périodes plus mouvementées? Dans de telles situations, des partenaires fiables comme Distnet peuvent faire la différence. N’hésitez pas à contacter un agent Distnet pour connaître les options qui s’offrent à vous en terme d’affacturage.

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