Le responsable de la SEPAQ et ministre du Développement durable, de lâEnvironnement et des Parcs, Pierre Arcand a fait connaître, mardi matin, le plan de mise en valeur du parc de la Chute-Montmorency, qui accueille chaque année près de 800 000 visiteurs. Lâinvestissement de 30 millions $, dont 18 millions provenant du privé, sera réalisé au cours des cinq prochaines années.
La pièce maîtresse du programme est la construction dâun hôtel comprenant entre 120 et 150 chambres et qui se situera près du Manoir Montmorency. Lâétablissement sera exclusivement financé par le secteur privé. Dâaprès le ministre Pierre Arcand, un appel dâoffres sera lancé sous peu afin de trouver un promoteur pour cet établissement. Lors de la conférence de presse tenue au pied de la célèbre chute mardi matin, le ministre a déclaré que « Cela permettra une masse critique de visiteurs tout au long de l'année ».
« Ce nâest pas le rôle de la Sépaq de sâoccuper uniquement dâhôtels, on le fait dans certaines régions parce que câest absolument nécessaire, mais dans le cas du parc de la Chute-Montmorency, nous sommes certains quâil y aura des promoteurs intéressés, mais ils devront le faire en tenant compte de toutes nos exigences », a prévu M. Arcand.
Outre les investissements privés, une somme de 12,2 millions $ sera injectée par le public, dont 10,4 millions $ provenant du gouvernement du Québec, et 2,2 millions $ de la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ).
Parmi les améliorations qui seront apportées au site, une étude de faisabilité serait déjà en cours pour lâinsertion dâun passage derrière la chute Montmorency. Le collègue du ministre Arcand et député de Montmorency, Raymond Bernier, mise d'ailleurs sur cette nouveauté « comme il existe déjà à Niagara Falls ». Ce type dâinstallation serait évalué à 4 à 5 millions $ par la SEPAQ.
Toujours dans le but dâaméliorer lâexpérience du parc de la chute, des jeux dâeau, une tyrolienne permettant de survoler la rivière dâouest en est et un circuit de via ferrata à flanc de falaise seront aménagés dans les années à venir. Raymond Desjardins, président et directeur général de la SEPAQ, aimerait que ces nouvelles activées soient installées au plus tard au printemps prochain. « On cherche des façons de compenser la perte des Grands Feux en utilisant le bassin naturel au pied de la chute », a expliqué M. Desjardins, tout en confirmant quâun nouveau spectacle ne serait pas pour cet été.
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Toutes les entreprises ont besoin de leaders, de têtes dirigeantes. à lâheure actuelle, les Canadiens de Montréal, lâune des organisations les plus en vues au Québec, nâa pas de directeur général. Avec la séance de repêchage 2012 qui approche à grands pas, parions que ce dossier doit être des plus prioritaire pour Geoff Molson, président de lâéquipe et principal propriétaire. Rappelons que les Canadiens de Montréal parleront 3e lors du prochain encan de la Ligue National de Hockey (LNH).
Même si lâorganisation est avare de commentaires,
les médias se chargent de dévoiler les prétendants au prestigieux titre de
directeur général des Canadiens de Montréal. Plusieurs noms ont été lancés,
mais les plus populaires semblent être ceux de lâancien capitaine de lâéquipe
Vincent Damphousse, lâagent de joueur Pat Brisson ainsi que lâactuel entraineur-chef
des Remparts de Québec et ancien gardien adulé des partisans Patrick Roy. Les
deux premiers ont récemment annoncé quâils nâétaient pas intéressés par le
poste tandis que le troisième attend la fin de la saison de son équipe junior
pour commenter.
Aujourdâhui, nous apprenons que Luc Robitaille, ancienne
vedette des Kings de Los Angeles qui occupe présentement le poste de président des opérations affaires de
lâéquipe californienne est maintenant dans la ligne de mire des Canadiens de
Montréal. Reste à voir si l'ancien franc-tireur, qui est l'ailier gauche ayant
marqué le plus de buts dans l'histoire de la LNH (668), voudra quitter la
Californie pour les froids hivers québécois.
Le poste dâentraineur-chef de
lâéquipe retient également lâattention. Alors que lâhomme en poste
actuellement, Randy
Cunneyworth, nâest vraisemblablement que de passage, tous les regards sont tournés
encore une fois vers Patrick Roy. Le bouillant entraineur reviendra-t-il Ã
Montréal? Seul lâavenir nous le dira, mais parions quâun éventuel retour dâune
équipe à Québec pourrait venir brouiller les cartes.
Les changements de direction peuvent
amener un vent nouveau dans des organisations qui en ont grandement besoin,
mais ils peuvent aussi créer des périodes dâinsécurité dangereuses. Dans ces situations,
une entreprise doit avoir suffisamment de liquidités pour traverser ce processus
sans mettre en danger son avenir. Des partenaires financiers comme Distnet
peuvent venir en aide aux compagnies qui ont à vivre de tel bouleversement.
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Le
célèbre portail internet américain
Yahoo ! a annoncé mercredi la suppression de 2000 emplois dans le monde.
Cette lourde décision découle du plan de restructuration de la compagnie qui
vise à contrer le ralentissement des dernières années. Câest donc 14 % des
effectifs mondiaux du groupe californien qui seront éliminés graduellement.
Dans leur communiqué, les dirigeants expliquent que « Yahoo! confirme qu'il prend des mesures importantes pour préparer l'entreprise à l'avenir » et afin de devenir « plus petit, plus compact, plus rentable et mieux équipé pour innover aussi rapidement que nos clients et le secteur le nécessitent ».
Selon Yahoo !, ces coupures lui permettront dâéconomiser annuellement environ 375 millions de dollars. Ce grand ménage marque pour Yahoo ! une sixième mise a pied massive en seulement quatre ans et sous la direction de trois différents PDG. Cette dernière est la plus importante et éclipse la coupure de 2008, en période récession, qui avait couté lâemploi de 1500 personnes chez Yahoo!.
Au-delà des mises à pied, Yahoo ! désire recentrer « métiers essentiels et redéployer ses ressources vers les priorités les plus urgentes, en plaçant les utilisateurs et la publicité au centre de ses priorités les plus urgentes », a commenté le directeur général, Scott Thompson, cité dans le communiqué.
Plus de 700 millions dâinternautes visitent chaque mois le portail de Yahoo !. Câest en améliorant les collectes de données de ces millions dâutilisateurs que M.Thompson croit être en mesure de multiplier ses ventes publicitaires. Ce dernier aurait aussi, selon le site spécialisé AllThingsD, lâintention de développer une nouvelle unité en charge de lâinnovation de produits qui regrouperait une cinquantaine dâemployés.
Rappelons que pour lâensemble de lâannée 2011, marquée par le départ de lâex-directrice générale Carol Bartz, le bénéfice net a diminué de 15 % à 1,05 milliard de dollars, et le chiffre dâaffaires total de 21 % à 4,98 milliards de dollars.
Lâannonce de mercredi a fait progresser lâaction de 0,72 % pour atteindre 15,29 dollars quelques minutes après lâouverture de Wall Street.
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Le
gouvernement canadien évaluait la possibilité depuis très longtemps et a
finalement décidé de trancher, celle que nous appelons la cenne noire cessera
dâêtre produite dès lâautomne. Fort dâun mandat majoritaire, les conservateurs
ont jugé que le moment était propice pour prendre une telle décision, que les
gouvernements évitent normalement à la veille dâélections.
Dâaprès Jim Flaherty, ministre des Finances, le gouvernement canadien aurait dû prendre cette décision il y a longtemps. « Les pièces de 1 cent prennent trop de place sur la commode, a-t-il lancé dès le début de son discours budgétaire. La production de chaque pièce de 1 cent coûte 1,6 cent aux contribuables. Nous allons donc cesser d'en fabriquer. »
Ce nâest pas moins de 11 millions de dollars que la Monnaie royale canadienne économisera en cessant la fabrication de la pièce dâun cent. Quant aux institutions financières, détaillants et consommateurs, on estime que les économies annuelles pourraient atteindre 150 millions de dollars.
Bien que le cent restera lâunité de base pour toute transaction, les paiements effectués en espèces seront arrondis à cinq cents près, de plus ou en moins. Les sommes continueront dâêtre comptabilisées au cent près pour les autres types de paiement par chèques, cartes de crédit ou carte de débit.
Ceux qui le désireront pourront continuer dâutiliser leur cents indéfiniment. Pourtant, certains prétendent que la majorité de la population sâen débarrassera tout simplement. Câest du moins lâavis de lâéconomiste en chef du Mouvement Desjardins, François Dupuis. « C'est ce qui s'est passé en Nouvelle-Zélande et dans les autres pays qui ont abandonné leurs pièces les plus petites », a-t-il expliqué à La Presse.
M.Dupuis croit aussi que la pièce de cinq cents pourrait être éliminée dans les prochaines années lorsque son coût de production se rapprochera de son pouvoir dâachat.
Avec cette décision, le gouvernement a trouvé une solution pour couper dans ses dépenses et ainsi améliorer sa situation financière. Si votre entreprise nâa pas le luxe de bénéficier de pareille coupure pour rétablir sa santé financière, sachez que dâautres options sâoffrent tout de même à vous. Apprenez-en davantage en communiquant avec un conseiller Distnet dès aujourdâhui.
Câest officiel depuis dimanche dernier, lâentente de gestion du nouvel amphithéâtre liant la Ville de Québec et le conglomérat Quebecor a été signée. Le sujet de lâheure dans la Vieille Capitale depuis plus de deux ans a maintenant franchi une étape importante. Avec cette entente, la construction de lâédifice peut commencer. La première pelletée de terre devrait avoir lieu en septembre prochain.
Tel que prévu au départ, le maire de
Québec, Régis Labeaume, a annoncé que la somme dépensée ne dépasserait pas les
400 millions de dollars. Cette somme a pu être atteinte grâce à de nouveaux
éléments financiers tels que le crédit de taxe de vente du Québec (TVQ) accordé
aux immeubles à vocation commerciale de 35 millions de dollars. Ajouter à cela
la diminution de la superficie de la bâtisse qui passe de 70 000 à 64 000
mètres carrés, lâaccès aux espaces du Ludoplex, lâamputation de 625 places de
stationnement souterrain et lâinvestissement supplémentaire de Québecor de 30 Ã
40 millions de dollars pour la construction dâun studio de production de
télévision à son usage exclusif.
Le budget remis aux médias fait
officiellement état dâun montant oscillant entre 394 et 403 millions de
dollars. Le choix du matériau scellera le prix final. Cette enveloppe comprend entre
autres une série de provisions et de fonds de prévoyance sâélevant à 73,5
millions de dollars soit 18,3 % du budget total.
« à 18 %, on est solide », a
indiqué Régis Labeaume.
Le nouvel amphithéâtre comptera 18 000 sièges et devrait être livré en septembre 2015. Suite à lâannonce, le PDG de Québecor, Pierre Karl Péladeau, a clairement indiqué que le projet irait maintenant de lâavant : « L'étape du non-retour est franchie. L'étape du plan fonctionnel est franchie, nous avons un échéancier précis et un budget ferme qui respecte les paramètres financiers que se sont fixés la Ville et le gouvernement du Québec. »
Cette annonce
est synonyme du retour dâune équipe de la Ligue Nationel de Hockey pour bien
des amateurs de Québec. Alors que les rumeurs vont bon train concernant la
relocalisation des Coyotes de Phoenix, le moment semble très bien choisit pour
annoncer la construction imminente du nouvel amphithéâtre.
Pendant que toute la ville rêve au retour des défunts Nordiques, plusieurs entreprises nâont pas la chance de recevoir des sommes aussi importantes pour réaliser leurs différents projets. Pour toutes ces situations où le manque de liquidités peut freiner vos ambitions, des partenaires comme Distnet peuvent vous venir en aide de manière concrète. Contactez un agent Distnet et prenez conscience de toutes les options qui sâoffrent à vous en matière dâaffacturage et de pont financier.