Le paysage du Centre Bell est sur le point de changer pour faire place au projet immobilier du club de hockey le Canadien, une tour résidentielle de 48 étages appelée Tour des Canadiens. Lâannonce a été faite lundi dernier par Geoff Molson, président et co-propriétaire du Canadien de Montréal et du Centre Bell.
Câest sur le terrain actuellement occupé par la place du centenaire que sâérigera lâédifice de 175 $ millions, dont les travaux débuteront lâété prochain. Les statues des anciens joueurs du Tricolore, Jean Beliveau, Maurice Richard, Guy Lafleur et Howie Morenz seront donc entreposées pendant les travaux et redéployées dans la future tour. Câest ce que M.Molson a laissé savoir au moment de lâannonce de lundi. Les milliers de briques achetées par les partisans à lâoccasion du centenaire du Canadien en 2009 seront aussi déplacées et intégrées au projet.
En plus de devenir lâun des édifices résidentiels les plus hauts de la région de Montréal, la Tour des Canadiens disposera dâun stationnement intérieur de plusieurs étages, un bar sportif, un accès direct aux transports sous terrain et comptera un total de 534 appartements.
Bien quâaucun prix maximal pour les habitations les plus dispendieuses nâest été dévoilé, les promoteurs ont laissé connaître le prix de départ, soit 250 000 $.
Le projet immobilier sera pris en charge par les sociétés immobilières Canderel et Cadillac Fairview, filiale du Régime de retraite des enseignants de LâOntario. Déjà actionnaire du Canadien, le Fonds de solidarité FTQ investira aussi dans le projet.
Le vice-président de Canderel, Daniel Peritz, a tenu à rassurer les plus craintifs dâune bulle immobilière en déclarant : « Il n'y a pas de doute qu'il y a beaucoup de grues à Montréal, mais il y a beaucoup de gens dans le reste du pays qui regardent ça et qui voient ça comme une sorte de rattrapage, parce que Montréal a été pas mal tranquille côté condos pendant des décennies ».
« Il y a beaucoup d'immeubles qui sont en construction et en vente, mais il n'y aura qu'un seul projet comme celui-ci, qui sera unique », a-t-il ajouté.
Un projet de cette envergure nécessite dâavoir les coffres bien garnis et de pouvoir compter sur des investisseurs solides. Si votre entreprise est à la recherche dâun partenaire financier pour mener à bien ses objectifs dâaffaires, Disnet pourrait bien être la solution quâil vous faut. Que ce soit pour de lâaffacturage conventionnel, du financement dâinventaire ou du financement dâappoint, nâhésitez pas à communiquer avec un conseiller Distnet qui se fera un plaisir de vous accompagner dans votre démarche.
Après
de gros noms comme Facebook et Groupon, câest maintenant au comparateur de vols
Kayak de vouloir faire son entrée en bourse. Selon le document remis lundi aux
autorités boursières américaines, Kayak aurait lâintention de lever jusquâà 100
millions de dollars grâce à son entrée sur le Nasdaq à New York.
Fondé en 2004 par les voyagistes Expedia, Travelocity et Orbitz, le groupe Kayak Software Corporation a développé un système permettant de comparer simultanément le prix de plusieurs hôtels, vols, croisières et location de voitures sur des centaines de sites de voyage.
En 2009, Kayak a même été nommé par le magazine Time comme lâun des 50 meilleurs sites web.
Kayak sâapprêterait donc à mettre sur le marché 4,025 millions de titres qui seraient vendus à un prix situé entre 22 et 25 $ par action. Deux types dâactions seront disponibles à lâissue de lâopération, des actions de classe A et des actions de classe B qui bénéficieront de droits de vote dix fois supérieur et convertible en actions de classe A. Câest le même procédé quâa utilisé plus tôt cette année Facebook et le club de football Manchester United.
Le document précise que « Les détenteurs d'actions de classe B contrôleront donc au moins 98,6 % des droits de vote »
Parallèlement, le prospectus boursier stipule que « nous allons peut-être émettre des actions de classe A supplémentaires qui seront placées de manière privée auprès des actionnaires existants » et que lâentreprise prévoit dâêtre cotée sous le symbole KYAK.
Rappelons que Kayak comptait déjà en 2011 133 employés et générait annuellement plus de 150 millions de dollars.
Kayak est lâexemple parfait de la révolution technologique qui bouleverse nos habitudes. De plus en plus de consommateurs préfèrent magasiner eux-mêmes, dans le confort de leur foyer, leur prochaine destination voyage. Il sera intéressant de voir si cette entrée en bourse permettra à Kayak dâaugmenter son offre de service en ligne.
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Dominique Brown, fondateur et président du studio de développement de jeu vidéo Beenox, annonce aujourdâhui quâil a fait lâacquisition des Chocolats Favoris. Lâentreprise fondée en 1979 par Christine Beaulieu et Gaétan Vézina compte actuellement trois points de vente soit Lévis, Charlesbourg et Cap-Rouge.
Lâhomme dâaffaires de 34 ans était déjÃ
propriétaire depuis un an de la Chocolaterie de lâîle dâOrléans à Sainte-Pétronille.
Alors que Beenox, créé en 2000 à Québec et devenu une filiale dâActivision en
2005, a maintenant atteint une belle maturité, Dominique Brown était depuis peu
à la recherche dâun nouveau défi. Avides de contact direct avec le
consommateur, les Chocolats Favoris se sont imposés à lui.
Soucieux de conserver le savoir-faire et
lâexpertise des Chocolats Favoris, il a invité tous les membres de lâéquipe Ã
« demeurer en place ». M. Brown veut faire de sa nouvelle acquisition
une « fierté québécoise ». Les fondateurs de la chocolaterie cherchaient
quelquâun pour prendre la relève et emmener leur projet plus loin. Ils ont
trouvé leur homme. « Je
prévois faire des investissements, car nous ne parvenons pas actuellement Ã
répondre à la demande. L'entreprise connaîtra aussi une expansion à travers le Québec.
Mais tout se fera avec soin. J'ai acheté Chocolats Favoris parce que j'estimais
que ses fondateurs avaient su développer une formule gagnante. Je vais
m'assurer que l'expansion que nous prendrons se fera en lien avec les façons de
faire de l'entreprise. »
Dominique Brown ne pourra évidemment
pas passer ses journées à gérer les chocolateries puisque son poste chez Beenox
est déjà très prenant. Il a donc constitué une équipe capable de le faire à sa
place. « Avec Chocolats Favoris, mon rôle sera avant tout de nature
stratégique, notamment pour en définir la vision. Au quotidien, il y a des gens
exceptionnels qui sont en place dont la directrice générale, Virginie Faucher,
une vieille collaboratrice, qui sait mieux que quiconque comment je pense. »
Souhaitons bonne chance à Dominique Brown et son équipe dans ce nouveau projet. Parions que les Chocolats Favoris deviendront une marque québécoise réputée dans les années à venir. Ce type de transaction demande souvent énormément de liquidités, ce qui peut sâavérer un frein pour plusieurs entrepreneurs. Si votre entreprise est à la recherche de liquidités à court terme, Distnet est le partenaire quâil vous faut. Contactez un agent Distnet pour en connaître davantage sur les options qui sâoffrent à vous.
La compagnie ontarienne spécialisée en mobilité informatique Research in Motion (RIM) envisagerait de se débarrasser de son produit vedette, le BlackBerry. Faisant face depuis plus dâun an à une importante chute de sa part de marché, lâentreprise a mandaté deux firmes spécialisées, JP Morgan Securities et RBC Marché des Capitaux, afin de trouver des solutions à la crise.
« RIM a
embauché des conseillers pour aider l'entreprise à trouver des moyens de tirer
profit de la plateforme BlackBerry grâce à des partenariats, des possibilités
d'octroi de licences et des changements stratégiques au modèle
d'affaires », affirme l'entreprise dans un communiqué.
Anciennement leader dâune industrie
quâelle a en partie créée, RIM a vu ses ventes diminuer depuis lâarrivée du
iPhone et des téléphones Android. Les BlackBerry se vendent désormais à un
rythme moins soutenu que ses deux principaux rivaux. Les résultats financiers
suivent cette tendance et déçoivent les investisseurs trimestre après
trimestre.
Une des pistes de réflexion avancées
serait de scinder la compagnie en deux, soit la fabrication de téléphones BlackBerry et de la tablette
PlayBook d'un côté et les services logiciels aux entreprises de l'autre. Selon le journal britannique Sunday
Times, la compagnie songerait à vendre au plus offrant lâunité de fabrication. Parmi les acquéreurs
potentiels, nous pouvons déjà compter Amazon et Facebook qui sont tous deux Ã
la recherche dâune plateforme mobile leur permettant de gruger des parts de
marché à leurs plus grands rivaux Apple, Google et Microsoft.
Cette vente priverait RIM de
la portion de lâentreprise qui génère encore aujourdâhui 79 % de ses revenus,
mais suffirait à renflouer les coffres. Si la chance tourne en leur faveur,
cela pourrait permettre aux logiciels de RIM de se tailler une place de choix
dans les autres plateformes mobiles.
Une chose est sûre, cette nouvelle,
qui nâest encore quâau stade de rumeur, a fait réagir les marchés financiers ce
lundi. Ã la bourse de Toronto, lâaction de RIM perdait 0,53 $ Ã 9,59 $.
Notons quâà son apogée en 2008, le titre se négociait à plus de 148 $. Les
derniers résultats trimestriels sont attendus demain et les analystes
sâattendent à un profit dâun cent par action et à 3,13 milliards de recettes.
Lâavenir nâa jamais été aussi
incertain pour ce fleuron déchu de la technologie canadienne. Espérons que lâarrivée
de consultants saura redonner ses lettres de noblesse à RIM. Si votre
entreprise vie elle aussi une période dâinstabilité, des partenaires de
confiance sont primordiaux pour garantir sa survie. Lorsque vous êtes en
recherche de liquidités à court terme, Distnet peut vous venir en aide.
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sâoffrent à vous.
La compagnie aérienne canadienne Air Transat doit se compter chanceuse dâavoir des employés prêts à certains sacrifices pour le bien de lâentreprise. à la suite dâune tournée dâassemblées générales syndicales, le syndicat, qui regroupe 1800 agents de bord, a accepté de donner un sérieux coup de pouce à Transat en suspendant temporairement leurs hausses salariales.
La composante dâAir Transat du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) a fait savoir par voie de communiqué mercredi soir dernier que les agents de bord ont décidé de « suspendre trois augmentations annuelles de 1 %, de même qu'un versement d'un montant forfaitaire de 1,5 % ».
Les assemblées qui ont mené à cette décision se sont tenues du 1er au 12 juin dans toutes les villes où sont basés les agents de bord, soit Montréal, Toronto et Vancouver. Câest par une forte majorité de 83 % que ce « plan de retour à la rentabilité » a été accepté.
« Ce coup de main donné par les agents de bord à Air Transat se compare donc à un prêt dâune durée de trois ans » a déclaré Peter Buzzel, président de la composante dâAir Transat du SCFP. En effet, le communiqué de mercredi précise que la compagnie aura jusquâau 15 décembre 2015 pour verser les augmentations et le montant forfaitaire.
Selon Peter Buzzel, ce plan correspondait aux meilleurs intérêts des toutes les parties. Il reconnaît lâeffort de ses employés et estime que « les syndiqués tendent donc la main à leur employeur en un geste de confiance en lâavenir »
Malgré tout, le titre de Transat ne cesse de régresser sur les marchés boursiers. à la fermeture jeudi, le titre perdait 8,26 % à 4 $. Depuis un an, la compagnie a enregistré un recul de près de 60 % de sa valeur boursière.
Lâavenir nous dira si cette démonstration de solidarité sera nécessaire pour remettre la compagnie sur le droit chemin. Si votre entreprise traverse aussi une période de turbulence financière, assurez-vous de vous entourer de partenaire de confiance. Contactez dès aujourdâhui un conseiller Distnet pour connaître tous les services mis à votre disposition.