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Nouvelles

2015-12-04

La Frissonnante déménage à Danville

(DRUMMONDVILLE) Trop à l'étroit dans ses installations situées sur la propriété de Rose Drummond, la Frissonnante vient tout juste de déménager ses installations de production de fraises dans les serres laissées vacantes par la fermeture de Savoura à Danville, dans la MRC des Sources.

Il s'agissait là d'une occasion en or pour l'entreprise de multiplier par six sa production et ainsi de mieux satisfaire la demande croissante pour les fraises récoltées au Québec.

« On était rendu là, résume le directeur de production, Joël Lalancette. Nous étions constamment en rupture de stock. Il nous fallait augmenter notre production, mais nous n'avions pas l'espace nécessaire pour le faire ».

De 6000 mètres carrés qu'ils utilisaient à Drummondville, la Frissonnante cultivera maintenant 28 000 mètres carrés, soit une superficie presque cinq fois plus importante, et deviendra ainsi la plus importante serre de production de fraises en Amérique. Malgré l'ampleur relative du projet, l'entreprise ne fournira que l'équivalent de 1,3 % de toutes les fraises américaines importées au Québec.

« C'est encore minime comme production. Le marché n'est pas un problème pour nous. Plus ça va et plus les consommateurs veulent manger moins et mieux. Ils en ont marre des pesticides et comprennent que l'importation de fraises de Californie nécessite du transport et l'émission de gaz à effet de serre », explique M. Lalancette.

Une autre expansion?

La Frisonnante n'a donc pas fini de grandir. Il faut s'attendre à ce que l'entreprise investisse davantage au cours des prochaines années afin de répondre à la demande québécoise, mais aussi à celle de l'Ontario, des Maritimes et du Nord-Est américain, chose qui n'est pas possible en ce moment, même dans les nouvelles serres danvilloises.

« Nous avons eu des demandes de l'Ontario et fait quelques essais de commercialisation aux États-Unis, mais nous n'avons pas encore la production nécessaire pour nous attaquer à ses marchés. Nous allons prendre un an pour rentabiliser l'investissement et nous verrons après », ajoute le directeur, faisant état d'un investissement de quelques centaines de milliers de dollars.

La décision La Frissonnante de se lancer dans la culture de la fraise de serre est née d'un ralentissement du marché de la fleur. C'est en analysant les façons de faire européennes que les propriétaires se sont aperçus du potentiel de cette nouvelle culture. L'entreprise a notamment une entente de distribution avec les supermarchés Métro de la province.


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Lapresse.ca

2015-11-19

La Caisse de dépôt investit 1,5 milliard $US dans Bombardier Transport

Après le gouvernement du Québec, c'est au tour de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) de venir à la rescousse de Bombardier, cette fois-ci en investissant dans la division ferroviaire de la multinationale.

L'investisseur institutionnel injectera ainsi 1,5 milliard $ US en échange d'une participation de 30 % d'une nouvelle entité - BT Holdco - qui chapeautera tous les actifs de Bombardier Transport.

Après avoir analysé plusieurs scénario, dont une entrée en Bourse d'une participation minoritaire de sa division ferroviaire, Bombardier (TSX:BBD.B) a expliqué jeudi que la transaction avec la CDPQ représentait l'option «la plus attrayante».

«Cet investissement de la Caisse, qui est un actionnaire majeur de Bombardier depuis de nombreuses années, témoigne du potentiel de croissance de l'industrie du transport sur rail», a souligné le grand patron de l'entreprise, Alain Bellemare.

Dans le cadre de l'entente, la CDPQ pourra nommer trois des sept membres du conseil d'administration de BT Holdco. M. Bellemare présidera ce conseil d'administration, alors que le dirigeant de Bombardier Transport, Lutz Bertling, continuera d'assumer ses fonctions actuelles.

Bombardier a rencontré de nombreuses difficultés au cours des dernières années pour mener à terme le programme de son avion commercial CSeries, marqué par des dépassements de coûts ainsi que des retards.

Le mois dernier, Québec a investi 1 milliard $ US pour aider l'entreprise dans ce projet en échange d'une participation de 49,5 % dans une société en commandite.

Cette nouvelle transaction comprend des modalités assurant à la Caisse un rendement minimum de 9,5 % ainsi que d'autres aspects reliés à la performance de Bombardier Transport.

«Les incitatifs de performance puissants au coeur de cette transaction (...) n'ont qu'un seul objectif: créer davantage de valeur dans Bombardier Transport», a estimé le président et chef de la direction de la CDPQ, Michael Sabia.

Ainsi, si Bombardier Transport dépasse certains objectifs, le pourcentage de la participation de la Caisse reculera annuellement de 2,5 %, jusqu'au seuil minimum de 25 %.

À l'inverse, une augmentation annuelle de 2,5 % de la participation de la CDPQ, jusqu'à concurrence de 42,5 % sur cinq ans, est prévue si les cibles ne sont pas atteintes.

La transaction attribue une valeur de 5 milliards $ US à Bombardier Transport.

Benoit Poirier, de Desjardins Marchés des capitaux, a estimé que l'intervention de la Caisse était «positive», mais s'est montré surpris de la valeur attribué à la division ferroviaire de la société.

«Du côté négatif, nous croyons que ce montant se situe au bas de la fourchette d'entre 5 et 6 milliards $ US évoqué sur le marché», écrit-il dans une note de recherche.

Bombardier, qui exploite entre autres une usine à La Pocatière, dans le Bas-Saint-Laurent, compte 39 700 employés dans le monde.


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Lapresse.ca

2015-11-19

Sherbrooke tend la main aux entrepreneurs

(SHERBROOKE) Sherbrooke tend la main aux entrepreneurs par la mise sur pied de projets concrets visant à répondre à leurs besoins.
 
Les mesures annoncées par le maire de Sherbrooke, Bernard Sévigny, ainsi que Josée Fortin, directrice générale chez Sherbrooke Innopole, prennent place dans le cadre de la Semaine Entreprendre Sherbrooke et sont le fruit de nombreuses discussions avec des entrepreneurs; le but étant d'éliminer le plus d'irritants possible dans le long parcours qui mène à la création d'entreprises.

Dès 2016, un édifice multilocatif réservé aux jeunes entreprises en sciences de la vie sera érigé dans le Parc scientifique situé près du CHUS - Fleurimont. La nouvelle infrastructure offrirait des locaux abordables à ces jeunes entreprises et serait dotée d'équipements et d'espaces communs de type laboratoire. Ce projet avait été identifié, avec le démarrage de l'incubateur Espace-INC, comme une infrastructure essentielle pour répondre aux besoins des jeunes entrepreneurs, et avait fait l'objet d'un engagement dans la planification stratégique 2014-2018 de Sherbrooke Innopole.

« Nous avons vérifié s'il valait mieux prendre une bâtisse existante et la reconvertir, mais ça coûtait trop cher. On arrive donc à la conclusion qu'il faut bâtir quelque chose de nouveau. Le fait de l'installer dans le Parc scientifique permet de créer une belle synergie : les entreprises en sciences de la vie travaillent beaucoup avec le CHUS, l'institut de pharmacologie, le pavillon de recherche appliqué sur le cancer... On va bonifier cet écosystème et dans le futur, nous serons en mesure d'intéresser de nouvelles entreprises à venir s'implanter à proximité », explique Mme Fortin.

Le projet sera étudié par le conseil au cours des prochaines semaines. Mme Fortin affirme qu'il est trop tôt pour dévoiler le coût de la nouvelle construction, se contentant de dire qu'il s'agit de « quelques millions ». « Le financement sera un partenariat public-privé », précise-t-elle.

L'achat de terrains industriels simplifié

Une étude comparative menée par Sherbrooke Innopole a révélé que la politique de prix actuelle occasionne non seulement des délais importants pour les entrepreneurs, mais que le coût des terrains à Sherbrooke est 30 % plus cher que les villes comparables ou avoisinantes.

Une nouvelle politique de prix des terrains industriels, qui établira un coût fixe incluant les travaux permanents, a été élaborée au cours des derniers mois et déposée récemment au conseil municipal.

« Sherbrooke Innopole, de concert avec les services juridiques, des finances et de l'urbanisme de la Ville de Sherbrooke, nous a présenté une nouvelle politique tarifaire qui permettra non seulement de simplifier et accélérer les démarches d'acquisition de terrains, soutient Bernard Sévigny, mais de rendre Sherbrooke beaucoup plus compétitive face aux autres villes pour des projets d'implantation ou de relocalisation. »

Josée Fortin a aussi dévoilé que deux nouveaux fonds d'investissement destinés aux startups innovantes à haut potentiel ont été créés récemment par Sherbrooke Innopole afin de répondre aux besoins spécifiques des jeunes entreprises pendant la période qui précède la commercialisation, où elles ont souvent des dépenses importantes et très peu de revenus.

« Le fonds d'amorçage est plus petit et le fonds de précommercialisation est plus important », indique Mme Fortin, sans préciser de somme.

Quatre dossiers sont déjà à l'étude dans le cadre de ces fonds d'investissement.

Un comité de travail

M. Sévigny a annoncé la mise sur pied d'un comité de travail chargé de trouver le plus rapidement possible des solutions concrètes afin d'atténuer les irritants associés à une certaine lourdeur administrative de l'appareil municipal. Les entrepreneurs y seront représentés, de même que la Direction de la gestion du territoire de la Ville de Sherbrooke, Sherbrooke Innopole, Commerce Sherbrooke et la mairie.

« Tout le processus sera révisé de façon à offrir un guichet unique pour l'entrepreneur et la division des permis devra s'adapter : elle devra analyser plus rapidement des demandes de permis pour des entreprises au lieu que ce soit noyé dans le flot quotidien. C'est la réorientation que l'on donnera au service; il y aura un réaménagement administratif et une relocalisation de ressources pour donner le meilleur service aux entrepreneurs », soutient M. Sévigny qui admet que Sherbrooke a perdu plusieurs entrepreneurs à cause de la lourdeur des démarches administratives.

« On entend souvent ''c'est dur de faire des affaires à Sherbrooke'' et c'est ce que nous voulons changer », souligne le maire.

Le comité de travail doit être formé dans les prochains mois et les services municipaux devront procéder à une réorientation de leurs services dès cet hiver.

Une publication récente de la Fédération canadienne des entreprises indépendantes place Sherbrooke au 47e rang comme ville entrepreneuriale.


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Source
Lapresse.ca/la-Tribune

2015-11-12

Entrepreneuriat Laval, premier en Amérique du Nord

(Québec) La semaine dernière, Entrepreneuriat Laval était couronné premier accélérateur d'entreprises universitaires en Amérique du Nord.

Le 25 novembre, l'organisme sans but lucratif qui a contribué à l'éclosion de 710 entreprises depuis sa création en 1993, dont Communauto, iXmédia, Matelas Dauphins et Yuzu Sushi, pourrait figurer dans le palmarès des 10 premiers accélérateurs d'entreprises universitaires sur la planète.

Et pourquoi pas au premier rang?

«Nous nous croisons les doigts», soupire le pdg d'Entrepreneuriat Laval, Yves Plourde.

C'est en effet le 25 novembre, au Royaume-Uni, qu'UBI Global, un organisme de recherche international basé à Stockholm et spécialisé dans l'analyse comparative d'incubateurs universitaires, rendra public son top 10 mondial des accélérateurs d'entreprises universitaires.

Le 3 novembre dernier, il dévoilait le champion pour l'Amérique du Nord.

Entrepreneuriat Laval a réussi à devancer des institutions prestigieuses telles que Mass Challenge (Boston University), York Entrepreneurship Development Institute (York University, Toronto), Launch Chapel Hill (University of North Carolina) et The Inkubator (Northern Kentucky University).

À partir d'un bassin de plus d'un millier d'incubateurs et d'accélérateurs d'entreprises universitaires participants, UBI Global a passé au crible la performance de plus de 300 d'entre eux. Une cinquantaine d'indicateurs sont utilisés pour les comparer. Des indicateurs qui permettent de mesurer, par exemple, la dynamique au sein de l'organisation, son pouvoir d'attraction et les bénéfices apportés pour la clientèle universitaire.

«Entrepreneuriat Laval s'est particulièrement illustré dans les catégories Valeur pour l'écosystème et Attractivité qui comprennent des indicateurs tels que la rétention des talents dans la région et l'offre de services», explique Yves Plourde en signalant au Soleil qu'Entrepreneuriat Laval avait rendu des services de formation et d'accompagnement à plus de 9500 étudiants depuis 22 ans.

Ça ne fait que quelques années à peine que les accélérateurs et les incubateurs d'entreprises universitaires du monde entier sont évalués et comparés entre eux. «C'est un exercice important et stimulant qui nous permet de nous tenir à jour sur les meilleures pratiques et de nous inscrire dans une démarche d'amélioration continue», souligne M. Plourde.

L'an dernier, à sa première participation à l'exercice d'évaluation d'UBI Global, Entrepreneuriat Laval n'apparaissait pas dans le tableau des meilleurs.

Soixante nouvelles entreprises par année

Sous la gouverne d'Yvon Gasse, professeur à la Faculté des sciences de l'administration, Entrepreneuriat Laval a vu le jour dans la tourmente d'une impitoyable crise économique au début des années 90.

Inquiètes par l'absence de débouchés sur le marché du travail pour les finissants qui se dirigeaient tous, inévitablement, vers le bureau de l'assurance chômage le plus près, les associations étudiantes sont allées frapper à la porte de la direction de l'Université pour réclamer de l'aide.

En période de ralentissement, fonder son entreprise est souvent l'unique porte de sortie pour en arriver à réussir à gagner sa croûte. Ça s'appelle de l'entrepreneuriat de nécessité.

Même si le vent a tourné et que les entreprises de la région recrutent, aujourd'hui, les étudiants avant même qu'ils aient décroché leur diplôme, le désir d'entreprendre sur le campus n'a pas fléchi.

Depuis que les écoles primaires et secondaires et les cégeps proposent l'entrepreneuriat comme choix de carrière aux jeunes et dans la foulée des compétitions qui s'organisent un peu partout - dont le Concours québécois en entrepreneuriat -, Entrepreneuriat Laval parle, de plus en plus, à une clientèle pour qui se lancer en affaires n'est pas un rêve inatteignable.

«Bon an, mal an, nous assistons à la naissance d'une soixantaine de nouvelles entreprises», fait remarquer le pdg d'Entrepreneuriat Laval, Yves Plourde, en précisant que la création d'entreprises n'était pas l'apanage des étudiants ou des diplômés de la faculté des sciences de l'administration ou de celle des sciences et du génie, mais aussi de ceux qui proviennent des facultés de lettres et de médecine.

Plusieurs programmes

L'Université Laval propose déjà aux étudiants de plusieurs programmes de baccalauréat un Profil entrepreneurial leur permettant d'acquérir les compétences nécessaires pour fonder et gérer une entreprise.

En parallèle, Entrepreneuriat Laval se présente plutôt comme un stimulateur d'idées fraîches et innovatrices qui conduiront potentiellement au démarrage de nouvelles entreprises et un accompagnateur dans le développement des compétences entrepreneuriales des membres de la communauté universitaire.

Il le fait, notamment, en offrant des ateliers animés bénévolement par des experts du monde des affaires auxquels participent, chaque année, plus de 600 étudiants et diplômés et du mentorat à ceux et celles qui décident de se lancer en affaires.


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Lapresse.ca

2015-11-12

La technologie pousse les assureurs à évoluer

(Québec) L'évolution technologique force les compagnies d'assurance et de services financiers à revoir leur modèle d'affaires, à repenser leur approche de la clientèle en fonction des appareils mobiles, des nouveaux outils technologiques pour répondre aux besoins exprimés. Elles doivent se réinventer.

Pour cela, les assureurs auront besoin de gens du secteur des technologies de l'information (TI) pour les accompagner non seulement dans la conception des nouveaux outils, mais surtout pour être créatifs et faire progresser la réflexion menant à la mise en place de nouvelles approches. Le modèle traditionnel ne peut être reproduit tel quel dans le monde numérique en constante évolution.

C'est le message qu'a lancé René Hamel, président du Centre de développement en assurances et services financiers (CDASF) lors de sa conférence mardi midi devant un parterre de 1700 personnes du monde des technologies réunies pour la Journée de l'informatique du Québec, au Centre des congrès. Le monde des assurances doit changer et s'adapter, constate-t-il.

Les compagnies d'assurances et de services financiers, dont les 10 ayant leur siège social à Québec et à Lévis, auront besoin de nouveaux employés en TI, notamment des «jeunes qui n'ont pas connu le modèle traditionnel, qui n'ont pas de préjugés» et qui pourront explorer de nouvelles voies pour préciser et faire évoluer le nouveau modèle d'affaires.

«Avec les réseaux sociaux, les objets connectés, les véhicules autonomes, la clientèle et les besoins se transforment», exprime le président-directeur général sortant de SSQ Groupe financier. «Nous ne nous adresserons plus à un groupe d'employés dans une entreprise pour les assurances collectives ou les services financiers, mais probablement à des groupes d'intérêts, à des collectifs très différents de ce que l'on connaît actuellement», soutient M. Hamel.

Puisque la masse des données (Big Data) continue de croître, il faudra des spécialistes de l'analyse, car les responsables des TI ne seront plus que de simples exécutants pour créer un logiciel, mais des partenaires dans la recherche de solutions créatives.

Quant aux objets connectés, M. Hamel estime qu'il faudra envisager de s'en servir pour éduquer le consommateur dans ses comportements, non seulement pour ajuster les primes. Comment cela sera-t-il possible? Ce sera le grand défi du duo de l'assurance et des technologies dont l'avenir est très prometteur, prédit-il.

Des postes à pourvoir

En matinée, le président du Conseil du trésor, Martin Coiteux, a affirmé que le gouvernement devrait retrouver son expertise dans les technologies, avec des experts capables d'évaluer et soupeser les projets à venir. C'est un peu ce qu'a fait le ministère des Transports en embauchant des ingénieurs pour ses grands travaux.

Il a rappelé que 500 postes étaient ouverts au gouvernement du Québec pour combler les besoins en TI.

D'ailleurs, selon TECHNOCompétences et le Réseau Action TI, il y aura quelque 7000 postes à pourvoir en TI dans tous les domaines dans les cinq prochaines années pour remplacer les gens qui partent à la retraite et pourvoir les nouveaux postes.


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Lapresse.ca

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