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Nouvelles

2015-09-17

Investissement de 11 millions dans Rudsak et Souris Mini

À l'heure où plusieurs détaillants québécois souffrent, ferment des magasins ou déclarent faillite, le Fonds de solidarité FTQ annonce un prêt de 5 millions de dollars à Rudsak et de 6 millions à Souris Mini. Ces prêts non garantis de cinq ans motiveront la croissance des deux enseignes qui viennent d'ouvrir de nouveaux concepts de magasins au Carrefour Laval, où l'annonce des investissements a été faite, hier.


«Plus de la moitié du prêt va être dirigé vers notre nouveau site internet transactionnel sur lequel nous avons travaillé pendant huit mois et qui entrera en fonction le 15 novembre, détaille Annie Bellavance, cofondatrice de Souris Mini. Grâce au Fonds, également, Souris Mini poursuivra sa croissance au Canada, par l'ajout d'autres boutiques.»


«Ce prêt nous servira notamment à mettre de l'avant notre nouveau concept de magasins et à embaucher des gens avec une grande expertise», dit pour sa part Evik Asatoorian, fondateur et président de Rudsak.


Créée il y a 21 ans, Rudsak compte 30 magasins et emploie plus de 600 personnes. Souris Mini, qui souffle 25 bougies cette année, compte 350 employés. «D'ici trois ans, je veux en embaucher 60 autres», vise Annie Bellavance.


«Nous sommes convaincus que Rudsak et Souris Mini augmenteront leur chiffre d'affaires, ajoute Léopold Turgeon, président du Conseil québécois du commerce de détail. L'innovation est au coeur de toutes leurs activités. Elles misent sur la qualité du produit, ont une vision de croissance soutenue et font des efforts sur le plan numérique.»


Les détaillants québécois ciblés


Le Fonds cible par ses investissements les détaillants québécois depuis 1996. Le premier élu a été Renaud-Bray. «C'était tout nouveau pour nous, à l'époque, alors que nous connaissions davantage le secteur manufacturier», raconte Normand Chouinard, premier vice-président, investissements, du Fonds de solidarité FTQ.


Depuis, le Fonds a investi plus de 300 millions de dollars dans le commerce de détail pour soutenir 17 entreprises, telles Sail, La Vie en Rose, New Look, Lolë, Linen Chest et Germain Larivière. «Et le rendement a toujours été positif, jure Normand Chouinard, qui garde toutefois secret le niveau des rendements. Les entreprises que nous appuyons ont des points communs. Leur siège social est au Québec, elles génèrent des retombées économiques importantes jusque chez les fournisseurs, les travailleurs de la construction et les agences de marketing. Leur modèle d'affaires est exportable, ce qui est très important pour nous. Elles ont su bien tirer leur épingle du jeu en s'adaptant aux attentes des consommateurs.


«D'ailleurs, de plus en plus de détaillants se manifestent à nous, ajoute Normand Chouinard. Car on est parmi les seuls à investir dans le commerce de détail, un secteur qu'on suit à temps plein.»


Le Conseil québécois du commerce de détail espère que d'autres emboîteront le pas pour appuyer les détaillants d'ici. «Après tout, c'est une industrie qui a connu une croissance de 4000 emplois cette année, indique Léopold Turgeon. C'est aussi un dollar sur trois qui entre dans l'économie, mais ça passe encore trop souvent sous le radar.»


Design revu


Le design des magasins Rudsak a été revu, comme en témoigne la boutique du Carrefour Laval, qui s'étend sur 2700 pieds carrés. «C'est d'ailleurs notre plus grand magasin, dit le président Evik Asatoorian. Le miroir vieilli au fond du magasin s'accorde avec l'allure cool et rebelle de la marque.»


«Dans le nouveau concept Rudsak, les sections de vêtements, manteaux, chaussures et accessoires sont bien définies», explique le président Evik Asatoorian.


Chaque nouveau magasin Souris Mini nécessite un investissement de 250 000$ à 300 000$. «Mais ce fut encore plus pour notre tout nouveau magasin de Cap-Rouge, près de notre siège social et qui fait 4200 pieds carrés», dévoile la cofondatrice Annie Bellavance.


Les nouveaux magasins Souris Mini invitent les très jeunes clients et leurs parents dans «un monde imaginaire, décrit la cofondatrice Annie Bellavance. On y trouve des lampes surdimensionnées, des maisons en bois, des décors retravaillés comme par des enfants. Et tout le design est conçu à l'interne».


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Lapresse.ca

2015-09-11

Le Groupe Huot investit 5 M$ à Lévis pour sa filiale Transrapide

(Québec) Il y a cinq ans, l'entrepreneur Stéphan Huot se lançait dans une nouvelle aventure : le transport routier.

Au Soleil, il parle d'un «accident de parcours» en avouant qu'une compagnie de transport, «il n'avait pas besoin de ça dans la vie».

D'autant plus, ajoute-t-il, qu'il ne s'agit pas d'un domaine de tout repos et que la compétition entre les compagnies de transport est féroce.

«C'est simple, j'aime lancer des entreprises. Avec Transrapide, ce fut un peu boiteux au départ. Je suis orgueilleux. Je veux que mes entreprises fonctionnent. Je me suis associé avec Guy Montminy, un gars qui connaît ça, les camions et le transport routier. Nous avons été persévérants et nous avons réussi à monter une business intéressante.»

Le temps a donné raison à Stéphan Huot, dont l'empire - le Groupe Huot - est constitué d'une vingtaine d'entités commerciales oeuvrant dans des domaines aussi diversifiés que l'immobilier, la construction, l'aéronautique (Air Médic, Capitale Hélicoptère, GoHelico, etc.), le tourisme et l'événementiel (Complexe Capitale Hélicoptère qui peut accueillir 1200 personnes) et le transport routier. À Québec, le Groupe Huot a construit, ces dernières années, plus de 1500 unités d'habitation. L'entreprise est aussi propriétaire de terrains pouvant recevoir 5000 autres unités d'habitation.

«Transrapide a réussi à tripler son chiffre d'affaires. Nous sommes maintenant présents un peu partout aux États-Unis. À notre flotte d'une trentaine de camions, nous en ajouterons une vingtaine d'autres d'ici la fin de l'année 2016. Une flotte complète de camions tout neufs», insiste l'homme d'affaires.

Expansion

Mercredi, la filiale du Groupe Huot annonçait la poursuite de son expansion en procédant à la première pelletée de terre de la construction d'un bâtiment industriel et commercial de 35 000 pieds carrés sur le chemin des Îles à Lévis, en bordure de l'autoroute 20.

Il s'agit d'un investissement de 5 millions $ qui permettra la création d'une trentaine de nouveaux emplois de chauffeurs, de mécaniciens et de répartiteurs, principalement. D'un seul coup, Transrapide, qui occupera le tiers de la superficie de l'immeuble, doublera ses effectifs.

Signe de la parfaite synergie au sein du Groupe Huot, c'est l'une de ses divisions, Millénum Construction, qui réalisera les travaux.

Le Complexe Transrapide sera livré à la mi-décembre et comprendra des quais de chargement, 150 espaces de stationnement pour semi-remorques, un garage de maintenance et des bureaux administratifs.

Celui qui fut jadis «le meilleur vendeur de maisons du Québec», comme l'écrivait Le Soleil en juillet 2006, et qui deviendra, plus tard, l'un des promoteurs immobiliers les plus en vue dans la capitale tellement il possédait - et possède encore - de terrains et d'immeubles éprouve toujours une grande satisfaction à voir pousser ses entreprises. Et surtout à regarder évoluer ses gestionnaires et ses employés - ils sont 450 - et à les voir prendre des risques en vue de l'atteinte des plus grands succès d'affaires.

«Il arrive, parfois, que l'on doive manger nos bas pendant un certain temps, puis, un jour, à force de persévérance, nos entreprises se transforment en réussite», conclut Stéphan Huot.


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Lapresse.ca

2015-09-11

Québec ouvre la voie à l'expansion d'Alouette

(Sept-Îles) L'encre n'est pas encore sèche sur l'entente d'une nouvelle tarification électrique qu'Aluminerie Alouette se tourne vers l'avenir et lance les études de préfaisabilité de sa troisième phase d'expansion, un projet de 2 milliards $.

Québec et le principal employeur de Sept-Îles ont annoncé jeudi en être venus à un accord, après des mois de négociations, pour l'octroi d'un tarif d'électricité plus compétitif. «On était à la croisée des chemins. Maintenant, ça nous permet d'envisager le futur de l'entreprise», s'est réjoui le président et chef de la direction, Claude Boulanger.

Et l'horizon laisse déjà entrevoir la réalisation possible de la phase 3, si les conditions du marché mondial se redressent. «Cette fameuse phase 3 qu'on attend tous», a souhaité tout haut le premier ministre Philippe Couillard, à Sept-Îles pour l'annonce. «Ce sera la décision de l'entreprise [...] Mais, on sera là, si vous décidez de faire le pas en avant.»

Le projet, qui prévoit l'aménagement d'une troisième salle de cuves, pourrait s'amorcer «dans une fenêtre d'opportunité» située entre décembre 2017 et 2019, a assuré M. Boulanger. Alouette bénéficie d'ailleurs, depuis octobre 2011, d'un bloc d'énergie de 500 mégawatts, octroyé par Québec, expressément pour le démarrage de l'expansion.

Une entente «équitable»

Si la nouvelle entente ouvre la voie à une éventuelle phase 3, elle assure également la pérennité des installations de Pointe-Noire et consolide quelque 1000 emplois à Sept-Îles. «C'est une révision équitable, qui aura une portée économique majeure», a fait valoir le ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles, Pierre Arcand.

Bien que confidentiel, l'accord prévoit une formule de tarification à «partage de risques» qui évoluera selon le prix mondial de l'aluminium. Le nouveau tarif entrera en vigueur à la fin des contrats actuels, en janvier 2017, et s'échelonnera jusqu'en décembre 2029. L'entente s'accompagne d'un bloc de 70 mégawatts additionnels.

Investissements de 400 M$

Alouette s'engage en contrepartie à poursuivre des investissements de 400 millions $ d'ici 2020 dans son développement technologique. L'aluminerie doit aussi maintenir ses efforts pour favoriser l'implantation d'un terminal régional pour la réception et la distribution de gaz naturel liquéfié sur la Côte-Nord à partir de ses installations.

«Nous sommes convaincus que le développement de la région passe par la disponibilité de ce type d'énergie», a martelé Claude Boulanger, qui envisage, «s'il est commercialement viable», d'alimenter des fours à cuisson d'anodes par le gaz naturel d'ici cinq ans, ce qui apporterait «des gains environnementaux substantiels».
En mai, la haute direction de l'aluminerie durcissait le ton dans sa négociation avec Québec, sommant l'État de rétablir le «déséquilibre» provoqué par les ententes conclues avec ses concurrents, comme Alcoa en février 2014. «Ce qui est offert à Alouette est équitable par rapport à ce qui a été offert aux autres», a réagi jeudi le premier ministre.

«Mais, ce n'est pas rigoureusement identique parce qu'il n'y a pas une usine comme les autres», a-t-il poursuivi. Alouette affirmait être l'aluminerie qui payait son électricité la plus chère au Québec, avec un coût d'énergie par tonne produite de 463 $, alors qu'il en coûte, par exemple, 352 $ à Deschambault, selon l'entreprise.

Le gouvernement mise sur l'aluminium

Le gouvernement libéral a bien l'intention de faire de l'aluminium l'un des fers de lance de l'économie du Québec. L'annonce d'une nouvelle entente tarifaire avec Aluminerie Alouette tombe à point avec le lancement récent de la Stratégie québécoise de développement de l'aluminium.

«Il y en a qui ont du pétrole et nous on a ça», a martelé le premier ministre Philippe Couillard, en brandissant un petit lingot de métal gris. «Ça, c'est l'hydroélectricité qu'on exploite dans une forme solide. Ça, c'est l'avenir du Québec. Je suis bien content de compter sur cet avenir-là plutôt que le pétrole», a-t-il rajouté. Québec mire notamment la création d'un «environnement favorable» à la transformation de l'aluminium pour favoriser la croissance de cette filière industrielle. «Ce n'est pas vrai qu'on va produire de l'aluminium pour être transformé ailleurs et être revendu ici. On est capable de faire ça», a assuré pour sa part le ministre de l'Économie, Jacques Daoust.

Pour appuyer la stratégie de Québec, Alouette s'est d'ailleurs engagée à rendre disponible annuellement 50 000 tonnes de métal gris primaire à prix compétitifs pour répondre aux besoins des transformateurs québécois, en priorisant ceux de la Côte-Nord.


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Source
Lapresse.ca

2015-09-04

Hausse de la TVQ ? Les commerçants refusent net

Au premier jour des consultations parlementaires sur le rapport de la Commission d'examen sur la fiscalité québécoise ou Commission Godbout, à l’Assemblée nationale, le Conseil québécois du commerce de détail (CQCD) et son pendant canadien s’opposent à une troisième hausse de la TVQ en cinq ans.

Moins d’impôts, plus de taxes : le gouvernement Couillard a déclaré jeudi qu’il fait sienne l’une des principales recommandations du rapport de la Commission d'examen sur la fiscalité québécoise, ou Commission Godbout. Ce groupe d’experts avait proposé, dans son rapport déposé en mars dernier, que la taxe de vente du Québec (TVQ) grimpe à 11 %, ce qui porterait les taxes de vente à 16 %.

Précisément, la Commission a recommandé que la TVQ soit revue à la hausse, de 9,975 % à 11 %. On se rappellera que la TVQ s’ajoute à la taxe sur les produits et services (TPS) fédérale, de 5 %. Combinées, les deux taxes passeraient donc de 14,975 % à 16 %.

En contrepartie, la Commission a suggéré de diminuer l’impôt des particuliers de 4,4 milliards $, l’impôt des entreprises de 1,1 milliard $ et les taxes sur la masse salariale de 430 millions $.

Le président du CQCD, Léopold Turgeon, estime que la réforme proposée par la Commission Godbout « ne tient pas suffisamment compte de l’environnement concurrentiel des détaillants ».

«On est près des États-Unis où les taux de taxation varient de zéro à 6%. (La Commission Godbout) ne semble pas en avoir tenu compte», déplore-t-il.

Selon M. Turgeon, une hausse de la taxe affecterait négativement le commerce de détail au Québec, alors que le consommateur ira faire ses achats là où ça lui coûte le moins cher.

«Et Si c’est en Ontario ou aux États-Unis, c’est là où il va aller acheter ses produits», soutient-il.

Le Conseil canadien du commerce de détail souligne pour sa part que le secteur est déjà éprouvé par une « forte concurrence du commerce électronique » et « la dépréciation de la valeur du dollar canadien ».

Les taxes de vente ne sont pas perçues par les entreprises étrangères qui font du commerce en ligne au Québec. Une hausse de la TVQ pourrait pousser les consommateurs « à acheter ces mêmes produits dans les autres provinces canadiennes, voire à l'étranger ou en ligne », redoute le Conseil.

La Fédération canadienne de l'entreprise indépendante se méfie également d’une hausse de la TVQ. « En matière de taxes de vente, le Québec présente déjà un désavantage fiscal d'environ 2 % par rapport à ses voisins canadiens et de 6,5 à 15 % avec les États-Unis », souligne l’organisation dans un communiqué.

En 1998, la TVQ était de 7,5 %. Elle est passée à 8,5 % en 2001, à 9,5 % en 2012 et à 9,975 % en 2013.

Grosses dépenses, grosses taxes

Du côté des consommateurs, quel serait l’impact de taxes de vente à 16 % ?

Pour les petits achats, la hausse sera minime, mais pour une facture de 10 000 $, on parle de plus d’une centaine de dollars, si le gouvernement va de l’avant avec une réforme de la fiscalité calquée sur le rapport Godbout.


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Source
Argent.canoe.ca

2015-09-04

Quatre entreprises investissent 1,6M$ à Trois-Rivières

Quatre entreprises de Trois-Rivières vont bénéficier d’aides financières du gouvernement du Québec dans le cadre de projets d’investissements qui s’élèvent à 1,6 million $.

À elle seule, la société Hardy Filtration prévoit investir 994 000 $ dans l’achat d’équipements semi-automatisés qui permettront d’ajouter une deuxième chaîne de fabrication de filtres à air à son usine. L’entreprise, qui obtient une contribution gouvernementale de 324 250 $, entend aussi réaliser des activités de commercialisation de ses produits aux États-Unis et au Moyen-Orient.

Une entreprise du secteur des biotechnologies, Les Biotechnologies Ulysse, entend consacrer 297 000 $ dans la finalisation et la commercialisation de deux produits. Québec contribuera 90 400 $ au projet de cette compagnie spécialisée dans la production de bioproduits obtenus par la fermentation de différents microorganismes.

Le fabricant d’équipements lourds et de pièces de grande dimension FAB 3R a des visées exportatrices. Son projet d’un montant de 180 000 $ lui permettra d’élaborer une stratégie commerciale visant à favoriser sa diversification et son expansion sur les marchés hors Québec. La contribution gouvernementale s’élève à 90 000 $.

Enfin, une jeune entreprise en technologies de l’information, Automantra, obtiendra 71 250 $ du gouvernement pour faire migrer vers une application  mobile un système de gestion qui permet aux concessionnaires automobiles de fidéliser leur clientèle. Le projet de 142 500 $ vise aussi l’intégration d’autres fonctionnalités à l’application, liées à l’entretien et à l’historique du véhicule. Automantra a aussi comme objectif d’élaborer une stratégie commerciale visant les marchés canadien et américain.

Les contributions gouvernementales proviennent du Fonds de diversification économique du Centre du Québec et de la Mauricie.

Pour l’ensemble des projets, 21 emplois seront créés, a souligné le ministre délégué aux PME, à l'Allègement réglementaire et au Développement économique régional, Jean Denis Girard


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Source
Argent.canoe.ca

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