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Nouvelles

2016-06-16

Les Fonds régionaux de solidarité FTQ investissent 3,75 M$

Les Fonds régionaux de solidarité FTQ ont investi 3,75 M$ dans la relève de quatre entreprises de la grande région de Québec dans le but d’assurer leur pérennité, au cours de la dernière année. Les fonds ont misé sur LGT, Métal Potvin, Cristal Contrôles et Graphica Impression.

«Dans notre région, par manque de relève, entre 700 et 800 entreprises pourraient disparaître au cours des 10 prochaines années. Ça entraînerait la perte de 9000 à 12 000 emplois», a expliqué Jean Roy, directeur régional des Fonds régionaux de solidarité FTQ Québec.

Les Fonds régionaux de solidarité FTQ encouragent les propriétaires de PME à passer à l'action dès maintenant pour planifier l'avenir de leur entreprise avant qu’il soit trop tard.

Fondée en 1998 par Denis Lemieux et Serge Fournier, LGT offre des services-conseils en structure, génie civil, mécanique, électricité et efficacité énergétique. Pour assurer l’avenir de la compagnie, quatre employés-clés, deviendront actionnaires, en janvier.

Métal Potvin, créée en 1986, est une entreprise spécialisée dans la vente de métal en feuille et la fabrication de moulures d’acier. Pour assurer l’avenir de la compagnie, les Fonds régionaux ont appuyé deux investisseurs dans l’acquisition de l’entreprise. Les nouveaux actionnaires avaient aussi obtenu le support des Fonds dans leur acquisition d’Auvents W. Lecours.

Cristal Contrôles est une entreprise créée en 1991 par Pierre Chaput. Elle fabrique des produits électroniques de gestion d’énergie et de contrôle d’éclairage, de température et d’humidité. Faute de relève, le fondateur s’est tourné vers deux investisseurs à la recherche d’une entreprise.

Enfin, Graphica Impression est un centre d’impression numérique fondé à Québec en 1971. Elle est entre autres spécialisée dans la reproduction de plan et devis pour les secteurs de la construction et du génie civil. Jean-Pierre Cadoret, qui a acquis Graphica en 2001, a choisi de passer le flambeau à deux investisseurs, avec l’appui des Fonds régionaux.


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Source
TVA Nouvelles

2016-06-15

AddÉnergie lance un réseau de 2000 bornes de recharge

Une société montréalaise a lancé officiellement mercredi un réseau pancanadien de 2000 bornes de recharge pour véhicules électriques.

AddÉnergie a lancé le réseau FLO qui unifie les réseaux existants au Québec et en Colombie-Britannique, en Ontario, au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse.

La Caisse de dépôt et placement du Québec de même qu’Investissement Québec sont partenaires dans l’entreprise qui prévoit ajouter 8000 bornes au pays d’ici cinq ans.

La Caisse a investi 8,5 millions $ dans AddÉnergie en avril dernier alors qu’Investissement Québec y est allé d’une injection de 4,3 millions $.

Des bornes à domicile

AddÉnergie s’apprête à dévoiler une nouvelle borne intelligente pour le segment résidentiel.

Fabriquée au Québec, la borne FLO Maison a été conçue pour résister aux rigueurs du climat canadien.

Le produit, qui sera commercialisé au coût de 1195$, sera disponible l’automne prochain.

La borne FLO Maison sera présentée lors de la 29e édition du World Electric Vehicle Symposium and Exhibition (EVS29), une des plus grandes conférences internationales sur les véhicules électriques, qui aura lieu à Montréal du 19 au 22 juin prochain.

L’usine de AddÉnergie est située à Shawinigan. Au total, l’entreprise compte un effectif de 50 employés.


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Source
TVA Nouvelles

2016-06-03

Creaform a le vent dans les voiles

(Québec) La société lévisienne Creaform est connue pour ses technologies de mesure 3D. Des appareils d'inspection optique portables qui détectent les plus petites anomalies dans les pièces fabriquées en usine.
 
Sa division «ingénierie», par contre, l'est moins.

Pourtant, elle connaît une croissance aussi fulgurante que la division «technologique».


La preuve?

Au cours de la dernière année, elle a établi ses pénates en Californie. Elle a fait ses premiers pas en Inde. Elle a ouvert un atelier de tests et de prototypage à Montréal.

«Depuis le début de l'année, nous avons embauché 25 personnes. Il nous reste de 25 à 30 postes à pourvoir d'ici la fin de 2016», signale David Gagné, le vice-

président des services d'ingénierie et de métrologie chez Creaform.

L'entreprise recherche notamment des ingénieurs et des techniciens en génie mécanique ou électrique, des experts en automatisation et des ingénieurs en simulation numérique.

La division «ingénierie» comptera bientôt 200 employés, soit l'équivalent de sa division soeur.

Avant de commercialiser son premier produit en 2005, le Handyscan, Creaform était une entreprise qui offrait des services d'ingénierie à des clients industriels. Elle leur apportait une expertise qu'ils ne détenaient pas.

L'équipe de David Gagné poursuit donc la mission originelle de l'entreprise de Lévis.

Ses clients, Creaform les recrute principalement dans les secteurs de l'aérospatiale, des transports et des produits récréatifs, médicaux et de consommation en général.

Elle accompagne ses clients dans le développement et le design de produits et dans la réalisation de tests de résistance des matériaux. «Nous avons notamment développé des meubles pour les avions. Nous avons également collaboré avec Bombardier à la fabrication de certains équipements de la gamme d'avions CSeries», signale M. Gagné.

Plus Bombardier vendra d'avions, plus ses fournisseurs, comme Creaform, en profiteront.

«Ce qui est bon pour nos clients est bon pour nous», résume-t-il en mentionnant que le dévoilement de la stratégie sur l'aérospatiale du gouvernement du Québec - 250 millions $ sur cinq ans - pourrait apporter de l'eau au moulin de Creaform.

En s'installant en Californie, la division «ingénierie» s'attaque à un marché au potentiel énorme.

Expansion américaine

«Dans un rayon de 200 kilomètres autour de notre place d'affaires à Costa Mesa, il y a pratiquement autant d'entreprises qu'au Canada, notamment dans les secteurs de l'aérospatiale et de l'automobile», fait remarquer David Gagné en mentionnant que sa division réalisait actuellement 20 % de ses affaires aux États-Unis.

Et les facteurs économiques sont actuellement favorables à une expansion vers le sud de la frontière canadienne.

«La valeur du dollar canadien par rapport à la devise américaine nous permet d'être plus concurrentiels pour la même qualité de produits offerts par nos compétiteurs américains. Et, disons-le, la bonne santé financière de nos clients là-bas va nous aider à réaliser notre expansion.» Évidemment, Creaform entend profiter du chemin qui a été défriché par sa compagnie mère, Ametek, une multinationale de la Pennsylvanie spécialisée dans la fabrication d'instruments électroniques et d'appareils électromécaniques.

Rappelons qu'en octobre 2013, Ametek avait mis le grappin sur Creaform pour la somme d'environ 120 millions $US.


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Source
Le Soleil

2016-06-03

LeddarTech en voiture avec Valeo

(Québec) L'un des principaux fournisseurs de composants et de systèmes intégrés pour les grands constructeurs automobiles du monde entier utilisera une technologie mise au point dans les ateliers de LeddarTech, à Québec, permettant de détecter les diverses sources d'accidents sur la route.

Aston Martin, Audi, BMW, Hyundai, Mercedes, Nissan, Volkswagen et Volvo font partie de la longue liste de clients du groupe français Valeo.

En 2014, Valeo et LeddarTech concluaient une entente de partenariat pour le développement d'un nouveau système de télédétection LiDAR (light detection and ranging) inspiré par la technologie développée par l'entreprise de Québec.

Récemment, à l'occasion de l'Automotive Engineering Exposition 2016 qui se tenait à Tokyo, Valeo annonçait que le nouveau capteur LiDAR pourrait se retrouver dans les automobiles de toutes gammes de prix - et non pas seulement dans les véhicules de luxe - à compter de 2018.

«Pour nous, le début de la commercialisation du nouveau capteur marque la confirmation de la pertinence et de l'applicabilité de notre technologie dans le marché de l'automobile», indique Stéphane Duquet, directeur du marketing stratégique chez LeddarTech, une entreprise en pleine croissance du Parc technologique du Québec métropolitain qui fait travailler 32 personnes.

Ce dernier signale que les constructeurs automobiles et les équipementiers veulent rendre les véhicules de plus en plus autonomes. Au point d'éliminer complètement l'humain derrière le volant.

Moins coûteux

Pour y arriver, ils doivent mettre au point des systèmes sophistiqués d'aide à la conduite automobile et au stationnement.

Pour rendre un véhicule le plus «intelligent» possible, il faut lui intégrer, par exemple, des systèmes qui lui permettront de détecter avec précision la présence de piétons, de vélos, de motocyclettes et d'autres véhicules.

Les systèmes de détection actuels laissent les fabricants sur leur appétit. Ils coûtent les yeux de la tête - c'est la raison pour laquelle on les retrouve presque exclusivement sur les modèles haut de gamme -, ils sont peu durables et d'une performance douteuse.

À partir d'algorithmes, le capteur LiDAR développé par LeddarTech et Valeo reçoit le signal enregistré par les capteurs installés autour du véhicule, notamment la présence d'un piéton qui traverse une intersection, l'analyse et applique, au besoin, une action. Un freinage d'urgence autonome, par exemple.

En plus d'être le LiDAR le moins couteux sur le marché, la trouvaille technologique québécoise permet d'étendre la portée de détection jusqu'à 100 mètres. Elle fonctionne la nuit, dans des conditions de faible éclairage et dans des conditions météorologiques défavorables, comme sous la pluie ou en présence de brouillard.

Dès que Valeo commencera à vendre son LiDAR aux fabricants automobiles, LeddarTech empochera des redevances.

L'industrie automobile n'est que l'un des marchés visés par LeddarTech, une entreprise qui a essaimé de l'Institut national d'optique. Ceux des drones, des villes, des maisons et des industries intelligentes sont déjà dans sa mire.


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Source
Le Soleil

2016-05-27

Premier Tech fait des emplettes en Virginie

(Québec) Premier Tech fait des emplettes sur la côte est des États-Unis. L'entreprise de Rivière-Du-Loup acquiert une usine située à Mattaponi, dans l'État de la Virginie.
 
Auparavant la propriété de la société allemande ASB Greenworld, cette usine d'une quinzaine d'employés s'ajoutera à la plateforme manufacturière nord-américaine de Premier Tech Horticulture. Avec cette acquisition, la compagnie compte maintenant 3250 travailleurs répartis dans 24 pays. Près de 1050 personnes sont en poste à son siège social à Rivière-du-Loup.

Le marché des États-Unis représente actuellement un terrain de jeu d'environ 250 millions $ pour Premier Tech. Et les ventes devraient continuer de grossir au cours des prochaines années, puisqu'il s'agit de la première usine dans le secteur de l'horticulture de l'entreprise sur la côte est américaine.

«Cette usine va nous permettre de nous rapprocher de nos marchés», se réjouit au bout du fil Jean Bélanger, président et chef de l'exploitation de Premier Tech. «Dans certains segments de marché, notamment chez les producteurs en pépinière, beaucoup achètent du produit en vrac plutôt qu'ensaché. Nous n'étions pas très compétitifs pour les desservir à compter de nos usines du Québec et du Nouveau-Brunswick. Avec l'usine de Mattaponi, cela va nous permettre de prendre des parts de marché [...] et d'offrir de meilleurs délais de livraison aux clients», poursuit-il.

Au cours des six à neuf prochains mois, Premier Tech prévoit investir entre 2 et 3 millions $ dans ses nouvelles installations.

«On va la moderniser et l'équiper pour produire des produits beaucoup plus technologiques. On veut y faire des produits milieu et haut de gamme. Et aussi avec différents ingrédients actifs naturels», note au Soleil M. Bélanger, qui n'a pas voulu dévoiler le montant de la transaction pour le bâtiment d'environ 50 000 pieds carrés. Il se situe sur un terrain de près d'un million de pieds carrés.

Fondée en 1923, Premier Tech est un fabricant de produits agricoles et d'horticulture, d'équipements industriels d'emballage et de systèmes de traitement des eaux usées. L'entreprise enregistre une croissance moyenne de 11,5 % par an depuis plus d'un quart de siècle. Elle réalise aujourd'hui des ventes de près de 675 millions $.

Plusieurs acquisitions

Au cours des 15 derniers mois, la compagnie a procédé à plusieurs acquisitions, notamment de ProtoConsul, par son Groupe Équipements Industriels (IEG) et d'Atelier Plastique Forézien, une usine spécialisée dans les procédés de rotomoulage des thermoplastiques.

En février 2015, la compagnie avait également mis la main sur une entreprise qui fabrique des équipements de manutention et d'emballage, Almeida Martins, au Brésil afin d'augmenter sa présence en Amérique latine. «Cela va très bien. Nous avons eu une excellente première année», affirme M. Bélanger.

Le président ne cache pas que d'autres acquisitions dans différents secteurs pourraient avoir lieu au cours des prochains mois. «Il y a de bonnes chances. Nous en faisons toujours entre deux et quatre par année. Nous regardons plusieurs dossiers en parallèle», dit-il, assurant que le siège social de la compagnie ne déménagera pas. «Notre siège mondial est établi à Rivière-Du-Loup et notre intention est d'y demeurer à long terme», assure-t-il.


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Source
Le Soleil

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