La compagnie canadienne Research in Motion (RIM), à la source du téléphone BlackBerry, vient tout juste de vivre une crise internationale majeure. En effet, de lundi à mercredi de cette semaine, les utilisateurs du téléphone intelligent ne pouvaient plus accéder à leurs courriels et messages en plus de se voir refusé lâaccès à Internet.
La panne qui a touché des dizaines de millions
dâusagers dans le monde entier constitue une tâche importante sur la feuille de
route du géant canadien puisque ce dernier se positionne en fonction de la
qualité irréprochable de ses services. « Notre impossibilité à régler le
problème a été frustrante, a admis Mike Lazaridis en conférence téléphonique.
Nous allons tout faire pour minimiser les risques que cela arrive à nouveau. »
Hier Mike Lazaridis, le fondateur et et co-PDG de
RIM, a présenté ses excuses aux consommateurs qui ont été importunés par la
panne. Cela ne sera peut-être pas suffisant si on en croit la grogne sur les
médias sociaux. Les dirigeants auraient trop attendu avant de faire une
déclaration publique selon la majorité des observateurs. « Jusqu'ici notre priorité était la remise sur
pied du réseau. Maintenant, nous tournons notre attention vers les
consommateurs pour regagner leur confiance », a précisé lâautre co-PDG,
Jim Balsilie.
La question que tout le monde se pose actuellement
est : comment allaient réagir les entreprises clientes â socle dur sur
lequel RIM a bâti son succès? Selon Ian Lee, professeur adjoint à la Sprott School
of Business de lâuniversité Carleton dâOttawa, les pannes qui viennent de
frapper RIM : « sont la pire chose qui pouvait lui arriver dans
le monde des affaires, car les hommes d'affaires veulent la fiabilité (...) à 99,9 %
avec un système de secours qui se branche s'il y a un problème ».
Cette crise sâajoute à une série noire qui touche
RIM depuis le début de lâannée. La compagnie a vu son titre faire une chute vertigineuse
passant de 70 dollars en février à 23 dollars en Bourse. Le BlackBerry perd également
du terrain face au iPhone dâApple et à lâAndroid de Google ce qui nâaide pas
les investisseurs à reprendre confiance en RIM.
Le groupe a toutefois lâavantage quâune grande
partie de ses clients soient des entreprises. Ces dernières ne changeront pas toute
leur flotte de cellulaires du jour au lendemain. Le fabricant canadien dispose
donc dâun peu de temps pour regagner la confiance de ses clients. Mais pas de
tous. « Il y a déjà des entreprises qui envisagent de quitter RIM et
s'interrogent sur sa fiabilité », assure Carolina Milanesi, analyste chez
Gartner.
Ce ne sont pas toutes les compagnies qui rencontrent des problèmes aussi majeurs que ceux de RIM actuellement. Il est toutefois à prévoir que la majorité des entreprises vivront des moments difficiles au fil du temps. Le plus important dans ces situations est de connaître toutes les options qui sâoffrent à vous pour faire face à la crise. Distnet est un partenaire de choix si vous manquez de liquidités à court terme. Consultez-le www.distnet.net et donnez-vous les outils pour réagir rapidement aux crises.
Ce nâest plus une nouvelle pour personne, Steve Jobs, le charismatique fondateur dâApple, nâest plus. Son décès a effectivement été annoncé mercredi dernier à lââge de 56 ans plongeants instantanément dans le deuil des millions dâamateurs de celui qui a mis au monde lâune des plus grandes entreprises de notre histoire.
à la source dâappareils qui font maintenant
partie de notre quotidien comme le iPod, le iPhone, le iMac ou plus récemment
le iPad, il laisse derrière lui un héritage technologique plus quâimpressionnant.
Il est également fondateur du studio dâanimation Pixar. La compagnie qui a entre
autres créé la série à succès Toy Story avait été achetée à George Lucas,
créateur de Stars Wars, pour 10 millions de dollars. En janvier 2006, le groupe
Disney rachetait Pixar pour 7,4 milliards de dollars par échange dâactions.
Inutile de dire que peu de dirigeants
dâentreprise créeront autant dâémoi à leur décès. Son départ était pourtant imminent
pour la majorité des observateurs et Apple a bien pris soin dâassurer sa survie
en nommant en août dernier Tim Cook à la tête de la compagnie. Ce dernier tient
donc les rênes depuis lors et a présenté son premier produit, le iPhone 4S,
mardi dernier à la grande déception des amateurs qui attendaient de iPhone 5.
Plusieurs sâattendaient à ce que le titre dâApple perdre du galon dans les jours suivants lâannonce du décès, mais la plupart des analystes financiers ont réitéré leur confiance envers le nouveau PDG, Tim Cook et son équipe de direction. « Tim Cook est capable de diriger Apple, mais son humilité et son insatiable motivation font de lui le candidat unique pour poursuivre le travail de Steve Jobs », a signalé l'analyste Gene Munster de la firme Piper Jaffray.
à la bourse NASDAQ, le titre dâApple (APPL) a clôturé la séance à 3,77 $ US, en baisse de 0,88 $ US. La compagnie, qui nâa pas de dette, possède actuellement 75 milliards $ US en argent et sa capitalisation boursière est de 345 milliards $ US.
Si vous consultez lâactualité et plus précisément les nouvelles liées aux affaires ou aux technologies, vous ne pourrez pas passer à côté du sujet de lâheure : le lancement de la Kindle Fire, la nouvelle tablette proposée par Amazon.
Il semble que tous les internautes avides de
nouveautés technologiques nâaient dâyeux que pour cette annonce depuis hier
matin. Les discussions sont principalement axées sur le prix de la Kindle Fire.
Alors que les observateurs les plus optimistes parlaient dâun prix de lancement
de 250 $, le géant américain a déjoué tous les pronostiques en proposant
un prix de 199 $. Actuellement, le principal joueur de cette industrie,
Apple, vend son célèbre iPad 500 $ et possède 75 % des parts de
marché.
Amazon pénètre un marché qui pourrait connaître une croissance de 51 %
en 2012, selon Forrester Research. Lâentreprise spécialisée en médias de toutes
sortes et plus important détaillant Internet au monde cherchait à ébranler le
marché des tablettes depuis un certain temps. « Nous nous sommes demandé
s'il y avait une façon de rassembler dans un seul produit tout ce que nous
offrons, a expliqué à New York Jeff Bezos, le patron et fondateur d'Amazon.
Depuis 15 ans, nous bâtissons notre entreprise médiatique. Nous avons des
offres étoffées dans chaque catégorie. »
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Les bourses mondiales ouvrent dans le rouge ce matin au lendemain dâune journée extrêmement difficile sur les marchés financiers partout sur la planète. Câest effectivement avec un recul de 4,5 % quelles ont terminé la journée dâhier confirmant un été meurtrier pour les investisseurs.
Les analystes estiment que le repli massif des
investisseurs est dû au fait quâils sont toujours convaincus quâune récession
est imminente. Parmi les éléments inquiétants, notons l'état chancelant
de l'économie américaine, le péril de la dette souveraine en Europe et les
signes d'essoufflement donnés par l'Asie, moteur de la croissance mondiale.
La Réserve Fédérale américaine (Fed) avait évoqué
mercredi des « risques baissiers significatifs » pour l'économie des Ãtats-Unis
pour ensuite annoncer une « opération Twist » de 400 milliards de
dollars visant à donner un coup de fouet à lâéconomie en plus de faire baisser
les taux et soutenir l'activité. Toutefois, une enquête menée par la firme Reuters
auprès des spécialistes en valeur du Trésor affirme que Wall Street évalue à 15 %
les chances de réussite de lâopération.
« Les investisseurs réalisent
que d'un côté, l'économie ralentit et de l'autre côté les pays développés,
comme les Ãtats-Unis et l'Europe, ont de plus en plus de difficultés »,
commente Michael Sheldon, spécialiste des marchés chez RDM Financial.
Conscient
de la compétition féroce qui règne sur le marché des destinations soleil,
Sunwing souhaite se démarquer en
offrant de nouvelles destinations et davantage de flexibilité. «Notre flotte
va passer de 19 à 23 appareils, déclare le président et chef de la direction de
Sunwing, Stephen Hunter, au cours d'une entrevue avec La Presse Affaires Ã
Montréal C'est une augmentation de 18 à 20% de notre capacité.» Rien pour
plaire à son principal concurrent, Air Transat, qui déplore la surcapacité
actuelle sur le marché.
En plus des nouvelles destinations, Sunwing offrira plus de flexibilité pour certaines liaisons populaires. Des vols de jour seront donc offerts entre Montréal, Cancún et Punta Cana. «Traditionnellement, les vols partent très tôt le matin et reviennent très tard le soir, observe-t-il. Nous croyons que des gens voudront payer plus cher pour avoir la commodité d'un vol de jour.»
Selon le patron de Transat, Jean-Marc Eustache, la surcapacité qui existe sur le marché des destinations soleil fait en sorte quâil est difficile de compenser lâaugmentation des prix du carburant. Rappelons que Transat a perdu 2,9 millions de dollars au dernier trimestre seulement.
Malgré tout, Sunwing semble pourtant bien se tirer dâaffaire. M.Hunter soutient que la compagnie fait des profits. Cette dernière a regroupé ses activités en janvier 2010 avec FIrst Choice Canada, dans le cadre dâun partenariat stratégique avec le grand voyagiste européen, Tui Travel. Les activités canadiennes de Tui Travel ont enregistré des bénéfices dâexploitations de 30 millions de dollars lors du premier trimestre de 2010-2011, dont un certain pourcentage correspond à la valeur consolidée de la Torontoise Sunwing. «Il y aura toujours de la surcapacité, lance M. Hunter. Parfois, tous les voyagistes perdent de l'argent, parfois, un seul en perd.»
Dâautres compétiteurs comme Air Canada et West Jet ont aussi fait connaître leur intention dâaccroître leur présence sur le marché des destinations soleil en ajoutant de la capacité dès lâhiver prochain. Cette annonce nâa pas semblé inquiéter M.Hunter qui a affirmé « il nây a que deux véritables voyagistes au Canada, Transat et nous. »
Selon lui, Sunwing détient 35% du marché du voyage au Canada, contre 32% pour Transat. Quatre ou cinq autres joueurs se partagent la balance. Lâoffensive du voyagiste sâexprime sur dâautres fronts. Lâentreprise vient dâouvrir un hôtel luxueux au Panama et compte répéter la formule pour six ou sept autres destinations dans la prochaine année.
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