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Nouvelles

2016-07-08

InnovMetric: l'universalité passe du rêve à la réalité

(Québec) Alors que la dernière année financière s'est terminée sur une croissance de 35 %, InnovMetric se lance dans une grande aventure avec sa plateforme logicielle de métrologie 3D. Après un investissement de 10 millions $ en recherche et en développement, une nouvelle solution universelle permettant de contrôler les robots de mesure sera mise en marché.
 
«Depuis quelque temps, nous pouvons contrôler n'importe quel appareil de mesure robotisé à partir de notre plateforme logicielle PolyWorks», précise Marc Soucy, président et cofondateur de l'entreprise. «Ces appareils ont leur propre logiciel de contrôle et leurs particularités. Nous innovons avec une solution globale dans les processus des mesures pour la production de pièces en aéronautique et en construction automobile.»

Les robots de mesure, appelés Coordinate Mesuring Machine (CMM), pouvaient être contrôlés uniquement par les logiciels du fabricant. Les opérateurs devaient donc utiliser deux plateformes pour les faire fonctionner. InnovMetric a trouvé le moyen de tout faire avec un seul logiciel pour l'ensemble des opérations.

Ce rêve d'une solution globale et universelle s'est pointé le nez il y a sept ans. Après quelques années de recherche, le rêve devient réalité. «Ce qui est particulièrement innovant, c'est que nous pouvons contrôler tous les types d'appareils de cette catégorie», soutient Marc Soucy. «Pour nos clients, cela se traduit par la formation sur un seul logiciel, plus d'efficacité, moins de perte de temps et beaucoup plus de flexibilité. En fin de compte, cela se traduit par des économies d'échelle.»

Dès l'annonce des nouvelles fonctionnalités de la plateforme, les clients d'InnovMetric ont commencé les essais et donné leurs commentaires, même si tout n'était pas parfaitement au point.

«Notre marché est plutôt traditionnel», avoue M. Soucy. «J'ai été très étonné de l'enthousiasme démontré par tous ceux qui ont mis notre solution à l'épreuve.» Si la solution globale ne fait pas tout à fait l'affaire des fabricants des fameux CMM, elle réjouit amplement les clients d'InnovMetric, qui s'attend à une autre année de bonne croissance.


Nouvelles filiales

Outre la croissance financière, l'entreprise de Québec vient d'ouvrir des filiales en France et en Italie. Une autre est sur le point d'ouvrir en Espagne. En même temps, la compagnie a aidé à créer une coentreprise en Turquie pour le déploiement de sa plateforme.

«Le marché européen et la Turquie offrent de nombreuses possibilités pour nos produits à cause des industries en aéronautique et de la présence de nombreux constructeurs automobiles», expose M. Soucy. La philosophie derrière les filiales est de pouvoir former les employés des clients et d'offrir le soutien technique dans la langue du pays.

Quant aux effets probables de la sortie de la Grande-Bretagne de la Communauté européenne, M. Soucy croit qu'ils se traduiront par quelques pertes puisque les contrats se transigent en devise locale. La fluctuation à la baisse de la valeur de la livre sterling sera défavorable.


Qu'est-ce que la métrologie ?

La science des mesures. Le logiciel d'InnovMetric, commercialisé sous le nom PolyWorks, peut analyser les données provenant de différents périphériques de mesures, comme les scanneurs 3D ou les capteurs de précision. La métrologie assure la traçabilité et la fiabilité des mesures, ce qui est essentiel pour maîtriser les procédés de fabrication et veiller à la qualité des produits.


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Source
Le Soleil

2016-06-29

Bombardier livre son premier appareil CSeries à Swiss

Après les retards et les dépassements de coûts, la CSeries de Bombardier (Tor., BBD.B) franchira une autre étape importante mercredi avec la livraison du tout premier appareil à Swiss International Air Lines.

L'avion CS100 sera officiellement remis au transporteur européen dans le cadre d'une cérémonie spéciale qui aura lieu aux installations de la multinationale québécoise à Mirabel, dans les Laurentides.

Cet appareil, le premier des 30 avions commandés par Swiss, quittera ensuite pour Zurich jeudi matin, pour officiellement entrer en service le 15 juillet.

La CSeries transportera également mercredi ses premiers passagers–des membres des médias, des fournisseurs et autres invités– en Amérique du Nord dans le cadre de deux vols d'une heure chacun.

Un événement similaire avait eu lieu le 3 juin dernier dans le cadre d'une liaison entre Dublin, en Irlande, et la Suisse.

Bombardier enverra également un appareil d'essai, qui pourra transporter des passagers, au Salon international de l'aéronautique de Farnborough, qui se tiendra au Royaume-Uni le mois prochain.

La CSeries a deux années de retard par rapport à l'échéancier initial, et accuse des dépassements de coûts d'environ 2 milliards $ US.

Pour sa part, le premier CS300 devrait être livré plus tard cette année à Air Baltic.

Jusqu'à présent, Bombardier a enregistré 370 commandes fermes pour son nouvel avion commercial, ce qui lui permet de dépasser son objectif de 300 avant les premières livraisons.

La semaine dernière, après des mois de négociations, le constructeur d'avions et de trains a finalisé son entente avec le gouvernement Couillard entourant l'investissement de 1 milliard $ US dans le programme de la CSeries.

En vertu de l'entente, Québec détient 49,5% de la Société en commandite Avions C Series. Deux versements de 500 millions $ US seront effectués, le 30 juin et le 1er septembre.

Bombardier sollicite toujours une contribution similaire du gouvernement fédéral.

Les actions à droit de vote multiple, qui permettent à la famille Beaudoin-Bombardier de contrôler 53,23 pour cent des droits de vote, figureraient parmi les points de désaccord entre Bombardier et le fédéral et auraient incité, selon divers médias, la multinationale à rejeter la première proposition d'aide présentée par Ottawa.


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Source
Les Affaires

2016-06-28

Le Brexit n'inquiète pas à Québec, sauf que...

(Québec) Le vote sur le retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne (UE), le Brexit, n'inquiète pas les chefs d'entreprise de la région de Québec. Si l'on se fie aux quelques entreprises contactées par Le Soleil, pour l'instant, il n'y a aucune conséquence. Les échanges commerciaux se poursuivent sans soubresaut.
 
Chez Optosécurité, la direction affirme qu'il est encore trop tôt pour prévoir les conséquences à long terme. Cependant, la responsable des communications de l'entreprise de Québec spécialisée dans la sécurité aéroportuaire, Roxanne Beauchesne, soutient que peu importe si le Royaume-Uni quitte l'UE ou non, les aéroports britanniques auront toujours besoin de mesures de sécurité.

Pour Louis Roy, le vote à 51,9 % pour le retrait de l'UE ne change rien dans les affaires de son entreprise, Optel Vision.

À plus ou moins long terme, les gens d'affaires ne peuvent dire qu'elles en seront les conséquences.

Dans le domaine de l'agroalimentaire, les choses pourraient se passer différemment, affirme Sylvain Charlebois, doyen de la Faculté en management, professeur en distribution et politiques agroalimentaires, de l'Université Dalhousie. Pour lui, le Canada ne sera pas épargné.

«C'est une grosse perte, surtout pour le Canada, car le Royaume-Uni est l'un des plus grands partenaires européens. Le déficit commercial du Royaume-Uni avec le Canada dans le domaine agroalimentaire s'approche de 40 milliards de dollars. Plus de la moitié de nos échanges avec le Vieux Continent sont avec les Anglais. Dans le domaine agricole et notamment dans celui du commerce international, l'enjeu est énorme», soutient-il.

À son avis, l'avenir de l'entente canado-européenne est incertain. Il craint que l'économie agroalimentaire britannique se referme sur elle-même. «Le taux d'inflation alimentaire pourrait augmenter chez les Anglais. Puisque l'importance des ententes commerciales varie aussi, c'est à ce moment que le Canada pourrait en ressentir les effets.»

Choc temporaire

Selon les analystes de Desjardins, le choix de quitter l'UE a touché durement les marchés financiers. Selon les économistes François Dupuis et Francis Généreux, les conséquences pour le Canada et le Québec seront minimes, car «l'hypothèse la plus plausible est que le Royaume-Uni et l'UE parviendront à terme à un accord négocié limitant les conséquences sur l'économie. À court terme, le choc financier devrait être temporaire, mais il y aura tout de même des effets économiques et politiques de plus long terme.»

À la Banque Nationale, Stefane Marion, économiste et stratège en chef, ne s'attend pas à ce que la décision des Britanniques cause une récession mondiale, car les banques centrales prendront les mesures pour soutenir la confiance des investisseurs.

Cependant, il considère que le renforcement du dollar américain est une mauvaise nouvelle pour l'économie mondiale. «Nous nous attendons à un resserrement des conditions financières. Les pays émergents sont particulièrement vulnérables en raison de la masse d'emprunts qu'ils ont contractés en USD. Nous entrevoyons maintenant une baisse des prix des produits de base au cours des prochaines semaines», notamment le cours du pétrole WTI serait en baisse, à 40 $ le baril.

Quant à Angelo Katsoras, analyste géopolitique pour la Banque Nationale, la décision des Britanniques de quitter l'UE est un exemple éloquent de la montée du nationalisme et du protectionnisme à l'échelle de la planète.


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Source
Le Soleil

2016-06-22

Akiem achète 26 locomotives à Bombardier pour 137 M$

Akiem, une filiale de la SNCF spécialisée dans la location de locomotives, a annoncé mercredi avoir passé auprès du constructeur canadien Bombardier une commande ferme pour 26 locomotives d'un montant de près de 95 millions d'euros (plus de 137 million $CAN) au prix catalogue.
 
L'accord cadre signé avec Bombardier Transports prévoit au total la livraison de 52 locomotives Traxx. Il est conditionné à la clôture du financement d'Akiem Holding, précise un communiqué.

La livraison des premières locomotives, qui seront configurées pour être opérationnelles dans les 13 pays où Akiem est présent, est prévue dès 2017.

Akiem indique par ailleurs avoir exercé une option pour la livraison de cinq locomotives Traxx dans le cadre d'un précédent contrat.

«Cet important investissement avec Bombardier permettra de porter le parc d'Akiem à 100 locomotives Traxx d'ici 2018», a commenté le PDG d'Akiem, Fabien Rochefort, cité dans le communiqué.

«Nous accélérons notre positionnement sur les marchés nationaux allemand et autrichien, ainsi que sur les grands corridors européens vers la Suède, le Benelux, la Suisse, l'Italie, la Pologne ou encore l'Europe centrale», a-t-il souligné.

Akiem est une filiale du groupe Ermewa, lui-même détenu par SNCF. Sa flotte, composée de plus de 350 engins, est apte à circuler dans 13 pays d'Europe et au Maghreb.


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Source
Le Soleil

2016-06-21

Olymel investit 25 millions $ à son usine de Saint-Esprit

Olymel injecte 25 M$ dans son usine de transformation de porcs à St-Esprit-de-Montcalm dans Lanaudière. À terme, cet investissement fera d’Olymel, le plus important employeur privé de la région avec plus de 1000 employés.

L’investissement permettra de conserver les 810 emplois tout en créant 200 nouveaux. Les travaux débuteront en juillet et comprennent la construction d'une salle de réfrigération et le réaménagement de tables de production. L'usine d'Olymel verra sa capacité d’abattage et de transformation du produit passer de 30 000 à 40 000 porcs par semaine. Les nouveaux employés seront embauchés au printemps 2017.

«On favorise l’embauche de gens de la région, c’est plus facile pour le transport, mais il y a aussi beaucoup de Montréalais qui travaillent actuellement à l’usine de St-Esprit», indique Réjean Nadeau le président directeur général d’Olymel.

Une convention collective prolongée

Le 17 juin dernier, les employés d’Olymel ont accepté de prolonger l’actuelle convention collective qui devait se terminer en mai 2018. Le contrat de travail qui prévoit des augmentations de salaire d’environ 2% par année viendra maintenant à terme en 2025.

«C’est une sécurité à long terme pour les employés qui ont une maison, des enfants et une voiture à payer. Ça a pesé gros dans la balance. On avait déjà une convention de huit ans et là on rajoute sept ans. C’est très bon puisque l’investissement se fait ici », précise Serge Boyer le délégué en chef des employés de l’usine. Le salaire moyen d’un employé est de 18$ l’heure.

L'usine produit différentes coupes de porc, des produits emballés sous vide et des produits de porc assaisonnés. L'investissement permettra l'ajout de production de porc frais réfrigéré «Chilled pork» qui se conserve sur une période plus longue.

Les différents produits sont distribués au Québec mais aussi dans 65 pays à travers le monde et notamment en Chine.

Les employés de l'usine d'Olymel de Saint-Esprit œuvrent sur deux quarts de travail. Un de jour, l'autre de soir. Un quart de nuit et de week-end demande à une centaine d'employés de tout démonter et de tout nettoyer l'équipement. Cela permet à l'usine d'atteindre la norme SQF (Safe quality food) exigée par l'usine et attribuée par une firme internationale la «Global safety Food».


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Source
TVA Nouvelles

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