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Nouvelles

2015-04-17

Année internationale de la lumière: Québec sous les projecteurs

(Québec) Les Nations Unies ont proclamé 2015 comme étant l'Année internationale de la lumière et des technologies fondées sur la lumière. Celles-ci incluent notamment l'optique, dont les multiples applications sont parfois insoupçonnées... Le Soleil met aujourd'hui en lumière l'importance de ces technologies dans notre vie quotidienne et dans le développement de notre société.

«L'optique-photonique est à Québec ce que l'aéronautique est à Montréal, c'est une marque de commerce scientifique qui est propre à la région.»


Ces mots sont ceux du président-directeur général de l'Institut national d'optique, Jean-Yves Roy, qui souligne à quel point Québec est devenu, depuis plus de 25 ans déjà, un précurseur dans le développement des technologies fondées sur la lumière.


«La lumière en général est utilisée pour toutes sortes d'applications, on ne voit pas la fin de ça!» indique M. Roy, fier du rayonnement de l'INO non seulement au pays, mais à travers le monde.


L'expertise de l'Institut l'a notamment amené à travailler sur un projet avec l'Agence spatiale argentine, de concert avec l'Agence spatiale canadienne. «L'Argentine a mis en orbite un capteur thermique qui est toujours en révolution autour de la Terre, depuis trois ans. [Le pays] voulait détecter à l'avance les feux de forêt ou d'éventuelles explosions de volcans sur le point d'entrer en éruption. La NASA [Agence spatiale américaine] s'en sert aussi pour regarder les changements de température des océans, puisque ça a un impact sur la migration des poissons», explique M. Roy, signalant un bel exemple de collaboration entre pays.


Parmi les nombreux domaines d'application de l'optique-photonique, tout ce qui touche à la sécurité environnementale est promu à un bel avenir. L'INO travaille d'ailleurs avec TransCanada afin de développer des capteurs qui seraient installés sur des nouveaux pipelines, par exemple le futur oléoduc Énergie Est. «On a des défis technologiques pour prévenir la dégradation du pipeline avant que ça arrive... Détecter si les soudures ont été bien faites, s'assurer que tout est parfait au moment où on le reçoit [le nouveau pipeline], et intégrer les capteurs à l'intérieur pour permettre d'assurer une grande protection de ce mode de transport-là», explique le pdg de l'INO.


Une autre tendance «très lourde» actuellement concerne le rapatriement du secteur manufacturier dans les pays industrialisés, tendance qui «va arriver au Canada». «Nous, on a déjà commencé. On a beaucoup de clients en fabrication avancée qui n'avaient aucune idée que l'optique-photonique pouvait leur être utile [...] La compétitivité des entreprises manufacturières va passer par l'innovation, hors de tout doute, donc les interventions qu'on peut faire sont cruciales pour permettre de rattraper le retard de productivité que le Québec a par rapport aux autres pays industrialisés», indique M. Roy.


Activités à venir


L'Institut national d'optique, dont la mission est de développer des technologies et de les mettre au service des entreprises - il a contribué à créer 29 sociétés - entend souligner l'Année internationale de la lumière en «travaillant avec l'Université Laval et Québec International pour faire des activités où la région de Québec va être mise en lumière», signale Jean-Yves Roy.


Le directeur du Centre d'optique, photonique et laser de l'Université Laval, Réal Vallée, précise davantage : «le gros des activités aura lieu à l'automne. On voudrait faire une semaine en lien avec l'optique, en faisant des démonstrations au Musée de la civilisation ou dans un centre d'achats, dans le but de démocratiser» ce savoir. Aussi, de concert avec Québec International, une sorte de speed dating sera organisé en octobre entre les gens qui développent des «solutions optiques» et d'autres à qui celles-ci peuvent être utiles, ajoute M. Vallée.


Secteur «porteur» pour l'économie de la région


Avec plus de 40 entreprises qui oeuvrent dans le domaine de l'optique-photonique, ce secteur d'activités est «porteur et reconnu» pour l'économie de la région de Québec, indique le pdg de Québec International (QI), Carl Viel.


L'optique-photonique génère quelque 3000 emplois directs, et 4500 si l'on tient compte des emplois indirects, selon les statistiques de QI. «Près de 60 % de l'industrie est concentrée dans un rayon de 10 kilomètres à Québec, et génère un chiffre d'affaires de plus de 400 millions $, dont plus de 85 % à l'international ou à l'exportation», ajoute M. Viel.


Avec 22 centres de recherche ou consortiums de recherche, la région regroupe un millier de chercheurs en optique-photonique. L'un des mandats de QI dans ce créneau consiste à déterminer les priorités des entreprises afin de créer des consortiums de recherche qui pourront les aider dans leur développement. L'organisme met aussi sur pied des «cercles de vente et marketing pour se stimuler sur de nouveaux processus de lancement de produits» conçus grâce à l'optique-photonique, explique M. Viel.


Une «masse critique» de chercheurs


Avec plus de 40 entreprises qui oeuvrent dans le domaine de l'optique-photonique, ce secteur d'activités est «porteur et reconnu» pour l'économie de la région de Québec, indique le pdg de Québec International (QI), Carl Viel.


L'optique-photonique génère quelque 3000 emplois directs, et 4500 si l'on tient compte des emplois indirects, selon les statistiques de QI. «Près de 60 % de l'industrie est concentrée dans un rayon de 10 kilomètres à Québec, et génère un chiffre d'affaires de plus de 400 millions $, dont plus de 85 % à l'international ou à l'exportation», ajoute M. Viel.


Avec 22 centres de recherche ou consortiums de recherche, la région regroupe un millier de chercheurs en optique-photonique. L'un des mandats de QI dans ce créneau consiste à déterminer les priorités des entreprises afin de créer des consortiums de recherche qui pourront les aider dans leur développement. L'organisme met aussi sur pied des «cercles de vente et marketing pour se stimuler sur de nouveaux processus de lancement de produits» conçus grâce à l'optique-photonique, explique M. Viel.


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Source
Lapresse.ca

2015-04-10

Serres Sagami achète les tomates Savoura

(Saint-Étienne-des-Grès) L'entreprise Serres Sagami a été retenue pour se porter acquéreur des actifs de Savoura qui possède, entre autres, des installations dans la municipalité de Saint-Étienne-des-Grès. Le jugement entérinant la transaction a été rendu et cette vente devrait se concrétiser au cours des prochains jours.


Le responsable des communications de Serres Sagami, Maxime Couture, assure que toutes les activités développées par Savoura demeureront et qu'aucun employé ne sera licencié.


Qui plus est, l'entente entre Savoura et la Régie de gestion des matières résiduelles de la Mauricie (RGMRM), principale fournisseuse de biomasse, sera maintenue, même si certains détails restent encore à peaufiner.


«Tous les employés conservent leur poste, les activités continuent normalement, tout reste comme c'était, tout continue à aller de l'avant. L'entente avec la RGMRM demeure comme elle était», signale M. Couture.


Le président de Serres Sagami, Stéphane Roy, ajoute qu'une production de concombres anglais de marque Savoura, destinée aux chaînes d'alimentation et aux distributeurs, s'ajoutera prochainement à la production de tomates.


Avec cette acquisition, la cinquième depuis 2000, Serres Sagami se propulse au rang du plus important producteur serricole du Québec et un des plus importants au Canada. Depuis près de 15 ans, Serres Sagami, dont le siège social est situé à Sainte-Sophie, commercialise différentes variétés de tomates pour le marché québécois, canadien et nord-américain.


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Lapresse.ca

2015-04-10

Ciment McInnis: près de 900 000 $ sur trois ans pour maximiser les retombées

(Québec) La MRC du Rocher-Percé pourra compter sur une somme de 870 200 $ au cours des trois prochaines années afin de maximiser les retombées du projet de Ciment McInnis, entreprise construisant présentement une cimenterie de plus de 1 milliard $ à Port-Daniel-Gascons.


Les fonds viennent principalement de Développement économique Canada, qui y injecte près de 700 000 $, et du Fonds d'aide aux initiatives régionales, du gouvernement du Québec, qui y consacre 75 000 $. La MRC du Rocher-Percé complète le solde du montage financier.


La préfète Diane Lebouthillier précise que cette enveloppe ne constitue pas un autre appui de fonds publics à Ciment McInnis. L'entreprise a bénéficié d'un prêt de 250 millions $ d'Investissement Québec, organisme qui participe aussi pour 100 millions $ dans l'équité du projet.


«Les fonds ne vont pas à Ciment McInnis [...] Nous sommes allés chercher de l'argent du fédéral, qui n'avait pas contribué jusqu'ici à ce qui touche la cimenterie [...] Nous viendrons en support aux entreprises du milieu, par exemple si elles veulent prendre de l'expansion, si un dirigeant veut prendre sa retraite et faciliter la transition à la relève», aborde Mme Lebouthillier.


Il y a plus. «Nous aurons des besoins en planification, en urbanisme, pour les schémas d'aménagement. Avant, comme pour l'usine Gaspésia, ça arrivait [une industrie] et ça se bâtissait autour. Ce n'est plus comme ça. De plus, ce n'est pas une ressource renouvelable [le calcaire exploité par Ciment McInnis]. Nous ne voulons pas vivre le sort des villes mono-industrielles», ajoute Mme Lebouthillier.


L'établissement d'autres entreprises pour diversifier l'économie de Port-Daniel-Gascons et la possibilité d'utiliser la chaleur résiduelle de la cimenterie à des fins de développement feront notamment partie des mandats de l'agent de maximisation Jean-Philippe Chartrand, dit-elle.


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Source
Lapresse.ca

2015-04-02

Du carburant pour les technos financières

Dans le marché de l'informatique, les grandes banques et les autres entreprises de services financiers sont depuis longtemps parmi les plus grands clients des fournisseurs de services et d'équipements de pointe.


Mais avec le déferlement des technologies numériques sur un mode portable et personnalisé, ces institutions financières sont confrontées à une véritable révolution des moyens pour rejoindre leurs clients, actuels ou potentiels.


La façon dont elles s'ajustent à cette révolution technologique influe également de plus en plus sur leur compétitivité et leur rendement, dans un marché des services financiers plus mouvant que jamais.


«Le modèle d'affaires des institutions financières est en train de changer avec ces nouvelles technologies. Pour s'y adapter, aussi, les principales villes financières du monde se dotent d'incubateurs de PME technologiques appliquées aux services financiers. Pourquoi pas à Montréal, déjà parmi le top 20 des centres financiers du monde? Et qui possède un important et dynamique secteur des technologies numériques?», explique Éric Lemieux, président et cofondateur de M2S Capital.


Fonds de 150 millions


Cette nouvelle société veut constituer un fonds de capital de risque de 150 millions pour appuyer des PME et des partenariats technologiques qui ciblent les besoins du secteur des services financiers.


Éric Lemieux est bien connu dans ce secteur à titre d'ex-directeur général du regroupement Finance Montréal - un mandat de deux ans terminé le 31 mars - et du Centre financier international (CFI) de Montréal. Et auparavant, il a été vice-président chez Desjardins dans différents secteurs d'activité: commerce électronique (Accès D), produits en gestion d'avoirs des membres-clients, filiales d'assurances.


À la direction de Finance Montréal, l'un des principaux «chantiers» qu'a supervisés Éric Lemieux concernait justement les technologies financières, rebaptisées «fintech» dans le jargon du milieu.


C'est donc au fil de ses échanges et, en particulier, des deux conférences «Fintech» tenues avec succès à Montréal depuis 2013 qu'a émergé un projet de fonds destiné aux entreprises technologiques qui élaborent des projets pour le secteur des services financiers.


Avec M2S Capital, Éric Lemieux veut constituer un fonds de capital de risque provenant d'institutions financières d'envergure au Québec qui souhaitent se rapprocher de développeurs de nouvelles technologies dans le but, notamment, d'y trouver des innovations pouvant rehausser leur compétitivité et leur rendement d'affaires.


Éric Lemieux entend aussi solliciter des firmes d'envergure dans le secteur des technologies numériques qui, pour leur part, souhaiteraient participer à ce prochain «écosystème» entre des entreprises technologiques et des institutions financières.


Dans son plan d'établissement de M2S Capital, Éric Lemieux prévoit réaliser le premier assemblage de capitaux pour l'automne prochain. Pour ensuite être en mesure de réaliser, au début de 2016, les premiers investissements ou financements de projets en technologies financières à Montréal.


À terme, le portefeuille de M2S Capital devrait se constituer de «15 à 20 entreprises ou projets technologiques en phase de développement», indique M. Lemieux.


Quant aux entreprises en démarrage, ou «start-up», comme on dit dans le milieu du capital de risque, M2S Capital prévoit aussi s'y intéresser, mais pas en priorité.


«Nous aurons sans doute quelques start-up en portefeuille, mais ce n'est pas notre secteur cible, parce qu'il y a déjà beaucoup d'intervenants à ce niveau, précise Éric Lemieux.


«Ce qui manque encore dans le secteur financier à Montréal, c'est un fonds dédié au développement de projets et de partenariats entre des entreprises technologiques et des institutions financières à la recherche d'innovations.


«C'est ce qui se fait déjà dans des centres financiers comme Londres et New York, avec des institutions financières d'envergure comme Barclays et Wells Fargo. Ça se prépare aussi à Toronto, souligne Éric Lemieux.


«Avec M2S Capital, nous voulons que ça se passe aussi à Montréal, dans le but de contribuer à la compétitivité de son secteur des services financiers.»


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Lapresse.ca

2015-04-02

Nouveau propriétaire pour Averna

L'entreprise montréalaise Averna et ses 300 employés accueilleront officiellement ce matin un nouvel actionnaire majoritaire, a appris La Presse: le fonds d'investissement canadien Tandem Expansion, cofondé par Charles Sirois.


L'investissement de Tandem, non chiffré, lui permet de rejoindre la Caisse de dépôt et placement, déjà impliquée depuis quelques années, et la direction au sein de l'actionnariat de l'entreprise.


Redressement


Après des années difficiles qui ont notamment mené la direction de l'époque vers la porte, en 2012, Averna s'est redressée, notamment en se concentrant sur ses activités de tests.


L'entreprise basée dans le Vieux-Montréal offre aujourd'hui des solutions de tests pour des fabricants d'équipements électroniques dans les secteurs du mobile, de l'automobile, du militaire, de l'aérospatiale, des équipements médicaux et des télécommunications. Elle compte des sièges régionaux à Atlanta et Yokohama (Japon), ainsi qu'une usine à Guadalajara (Mexique).


«L'investissement nous permettra de développer notre plan de croissance de trois ans», a indiqué le vice-président aux ventes, François Rainville.


Expansion en Californie


De façon plus précise, l'entreprise compte étendre sa portée géographique, par croissance organique ou par des acquisitions ciblées. Elle en a d'ailleurs déjà donné un exemple l'automne dernier en se portant acquéreur de Cal-Bay Systems, une entreprise de 25 employés située en Californie.


«C'est un marché qui, pour l'instant, est très localisé, explique M. Rainville. Nous nous adressons à de grandes entreprises multinationales comme Apple, Microsoft, Samsung, Ford, Cisco ou Intel, mais sur une base locale. Nos clients ont besoin d'un joueur mondial pour les solutions de tests, et c'est ce que nous voulons devenir. L'acquisition de Cal-Bay nous a rapidement donné accès à une nouvelle clientèle et nous a permis d'aller chercher des contrats beaucoup plus gros.»


Comme les phases de tests peuvent durer plusieurs mois et sont imbriquées dans le développement des produits des clients, ceux-ci tiennent à pouvoir entretenir un lien avec une équipe présente sur place, explique M. Rainville, même si certaines tâches peuvent ensuite être centralisées.


Tandem Expansion est déjà actionnaire d'autres grands noms du secteur technologique québécois, notamment Acquisio et Beyond The Rack.


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Source
Lapresse.ca

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