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Nouvelles

2016-04-01

Un fleuron québécois entre des mains ontariennes

(Québec) Faute de relève et d'investisseurs du Québec, le Groupe St-Hubert a dû se tourner vers l'Ontario pour assurer la survie de l'entreprise.

«J'ai regardé tout ce qu'il y avait ici», a assuré le président du conseil et chef de la direction de Groupe St-Hubert, Jean-Pierre Léger. «J'ai courtisé différents groupes [et au final] on ne s'est pas marié.»

Des investisseurs américains ont notamment approché le grand patron. Ce dernier voulait toutefois conserver le fleuron québécois dans la province. Pour y parvenir, il a notamment courtisé Investissement Québec, la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) et le Fonds de solidarité FTQ.

Selon une source de La Presse Canadienne, la CDPQ aurait déjà montré de l'intérêt pour acquérir une participation minoritaire dans l'entreprise. D'ailleurs, une offre aurait été récemment présentée pour la chaîne de restauration qui a vu le jour en 1951.

Le Groupe St-Hubert a également tenté sa chance en 2014 avec l'ex-président et chef de la direction de Québecor Robert Dépatie. Son mandat était de remettre sur les rails la compagnie. Toutefois, l'aventure n'a duré que quelques mois. Pierre Rivard a par la suite pris les rênes de l'entreprise comme pdg.

Ce qui amène à aujourd'hui, où après cinq ans et plusieurs pourparlers infructueux, M. Léger a finalement dit oui à l'offre de 537millions $ de la société ontarienne Cara (TSX : CAO).

En point de presse jeudi, l'homme d'affaires a rappelé qu'il a maintenant 70 ans. «Je ne suis pas éternel. Il faut que je pense que le Groupe St-Hubert puisse continuer sans moi. [...] J'ai regardé pour différents groupes. Et finalement pour assurer la pérennité de St-Hubert, le groupe Cara m'apparaissait la meilleure entreprise.»

Pour la suite des choses, M. Léger entend jouer un rôle plus effacé. Il prévoit tout de même continuer de travailler sur quelques dossiers, notamment celui pour permettre aux clients d'apporter leur bouteille de vin dans les restaurants.

Aucune inquiétude

Du côté du Groupe Martin, propriétaire de 12 restaurants dans la région de Québec, la transaction avec Cara est vue d'un bon oeil. «C'est une entreprise spécialisée en restauration, en alimentation. C'est des gens qui connaissent le domaine», se réjouit Pierre Martin, copropriétaire de l'entreprise familiale qui est le plus important franchisé dans la province.

Pour l'homme d'affaires dont le groupe exploite des rôtisseries depuis 48 ans, le changement de garde n'est pas une surprise. Plusieurs rumeurs circulaient depuis déjà un bon moment.

«Il faut comprendre que M. Léger à 70 ans. Et je pense que ses deux enfants n'avaient pas d'intérêt pour l'entreprise. On se doutait que c'était une question de temps pour être honnête. On voit ça positif, le nouvel acquéreur», dit-il.

Le Groupe Martin - qui a aussi comme propriétaire Louis et Jean - possède neuf restaurants St-Hubert à Québec, deux à Lévis et un à Sainte-Anne-de-Beaupré. La compagnie emploie près de 1350 travailleurs.

Le fait que Rotisseries St-Hubert demeure canadienne et que le siège social reste à Laval est une «bonne nouvelle» pour M. Martin. Celui-ci estime que Cara permettra à la chaîne de restaurants de se développer encore plus. D'ailleurs, un nouveau St-Hubert pourrait s'ajouter à la famille au cours des prochains mois. «On pense pouvoir faire une annonce dans quelques semaines», conclut-il.

Pour l'heure, Cara ne possède pas de bureaux au Québec. L'entreprise souhaite conserver le siège social existant de St-Hubert à Laval. La société ontarienne prévoit également poursuivre l'expansion de la chaîne, notamment dans le nord-est des États-Unis.

En plus des restaurants, Cara met la main sur deux usines de production à Boisbriand et à Blainville, ainsi que deux centres de distribution à Anjou et à Boisbriand.

Selon son pdg de St-Hubert, Pierre Rivard, les deux usines de production alimentaire peuvent doubler, voire tripler leur production, ce qui se traduira par des embauches. Elles comptent pour l'instant un total de 400 à 500 employés.

St-Hubert estime que l'augmentation de la production notamment pour la vente en épicerie permettrait de faire passer de 200millions$ à 300 millions$ d'ici quelques années le chiffre d'affaires de la compagnie pour cette division. Le volet restaurant génère pour sa part actuellement un chiffre d'affaires d'environ 403millions$ annuellement.

La compagnie exploite 120 rôtisseries au Québec en Ontario et au Nouveau-Brunswick, dont 111dans la province.  Avec La Presse Canadienne

Les fournisseurs voient une belle occasion d'affaires

«Il s'agit d'une belle opportunité d'affaires. C'est très positif!»

Pour Denis Martin, propriétaire de l'entreprise Martin Dessert, l'un des fournisseurs des Rotisseries St-Hubert, la vente du groupe québécois pour 537 millions $ à une société ontarienne n'a rien d'inquiétant. Au contraire, l'homme d'affaires entend tirer profit de l'expérience et de l'imposant réseau de restaurants de Cara. Ce dernier compte une dizaine de bannières à travers le Canada, notamment East Side Mario's et Swiss Chalet.

«Le fait que Cara est propriétaire de plus de 1000 restaurants, je pense qu'on doit voir cela comme une opportunité pour probablement agrandir nos relations d'affaires. [...] Du jour au lendemain, nous avons maintenant accès à un très grand réseau sur le marché canadien», se réjouit M. Martin, joint en Floride.

Depuis 1989, Martin Dessert est l'un des fournisseurs de plusieurs produits sucrés pour notamment le Groupe St-Hubert, soit le millefeuille, la tarte au sucre, le pouding chômeur et le dessert au chocolat, le Volcano.

Annuellement, la compagnie produit pour la chaîne québécoise environ 1,5 million de portions de millefeuille. «Le nombre est similaire pour les tartes au sucre», affirme M. Martin.

Dans son usine de production basée à Lebourgneuf, l'entreprise concocte également les desserts signés St-Hubert qui se retrouvent sur les tablettes des supermarchés. L'établissement compte environ 80 employés.

Depuis février, M. Martin est le seul propriétaire de la compagnie, un statut qu'il partageait auparavant avec son frère Pierre et ses cousins Louis et Jean. Ces derniers sont propriétaire de 12 rôtisseries St-Hubert dans la grande région de Québec (lire l'autre texte en page 4).

Rien d'alarmant

Du côté d'Exceldor, une coopérative spécialisée dans la transformation et la commercialisation de volaille, le changement de garde chez St-Hubert n'a rien d'alarmant.

«C'est business as usual», indique d'entrée de jeu le président-directeur général de la compagnie, René Proulx, qui n'est pas surpris de la transaction. «St-Hubert est un client que nous avons depuis de nombreuses années que nous apprécions beaucoup. Pour nous, cela va continuer, car nous avons des ententes avec eux. [...] Comme fournisseur, je vois cela de façon positive.»

Pour l'heure, Exceldor, dont le siège social est situé à Lévis, livre plusieurs dizaines de milliers de poulets par semaine dans les restaurants St-Hubert. L'entreprise fournit en poulet frais environ 50 % des restaurants de la chaîne au Québec. «Cela représente plusieurs millions de dollars. C'est de loin notre client le plus important», dit le pdg.

Au Canada, Exceldor détient 16 % des parts de marché dans le poulet et 20 % dans celui du dindon. Ses produits sont vendus sous les noms des marques de commerce Exceldor et Butterball. En 2015, le chiffre d'affaires de la compagnie a été 690 millions $.

Les produits d'Exceldor sont déjà bien présents en Ontario. Ce marché représente 40 % de son chiffre d'affaires. L'entreprise a d'ailleurs des racines à Hanover, en Ontario, avec une usine de transformation de dindon (anciennement P&H Foods, aujourd'hui Exceldor Foods).

«Nous avons beaucoup de ventes dans les autres provinces [que le Québec]. Il n'y a rien de menaçant pour nous dans cette transaction. Je pense même que cela pourrait nous amener des opportunités d'affaires», conclut M. Proulx, heureux de voir que le Groupe St-Hubert demeure tout de même au Canada.


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Source
Le Soleil

2016-04-01

Le studio d'effets spéciaux Rodeo FX grandit

(Québec) La firme d'effets spéciaux Rodeo FX a le vent dans les voiles et recrute. Après avoir récemment doublé la taille de ses locaux du quartier Saint-Roch, l'aile Québec de la firme montréalaise passera bientôt à 50 employés.

Fondée par Sébastien Moreau à Montréal en 2006, Rodeo a ouvert ses bureaux de la capitale en mars 2014.

Elle comptait alors 25 artistes. À l'heure de la croissance, M. Moreau et le directeur du studio de Québec, Martin Pelletier, ont montré leur bébé de deux ans au maire de Québec, Régis Labeaume, et au ministre fédéral Jean-Yves Duclos.

«On voulait être sûrs qu'ils nous connaissent, qu'ils sachent qu'on est là et qu'on fait des effets visuels de haut calibre», a expliqué Sébastien Moreau. «Tout le monde connaît les jeux vidéo, mais nous, ce qu'on fait, c'est vraiment pour les films. C'est important de faire cette différence. C'est une autre expertise que le Québec a. Elle est incroyable et en croissance.»

Sébastien Moreau a dû s'exiler aux États-Unis pour vivre de sa passion avant de revenir à Montréal fonder Rodeo il y a 10 ans. «Ce qu'on veut aussi est de ramener nos amis et compatriotes québécois et leur donner la chance de travailler sur le même genre de projets», a-t-il dit à propos du calibre international des productions auxquelles contribue Rodeo.

Et la liste est impressionnante. Birdman d'Alejandro González Iñárritu, qui a remporté l'Oscar des meilleurs effets visuels en 2015, Lucy de Luc Besson, The Walk, la populaire série Game of Thrones et les films de Denis Villeneuve font partie d'une centaine de titres portant la griffe de Rodeo.

Et depuis deux ans, le studio de Québec a mis la main à la pâte. «Le premier film sur lequel on a mis la main à la pâte est Unbroken d'Angelina Jolie», a expliqué Martin Pelletier. Il énumère aussi Gods of Egypt, Deadpool, et la comédie Central Intelligence avec Dwayne Johnson.

Avec ses bureaux de Québec, Montréal et de Los Angeles, Rodeo compte 350 employés.

Le recrutement doit parfois se faire à l'extérieur de la province.

«Des choses ont été discutées avec le gouvernement provincial et fédéral pour faciliter les procédures de visas. Il faut accélérer les processus pour ces personnes-là», a expliqué Sébastien Moreau qui estime à près de 25 % la main-d'oeuvre spécialisée qui provient de l'extérieur du Québec.


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Source
Le Soleil

2016-03-29

Ces biscuits québécois qui cartonnent au Mexique

Déjà présent sur le marché mexicain depuis quelques années, le fabricant de viennoiseries et de biscuits La Petite Bretonne vient de décrocher un contrat qui marque un tournant dans son expansion mexicaine. Depuis quelques jours, la chaîne de dépanneurs Oxxo vend en effet les biscuits à l'avoine de la PME de Blainville dans ses 13 000 points de vente. «Ce contrat vient non seulement couronner nos efforts de développement, mais il nous procure la visibilité et la crédibilité pour trouver d'autres clients là-bas», se réjouit Dominique Bohec, vice-président, ventes et marketing.

Fondée en 1966 par les parents de M. Bohec, La Petite Bretonne compte 200 employés et fabrique trois millions de viennoiseries par jour dans ses deux usines de Joliette et de Blainville.

«Nos produits ont du succès dans les Caraïbes, et le Mexique représente une expansion naturelle, poursuit-il. Les Mexicains aiment le sucré et ils ont déjà l'habitude de manger des croissants. Et ils sont 120 millions !»

En 2003, La Petite Bretonne avait toutefois renoncé à tenter une percée mexicaine à cause de la vive concurrence, notamment de la multinationale Bimbo. Mais deux ans plus tard, elle y faisait une entrée timide par l'intermédiaire de la chaîne de supermarchés H-E-B, du Texas, qui compte une cinquantaine de magasins au Mexique.


Après les dépanneurs, Costco

«Notre micro-croissant s'est tellement bien vendu que nous avons voulu développer davantage le marché», raconte Dominique Bohec. C'est ainsi que depuis trois ans il met les bouchées doubles pour faire connaître l'entreprise familiale en participant à des foires en alimentation et à des missions commerciales, la plupart organisées par le Groupe Export agroalimentaire Québec-Canada.

«J'ai aussi eu de l'aide des délégués commerciaux du Canada au Mexique et du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec qui m'ont fait rencontrer des acheteurs de différentes chaînes.»

De plus, l'entreprise a retenu les services de deux agents commerciaux pour la représenter, la solution qu'elle considère comme la plus économique pour développer les marchés extérieurs. L'un s'occupe des États-Unis et du Mexique tandis que l'autre se consacre à la division de Costco au Mexique, où les produits de La Petite Bretonne devraient faire leur entrée sous peu. «Ils parlent tous les deux espagnol, ce que j'estime nécessaire pour faire des affaires au Mexique», indique Dominique Bohec, qui lui-même se débrouille dans la langue de Cervantes.


Recette modifiée

Ces démarches ont porté leurs fruits. La Petite Bretonne a décroché un deuxième contrat, cette fois-ci avec les magasins de type entrepôt City Club, propriété de la chaîne de supermarchés Soriana. Elle les approvisionne en madeleines et en croissants tranchés. Puis un troisième contrat, avec Oxxo. Les acheteurs de la chaîne de dépanneurs préféraient se procurer des biscuits à l'avoine fabriqués au Canada, parce qu'ils sont moins secs que ceux des Américains. Ils étaient motivés aussi par la réputation de la farine canadienne, souvent considérée comme la meilleure du monde.

La Petite Bretonne a toutefois dû modifier sa recette de biscuits et ses emballages pour plaire aux consommateurs mexicains. Cette capacité d'adaptation est d'ailleurs une autre raison invoquée par Oxxo pour choisir un fournisseur québécois. «Les entreprises québécoises sont souvent plus flexibles que celles des autres provinces et des États-Unis, souligne Dominique Bohec. C'est un atout pour faire des affaires.»

Le dirigeant de 37 ans constate l'existence d'atomes crochus entre les peuples québécois et mexicain. «Peut-être est-ce notre côté latin, peut-être est-ce aussi parce que nous communiquons dans une deuxième langue, mais il y a une connexion qui se fait plus facilement.»


Une concurrente devenue cliente

L'entente avec Oxxo devrait créer 20 emplois à l'usine de Joliette de La Petite Bretonne. De plus, elle permettra à la PME québécoise d'atteindre enfin la rentabilité au Mexique. «Faire de l'argent à l'étranger et s'implanter pour le long terme, ça ne se fait pas en un jour, constate Dominique Bohec. Il faut être prêt à investir et à mettre du temps pour bâtir des relations.»

Heureusement, il aime faire des affaires avec les Mexicains. «Pour eux, le côté humain est très important, et ils souhaitent nouer un lien de confiance avec leurs partenaires d'affaires. De plus, ils ne changent pas pour changer. Par exemple, notre relation d'affaires avec la division mexicaine de H-E-B dure depuis 10 ans.»

La Petite Bretonne a d'autres projets dans sa ligne de mire. Elle est notamment en discussion avec Costco Mexique ainsi qu'avec un distributeur spécialisé dans les commerces indépendants. Qu'en est-il de Bimbo, le géant de la boulangerie qui lui faisait peur au début et qui est connue au Québec pour avoir acheté les petits gâteaux Vachon en 2014 ? Elle est devenue sa cliente, mais pour le marché américain seulement !

D'ici cinq ans, la PME familiale prévoit que le Mexique et les États-Unis représenteront environ la moitié de son chiffre d'affaires, par rapport à 23 % aujourd'hui. Après La Petite Bretonne, La Petite Mexicaine ?


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Source
Les Affaires

2016-03-18

Squeeze Studio entreprise de l’année à Québec

Le gala des Fidéides de la Chambre de commerce et d’industrie de Québec a couronné jeudi soir 15 entreprises de la région qui se sont démarquées par leurs performances d’affaires exceptionnelles au cours d’une soirée qui avait lieu au Centre des congrès.

Le prix Entreprise de l’année, dans la catégorie moyenne-grande entreprise, est allé à Squeeze Studio Animation, tandis que Nova Film a remporté le prix Entreprise de l’année dans la catégorie petite entreprise.

Tout au long de la soirée, plusieurs autres entreprises se sont distinguées. Parmi celles-ci soulignons Ubisoft Québec, IMÉDIA firme créative, Énergie Valero, Richard & Lévesque cuisines salles de bain, l’Hôtel de glace, Medicago, Caron et Guay et SOS Nancy.


Personnalité touristique

Le prix Personnalité touristique de l’année est allé à Robert Mercure, directeur général du Fairmont Le Château Frontenac, alors que le prix décerné à un OBNL a été remis au Monastère des Augustines. La Conférence RIMS Canada «Panorama» Québec 2015 a remporté le titre d’événement d’affaires de l’année.


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Source
Journal de Québec

2016-03-18

TransCanada: 13 milliards $ pour étendre son emprise en Amérique du Nord

L’entreprise énergétique TransCanada a annoncé l’acquisition de Columbia Pipeline Group pour la somme de 13 milliards $.

Columbia Pipeline, dont le siège social est situé à Houston au Texas, exploite près de 24 000 kilomètres d'oléoduc s'étendant de New York au golfe du Mexique.

Cette acquisition permettra la création de l’une des plus grandes entreprises de transport de gaz naturel réglementées en Amérique du Nord, avec des projets de croissance à court terme d’une valeur de 23 milliards $, a fait savoir TransCanada dans un communiqué.

TransCanada pourra maintenant s’appuyer sur un réseau de 91 000 kilomètres d'oléoduc pour transporter le gaz naturel en Amérique du Nord.

La compagnie est surtout connue au Québec pour son projet de construction de l'oléoduc Énergie Est, qui doit permettre de transporter du pétrole de l’Alberta et de la Saskatchewan vers les raffineries de l’Est du Canada.


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Source
Journal de Montréal

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