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Nouvelles

2012-07-18

Le Canadien de Montréal se tourne vers l'immobilier

Le paysage du Centre Bell est sur le point de changer pour faire place au projet immobilier du club de hockey le Canadien, une tour résidentielle de 48 étages appelée Tour des Canadiens. L’annonce a été faite lundi dernier par Geoff Molson, président et co-propriétaire du Canadien de Montréal et du Centre Bell.

C’est sur le terrain actuellement occupé par la place du centenaire que s’érigera l’édifice de 175 $ millions, dont les travaux débuteront l’été prochain. Les statues des anciens joueurs du Tricolore, Jean Beliveau, Maurice Richard, Guy Lafleur et Howie Morenz seront donc entreposées pendant les travaux et redéployées dans la future tour. C’est ce que M.Molson a laissé savoir au moment de l’annonce de lundi. Les milliers de briques achetées par les partisans à l’occasion du centenaire du Canadien en 2009 seront aussi déplacées et intégrées au projet.

En plus de devenir l’un des édifices résidentiels les plus hauts de la région de Montréal, la Tour des Canadiens disposera d’un stationnement intérieur de plusieurs étages, un bar sportif, un accès direct aux transports sous terrain et comptera un total de 534 appartements.

Bien qu’aucun prix maximal pour les habitations les plus dispendieuses n’est été dévoilé, les promoteurs ont laissé connaître le prix de départ, soit 250 000 $.

Le projet immobilier sera pris en charge par les sociétés immobilières Canderel et Cadillac Fairview, filiale du Régime de retraite des enseignants de L’Ontario. Déjà actionnaire du Canadien, le Fonds de solidarité FTQ investira aussi dans le projet.

Le vice-président de Canderel, Daniel Peritz, a tenu à rassurer les plus craintifs d’une bulle immobilière en déclarant : « Il n'y a pas de doute qu'il y a beaucoup de grues à Montréal, mais il y a beaucoup de gens dans le reste du pays qui regardent ça et qui voient ça comme une sorte de rattrapage, parce que Montréal a été pas mal tranquille côté condos pendant des décennies Â».

 Â« Il y a beaucoup d'immeubles qui sont en construction et en vente, mais il n'y aura qu'un seul projet comme celui-ci, qui sera unique Â», a-t-il ajouté.

 Un projet de cette envergure nécessite d’avoir les coffres bien garnis et de pouvoir compter sur des investisseurs solides. Si votre entreprise est à la recherche d’un partenaire financier pour mener à bien ses objectifs d’affaires, Disnet pourrait bien être la solution qu’il vous faut. Que ce soit pour de l’affacturage conventionnel, du financement d’inventaire ou du financement d’appoint, n’hésitez pas à communiquer avec un conseiller Distnet qui se fera un plaisir de vous accompagner dans votre démarche. 

2012-07-11

Kayak désire entrer en bourse

Après de gros noms comme Facebook et Groupon, c’est maintenant au comparateur de vols Kayak de vouloir faire son entrée en bourse. Selon le document remis lundi aux autorités boursières américaines, Kayak aurait l’intention de lever jusqu’à 100 millions de dollars grâce à son entrée sur le Nasdaq à New York.

Fondé en 2004 par les voyagistes Expedia, Travelocity et Orbitz, le groupe Kayak Software Corporation a développé un système permettant de comparer simultanément le prix de plusieurs hôtels, vols, croisières et location de voitures sur des centaines de sites de voyage.

En 2009, Kayak a même été nommé par le magazine Time comme l’un des 50 meilleurs sites web.

Kayak s’apprêterait donc à mettre sur le marché 4,025 millions de titres qui seraient vendus à un prix situé entre 22 et 25 $ par action. Deux types d’actions seront disponibles à l’issue de l’opération, des actions de classe A et des actions de classe B qui bénéficieront de droits de vote dix fois supérieur et convertible en actions de classe A. C’est le même procédé qu’a utilisé plus tôt cette année Facebook et le club de football Manchester United.

Le document précise que « Les détenteurs d'actions de classe B contrôleront donc au moins 98,6 % des droits de vote Â»

Parallèlement, le prospectus boursier stipule que « nous allons peut-être émettre des actions de classe A supplémentaires qui seront placées de manière privée auprès des actionnaires existants Â» et que l’entreprise prévoit d’être cotée sous le symbole KYAK.

Rappelons que Kayak comptait déjà en 2011 133 employés et générait annuellement plus de 150 millions de dollars.

Kayak est l’exemple parfait de la révolution technologique qui bouleverse nos habitudes. De plus en plus de consommateurs préfèrent magasiner eux-mêmes, dans le confort de leur foyer, leur prochaine destination voyage. Il sera intéressant de voir si cette entrée en bourse permettra à Kayak d’augmenter son offre de service en ligne.

Si votre entreprise est aussi à la recherche de moyens de financement rapide, Distnet est un partenaire sur qui vous pouvez compter. Apprenez en plus sur nos services en contactant un conseiller Distnet. 

2012-07-05

Chocolats Favoris a un nouveau propriétaire

Dominique Brown, fondateur et président du studio de développement de jeu vidéo Beenox, annonce aujourd’hui qu’il a fait l’acquisition des Chocolats Favoris. L’entreprise fondée en 1979 par Christine Beaulieu et Gaétan Vézina compte actuellement trois points de vente soit Lévis, Charlesbourg et Cap-Rouge.

L’homme d’affaires de 34 ans était déjà propriétaire depuis un an de la Chocolaterie de l’île d’Orléans à Sainte-Pétronille. Alors que Beenox, créé en 2000 à Québec et devenu une filiale d’Activision en 2005, a maintenant atteint une belle maturité, Dominique Brown était depuis peu à la recherche d’un nouveau défi. Avides de contact direct avec le consommateur, les Chocolats Favoris se sont imposés à lui.

Soucieux de conserver le savoir-faire et l’expertise des Chocolats Favoris, il a invité tous les membres de l’équipe à « demeurer en place Â». M. Brown veut faire de sa nouvelle acquisition une « fierté québécoise Â». Les fondateurs de la chocolaterie cherchaient quelqu’un pour prendre la relève et emmener leur projet plus loin. Ils ont trouvé leur homme. « Je prévois faire des investissements, car nous ne parvenons pas actuellement à répondre à la demande. L'entreprise connaîtra aussi une expansion à travers le Québec. Mais tout se fera avec soin. J'ai acheté Chocolats Favoris parce que j'estimais que ses fondateurs avaient su développer une formule gagnante. Je vais m'assurer que l'expansion que nous prendrons se fera en lien avec les façons de faire de l'entreprise. Â»

Dominique Brown ne pourra évidemment pas passer ses journées à gérer les chocolateries puisque son poste chez Beenox est déjà très prenant. Il a donc constitué une équipe capable de le faire à sa place. « Avec Chocolats Favoris, mon rôle sera avant tout de nature stratégique, notamment pour en définir la vision. Au quotidien, il y a des gens exceptionnels qui sont en place dont la directrice générale, Virginie Faucher, une vieille collaboratrice, qui sait mieux que quiconque comment je pense. Â»

Souhaitons bonne chance à Dominique Brown et son équipe dans ce nouveau projet. Parions que les Chocolats Favoris deviendront une marque québécoise réputée dans les années à venir. Ce type de transaction demande souvent énormément de liquidités, ce qui peut s’avérer un frein pour plusieurs entrepreneurs. Si votre entreprise est à la recherche de liquidités à court terme, Distnet est le partenaire qu’il vous faut. Contactez un agent Distnet pour en connaître davantage sur les options qui s’offrent à vous.

2012-06-27

Reasearch in Motion à la croisée des chemins

La compagnie ontarienne spécialisée en mobilité informatique Research in Motion (RIM) envisagerait de se débarrasser de son produit vedette, le BlackBerry. Faisant face depuis plus d’un an à une importante chute de sa part de marché, l’entreprise a mandaté deux firmes spécialisées, JP Morgan Securities et RBC Marché des Capitaux, afin de trouver des solutions à la crise.

« RIM a embauché des conseillers pour aider l'entreprise à trouver des moyens de tirer profit de la plateforme BlackBerry grâce à des partenariats, des possibilités d'octroi de licences et des changements stratégiques au modèle d'affaires Â», affirme l'entreprise dans un communiqué.

Anciennement leader d’une industrie qu’elle a en partie créée, RIM a vu ses ventes diminuer depuis l’arrivée du iPhone et des téléphones Android. Les BlackBerry se vendent désormais à un rythme moins soutenu que ses deux principaux rivaux. Les résultats financiers suivent cette tendance et déçoivent les investisseurs trimestre après trimestre.

Une des pistes de réflexion avancées serait de scinder la compagnie en deux, soit la fabrication de téléphones BlackBerry et de la tablette PlayBook d'un côté et les services logiciels aux entreprises de l'autre. Selon le journal britannique Sunday Times, la compagnie songerait à vendre au plus offrant l’unité de fabrication. Parmi les acquéreurs potentiels, nous pouvons déjà compter Amazon et Facebook qui sont tous deux à la recherche d’une plateforme mobile leur permettant de gruger des parts de marché à leurs plus grands rivaux Apple, Google et Microsoft.

Cette vente priverait RIM de la portion de l’entreprise qui génère encore aujourd’hui 79 % de ses revenus, mais suffirait à renflouer les coffres. Si la chance tourne en leur faveur, cela pourrait permettre aux logiciels de RIM de se tailler une place de choix dans les autres plateformes mobiles.

Une chose est sûre, cette nouvelle, qui n’est encore qu’au stade de rumeur, a fait réagir les marchés financiers ce lundi. À la bourse de Toronto, l’action de RIM perdait 0,53 $ à 9,59 $. Notons qu’à son apogée en 2008, le titre se négociait à plus de 148 $. Les derniers résultats trimestriels sont attendus demain et les analystes s’attendent à un profit d’un cent par action et à 3,13 milliards de recettes.

L’avenir n’a jamais été aussi incertain pour ce fleuron déchu de la technologie canadienne. Espérons que l’arrivée de consultants saura redonner ses lettres de noblesse à RIM. Si votre entreprise vie elle aussi une période d’instabilité, des partenaires de confiance sont primordiaux pour garantir sa survie. Lorsque vous êtes en recherche de liquidités à court terme, Distnet peut vous venir en aide. Contactez un agent pour en apprendre davantage sur les différentes options qui s’offrent à vous.

2012-06-18

Les agents de bord viennent en aide à Air Transat

La compagnie aérienne canadienne Air Transat doit se compter chanceuse d’avoir des employés prêts à certains sacrifices pour le bien de l’entreprise. À la suite d’une tournée d’assemblées générales syndicales, le syndicat, qui regroupe 1800 agents de bord, a accepté de donner un sérieux coup de pouce à Transat en suspendant temporairement leurs hausses salariales.

La composante d’Air Transat du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) a fait savoir par voie de communiqué mercredi soir dernier que les agents de bord ont décidé de « suspendre trois augmentations annuelles de 1 %, de même qu'un versement d'un montant forfaitaire de 1,5 % Â».

Les assemblées qui ont mené à cette décision se sont tenues du 1er au 12 juin dans toutes les villes où sont basés les agents de bord, soit Montréal, Toronto et Vancouver. C’est par une forte majorité de 83 % que ce « plan de retour à la rentabilité Â» a été accepté.

« Ce coup de main donné par les agents de bord à Air Transat se compare donc à un prêt d’une durée de trois ans Â» a déclaré Peter Buzzel, président de la composante d’Air Transat du SCFP. En effet, le communiqué de mercredi précise que la compagnie aura jusqu’au 15 décembre 2015 pour verser les augmentations et le montant forfaitaire.

Selon Peter Buzzel, ce plan correspondait aux meilleurs intérêts des toutes les parties. Il reconnaît l’effort de ses employés et estime que «  les syndiqués tendent donc la main à leur employeur en un geste de confiance en l’avenir Â»

Malgré tout, le titre de Transat ne cesse de régresser sur les marchés boursiers. À la fermeture jeudi, le titre perdait 8,26 % à 4 $. Depuis un an, la compagnie a enregistré un recul de près de 60 % de sa valeur boursière.

L’avenir nous dira si cette démonstration de solidarité sera nécessaire pour remettre la compagnie sur le droit chemin. Si votre entreprise traverse aussi une période de turbulence financière, assurez-vous de vous entourer de partenaire de confiance. Contactez dès aujourd’hui un conseiller Distnet pour connaître tous les services mis à votre disposition.

 

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