Ce lundi, M. Obama annonçait une proposition de deux ans afin de geler les salaires des travailleurs au gouvernement. Ce frein permettrait à lâÃtat dâépargner 2 milliards de dollars pour lâannée 2011, 28 milliards au courant des cinq prochaines années et 60 milliards dâici 10 ans.
Mme Dan Pfeiffer de la maison blanche spécifiait que tout comme les familles et les différentes entreprises américaines en difficulté financière, ces coupures représentent une participation des fonctionnaires aux coupures et aux restrictions budgétaires afin de permettre au gouvernement des Ãtats-Unis de relancer plus rapidement lâéconomie.
Pour lâéconomie canadienne, les nouvelles sont complètement à lâopposé. Statistique Canada nous a dévoilé dernièrement que la rémunération hebdomadaire moyenne a augmenté de 4,3 % entre septembre 2009 et septembre 2010 pour se chiffrer à 864,13 $. Pour un deuxième mois de suite, on remarque une croissance des salaires qui dépasse 4,0%. Selon Statistique Canada, une part de la croissance de la rémunération hebdomadaire est attribuable à lâaugmentation du nombre dâheures travaillées par semaine entre septembre 2009 et septembre 2010 (+0,9 %).
Selon lâagence, le reste de la croissance est attribuable à plusieurs autres facteurs dont des variations dans la composition de lâemploi et dans les catégories professionnelles au sein de chaque industrie, lâexpérience de travail ainsi que la croissance des salaires.
« Parmi les principales industries du secteur du commerce de gros, les plus fortes hausses de la rémunération au cours de cette période dâun an ont été notées dans lâindustrie des ordinateurs et du matériel de communication (+15,2 %), dans celle des machines, du matériel et des fournitures industriels et pour la construction, la foresterie et lâextraction minière (+13,3 %) ainsi que dans lâindustrie des produits alimentaires (+13,2 %) » souligne lâagence Statistique Canada.
Il est parfois difficile de suivre la parade lors de période financière aussi instable. Si votre entreprise doit jongler avec des baisses de taux dâintérêt, des hausses de salaire de lâindustrie, des retards dans les comptes à recevoir⦠Peu importe la problématique, sachez quâune entreprise comme Distnet peut résoudre la majorité de vos tracas.
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Lâéditeur français de jeux vidéo Ubisoft a creusé ses pertes à 89,8 millions dâeuros (123 millions CAN) lors du semestre achevé fin septembre en raison de charges liées à la réorganisation de ses studios, mais a promis un retour à la rentabilité sur lâensemble de lâexercice.
Lâan dernier à la même époque, le groupe fondé par les frères Guillemots avait enregistré une perte de 52,0 millions (71 millions CAN), selon un communiqué publié lundi.
Ubisoft a indiqué avoir dû «adapter sa structure aux évolutions significatives de lâindustrie, en réorganisant les rôles et opérations de ses studios, ce qui a pour conséquence lâabandon de certains projets».
«Lâabandon de ces projets conduit la société à passer sur le premier semestre 62,1 millions de charges de réorganisation», a précisé le PDG Yves Guillemot.
«Sur lâexercice 2010-2011, nous confirmons attendre une croissance du chiffre dâaffaires, un retour à la rentabilité et une génération de trésorerie positive, soit une amélioration notable par rapport à lâexercice précédent», a-t-il souligné.
Affecté par la crise économique et des ventes décevantes pour certains jeux, Ubisoft avait annoncé pour son exercice 2009-2010 une perte nette de 44 millions dâeuros et un chiffre dâaffaires en recul de 17,7%. Dâailleurs, lâéditeur de jeux vidéo précise que le trimestre a été caractérisé par une sous-performance des titres Tom Clancyâs H.A.W.X.® 2 et R.U.S.E.(TM).
Le consensus de marché est très dispersé sur 2010-2011, illustrant la difficulté à anticiper la configuration du prochain exercice pour Ubisoft. Seul le jeu Assassinâs Creed semble actuellement en mesure de se démarquer face à la concurrence.
Le challenge du groupe est de réussir à tenir ses marques et idéalement de les rendre plus fortes. Un déclin des marques aurait un effet désastreux sur la profitabilité du groupe compte tenu de lâinflation des coûts de production. De plus, les effets de la stratégie de repositionnement dâUbisoft sur ses principales marques ne seront, selon les analystes, pas visibles avant la mi-2011, au mieux.
La visibilité sur les jeux Wii reste incertaine. Ubisoft pâtit à la fois dâun problème de différenciation de ses jeux et de faiblesse du segment : seules les superproductions propres à Nintendo se démarquant actuellement. Ãgalement, Ubisoft est encore très peu présent dans les MMO (jeux en ligne massivement multi joueurs).
Cette industrie est en constante évolution et les entreprises se battent pour attirer et garder les meilleurs talents dans leur société. Ces épreuves ne sont que la pointe de lâiceberg pour les entreprises Åuvrant dans les nouvelles technologies. Il faut savoir bien sâentourer et sâadapter au changement au besoin. Distnet représente un choix essentiel pour les entreprises qui doivent affronter lâadversité. Nâhésitez pas à contacter lâun de leurs agents afin de connaître toutes les options qui sâoffrent à vous que vous soyez ou non dans une situation précaire.
Suivant la dernière nouvelle concernant Mark Zuckerberg et la fameuse bulle Facebook, ce dernier phénomène nous arrive avec de nouvelles applications, mais surtout avec un outil de promotion 2.0 pour les entreprises.
Entre géolocalisations, commerce de proximité et mobilité, Facebook Deals surgit avec une proposition pour développer "les bonnes affaires du coin".
Sâil est encore nécessaire de montrer la détermination de Facebook de monter en puissance dans les services mobiles, il suffit de lire la récente contribution âIntroducing Dealsâ de Jon Fougner sur le blogue officiel de la société exploitant le réseau social.
http://blog.facebook.com/blog.php?post=446183422130
Le responsable marketing produit de Facebook illustre la manière dont le réseau social compte exploiter la géolocalisation associée aux enseignes marchandes et boutiques physiques pour attirer de nouveaux clients et développer le commerce de proximité.
Grâce à Facebook Deals, il est possible de savoir quelles sont les offres à proximité et aussi de partager les bonnes affaires à son entourage. Pour ce faire, il suffit dâutiliser Facebook Places depuis sa tablette Apple, Android ou RIM après sâêtre enregistré sur "Nearby Places". Par là , les utilisateurs auront accès aux "bonnes affaires du coin" à savoir les coupons de réduction, les échantillons gratuits et toute autre offre commerciale alléchante.
« Vous pourrez voir quelles sont les offres proches de vous et partager les affaires avec vos amis », résume Jon Fougner.
Parmi les premières opérations Facebook Deals, on peut trouver une opération â10 000 jeans gratuitsâ qui se déroulent dans les boutiques de lâenseigne GAP, McDonalds versera 1 dollar par client à sa fondation Ronald McDonald pour toute commande et H&M proposera une réduction de 20% pour tout achat.
Sachant que Facebook recense 200 millions dâutilisateurs de la version mobile de Facebook dans le monde (sur une base globale de 500 millions), les start-ups exploitant le filon du m-commerce associé à la géolocalisation (Groupon, Foursquare, Plyceâ¦) se retrouvent face à un nouveau redoutable concurrent. Et partenaire à la fois.
Sur ce, nous vous souhaitons un bon week-end et nâoubliez pas que Distnet peut vous venir en aide et permettre à votre entreprise de reprendre du poil de la bête. Des solutions comme lâaffacturage et les ponts financiers sont conçues pour les périodes dâinstabilité. Faites affaire avec Distnet et offrez à votre entreprise des solutions sur mesure.
Les rumeurs sâintensifient à lâeffet que Facebook ferait bientôt son entrée en Bourse. Si tel était le cas, la société du jeune milliardaire Mark Zuckerberg pourrait établir sa valeur légèrement au-delà des 30 milliards de dollars US. Par ailleurs, ces derniers prévoient faire entre 1,2 et 2 milliards de revenu cette année.
La compagnie Accel partenaire de Facebook, soit M. Jim Breyer, prédit que cette entrée en Bourse ne se réalisera probablement pas avant 2011.
Depuis quelques semaines, de nombreux nouveaux employés font le plein de parts dans lâentreprise, un mouvement que le portail spécialisé TechCrunch interprète comme un signal de lâimminence de la manÅuvre boursière.
De la fin des années 90 jusquâau début des années 2000, les employés de startups de la Silicon Valley faisaient exactement la même chose. Ils empochaient des millions une fois leur entreprise inscrite en Bourse. Les investisseurs se pressant pour acquérir les nouvelles actions émises faisaient croître substantiellement la valeur des parts acquises au préalable.
Depuis lâéclatement de la fameuse bulle techno, par contre, câest une habitude qui sâest assainie. Lâémergence de nouveaux géants du Web comme Facebook, Groupon et Zynga, notamment, pourrait relancer cette mode, prévoient certains observateurs du milieu.
Ces trois sociétés au capital fermé nâexistaient pas à lâépoque, mais leur valeur actuelle est supérieure au milliard de dollars, rendant une éventuelle émission dâactions très tentante pour leurs propriétaires.
Les choses ont bien changé depuis, par contre, notent certains critiques. Notamment, le fait que la loi oblige les sociétés comme Facebook à offrir des parts à ses employés à un prix reflétant le plus fidèlement possible ce que serait leur valeur en Bourse, minimisant ainsi les chances dâexplosion de leur cours.
Actuellement, Mark est inquiet (à juste titre) que son entreprise devienne publique puisque cela réduirait sa flexibilité dâactions et de prises de décisions. Dâautre part, petit fait cocasse, M. Zuckerberg a commencé à porter une cravate au lieu dâun « t-shirt », car câest une année importante pour la firme, laisse-t-il croire! Iront-ils en Bourse plus rapidement que prévu?
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