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Nouvelles

2016-02-05

Canac espère profiter de la vente de RONA

(Québec) Le Groupe Canac et le Groupe BMR ne voient pas d'un mauvais oeil la vente de RONA au géant américain Lowe's. Canac souhaite même tirer profit de cette transaction.
 
Mercredi, Lowe's a annoncé l'achat du fleuron québécois pour 3,2 milliards $. Les deux conseils d'administration des sociétés ont approuvé à l'unanimité l'entente. Il ne reste qu'aux actionnaires de RONA à se prononcer sur l'offre lors d'une prochaine assemblée extraordinaire.

Pour le président de Canac, Jean Laberge, cette transaction le motive plus que jamais à garder le cap sur l'expansion de son entreprise. Déjà, le Groupe Canac a investi plusieurs millions de dollars en 2015 afin notamment de construire un centre de distribution de 350 000 pieds carrés à Drummondville et une nouvelle succursale à Beauharnois. Cette dernière devrait ouvrir ses portes au cours des prochains mois.

Sur un horizon de cinq ans, l'entreprise - qui possède 24 succursales avec celle de Beauharnois - prévoyait investir 100 millions $, notamment pour ouvrir ou agrandir et rénover certains de ses magasins à travers la province.

«Nous sommes des entrepreneurs, des compétiteurs, et il ne faut pas se laisser abattre. Il faut se rénover. Je ne veux pas faire l'erreur que Zellers a faite de se laisser aller», affirme au Soleil M. Laberge, qui a comme objectif d'ouvrir six ou sept magasins d'ici six ans. «Comme mon épouse m'a toujours dit : ''Il y a toujours une bonne chose à toute chose qui arrive, même si ce n'est pas bon.'' Et c'est un peu la mentalité de Canac.»

Le président de l'entreprise, qui compte environ 2300 employés, concède que la fusion des deux compagnies entraînera la création de l'une des plus importantes chaînes de rénovation résidentielle au détail au Canada, mais il n'est pas pour autant question de lever le pied sur l'accélérateur. «Peut-être que cela va être plus dur, mais il ne faut pas se démoraliser. On va s'ajuster en conséquence», indique-t-il. «Pour le moment, on ne sait pas ce que Lowe's veut vraiment faire avec RONA. S'il continue leurs opérations comme en ce moment, cela ne changera rien [...] Cela me surprendrait énormément qu'il y ait une guerre de prix entre Lowe's et Home Depot.»

Et si Lowe's décide de larguer certains fournisseurs québécois, Canac assure que ses portes leur sont ouvertes. M. Laberge avance même que l'entreprise entend bien tirer profit de cette situation si elle se produit.

«C'est notre plus grande opportunité dans cette transaction-là. Cela va m'aider à garder mes fournisseurs actuels et peut-être même avoir de bons prix si quelques malheureux fournisseurs perdent leur contrat avec RONA. [...] On achète un peu partout, comme tout le monde, en Chine, comme au Québec. C'est certain qu'on est intéressé par les produits québécois. Cela signifie moins de transport pour nous», soutient l'homme d'affaires, qui ne pense pas que Lowe's va fermer plusieurs succursales RONA au cours des prochaines années.

Pas d'impact à court terme

Du côté du Groupe BMR, cette transaction n'aura pas d'impact sur la stratégie d'affaires de l'entreprise, du moins à court terme.

«Pour nous autres, c'est une grosse nouvelle, oui, mais notre plan de match ne changera pas», indique Pascal Houle, chef de la direction du Groupe BMR. «RONA était un gros joueur. Lowe's est aussi un très gros joueur nord-américain. Pour nous autres, nous sommes déjà très bien implantés au Québec avec 300 magasins BMR et Unimat. Et nous sommes très bien implantés dans les régions. Nous allons garder notre même stratégie, c'est-à-dire une grande présence sur le territoire du Québec», ajoute-t-il.

Et tout comme Canac, le Groupe BMR entend miser sur les produits québécois. «Nous avons toujours encouragé les fournisseurs québécois. Et cela va se poursuivre», assure M. Houle.

Rappelons que l'an dernier, la Coop fédérée, qui exploitait déjà la chaîne de quincailleries Unimat, s'était portée acquéreur du Groupe BMR. La Coop fédérée avait alors annoncé souhaiter augmenter sa présence en région et au Québec. Le Groupe BMR est aussi présent en Ontario et dans les provinces maritimes.


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2016-02-05

Financement de 14 millions $ pour Hortau

(Québec) L'année 2016 commence du bon pied pour Hortau, qui annonce la conclusion d'un tour de financement de 14 millions $. De l'argent frais qui lui permettra de poursuivre sa croissance en Amérique du Nord.
 
Hortau, une entreprise de Lévis, a mis au point une plateforme qui assure la gestion en temps réel de l'irrigation des cultures. En utilisant la technologie des objets connectés, Hortau aide les producteurs agricoles à déceler la présence de stress chez les végétaux, ce qui assure une croissance optimale des plants et une utilisation responsable de l'eau.

Une entreprise américaine d'investissement rural, Advantage Capital Agribusiness Partners, est la tête du groupe de financiers qui apportent de l'eau au moulin d'Hortau, qui a été fondée en 2002 par le docteur Jean Caron et Jocelyn Boudreau. Parmi eux, il y a Avrio Capital, la Banque de développement du Canada et Capital régional et coopératif Desjardins.

«Depuis ses débuts, Hortau innove et crée des solutions de conservation de l'eau et de lutte contre la sécheresse qui fournissent de l'information vitale aux agriculteurs», a souligné Timothy Hassler, l'un des directeurs d'Advantage Capital Agribusiness Partners. «Nous sommes très enthousiastes de démarrer l'année avec cet investissement additionnel dans Hortau et nous avons hâte de l'appuyer dans sa croissance.»

Hortau a mis les pieds au sol aux États-Unis pour la première fois en 2007 et y a implanté une filiale en 2013.

L'été dernier, Jocelyn Boudreau avait été invité à la Maison-Blanche pour présenter ses technologies de gestion des cultures.


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2016-01-29

La Société V.I.A investit 3 M$ avant de se lancer dans le recyclage du verre

(Québec) Après avoir annoncé mercredi un investissement de 3 millions $ pour moderniser ses installations à Lévis, la Société V.I.A, spécialisée dans le tri et la valorisation des matières recyclables, souhaite maintenant s'établir comme un leader dans le secteur de la transformation du verre au Québec.
 
Depuis la fermeture en 2013 de l'usine Klareco de Longueuil, qui traitait 80 % du verre des centres de tri municipaux du Québec, la Société V.I.A est contrainte d'expédier son verre cassé vers une entreprise de Trois-Rivières afin que cette dernière complète sa transformation vers un produit réutilisable. «Ce sont des coûts considérables», affirme au Soleil André Poitras, président-directeur général de la société.

À court terme, la Société V.I.A a comme objectif de se munir d'équipements pour effectuer elle même, dans son usine de Lévis, la transformation complète du verre afin d'être en mesure d'offrir par la suite le produit transformé sur le marché.

«Ça fait deux ans qu'on travaille sur ça. On sent qu'il y a un engouement pour le verre. Nous avons été approchés par plusieurs entreprises», stipule M. Poitras, qui espère obtenir le soutien financier du plan Verre l'innovation d'Éco Entreprises Québec pour réaliser son projet de modernisation de plusieurs millions de dollars, qui devrait compter trois phases. «On est actuellement en train de faire nos dessins techniques pour intégrer l'équipement au bâtiment actuel. Cela nécessite un agrandissement de l'entrepôt», ajoute-t-il.

La première phase de modernisation, dont une annonce pourrait avoir lieu au cours de l'année 2016, consiste à améliorer davantage la qualité du nettoyage du verre dans son usine de Lévis.

La compagnie est déjà en mesure avec ses installations actuelles d'effectuer une grande partie du nettoyage du verre, notamment d'éliminer les petits métaux et le papier. Toutefois, puisque le verre n'est pas cassé en petites particules, mais bien en morceaux, «les étiquettes de bouteille de vin restent encore collées. Cela amène qu'il faut faire une autre étape de nettoyage. C'est à ce niveau-là qu'on veut se rendre», explique M. Poitras.

La deuxième étape va consister à munir l'entreprise d'équipements à la fine pointe de la technologie afin de pouvoir transformer le verre pour notamment du sablage industriel ou du sable de filtration à piscine. Et finalement, la Société V.I.A envisage aussi comme possibilité de prendre le verre transformé et le faire fondre pour en faire du verre expansé. L'achat d'équipements va également être nécessaire pour cette troisième phase.

«Il y a des marchés pour le verre expansé, on peut le mettre en dessous des routes, des maisons au lieu de mettre du styrofoam pour l'isolation», assure le pdg. «Cette dernière étape reste toutefois encore à déterminer.»

Tri du papier journal

Mercredi matin, la Société V.I.A a annoncé un investissement de 3 millions $ pour améliorer la qualité du tri du papier journal dans son usine de Lévis.

L'investissement a permis l'achat d'équipements de production, notamment de lecteurs optiques à jet d'air comprimé. Du 3 millions $, 1 million $ a été financé par la société d'État RECYC-QUÉBEC. Le projet de modernisation a permis la création de six emplois.

Présent sur place pour l'annonce, le maire Gilles Lehouillier était heureux de voir une entreprise de Lévis prendre de l'expansion. «C'est une entreprise dont nous sommes extrêmement fiers. Vous êtes un modèle d'entreprise ici à Lévis et aussi partout au Québec».

Fondée en 1977, la Société V.I.A opère aujourd'hui quatre centres de tri, soit à Lévis, Rivière-du-Loup, Dégelis et Québec.


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2016-01-29

Coup de pouce de 400 000 $ de Québec et de la Ville à l'INO

(Québec) Entrepreneurs un jour, entrepreneurs toujours! Après avoir fondé chacun leur compagnie à Québec, Éric Bergeron et Dragan Tubic sont de retour à la case départ. Leur objectif : mettre en orbite les entreprises FlyScan et Umanx.
 
Pour y parvenir, la Ville de Québec et le gouvernement provincial ont annoncé mardi matin un appui financier de 400 000 $ pour les deux compagnies en démarrage. Ce montant provient du programme Entrepreneur en résidence de l'Institut national d'optique (INO), financé en partie par la Stratégie de développement économique de la Ville.

Éric Bergeron n'en est pas à ses premiers pas dans le domaine des affaires. L'entrepreneur est notamment le grand manitou derrière la création de la compagnie OptoSecurity, une firme essaimée de l'INO qui se spécialise dans les systèmes de sécurité pour les aéroports.

Depuis l'été dernier, M. Bergeron a toutefois délaissé OptoSecurity pour se concentrer à plein temps au bon développement de FlyScan. Cette entreprise travaille actuellement sur une technologie qui permettra aux opérateurs de pipelines de détecter à distance de petites fuites de pétrole dans les oléoducs. Le système pourra être installé sous un hélicoptère ou un drone.

«La première version du produit va être avec un hélicoptère. Actuellement, la réglementation fédérale, ici comme aux États-Unis, oblige [les compagnies] à survoler les pipelines aux deux semaines pour une inspection visuelle. Ce que je vais faire, c'est accrocher mon laser sous leur appareil. Les systèmes actuels de détection ne sont pas suffisamment sensibles pour détecter de petites fuites», explique M. Bergeron, qui espère mettre son produit sur le marché vers la fin de l'année 2016. Et déjà, de potentiels clients cognent à la porte. «Je suis en pourparler avec des opérateurs de pipelines au Texas», dit-il.

La technologie développée par FlyScan permettra à des compagnies comme TransCanada de surveiller l'étanchéité de leurs pipelines enfouis sous terre, ainsi que ceux traversant des cours d'eau. «Notre laser va permettre de détecter une fuite équivalente à un baril de pétrole par jour, ce qui veut dire 100 ml à la minute», précise M. Bergeron, ajoutant que son expérience chez OptoSecurity lui est grandement salutaire dans cette nouvelle aventure. «La différence, c'est que j'ai fait de l'apprentissage dans la première compagnie, beaucoup d'erreurs que je ne referai pas cette fois-ci», conclut l'homme d'affaires.

Robots intelligents

Quant à M. Tubic - cofondateur de la société Creaform -, son nouveau terrain de jeu est l'entreprise Umanx. Cette dernière cherche à développer des robots intelligents dont la première application sera d'améliorer les systèmes d'alarme conventionnels et les services connexes. Et le potentiel de développement de la technologie «est immense», se réjouit celui qui a choisi le Canada comme terre d'accueil, il y a de ça 19 ans.

«Ça va être un petit robot mobile autonome qui va être capable d'accomplir certaines tâches sans supervision humaine. En plus de servir de système d'alarme, il va pouvoir notamment détecter les personnes qui perdent conscience. Cela va indiquer leur position au premier répondant. Il y a une infinité d'applications possibles», souligne-t-il.

M. Tubic souhaite commercialiser son produit en 2017, pour moins de 600 $.

Originaire de l'ex-Yougoslavie, l'homme d'affaires est venu s'établir au Québec à 26 ans, en compagnie de sa femme, pour fuir la guerre. Il a par la suite étudié à l'Université Laval.

Selon l'entrepreneur, le marché de la robotique est la nouvelle révolution industrielle. «Et nous avons choisi le marché de la sécurité et prévention, car il vaut actuellement 150 milliards $US. Notre objectif est de devenir le leader. Nous avons de bonnes chances de réussir, car notre technologie est supérieure à ce qui se fait aujourd'hui», conclut-il.

Le travail des deux entrepreneurs consiste à développer un modèle d'affaires et la commercialisation d'un produit à partir d'une application expérimentale développée à l'INO.

Détecter les substances dangereuses

Éric Giroux a été le premier entrepreneur en 2014 à avoir bénéficié du programme en résidence de l'Institut national d'optique. Son chef-d'oeuvre : la compagnie RaySecur, qui commercialise un produit utilisant une technologie optique pour détecter les lettres contenant des poudres et des liquides dangereux.

«On est sur le bord d'avoir nos premières commandes. Dans quelques semaines», affirme l'entrepreneur. Il lui a fallu un an pour développer son produit. Il espère voir un jour sa technologie dans tous les parlements, les bureaux gouvernementaux et les aéroports du monde.

«La machine qu'on remplace, la plus petite, elle pèse 750 livres. La nôtre est de 40 livres», conclut-il, fièrement.

Le maire de Québec, Régis Labeaume, et le ministre responsable de la Capitale-Nationale, Sam Hamad, ont d'ailleurs assisté mardi à une courte démonstration du fonctionnement de la machine développée par la compagnie RaySecur.


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Lapresse.ca

2016-01-22

Walmart: 5 nouveaux Supercentres au Québec

Trois nouveaux Supercentres de Walmart ont ouvert leurs portes aux clients jeudi au Canada, dont deux au Québec. Ces derniers sont situés à Beauport et à Rimouski.

Douze autres seront également inaugurés jeudi prochain, dont trois établissements au Québec : à Saint-Romuald, à Place Fleur-de-Lys et à Candiac.

Les Supercentres de Walmart additionnent les produits des magasins traditionnels Walmart, une épicerie, une pharmacie et un centre de jardinage.

L'ouverture de ces 15 nouveaux magasins, qui a nécessité des investissements de 100 millions $, créera 700 emplois dans les commerces ainsi que 1450 emplois en construction, prévoit Walmart.

L'entreprise américaine comptera maintenant 400 magasins en sol canadien après l'ouverture de ces 15 nouveaux Supercentres.

Walmart a inauguré son premier magasin au Canada en 1994.

Un modèle différent

Le 15 janvier dernier, l’entreprise américaine a annoncé la fermeture de 269 magasins aux États-Unis et au Brésil, dont plusieurs Walmart Express, de petits supermarchés qu'elle testait depuis 2011. Le Canada est épargné par ces compressions.

«Ce sont deux marchés différents», explique Alex Roberton, porte-parole de Walmart Canada. «Au Canada, nous nous concentrons sur deux formats: le format à escompte, auquel la plupart des gens sont habitués, et lorsque nous ajoutons l’alimentation, ça devient un Supercentre.»

«Tous les projets que nous faisons maintenant sont toujours des projets de Supercentre», ajoute-t-il.

Achat local

Walmart dit favoriser l’achat local dans ses campagnes publicitaires. Les Supercentres de Walmart identifient les produits provenant du Québec et s'approvisionnent en produits locaux, en saison.

«Pour l'alimentation, à peu près 25 % de ce que nous vendons sont des produits alimentaires qui viennent de producteurs québécois», précise Alex Roberton. L'objectif de l'entreprise est d'atteindre 30 % de produits locaux, sur une base annuelle.


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Source
Journal de Montréal

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