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Nouvelles

2016-02-26

Desjardins crée 600 emplois «de haute valeur ajoutée» au Québec

Le Mouvement Desjardins est en train de créer 600 emplois au Québec à la suite de l’achat l’année dernière des activités canadiennes de l’assureur State Farm. La coopérative doit créer 200 postes pour remplir des activités de siège social qui étaient auparavant accomplies aux États-Unis.

Au moins 400 personnes supplémentaires doivent aussi être recrutées pour travailler sur le rapatriement des systèmes de State Farm, qui doivent être intégrés à ceux de Desjardins. Comme cette opération doit durer de quatre à cinq ans, ces 400 ressources (employés ou contractuels) travailleront pour l’institution financière jusqu’en 2018-2019.

«Ce sont des emplois de haute valeur ajoutée», a déclaré Monique Leroux, présidente et chef de la direction de Desjardins, lors d’une conférence téléphonique en marge de la publication des résultats de l’exercice 2015.  

Desjardins a annoncé l’acquisition des activités canadiennes de State Farm, dans l'assurance de dommages et l'assurance vie, en 2014. Cette transaction a permis à la coopérative d’atteindre 1,2 million de clients supplémentaires.


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Source
TVA Nouvelles

2016-02-19

Lise Watier Cosmétiques redevient une entreprise québécoise

Le concepteur, fabricant et distributeur québécois de cosmétiques Groupe Marcelle vient d’annoncer l’acquisition de Lise Watier Cosmétiques, qui était contrôlée depuis 2007 par la société d'investissements ontarienne Imperial Capital Corporation.

La Caisse de dépôt et placement du Québec a financé la transaction pour un montant de 18 millions $.

Le siège social du Groupe Marcelle est situé à Montréal, comme celui de Lise Watier.

Cette transaction, qui ramène le contrôle de Lise Watier Cosmétiques entre les mains d'actionnaires québécois, permettra aussi au Groupe Marcelle de devenir la plus importante entreprise canadienne de l’industrie de la beauté.

Groupe Marcelle compte actuellement environ 200 employés et Lise Watier Cosmétiques, environ 160. Les deux entreprises travailleront désormais à la recherche, au développement, à la production et à la mise en marché d’environ 1 000 produits de marque Marcelle, Lise Watier, Annabelle et CW Beggs and Sons.

«Cette acquisition s'inscrit dans notre plan stratégique de croissance et nous permet de diversifier notre portefeuille avec l'ajout d'une marque prestigieuse et complémentaire», a déclaré dans un communiqué David Cape, président de Groupe Marcelle. «Il s’agit d’un pas de plus vers l’atteinte de notre ambitieux objectif qui est de joindre les rangs des 100 plus importants manufacturiers mondiaux de cosmétiques.»

«Cet investissement de 18 millions $ de la Caisse permettra la consolidation de deux entreprises québécoises de grande qualité en vue de bâtir le nouveau champion à la tête de son industrie», a souligné Christian Dubé, premier vice-président Québec de la Caisse de dépôt.

Lorsque Lise Watier Cosmétiques est passée sous contrôle de la société ontarienne Imperial Capital Corporation, en 2007, le siège social est demeuré à Montréal. L'entreprise, considérée comme un fleuron du Québec inc., voulait ainsi assurer sa croissance.

C'est en 2013 que la femme d'affaires Lise Watier a quitté la direction de l'entreprise qu'elle a fondée en 1972.

«De nombreux efforts ont été déployés depuis les 40 dernières années pour faire de Lise Watier Cosmétiques une marque respectée et hautement appréciée. Je suis heureuse que cette entreprise, aux assises solides et au futur prospère, soit rachetée par un groupe québécois», a-t-elle déclaré jeudi par voie de communiqué.


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Source
TVA Nouvelles

2016-02-19

Du café en capsules torréfié au Québec

PME DE LA SEMAINE - Maison de torréfaction artisanale Café Castelo n’a pas laissé sa petite taille l’empêcher de jouer dans la cour des grands. À l’instar de Nespresso et de Van Houtte, l’entreprise familiale de Québec s’est lancée sur le créneau du café en capsules. Et c’est le président qui assure lui-même la torréfaction des grains 100% arabica!

Depuis trois mois, Café Castelo commercialise, en format K-Cup - les recharges pour systèmes d’infusion Keurig - son café gourmet, frais et certifié Aliments du Québec. Et, Prédrag Okuka, son président et fondateur, songe déjà à acheter une nouvelle machine afin de doubler la production de capsules d’ici six mois. La machine actuelle, qui fabrique 1 500 capsules à l’heure, a déjà du mal à répondre à la demande.


De l’audace et de la détermination

Un succès qui fait la fierté de Prédrag Okuka. « Tout le monde disait que ce n’est pas possible mais nous avons prouvé qu’une petite gang peut faire quelque chose d’extraordinaire », souligne-t-il.

Alors qu’il était joueur de soccer professionnel en première division en ex-Yougoslavie, sa terre natale, Prédrag Okuka conciliait déjà sport de haut niveau et torréfaction du café. Un domaine dans lequel sa famille évolue depuis trois générations.

Arrivé au Québec en 1996 pour fuir la guerre faisant alors rage dans les Balkans, lui et sa femme ouvrent rapidement Café Castelo avec comme objectif de créer au moins 100 emplois.


Une fidélité gagnante

Pour atteindre son objectif, Prédrag Okuka a misé sur la force du collectif en créant un réseau de 14 cafés-boutiques indépendants, principalement situés dans la région de Québec, avec qui il travaille en partenariat, et non sous la forme d’une franchise traditionnelle.

Concrètement, il aide les propriétaires à se lancer en affaires, à trouver du financement et à s’équiper. Il leur offre également de la visibilité, de la formation, du soutien technique et le monopole sur un territoire. Et, tout cela sans établir de contrat d’exclusivité.

« Toute le monde s’implique et apporte ses idées pour faire avancer l’entreprise car quinze têtes valent mieux qu’une, dit-il. Personne ne profite de personne. On prend les risques ensemble ».

Ce réseau permet aussi à Café Castelo d’assurer l’écoulement des 130 tonnes de café qu’elle torréfie par an. « S’ils débutent en étant peu endettés, ils ont plus de chance de rester en affaires », indique Prédrag Okuka, qui sélectionne soigneusement les nouveaux venus afin de conserver la chimie du groupe.


Objectif croissance

Le pdg-torréfacteur souhaite créer 150 emplois supplémentaires. Pour y parvenir, il compte développer son réseau en ouvrant une quinzaine de nouveaux cafés, notamment à Montréal. Il s’apprête aussi à aller chercher une nouvelle clientèle en vendant son café en grains fraichement torréfiés et ses K-cups dans des boulangeries, des pâtisseries et des épiceries fines. Pour le moment, 5 distributeurs de Québec ont dit oui et Prédrag Okuka espère en convaincre à terme une centaine d’autres.

Afin de rendre possible cette croissance, Café Castelo a investit 2 millions de dollars dans la construction, il y a un et demi, d’une usine de 8 000 pieds carrés à Lévis. Grâce à elle, la production a augmenté de 20% et devrait doubler d’ici cinq ans.

Malgré ces ambitions, Café Castelo tient à rester une entreprise familiale. Pédrag Okuka est entouré de sa femme, qui gère la comptabilité mais aussi du design des emballages, de sa fille qui s’occupe notamment de la communication de l’entreprise et de son fils. À 15 ans, ce dernier assiste son père dans la torréfaction du café. « Voir mes enfants embarquer dans l’entreprise et prendre la relève est ma plus grande fierté et mon plus beau cadeau », se réjouit-il.


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Source
Les Affaires

2016-02-12

Bombardier décroche un contrat de 391 millions $

Bombardier Transport a annoncé vendredi avoir décroché un contrat d’environ 391 millions $ portant sur la fourniture du système de transport léger sur rail Valley Line, à Edmonton en Alberta.


Bombardier va fournir un nombre non précisé de véhicules, de même que des systèmes de signalisation et de communications, des systèmes d'alimentation et de distribution, le système de caténaire et de l'équipement d'atelier connexe.


Le contrat a été accordé au consortium TransEd Partners, dont font partie Bombardier, Bechtel, EllisDon et Fengate.


Le projet se déroulera dans le cadre d'un partenariat public-privé. Il comprend une étape de conception-construction sur cinq ans, et des services d'exploitation et de maintenance sur une période de 30 ans. Bombardier sera responsable du volet de l’exploitation, de la maintenance et de la remise à neuf du système pendant toute la période.


La première étape du projet porte sur la construction d’une ligne qui reliera la partie sud-est d'Edmonton et le centre-ville. Elle  s’échelonnera sur 13 km et comprendra 11 arrêts et une gare.


Les véhicules qui seront fournis sont des BOMBARDIER FLEXITY dont la capacité est de 275 passagers. Leur lieu de fabrication n’a pas été divulgué.


«Comme membre de TransEd Partners, nous allons réaliser un système léger sur rail moderne et fiable qui sera une solution de rechange commode et attrayante à la voiture personnelle, et offrirons un partenariat à long terme à la ville d'Edmonton», a déclaré Raymond Bachant, président, division Amériques, Bombardier Transport.


Bombardier souligne avoir vendu plus de 1500 tramways à plancher bas intégral FLEXITY dans le monde.ir



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Source
Tva nouvelles

2016-02-12

Marmen agrandit son usine grâce au pont Champlain

(Trois-Rivières) Le nouveau pont Champlain, qui sera construit au coût de 4,2 milliards de dollars d'ici 2019, aura un peu de Marmen dans ses structures. En effet, l'entreprise de la famille Pellerin vient de décrocher un contrat de fabrication de caissons auprès du Groupe Canam, fabricant de la charpente en acier des approches.
 
Conséquence? Le président de Marmen, Patrick Pellerin, a annoncé en primeur au Nouvelliste l'agrandissement de son usine de fabrication générale située dans le parc industriel de Trois-Rivières. L'ajout de 40 000 pieds carrés à l'actuel bâtiment de 80 000 pieds carrés, érigé il y a dix ans sur la rue Jules-Vachon, et l'achat d'équipements spécialisés représenteront un investissement de sept millions de dollars.

Les nouvelles installations fourniront l'espace requis pour procéder à la fabrication de composantes du futur pont Champlain. «Dans deux mois, on va commencer le projet dans notre usine existante et seulement la moitié de l'expansion servira à ce projet. C'est que le nouveau bâtiment nous permettra d'augmenter notre capacité de production pour tous les projets de fabrication générale», a-t-il précisé en entrevue.

Les travaux de mise en chantier ont débuté en janvier et se termineront à la fin mai 2016. Au terme des investissements, une trentaine d'emplois de soudeurs et de manoeuvres spécialisés seront créés, sans compter les divers emplois reliés à la construction de l'usine.

Selon M. Pellerin, Marmen et Canam sont «en relation depuis très longtemps». «On est l'un de leurs clients», a-t-il fait savoir tout en révélant que c'est Canam qui sera d'ailleurs derrière la structure de l'agrandissement trifluvien.

Il faut dire que le Groupe Canam est le plus important fabricant nord-américain de composantes métalliques et se spécialise dans la conception de solutions de construction et la fabrication de produits sur mesure. Il participe en moyenne à 10 000 projets par année dans trois groupes de produits et services: bâtiments, charpente métallique et ponts.

Mais c'est la division de Groupe Canam, Canam-ponts, qui a signé un contrat de 225 millions de dollars pour la fourniture de la superstructure en acier des approches du nouveau pont Champlain. Canam-ponts est le segment d'affaires responsable de la conception et la vente de ponts d'acier, d'appareils d'appui et de joints de dilatation dans le marché des ponts routiers et ferroviaires du Canada et de plusieurs États américains. En ce qui concerne son mandat pour le pont Champlain, la fabrication a débuté à l'automne 2015 et les livraisons s'échelonneront jusqu'au printemps de 2018.

Et c'est par une heureuse coïncidence qu'un représentant de Marmen s'était informé auprès de Canam de ses besoins en sous-traitance. Résultat? L'équipe de Patrick Pellerin fournira des caissons pesant entre 60 et 80 tonnes et d'une longueur se situant entre 60 et 80 pieds.

«Pour nous, c'est l'un des plus gros contrats depuis longtemps pour un client québécois. Et c'est un nouveau marché», s'est-il plu à souligner.

On sait que Marmen est un sous-traitant hautement reconnu des constructeurs OEM qui dispense ses services à des entreprises provenant de secteurs déjà forts diversifiés tels que l'énergie éolienne, l'hydroélectricité, les turbines à gaz et à vapeur, les minières, l'aviation, l'aérospatiale, les industries militaire et médicale ainsi que le gaz et le pétrole.

Or, avec la chute actuelle de ce dernier secteur d'activités, les besoins d'équipements de plate-forme de forage se font plutôt rares. D'où le caractère d'autant plus intéressant de ce contrat pour le nouveau pont Champlain qui ajoute à cet élan de diversification chez Marmen.

Passé maître dans la prestation de services d'usinage haute précision, de fabrication et d'assemblage mécanique de pièces de toute taille à l'échelle internationale, Marmen possède pas moins de cinq usines à Trois-Rivières ainsi que des installations spécialisées dans la fabrication d'éoliennes à Matane, en Gaspésie, et à Brandon, dans le Dakota du Sud, aux États-Unis.

En tout, la famille Pellerin fait travailler près de 1400 personnes dont la grande majorité en sol trifluvien. Et pour la future main-d'oeuvre découlant de l'expansion annoncée, Marmen recrute, entre autres, des soudeurs, des inspecteurs END et des manoeuvres. Pour consulter la liste complète des postes à pourvoir et pour postuler en ligne, les gens intéressés peuvent visiter le www.marmeninc.com.

«Nous sommes très heureux d'être impliqués dans un projet d'infrastructure de grande envergure qui générera la création de plusieurs emplois à Trois-Rivières», a conclu le président.


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Source
Le Nouvelliste

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