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Nouvelles

2015-11-06

Investissement de 30 millions $ à Drummondville

Une société immobilière a choisi Drummondville pour investir 30 millions $ dans un important projet d'agrandissement d'une résidence pour aînés.


Ce projet d'envergure démontre une fois de plus l'effervescence économique de Drummondville. La municipalité a d'ailleurs établi un record de tous les temps en matière de construction.


Les 208 logements de la résidence Jazz Drummondville sont tous loués depuis longtemps. La société de gestion Cogir voit grand. Elle offrira 196 nouvelles unités pour aînés, surtout automnes et semi-automnes, qui seront disponibles en mars 2017.


«Notre but est d’offrir de nouveaux services à la résidence, a affirmé le vice-président directeur de la société de gestion Cogir, Frédéric Soucy. On lance un centre multiservices où les gens auront accès à des audiologistes, physiologistes, comptables, notaires.»


La construction a atteint des sommets inégalés à Drummondville. Depuis le début de l’année, des permis pour une valeur de 231 millions $ ont été octroyés. C’est deux fois plus que l’an dernier à pareille date. «Ça démontre l’effervescence économique de Drummondville. On assiste à des investissements dans le secteur manufacturier, résidentiel», a affirmé le maire de Drummondville, Alexandre Cusson.


Vingt et un millions seront investis au Centre famille-enfant, 1,3 million $ à la patinoire réfrigérée sans oublier l'agrandissement de Norampac d'une valeur de 4 millions $ et l’hôtel Times, voisin du Centreexpo Cogeco. «On n’a pas de gros investissements de 200 ou 300 millions $. Les investissements sont plus modestes, mais ils sont diversifiés. Ça fait la force de Drummondville», a expliqué M. Cusson.


Le taux de taxation parmi les plus bas au Québec et sa situation géographique sont des atouts pour Drummondville, dit son maire. «On offre tous les services des grands centres, mais à une dimension humaine. Ça plaît aux familles et aussi aux aînés.»


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Source
Argent.canoe.ca

2015-11-06

Supermétal décroche son plus important contrat

(Québec) Jean-François Blouin l'assure. Le contrat que vient de décrocher Supermétal des mains du consortium choisi par le ministère des Transports pour la construction de l'échangeur Turcot à Montréal est le plus important que l'entreprise spécialisée dans la fabrication et l'installation de charpentes métalliques n'a jamais obtenu depuis sa fondation en 1959.


Malheureusement, des obligations contractuelles empêchent le pdg de Supermétal de divulguer, pour le moment, le montant du contrat obtenu par la voie d'un appel d'offres fort couru.


«Tout ce que je peux vous dire, c'est que nous livrerons 16 000 tonnes métriques d'acier. C'est beaucoup. À titre comparatif, il en faut 350 tonnes pour construire un Walmart ou un Canadian Tire. Il en a fallu deux fois moins - environ 8000 tonnes métriques - pour la construction du Centre Vidéotron. Avec l'échangeur Turcot, en résumé, c'est comme si nous construisions deux Centres Vidéotron», explique Jean-François Blouin au Soleil.


Rappelons que le Groupe ADF, de Terrebonne, avait remporté, en février 2013, l'appel d'offres pour la construction de la structure d'acier de l'amphithéâtre et le contrat de 46,6 millions $ de la Ville de Québec.


Une affaire de 3,7 milliards $, la construction de l'échangeur Turcot est sans contredit le plus grand chantier au Québec. Le projet est piloté par les firmes Construction Kiewit et Parsons du Canada avec la participation des firmes WSP Canada et Holcim Canada réunies sous le chapeau du consortium KPH Turcot.


Pour ce gigantesque projet, Supermétal - qui compte sur une brigade de 650 employés dans ses usines à Lévis, à Sherbrooke, en Alberta et en Caroline du Sud - fabriquera une cinquantaine de ponts en acier.


«Avec ce projet, nous aurons du pain sur la planche pour les trois prochaines années», indique M. Blouin en signalant que les premières poutres prendront la direction de la métropole au printemps prochain.


Maison Manuvie

À Montréal, il n'y aura pas que l'échangeur Turcot qui apportera de l'eau au moulin de Supermétal.


En effet, l'entreprise a été choisie par Ivanohé Cambridge - le bras immobilier de la Caisse de dépôt et placement - et la société de services financiers Manuvie pour la construction de la Maison Manuvie au 900, boulevard Maisonneuve Ouest. Fait à signaler, Supermétal participe à la construction d'un immeuble de 30 étages pour Manuvie à Calgary.


Pour ce qui est de Montréal, il s'agit d'un immeuble de catégorie AAA de 27 étages d'une superficie de 490 000 pieds carrés, qui s'élèvera au centre-ville. Un projet évalué à 200 millions $.


Comme à Calgary, Supermétal fabriquera et installera la structure métallique. La compagnie prévoit livrer 300 tonnes métriques d'acier, et ce, à compter du printemps prochain.


Encore une fois, Jean-François Blouin doit demeurer silencieux sur le montant du contrat octroyé à Supermétal. Le pdg se réjouit du retour des tours multiétagées fabriquées en acier au Québec. C'est le béton qui, traditionnellement, avait le haut du pavé.


«Dans le cas de la Maison Manuvie, nous assistons à un mariage entre l'acier et le béton», explique-t-il.


Une structure de béton composera la partie centrale de l'immeuble à laquelle viendront s'attacher les planchers fabriqués en acier. Entre autres, ça évite de multiplier le nombre de colonnes un peu partout.


«Ça correspond ainsi à la demande grandissante des locataires qui réclament de grands espaces ouverts leur permettant d'apporter de la flexibilité dans les aménagements des espaces de travail.»


Là où les marchés sont vigoureux


Ces derniers mois, Supermétal a aussi décroché des contrats en Ontario pour la construction d'une centrale électrique alimentée au gaz naturel et d'une aciérie.


Si le marché de l'Ouest canadien fonctionne au ralenti en raison de la dégringolade du prix du pétrole, Supermétal parvient, malgré tout, à trouver de l'ouvrage ailleurs au Canada ainsi qu'aux États-Unis où la présence de son usine de la Caroline du Sud lui permet d'accéder aux contrats publics réservés aux sociétés américaines.


«L'Ouest canadien a été un marché important pour nous ces dernières années. Les projets de construction dans le secteur du pétrole et gaz ont diminué et cette tendance se poursuivra encore quelques années. Nous avons toujours été en mesure de nous tourner de bord rapidement quand un marché connaît un ralentissement et de nous imposer dans les marchés plus vigoureux, comme celui de la région de Montréal.»


Par ailleurs, Jean-François Blouin se montre toujours préoccupé par la rareté de main-d'oeuvre dans le secteur de la fabrication au Québec.


Au Soleil, il ne manque pas de rappeler que Supermétal est constamment à la recherche d'assembleurs, de soudeurs, de journaliers et de contremaîtres.


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Source
Lapresse.ca

2015-10-29

Vidéotron investit 35 millions $ dans 4Degrés

(Québec) Vidéotron croit en l'avenir de l'infonuagique au point d'investir 35 millions $ pour tripler la surface du centre de données 4Degrés acquis au début de l'année.

Non seulement y aura-t-il deux phases d'agrandissement à Québec pour porter la superficie du centre de location de 10 000 pieds carrés à 33 000 pieds carrés, mais Vidéotron construira un bâtiment semblable de 20 000 pieds carrés dans la région de Montréal. Au total, Vidéotron aura investi 71 millions $ à Québec, incluant l'achat de 4Degrés.

Les deux bâtiments seront reliés par un lien de manière à répliquer les informations dans deux lieux dans la province. C'est ce que l'on nomme la redondance dans le monde de l'informatique pour assurer que la clientèle conserve ses données en cas de pépin.

La présidente et chef de la direction de Vidéotron, Manon Brouillette, a confirmé l'investissement majeur devant les membres de la Chambre de commerce de Québec réunis mardi au Centre Vidéotron de Québec.

Pour Mme Brouillette, le centre de serveurs servira essentiellement à la colocation pour sa clientèle d'affaires dans un premier temps, mais il n'est pas exclu dans un proche avenir qu'il serve aussi à Vidéotron pour élargir son service d'infonuagique autant pour les entreprises que la clientèle résidentielle.

«Les PME passent rapidement du modèle papier au modèle numérique», expliquait-elle en entrevue. «Nous avons choisi d'adapter nos services pour répondre aux nouveaux besoins de nos 125 000 clients du secteur des affaires. Lorsque nous avons acheté le centre de données, il s'agissait d'une opportunité de revenus en développant de nouveaux services pour les PME qui ne souhaitent pas nécessairement acheter une grosse infrastructure technologique.»

Ainsi, Vidéotron pourrait avancer dans l'infonuagique comme service dans les prochaines années.

Par ailleurs, Vidéotron ouvrira sous peu dans Saint-Roch un nouveau concept de commerce pour ses deux types de clientèles.

«Ce sera un nouveau magasin de type corporatif, souligne Mme Brouillette, qui servira autant pour les services aux gens d'affaires, les ventes et présenter nos produits. Et même une forme de bureau à frais partagé pour nos clients de Montréal, par exemple, qui auraient besoin d'un lieu de travail lors de leur passage à Québec.»

Ainsi, avec ses nouveaux investissements dans la région de Québec, Vidéotron entreprend un virage numérique qui s'accentuera avec les années.


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Source
Lapresse.ca

2015-10-29

Plus de gaz naturel à Anticosti

Le sous-sol de l'île d'Anticosti renferme plus de gaz naturel et moins de pétrole que prévu, selon l'étude environnementale stratégique (ÉES) rendue publique mercredi par le gouvernement du Québec.

Les résultats de l’étude réjouissent la société Pétrolia, l’un des partenaires du consortium formé pour réaliser des travaux d’exploration sur l’île et dont fait partie le gouvernement québécois.

En période de production maximale, les hydrocarbures extraits de l'île seraient dans une proportion de 77,5 % du gaz et 22,5 % du pétrole. Cette production représentant de 40 000 à 45 000 barils par jour ou 12,3 millions de barils par année, indique le scénario utilisé dans l’EES pour évaluer la rentabilité financière potentielle du projet.

En comparaison, en 2012, le Québec a importé en moyenne 350 000 barils par jour de pétrole brut (qui a ensuite été raffiné en différents produits : essence, carburant diesel, mazout, etc.).

L’exploitation du gaz naturel sur l’île d’Anticosti représenterait 113 % de la consommation annuelle actuelle du Québec, indique l’ÉSS, qui ajoute que cette activité économique ajouterait plus de 2 milliards $ au produit intérieur brut (PIB) québécois.

Selon le scénario utilisé dans l’ÉES pour évaluer la rentabilité du projet, un maximum de 445 plates-formes d’exploitation pourrait être aménagé sur une période de 50 ans sur l’île d’Anticosti, pour un total d’environ 4 155 puits.

Un autre scénario, avec la zone de développement la plus étendue sur l’île (sur 34 % du territoire), anticipe un maximum de 712 plates-formes et 6 800 puits.

Le Québec gagnant

Le scénario dressé par l’ÉES rend très heureux le PDG de Pétrolia, Alexandre Gagnon, puisqu’elle confirme la présence importante d’hydrocarbures sur l’île.

« Avec une future exploitation, toute la chaîne (d’énergie) serait produite. La présence plus élevée de gaz ne nous surprend pas. Nous en avons besoin pour extraire le pétrole et nous avons aussi conclu une entente avec Gaz Métro pour acheminer le gaz naturel dans son réseau de distribution au Québec », a-t-il commenté en entrevue.

Les organisations de promotion économique que sont la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) ont aussi salué les résultats de l’étude.

« L’étude fait état de redevances et de revenus se situant entre 46 et 48 milliards $ pour le gouvernement sur l’ensemble de la période d’exploitation prévue de 75 ans. Cela s’ajoute aux bénéfices que l’on peut attribuer aux participations du gouvernement dans Hydrocarbures Anticosti et dans le capital-actions de Junex et de Pétrolia », a fait part Françoise Bertrand, PDG de la FCCQ.

Mme Bertrand estime que l’ÉES saura répondre « aux considérations environnementales, sociales et économiques pour bâtir un cadre réglementaire moderne du développement de la filière des hydrocarbures au Québec ».

Pour sa part, la vice-présidente principale et porte-parole nationale de la FCEI, Martine Hébert, a souligné « avec satisfaction » la publication des documents de consultation dans le cadre de l’ÉES.

« Il s’agit là d’une autre étape dans la réflexion autour de cet important dossier. Ces études sont nécessaires pour éclairer avec neutralité et de façon constructive le débat sur le potentiel de développement des hydrocarbures au Québec », a-t-elle dit.

Le dévoilement de l'ÉES sera suivi d'une série d'audiences publiques, du 16 au 19 novembre prochain.


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Argent.canoe.ca

2015-10-23

OVH.com crée 140 emplois

La société infonuagique et de services Internet OVH.com entend créer environ 140 emplois et doubler ainsi son effectif dans la région montréalaise, avec l’ouverture de son nouveau siège social nord-américain au centre-ville de Montréal.

L’investissement d’OVH.com, qui exploite le plus grand centre de données au monde dans une ancienne usine de Rio Tinto Alcan à Beauharnois, témoigne des besoins grandissants des entreprises en matière d’hébergement de contenus numériques sous toutes leurs formes.

«Notre offre de services satisfait les plus hauts standards de l'industrie et s'adapte à tous les types de clients, du développeur à la start-up, en passant par les PME, les fournisseurs d'applications ou les plus grandes entreprises», a expliqué Laurent Allard, directeur général d’OVH.com.

OVH.com vise aussi à jouer un rôle majeur dans l’écosystème montréalais, en accompagnant l'éclosion des startups les plus prometteuses.

Le centre de Beauharnois, dont la capacité est de 360 000 serveurs, est l’un des 17 centres de données exploités par la société française dans le monde.

Le leader européen en hébergement numérique appuie aussi auprès du gouvernement français la candidature du Grand Montréal au label « French Tech », qui vise à reconnaitre le statut de pôle d'excellence technologique aux métropoles les plus innovantes. Après New York et Tokyo, Montréal serait la troisième ville au monde à obtenir cette appellation.

Investissement Québec de même que Montréal International ont accompagné OVH.com dans son implantation et son développement au Québec.


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Source
Argent.canoe.ca

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