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Nouvelles

2015-08-07

Syscomax dirige pour 50M$ de projets

L’entrepreneur général Syscomax de Mirabel mène présentement de front six projets dans divers secteurs totalisant des investissements près de 50 millions $.

L’entreprise procède notamment à l’agrandissement des installations de l’entreprise Veg Pro International située à Sherrington, au Québec. Syscomax va agrandir l’aire de production des kits de salades et de mélanges de laitues, les entrepôts réfrigérés et le centre de distribution.

Syscomax réalise aussi un mandat confié par Pama Manufacturing de Saint-Jérôme. Le fabricant de matériel médical construit un bâtiment à Mirabel, sur le site même de l’ancien aérogare.

Parmi les autres mandats, l’entrepreneur procède à l’agrandissement de l’usine du manufacturier de mobilier Foliot à Saint-Jérôme.

« Notre croissance au cours des dernières années repose principalement sur la capacité de notre équipe à proposer des concepts qui répondent avec précision aux impératifs de secteurs variés de l'aéronautique, ainsi que l'agroalimentaire, l'industriel et le pharmaceutique », a expliqué Sylvain Robitaille, président et fondateur de Syscomax.

Fondée en 1988, Syscomax emploie plus de 45 personnes à son siège social et sur ses multiples chantiers.


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Argent.canoe.ca

2015-07-31

Desjardins, 5e «banque» la plus solide au monde

Le Mouvement Desjardins impressionne de nouveau cette année sur le plan de la solidité financière, alors que l’agence Bloomberg le place au cinquième rang mondial, parmi les institutions financières prêteuses.

Il s’agit d’un recul pour la coopérative de crédit, qui se classait au deuxième rang mondial l’an dernier. Desjardins coiffe tout de même toutes les banques canadiennes et l’ensemble des banques américaines.

Dans le top 20 mondial, la Banque CIBC est la seule banque canadienne à apparaître au classement, au 18e rang. Elle a pris la place occupée l’an dernier par la Banque Royale, qui en a été expulsée.

En Amérique du Nord, Desjardins figure au tout premier rang, alors que la Banque CIBC y apparaît au cinquième rang. La Banque Royale et la Banque TD, qui faisaient partie du top 5 l’an dernier, n’en font plus partie.

Au plan mondial, les premières positions sont occupées par la Hang Seng Bank de Hong Kong, la Norinchukin Bank du Japon, la Oversea-Chinese Banking de Singapour et la National Commercial Bank de l’Arabie Saoudite.

Desjardins explique sa bonne performance par sa très forte capitalisation, l’un des éléments clés de l’analyse effectuée par Bloomberg.

«Le Mouvement ne peut pas émettre d’actions comme une entreprise publique peut le faire. On se doit donc de garder un bon coussin et au fil des années, on a toujours mis beaucoup d’argent dans nos réserves pour consolider notre base de capital. Plus elle est solide, plus on peut continuer de croître», a exprimé André Chapleau, porte-parole de Desjardins.

L’accroissement du capital chez Desjardins a toutefois un impact sur les ristournes aux membres, qui se font moins élevées depuis quelques années.

«C’est sûr que ça peut avoir une incidence sur la ristourne car la caisse a moins d’argent à ristourner à ses membres, mais c’est rassurant de savoir que sa coopérative gère prudemment et se dote d’une bonne base de capital.»

Ceci dit, Desjardins a des croûtes à manger pour augmenter sa productivité. «Il y a du travail à faire pour réduire nos coûts, car nous sommes vraiment dans  les derniers de classe à cet égard (dans le palmarès de Bloomberg», a indiqué M. Chapleau.

La grille d’évaluation comprend aussi le niveau de prêts douteux et l'argent mis de côté pour faire face à des pertes sur prêts.

Seules les institutions financières qui ont fourni les données sur cinq ratios définis ont été considérées. Les banques devaient avoir un actif d’au moins 100 milliards $, au 1er juin. Au total, 114 banques apparaissent au classement.


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Source
Argent.canoe.ca

2015-07-31

Mine Raglan prévoit cinq nouvelles mines de nickel d'ici 2024

(Québec) Le plus important producteur de nickel au Québec, Mine Raglan, prévoit construire cinq nouvelles mines souterraines d'ici 2024 afin de prolonger de 21 ans la vie de son complexe minier de Kattiniq, au Nunavik, dont les opérations devaient commencer à diminuer à partir de 2020.


Le projet Sivumut (signifiant en avant en inuktitut) vient d'être soumis par la multinationale anglosuisse Glencore, propriétaire de Mine Raglan, à la Commission de la qualité de l'environnement Kativik, l'organisme responsable de l'application de la procédure d'évaluation et d'examen des impacts sur l'environnement et le milieu social pour les projets de développement de compétence provinciale au Nunavik.


Pour Guillaume Julien, porte-parole de Mine Raglan, il s'agit d'une première étape vers un processus qui pourrait mener à un début des travaux d'expansion aussi tôt qu'en juin 2017. «Le projet est en train d'être bâti par nos ingénieurs. Nous sommes en phase préliminaire et les demandes de certificats d'autorisation ne sont pas encore faites. Une étude d'impact social et environnemental sera présentée en novembre», a-t-il expliqué au Soleil.


Le montant de l'investissement nécessaire à la réalisation du projet n'a pas encore été déterminé, mais Mine Raglan souhaite poursuivre sa collaboration étroite avec les communautés inuites du Nunavik.


Entente Raglan


«Nous souhaitons que le développement se fasse selon les principes de l'Entente Raglan ratifiée en 1995 avec les communautés inuites. D'ailleurs, nous avons déjà eu cinq rendez-vous avec ces communautés pour qu'elles soient partie prenante dans nos projets», enchaîne M. Julien.


À ce sujet, le porte-parole de Mine Raglan ajoute que la société minière n'est pas peu fière d'avoir réussi à atteindre cet été un objectif qu'elle s'était fixée au démarrage des opérations du complexe minier, soit le cap de 20 % de travailleurs inuits dans ses opérations. 


«Nous en sommes présentement à 20,16 % en incluant les employés de nos sous-traitants. Le chiffre de 20 % était un objectif depuis que la mine a été lancée», explique M. Julien. Mine Raglan embauche entre 600 et 1000 travailleurs et a mis en place un programme de formation, le programme Tamatumani, pour que la main-d'oeuvre locale du Nunavik puisse travailler dans ses mines.


Cinq nouvelles mines


Situées à 60 km à l'ouest de Kangiqsujuaq et à 120 km au sud-ouest de Salluit, les mines Kikialik, Mine 2, Katinniq et Qakimajurq ont été lancées en 1997 et devraient graduellement diminuer leurs opérations à partir de 2020.


L'exploitation de la Mine 14 et de la Mine Donaldson se ferait sur la période de 2019 à 2032 et celle de la Mine 8 et des mines Boundary et West Boundary, de 2024 à 2041. La production annuelle du complexe demeurerait cependant la même que présentement, soit 1 320 000 tonnes métriques. Les nouveaux sites miniers occuperont une superficie de 70 hectares.


Les installations servant aux activités minières actuelles, notamment le concentrateur, le complexe d'hébergement et le système de traitement des eaux usées du complexe Katinniq, les infrastructures portuaires de Baie-Déception, l'aéroport Donaldson et le réseau routier seraient utilisés pour les nouvelles phases de développement. Il faudrait également ajouter au moins sept kilomètres de routes au réseau routier actuel du secteur.


Le minerai produit par Mine Raglan continuera d'être expédié par camion vers le port de Baie Déception par une route de gravier de 100 km pour être ensuite transporté à Québec par cargo, puis par train vers les fonderies de Glencore en Ontario. Par la suite, le concentré est retourné à Québec par train et expédié en Norvège par bateau pour y être raffiné.


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Source
Lapresse.ca

2015-07-24

Handyem : en attendant d'entrer dans le bureau du médecin

(Québec) Avant de se retrouver, un jour, sur le coin du bureau d'un médecin, la technologie développée par Handyem sera intégrée à un petit laboratoire portatif qui pourra être parachuté dans les endroits les plus éloignés pour effectuer, par exemple, le contrôle des épidémies.

«Nous faisons notre chemin. Nous commençons à être vus, à être reconnus, à être testés», signale Érick Pelletier, vice-président des ventes et du marketing de l'entreprise du Parc technologique du Québec métropolitain spécialisée dans la conception et la fabrication de cytomètres en flux portables utilisant la fibre optique, pas plus gros qu'une imprimante laser, qui permettent de fournir un diagnostic médical fiable en quelques heures à peine.


Un cytomètre est un appareil qui mesure la taille et la quantité des cellules et qui permet, par exemple, de détecter un cancer du sang ou encore de compter les spermatozoïdes d'un donneur dans une clinique de fertilité.


Toutefois, Handyem a encore des croûtes à manger avant de se rendre sur le bureau du médecin, qui pourra éventuellement effectuer un bilan immunologique ou un test d'allergie d'un patient à partir d'une prise de sang et lui communiquer les résultats en moins d'une ou deux heures après la prise de l'échantillon.


«Notre technologie a le potentiel pour le faire. Le produit actuel, par contre, ne pourra s'y rendre. Il demande encore à être amélioré. Et il y aura ensuite les certifications à obtenir de la part des organismes réglementaires», explique M. Pelletier.


Née à la suite du développement d'une découverte sortie des laboratoires de l'Institut national d'optique - la technologie microfluidique basée sur la fibre optique - Handyem attire effectivement l'attention.


Cytomètre testé dans l'espace


Lors de son séjour dans la station spatiale internationale, l'astronaute canadien Chris Hadfield a utilisé cette technologie de l'INO pour mener diverses expériences.


En juin dernier, Handyem recevait le prix de l'investissement de l'année d'Anges Québec, un réseau de 165 investisseurs privés qui fournit du capital de risque aux entreprises en démarrage. Au cours des dernières années, la compagnie fondée par Alain Chandonnet, un ancien de TeraXion, a reçu un coup de pouce de 2,3 millions $ à l'occasion de deux rondes de financement auxquelles ont participé des anges investisseurs.


Toujours en juin dernier, à l'occasion du congrès international de la Biotechnology Industry Organization qui se tenait à Philadelphie, Handyem et l'entreprise américaine FlowMetric Diagnostics annonçaient la mise au point du Mo-POD, un laboratoire mobile qui permet la réalisation de diagnostics médicaux à faible coût et qui peut être dépêché dans des zones éloignées ou difficiles d'accès.


Le cytomètre portatif HPC-150 de la compagnie de Québec - qui possède une cellule de mesure à fibre optique d'une grande fiabilité et qui est insensible aux vibrations - sera intégré dans le laboratoire de diagnostic mobile de FlowMetric Diagnostics.


«Compact, robuste, résistant et surtout insensible aux vibrations, le cytomètre portatif HPC-150 est facile à déplacer et il peut être mis en opération très rapidement par du personnel qui n'est pas nécessairement super qualifié», explique Érick Pelletier. «Il peut être déplacé ou transporté sans avoir besoin de se soucier de l'alignement du faisceau laser.»


Compact, robuste et résistant, fiable et insensible aux vibrations, l'appareil d'Handyem devra l'être, puisqu'il rejoindra un ordinateur industriel dans une valise qui pourra être parachutée par avion ou par hélicoptère dans les zones affectées par les épidémies pour faire l'analyse d'échantillons sanguins. Il devra donc fonctionner dans les pires conditions d'opération.


Pour le moment, Érick Pelletier ne peut prédire si cette collaboration stratégique avec la société américaine rapportera beaucoup de revenus dans les goussets d'Handyem.


«Chose certaine, ça nous apporte de la visibilité. Ça nous place sur la carte.»


Des revenus, l'entreprise de 20 employés en tire déjà grâce à la vente de cytomètres à des centres de recherche et des laboratoires des grandes universités.



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Source
Lapresse.ca

2015-07-24

Fabrication de lits d'hôpital: Umano Médical remporte son pari

(Québec) Avec son lit d'hôpital plus bas, plus facile à nettoyer et d'une utilisation simple comme un jeu d'enfant pour le personnel soignant et les patients, Umano Médical relève un défi de taille. Remettre sur la voie du succès et de la rentabilité une entreprise qui avait pourtant mis la clé sous la porte au printemps 2012.

À l'époque, l'usine de L'Islet appartenait à la multinationale de la sous-traitance Flextronics qui venait d'en faire l'acquisition des mains de la société américaine Stryker Medical.


Un bon jour, Flextronics annonce le transfert des activités de fabrication de lits d'hôpitaux vers le Mexique. Près de 300 travailleurs perdront leur gagne-pain. Un dur coup pour la région de Montmagny-L'Islet.


Contrat de cinq ans


Avec l'aide de bailleurs de fonds - Investissement Québec, Développement économique Canada, Capital Régional Desjardins et le Centre financier aux entreprises Desjardins de Montmagny -, quatre anciens dirigeants de Flextronics prennent le pari de relancer l'entreprise. Le Groupe Bertec deviendra un sous-traitant de Stryker Medical. Il continuera de fabriquer des lits d'hôpitaux pour Stryker et de fournir les pièces aux clients.


Un contrat de cinq ans lie toujours les deux partenaires d'affaires. Au terme de son échéance, en 2017, rien n'assure que le pacte sera renouvelé.


Dès la remise en exploitation de l'usine, les quatre actionnaires - Christian Cariou, Robert Dion, Ghislain Demers et Denis Bourgault - ont regroupé une équipe de professionnels et de techniciens pour concevoir de nouveaux produits.


«Pendant deux ans, nous avons parcouru le Canada et les États-Unis pour connaître les besoins des dirigeants d'hôpitaux et du personnel médical qui soigne les malades pour déterminer comment nous pourrions répondre à ces besoins», explique le vice-président à la recherche et développement et aux ventes, Ghislain Demers.


L'entreprise a investi 2,5 millions $ pour créer son premier produit-vedette, le lit d'hôpital Ook Snow.


La mise en marché de ce produit a débuté en janvier dernier, explique le président de la compagnie, Christian Cariou.


Depuis, le Groupe Bertec est devenu Umano Médical.


«Comme nous voulions commercialiser nos propres produits et prendre un virage international, nous avons voulu nous donner une nouvelle image», explique M. Cariou.


Avec l'aide de ses partenaires financiers, Umano Médical investira 3,5 millions $ pour commercialiser ses produits à l'étranger au cours des prochaines années.


Un commando d'une trentaine d'agents manufacturiers est déjà en poste, principalement aux États-Unis. Une quinzaine d'autres s'y grefferont d'ici la fin de l'année.


De plus, Umano Médical travaille activement à développer des partenariats commerciaux au Brésil, au Chili et en Arabie Saoudite.


En route vers Terre-Neuve


Le lit d'hôpital Ook Snow a déjà trouvé preneur. Umano Médical en livrera 400 par année - pendant cinq ans - aux hôpitaux de Terre-Neuve.


L'entreprise vient d'annoncer une entente avec Yankee Alliance, un groupe d'achats qui compte plus 11 000 membres aux États-Unis.


Un autre accord est en voie de signature avec un très gros joueur américain - Health Trust - qui possède 168 hôpitaux et qui est l'acheteur désigné pour 1350 autres.


Pour ce qui est des hôpitaux québécois, Umano Médical attend avec impatience l'appel d'offres qui sera lancé en juin 2016 par le gouvernement du Québec.


Outre son premier produit-vedette, Umano Médical planche sur d'autres modèles de lits destinés à des clientèles diverses (enfants, nouvelles mamans, personnes obèses et les gens âgés hébergés dans les centres de soins de longue durée).


Selon Denis Bourgault, vice-président aux opérations, l'entreprise devrait produire sous peu entre 3500 et 4000 lits par année. À l'époque de Stryker Medical, l'usine de L'Islet en sortait jusqu'à 20 000 par année.


«La capacité de production est là», affirme M. Bourgault en faisant une tournée sur le plancher de production de 130 000 pieds carrés.


Umano Médical compte actuellement une centaine d'employés. «Nous voulons faire passer ce nombre entre 220 et 230 d'ici 2019», indique Christian Cariou.


Quant au chiffre d'affaires de la compagnie, l'objectif est de le faire grimper à 100 millions $ d'ici 2022.


La Cadillac des lits d'hôpitaux


À écouter l'énumération des options offertes par le Ook snow, l'image d'une Cadillac vient immédiatement à l'esprit du simple observateur.«C'est bel et bien ça. Nous offrons la Cadillac des lits d'hôpitaux!» lance Ghislain Demers. «Une Cadillac d'abord et avant tout facile d'utilisation.»


=> Caractéristiques


• La hauteur basse du lit. Dix pouces ou 25,4 centimètres. Ce qui facilite l'entrée et la sortie du lit. Une façon de prévenir les chutes, notamment des personnes âgées.


• Un système de détection de sortie de lit. Dès qu'un patient tente de descendre de son lit alors que son état exige qu'il demeure allongé ou assis, un système d'alarme se mettra à fonctionner pour aviser le personnel. «Le système peut être ajusté en fonction du niveau de risque de chutes de chaque patient», signale Ghislain Demers.


• Un lit plus facile à nettoyer. Ce qui contribue à la prévention des infections. Fabriqué en polypropylène, le lit présente une surface lisse. Les joints d'assemblage sont minimisés. Les pièces sont facilement accessibles. Les câbles et composantes électriques sont cachés. «Alors qu'il faut quatre minutes pour nettoyer correctement un lit conventionnel, le travail se fait en une seule minute avec le Ook snow.


• Le lit propose un système de balance intégré permettant de prendre une lecture du poids du patient.


• Un port USB permet aux patients de garder leurs appareils mobiles chargés près d'eux.


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Source
Lapresse.ca

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