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Nouvelles

2015-03-13

Feu vert à Mine Arnaud

(Québec) En dépit de la controverse qui a déchiré la population de Sept-Îles, Québec a signé le décret qui donne le feu vert à la réalisation de la mine Arnaud. L'annonce pour le projet de plus de 800 millions $ sera effectuée, lundi, sur la Côte-Nord.


Selon nos informations, un soin particulier sera apporté pour mettre en évidence les conditions portant sur l'acceptabilité par les citoyens et la protection de l'environnement, conditions posées par Québec aux promoteurs.


Le projet a fait les manchettes. Des citoyens ont organisé des marches et signé des pétitions pour le bloquer. La contestation a eu des échos sur la scène nationale et mobilisé nombre de militants.


Par contre, des appuis se sont aussi manifestés en faveur des installations minières - et des emplois espérés. Un sondage, commandité par un des partenaires, Investissement Québec, a avancé que 65 % des citoyens endossaient l'idée.


Le Bureau des audiences publiques sur l'environnement (BAPE) s'est penché sur le dossier du gisement d'apatite, situé dans les limites de la municipalité. Fin 2013, son rapport mentionnait justement que le projet se heurtait à l'acceptabilité sociale et que l'étude des impacts environnementaux était incomplète, ajoutant que sa rentabilité apparaissait incertaine.


Exigences additionnelles


En autorisant le décollage du projet minier, Québec devrait insister sur le fait qu'il a ajouté une dizaine d'exigences à celles formulées par le BAPE. Le certificat d'autorisation qui les contient a été voté par le Conseil des ministres, il y a quelques semaines. Il porte aussi bien sur la qualité de l'air et de l'eau que sur les mesures d'urgence et les quantités de minerai à extraire quotidiennement. Les promoteurs, la société d'État Investissement Québec et la firme norvégienne Yara International ASA, devraient faire part d'une quinzaine de promesses concrètes pour réduire leur empreinte environnementale.


Les gestionnaires de la future mine devraient promettre de prendre soin de l'environnement, des animaux, des poissons, mais aussi de leurs relations avec la société nord-côtière. Une attention toute particulière devrait d'ailleurs se porter sur la consultation des autochtones innus d'Uashat mak Mani-Utenam dont le village jouxte Sept-Îles.


En toute logique, les ministres Pierre Arcand, titulaire des Ressources naturelles, et David Heurtel, détenteur du portefeuille de l'Environnement, devraient être présents. Il s'agira du premier projet d'envergure sous le gouvernement Couillard dans le cadre du Plan Nord, dont M. Arcand est responsable. M. Heurtel, lui, est signataire du décret.


Selon nos informations, la conception des installations sera complétée durant l'année. Les travaux de construction débuteront en 2016. Entre 800 et 1000 personnes seront du chantier. En exploitation à compter de 2019, Mine Arnaud engagera 300 travailleurs.


L'exploitation du gisement s'étendra sur 28 ans. Il s'agira d'une mine à ciel ouvert dont la dimension a attiré de vives critiques. La fosse minière fera 3,7 kilomètres de longueur, sur 800 mètres de largeur et 240 mètres de profondeur.


La production d'apatite sera exportée par bateau en Norvège. Yara International transformera le minerai en fertilisants agricoles. Avec la collaboration de Fanny Lévesque


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Source
Lapresse.ca

2015-03-06

Pierre Paradis cherche des solutions pour le marché du boeuf

(ASBESTOS) Le ministre de l'Agriculture Pierre Paradis cherche des solutions concernant tout le dossier de la production, de l'abattage et de la mise en marché du boeuf au Québec. La problématique touche particulièrement Les Viandes Laroche, situées dans le parc industriel d'Asbestos, confrontée à des difficultés économiques.


« Le dossier du boeuf est complexe. Il y a eu la cessation des activités de l'abattoir Levinoff-Colbex il y a plusieurs mois et la vente récente de leurs actifs. Par la suite, nous avons connu un marché haussier, donc les producteurs reçoivent un bon prix pour leur produit. Le côté de la médaille qui plait moins, c'est que l'on ne profite pas économiquement de la transformation de cette viande au Québec dans une proportion suffisamment intéressante, c'est le Wisconsin et l'Ontario qui en bénéficient le plus pour le moment ».


Le ministre a rencontré récemment l'Association des petits abattoirs du Québec, la direction des Viandes Laroche et Viandes Giroux, pour entendre leurs préoccupations. « Nous avons beaucoup au Québec de ce que nous appelons la vache de réforme et une production de boeuf qui est de plus en plus intéressante. Comment mettre tout cela ensemble? Il n'y a pas de recette magique », précise-t-il.


En ce qui a trait aux Viandes Laroche, le ministre Paradis reconnaît que l'intervention doit se faire en deux volets. Il y a d'abord le besoin d'une aide immédiate pour protéger la centaine d'emplois existants et le potentiel de développement dans ce créneau. « Nous en sommes conscients au ministère, mais ce volet relève d'Investissement Québec et du ministère du Développement économique. Une réunion au sommet est prévue le 13 mars à Québec sur le sujet ».


Le second volet concerne les normes d'abattage au Québec. « Après la première crise de la vache folle, le pays a été obligé d'adopter des mesures ayant occasionné des coûts supplémentaires à l'abattage, des mesures dispendieuses pour les abattoirs. Mais les États-Unis ne sont pas soumis à ces normes, ce qui crée une certaine distorsion dans le prix. Même s'il en coûte moins cher en transport pour faire abattre le boeuf au Québec, l'histoire en agriculture nous enseigne que lorsque le prix est bon pour le cultivateur, la marge est mince pour l'abattoir, et vice-versa. Nous sommes dans une situation qui privilégie le cultivateur! » Toujours selon le ministre, le volet relatif aux normes doit être traité avec un bon dosage, on doit agir avec prudence.


De son côté, la députée du comté de Richmond, Karine Vallières, veut s'assurer de protéger les emplois de cette industrie à Asbestos et lui assurer les conditions propices à sa rentabilité. Elle confirme que le dossier se travaille avec l'entreprise depuis plusieurs mois. « Dans le dossier des Viandes Laroche, ça va bon train. Je suis très consciente comme députée de l'importance de cette entreprise dans une région fortement affectée économiquement et je ne ménage aucun effort avec les instances concernées pour trouver les meilleures solutions possible pour l'entreprise ».


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Source
Lapresse.ca

2015-03-06

16 507 $ à Leurres Ma-Jik

(Saint-Étienne-des-Grès) Provenant du Fonds de diversification économique, une subvention de 16 507 $ vient d'être accordée à l'entreprise Leurres Ma Jik, située à Saint-Étienne-des-Grès, afin de lui permettre de conquérir de nouveaux marchés.


Cette participation gouvernementale permettra d'appuyer la réalisation d'un projet d'investissement évalué à 41 006 $. L'entreprise souhaite adapter ses produits, créer du matériel promotionnel, participer à des salons commerciaux et réaliser des missions de prospection d'investissements.


«Leurres Ma Jik est en croissance constante depuis plusieurs années, et je souhaite qu'elle continue sur cette lancée. La mise en oeuvre de ce projet stratégique permettra la création et la consolidation de quatre emplois locaux. C'est un bel exemple d'entreprise qui apporte une visibilité à la région tout en contribuant à la vitalité économique de notre communauté», a déclaré le député de Maskinongé, Marc H. Plante.


En activité depuis la fin des années 60, Leurres Ma Jik fabrique des leurres pour la pêche. Les leurres sont faits de cuivre ou de laiton et sont offerts en neuf modèles qui se déclinent en plus de 250 produits différents. L'entreprise compte près de 200 points de vente et distribue ses produits partout au Québec.


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Source
Lapresse.ca

2015-02-27

100 nouveaux emplois chez Framestore Montréal

Si le gouvernement du Québec ne touche pas trop au crédit d'impôt, le studio d'effets visuels Framestore Montréal planifie passer de 200 à 300 employés d'ici la fin de l'année 2015, a appris La Presse.


«Nous avons comme plan d'accroître nos effectifs d'environ 50%», dit Dennis Hoffman, vice-président principal de Framestore Montréal. Fondé au début de l'année 2013, le studio montréalais de l'entreprise britannique a 200 employés depuis un an. Pour accueillir sa centaine de nouveaux employés, Framestore agrandira la superficie de son studio. L'entreprise louera dorénavant la totalité de l'étage où elle est installée dans un immeuble du Mile End.


Framestore a pris la décision d'augmenter ses effectifs montréalais malgré l'incertitude entourant le taux du crédit d'impôt pour les effets visuels de films et de séries télé, réduit par le gouvernement Couillard de 45% à 36% en juin dernier. La commission Godbout sur la réforme de la fiscalité a remis son rapport au début de février au gouvernement Couillard, qui doit trancher.


«Nous avons pris cette décision avec nos projections actuelles en terme de charge de travail. Si quelque chose change, nous devrons ajuster nos prévisions [et la taille de l'expansion]», dit Dennis Hoffman, un Américain engagé par Framestore en août, qui a occupé des postes de direction dans plusieurs studios d'effets visuels à Los Angeles et à Vancouver.


En plus d'agrandir son studio et d'augmenter ses effectifs, Framestore Montréal doit trouver un successeur à Chris Lawrence comme numéro deux et principal artiste visuel du studio montréalais. Le Britannique dans la mi-trentaine a gagné un Oscar des meilleurs effets visuels pour son travail sur Gravity chez Framestore à Londres - il était le numéro deux de l'équipe d'effets visuels de Gravity et a foulé la scène du Dolby Theater quand le film a reçu son Oscar en 2014. Il est retourné travailler chez Framestore à Londres l'été dernier.


Pour sa prochaine phase d'expansion, Framestore Montréal recrutera à la fois à Montréal et ailleurs. «Pour la main-d'oeuvre "junior" qui termine sa formation, nous sommes capables de répondre à la demande. Mais ces entreprises cherchent aussi des employés avec 5-10 ans d'expérience, qu'ils vont parfois chercher dans un autre de leurs studios à travers le monde, dans un studio concurrent à Montréal ou dans l'industrie du jeu vidéo», explique Suzanne Guèvremont, directrice générale de l'école NAD, qui offre une formation universitaire en effets visuels.


Avec 300 employés, Framestore Montréal sera le deuxième studio d'effets visuels en importance au Québec, après Technicolor/MPC qui compte actuellement plus de 700 employés à Montréal. Framestore Montréal a réalisé des mandats sur des films comme RoboCop, Edge of Tomorrow, Dracula, Paddingtonet Jupiter Ascending. Actuellement, ses deux principaux mandats sont Tarzan et Pan.


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Source
Affaires.lapresse.ca

2015-02-27

Solarcan et Laflamme retournent en mains québécoises

Numéro un dans l'industrie québécoise des portes et fenêtres au Québec, Groupe Atis, propriétaire des marques Solarcan et Laflamme, est racheté par un trio de fonds, à savoir le Fonds de solidarité FTQ, Fondaction CSN et Capital coopératif Desjardins.


La transaction de 81,5 millions de dollars a pour objectif de rapatrier la propriété de l'entreprise au Québec tout en donnant une nouvelle poussée de croissance à Atis qui détient 9 usines et 19 magasins et compte 1400 employés.


Des neuf usines, cinq sont au Québec. Atis en possède deux à Québec, deux à Terrebonne et l'usine d'Altek en Beauce. En tout, 900 Québécois y travaillent, dont 15 au siège social du fabricant à Longueuil, où l'on a annoncé publiquement la transaction hier en présence de représentants des trois fonds fiscalisés.


«La transaction d'aujourd'hui prouve hors de tout doute qu'en nous associant ensemble [les fonds fiscalisés], on a une force d'appui à l'économie du Québec, a dit Normand Chouinard, premier vice-président aux investissements du Fonds FTQ. On est capable de réaliser une transaction d'envergure pour permettre le développement futur du Groupe Atis.»


Forte présence du Fonds de solidarité


Des trois fonds, c'est le Fonds de solidarité qui injecte le plus d'argent dans Atis. M. Chouinard n'a pas voulu être plus précis. Réunis, les trois fonds sont majoritaires dans l'entreprise.


Le propriétaire d'Atis jusqu'à la transaction d'hier était le fonds de capitaux privés Cyprium Investment Partners, de Cleveland. «Ce fonds en était un de 10 ans qui arrivait à expiration et c'est cet élément qui a fait qu'on a pu racheter l'entreprise avec des investisseurs québécois», a expliqué Robert Doyon, qui reste actionnaire et président et chef de la direction d'Atis. D'autres membres de la direction continuent d'être actionnaires minoritaires.


Le vendeur Cyprium parle d'une transaction d'une valeur de 140 millions, chiffre qui inclut la dette prise en charge par les nouveaux propriétaires, précise Patrick McQuilken, conseiller aux relations de presse du Fonds FTQ.


Pendant la période Cyprium, Atis a joué le rôle de consolidateur de l'industrie depuis 2004. Un processus qui a commencé avec le rachat de Laflamme portes et fenêtres, de Saint-Apollinaire, au sud de Québec, et de Solarcan.


Doubler le chiffre d'affaires


Robert Doyon a un plan de match extrêmement précis pour les prochaines années. Il veut doubler le chiffre d'affaires de l'entreprise d'ici cinq ans par croissance organique et par acquisitions. Présentement, Atis est dans le top 3 des fabricants de portes et fenêtres au Canada.


Les entrepreneurs de cette industrie très fragmentée prennent de l'âge. Atis y voit une occasion de croître par acquisitions. Dans les six derniers mois, le groupe a racheté trois entreprises québécoises se trouvant exactement dans ce cas de figure.


«Par croissance organique, on voudrait faire passer notre part de marché de 6,9 à 8,5 % au Canada», a précisé M. Doyon en conférence de presse. Il veut faire des acquisitions dans l'ensemble du pays et quelques-unes aux États-Unis. Atis exploite déjà quatre usines dans les Maritimes, à Toronto et à Vancouver.


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Source
Affaires.lapresse.ca

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